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26 novembre 2024

Eddy Mitchell révèle ses problèmes de santé dus à ses nombreux excès

Il a décidé d’écouter ses médecins pour que ce ne soit pas sa Dernière séance : victime de sérieux problèmes de santé, le chanteur Eddy Mitchell a confié dans l’émission Sept à Huit (TF1) du dimanche 24 novembre 2024 avoir enfin renoncé au tabac et à l’alcool, rapporte le magazine Marie-France.

À la journaliste Audrey Crespo-Mara, qui lui demandait pourquoi il avait reporté la sortie d’Amigos, son dernier album, l’octogénaire a en effet révélé qu’il venait être victime d’une pneumonie. « Ça va doucement », a-t-il poursuivi, assurant qu’il allait revoir son hygiène de vie.

Gros fumeur – il a tiré sur ses premières clopes à 14 ans – et amateur de whisky, celui qu’on surnomme « Schmoll » a bien du se faire une raison : « Ils (les médecins) disent qu’il ne faut pas fumer, pas boire et qu’il ne faut pas manger gras. Enfin, il faut plus rien foutre quoi », constate-t-il, avant d’assurer : « On suit plus ou moins ! ».

Il confie donc avoir arrêté de fumer « il y a un mois » et promet que « l’alcool, c’est terminé aussi ». D’autant que celui qui s’enfilait parfois jusqu’à deux bouteilles de whisky quotidiennes affirme que « c’était plutôt une manie qu’autre chose, il n’y avait pas de plaisir ».

S’il est ainsi obligé de lever le pied sur ses « carburants » d’antan, Eddy Mitchell compte bien s’adonner au Rock 'N' Roll jusqu’à son dernier souffle comme en témoigne la sortie d’Amigos, désormais fixée au vendredi 29 novembre 2024, qui sera son quarantième album studio en plus de soixante ans de carrière !

29 novembre 2021

Sept à Huit : Camille Lellouche détaille les violences conjugales dont elle a été victime

Camille Lellouche a livré un témoignage sans fard à Sept à huit sur les violences conjugales dont elle a été victime pendant deux ans et comment elle s’est retrouvée « sous emprise ». Si l’humoriste et chanteuse a mis autant de temps à partir, c’est « la peur ». « Je ne souhaite à personne d’avoir peur matin, midi, soir, la nuit », explique-t-elle. Le premier coup est arrivé au bout d’un mois de relation. Il l’insulte et lui met « une claque, très violente ». Il présente ses excuses, elle accepte, regrettant aujourd’hui de ne pas être partie immédiatement. Dès lors, « c’est trop tard pour moi », estime l’artiste.

Les coups s’accompagnent d’une pression psychologique. « Il t’appelle tout le temps, tout le temps. "Je vais te tuer, j’arrive, je suis devant chez toi. Non en fait je ne suis pas là." Tu ne sais jamais », raconte-t-elle. Camille Lellouche décrit également des actes de viol. Face à un homme de « 120 kilos », Camille Lellouche, qui explique avoir perdu du poids à cause de ce qu’elle vivait jusqu’à peser « 40 kilos », se sent impuissante. « Quand tu as quelqu’un de très costaud, tu n’as pas le choix. (…) On te tient, on t’empêche de respirer », confie-t-elle.

La star a accepté de dévoiler cette fois où elle n’a « pas eu envie de faire l’amour avec lui ». Devant ce refus, les coups pleuvent. « J’ai commencé à me pisser dessus. Je lui dis et il me répond "Je m’en fous" et me roue de coups. (…) J’ai dormi dans ma pisse, par terre, sur le sol, sur le plancher. L’humiliation la plus totale. (…) Il me dit, avant de s’endormir, "si tu bouges, si je t’entends même respirer, je te tue" », détaille-t-elle, expliquant que « la peur de mourir » l’empêche de partir.

Pendant deux ans, Camille Lellouche a pu cacher ce qu’elle vivait à ses proches en donnant des explications aux marques de coups par son activité sportive, notamment la boxe. Jusqu’à ce que son frère ne la croie plus et lui pose un ultimatum : soit elle le dit à leur mère elle-même « assez vite », soit il s’en charge. « Elle a pris un crédit pour m’envoyer dans une école un an en Angleterre, pour me sauver, m’éloigner. Il m’appelait tous les jours en me disant "Je vais me suicider" », ajoute-t-elle. A son retour, il l’attendait, mais elle n’était « plus sous emprise ».

Camille Lellouche n’a cependant pas fait appel à la justice, car elle avait « tellement peur » qu’elle n’a « pas réussi à le faire ». Par ce témoignage, elle souhaite que « toutes ces femmes arrivent à porter plainte » et que l’entourage prenne conscience de la situation pour les accompagner. Une victime de violence conjugale a six ans pour déposer plainte en France. Passé ce délai, il y a prescription. En cas de viol, le délai est de 20 ans à compter de la date des faits.

25 octobre 2021

Amel Bent révèle être enceinte de son troisième enfant

C’est dans l’émission Sept à Huit, sur TF1, qu' Amel Bent a confirmé la rumeur qui courait depuis plusieurs mois : oui, elle est bel et bien enceinte de son troisième enfant. Une bonne nouvelle pour la chanteuse, qui a révélé également que ce bonheur arrive après un drame. La maman de deux enfants, âgés de 5 et 4 ans, a en effet subi une fausse couche.

