Netflix : bande-annonce d'Interceptor, avec Elsa Pataky

Dans le nouveau film d’action Netflix Interceptor, Elsa Pataky (Fast and Furious 5) joue une combattante de l’armée américaine : le lieutenant JJ Collins. Alors que 16 missiles nucléaires sont lancés sur les Etats-Unis, une violente attaque coordonnée menace simultanément son poste d'interception de missiles à distance. Le film sera disponible sur la plateforme à partir du 3 juin.

Expérimenté en production, Matthew Reilly réalise ici son tout premier film. Il est notamment le producteur de Bullies (2012) et de Man Alive (2017). L’écrivain de The Six Sacred Stones change de médium et sort un long-métrage, pour une histoire avec toujours autant d’action.

Aux cotés d'Elsa  Pataky, on retrouve Luke Bracey (Lucky Day), Aaron Glenane (Killing Ground), Mayen Mehta (Love Birds), Paul Caesar (The Square), Belinda Jombwe (Dead Lucky) et Marcus Johnson (Spartacus : le sang des gladiateurs). Le film est produit par Chris Hemsworth, qui poursuit sa collaboration avec Netflix après avoir joué dans Extraction 1 et 2.

Chris Hemsworth doit son changement de style à sa femme, Elsa Pataky

Ces dernières années, Chris Hemsworth a connu une véritable transformation, aussi bien physique que stylistique. La star de Thor a développé une impressionnante musculature qu’il enveloppe dans de luxueux costumes sur mesure. Il est d’ailleurs devenu ambassadeur pour Hugo Boss. Mais ce changement de style n’aurait pas été possible sans l’aide de celle qui partage sa vie depuis plus de dix ans, à savoir Elsa Pataky, son épouse et mère de ses enfants.

« Mon style a changé grâce à de meilleures influences autour de moi, qu’il s’agisse de mon épouse ou de stylistes », a-t-il confié au Telegraph, avant de repenser à ses anciennes fautes de goût.

Eh oui, plus de quinze ans en arrière, Chris Hemsworth faisait ses débuts dans la série Home and Away (Summer Bay en France) et arborait un look de surfeur décomplexé. Un passé stylistique auquel l’acteur de 37 ans repense désormais en souriant. « Quand je repense à l’époque de Home and Away, dix-sept ans en arrière, il y avait beaucoup de jeans pattes d’eph’. Ça m’amuse de repenser à combien j’étais convaincu (par mon style) », a-t-il conclu. En  revoyant les images, on constate à quel point Elsa Pataky avait du pain sur la planche !