« Ça y est, je viens de passer le premier trimestre, et j’ai normalement un bébé qui va naître dans quelques mois. J’ai vécu les trois premiers mois en apnée, en faisant beaucoup trop de prises de sang. Chaque petit changement, chaque petite douleur c’est "Est-ce que le cœur bat toujours ?", "Est-ce que ça va, c’est bien accroché ?", "Est-ce que je ne vais pas vivre ce que j’ai vécu avant ?" », a-t-elle confié, manifestement toujours éprouvée par l’épreuve qu’elle a vécue, en plein tournage de la saison 10 de The Voice, fin 2020.

Dans l’entretien, Amel Bent va plus loin sur la douleur qu’a représentée pour elle cette perte. « Très vite, je commence à ressentir aussi dans les jours qui suivent d’autres sensations que je connais moins… Ça commence par des crampes au niveau du ventre. (…) En fin de compte c’est la désillusion, puisque quand j’arrive chez le médecin et qu’on fait l’échographie, il me dit effectivement que je suis en train de perdre le bébé que j’attendais. C’est un choc parce que, mine de rien, à partir du moment où on a fait un test de grossesse et qu’il s’avère être positif, on est enceinte. (…) Quand on vous dit : "Vous êtes enceinte mais vous n’aurez pas d’enfant", c’est dévastateur », a-t-elle expliqué.

Après la diffusion de l’entretien, l’interprète de Ma Philosophie a posté un message à l’attention de ses fans sur Instagram. Elle les y remercie pour leurs « nombreux messages » de soutien. « Mettre ma pudeur de côté pour me raconter, c’est prendre la parole avec fierté au nom de toutes les femmes, car 1 femme sur 4 a traversé ou traversera cette terrible épreuve. Continuons de libérer la parole pour que ces tabous n’en soient plus », a-t-elle partagé.

15 novembre 2020

Gérard Jugnot "clochard" : les mots très durs de son père avant son succès

Malgré qu'il soit devenu un des acteurs français les plus populaires, Gérard Jugnot n'a pas confiance en lui. Et pour cause, son père pensait qu'il ne ferait jamais carrière au cinéma. Invité dans Sept à Huit, c'est avec émotion que la star de 69 ans a confié : "À partir du moment où vous vous regardez dans la glace et que vous ne ressemblez pas à Alain Delon, vous vous dites qu'il faut trouver autre chose." Avant d'ajouter avec humour : "Alors bien sûr, il y avait une grosse ressemblance avec Sean Connery, mais le rôle était déjà pris." Finalement, c'est sa rencontre avec ses camarades du Splendid qui a fait la différence. Pessimiste, Gérard Jugnot a réussi à voir qu'un avenir radieux s'ouvrait à lui : "Mon père était un peu inquiet et voyait les choses un petit peu en noir. Et lui, je crois qu'il n'avait malheureusement pas ce que moi, j'ai trouvé, c'est-à-dire, un sens de la dérision et de transformer cette noirceur en plaisir..."

En toute transparence, Gérard Jugnot a accepté de livrer les détails de sa relation compliquée avec son père. Il a ainsi expliqué : "Quand j'étais petit, mon père, c'était un Dieu, c'était un type formidable. Après, je me suis aperçu qu'on ne se comprenait pas sur certaines choses." Malgré tout, le comédien assure n'avoir manqué de rien : "Il y avait de l'amour, de la tendresse, on mangeait... Ils m'ont appris la gourmandise et le cholestérol et j'aurais préféré qu'ils me fassent découvrir Buster Keaton et Mozart. Mais c'est pas grave parce que je l'ai découvert par moi-même après." Très vite attiré par la vie d'artiste, son père lui avait dit de ne pas s'emballer et qu'il finirait 'clochard'. Le sourire aux lèvres, il a ajouté : "Oui son grand mot, c'est : 'T'emballes pas.' Mais j'ai décidé de m'emballer. C'est ça qui a sans doute joué dans mon côté pessimiste et protection."

Au cours de sa carrière, le comédien a fait de nombreux clins d'œil à son père. Notamment dans Meilleur espoir féminin, qui raconte l'histoire d'une adolescente qui veut faire du cinéma contre l'avis de son père, ou encore dans Le Petit Piaf qui évoqué le parcours d'un enfant qui se bat contre ses parents pour devenir chanteur...Pourtant, Gérard Jugnot l'assure : "Il n'y a pas eu que ça. Je les ai faits aussi pour leur montrer que je pouvais vivre de ce métier et d'avoir du succès, c'était important pour eux." Finalement, le père du comédien a été fier de lui. "Il ne l'a pas formulé, mais je pense qu'il était content... À sa mort, j'ai découvert des dossiers avec des coupures de presse, des critiques. Il enregistrait même des passages chez Drucker ou dans des trucs. Bien sûr, c'est touchant et c'est émouvant quoi", a expliqué Gérard Jugnot. Pour conclure, il a ajouté avec tendresse : "Il est parti, il avait 82 ans, je crois et il voyait que j'étais pas à la rue, que son inquiétude de me voir 'clochard' avait disparue."