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17 janvier 2024

Julie Taton : l’animatrice belge se lance en politique

Fini le micro de NRJ pour l’animatrice, qui est désormais candidate aux élections fédérales de juin 2024. À l’instar de Michel De Maegd ou, plus récemment, de Marc Ysaye, l’ancienne Miss Belgique fait définitivement tomber l’écharpe au profit de la diplomatie. À 39 ans, c’est pour rejoindre les rangs du MR qu’elle délaisse la matinale de NRJ, qu’elle présentait encore la semaine passée. Figure emblématique de nombreuses émissions signées RTL-TVI, Julie Taton a finalement sauté le pas. Le déclic ? Sa rencontre avec le président du MR, Georges-Louis Bouchez, comme elle le confie dans les colonnes de Soir Mag.

"On ne m’attendait pas du tout ici. Pour moi, c’est encore une belle surprise", a-t-elle livré avant d’expliquer : "J’ai vu Georges-Louis il y a quelque temps, on a échangé. Au début, je n’ai pas spontanément dit : ‘Je m’embarque dans cette aventure.’ Je vais bientôt avoir 40 ans. C’est un cap dans une vie. Pour mes 40 ans, je voulais faire un truc un peu sympa. Je ne m’attendais pas du tout à la politique." Et de ce "truc un peu sympa", l’ancienne Miss Belgique pourrait bien parvenir à être élue députée à la Chambre, étant à la deuxième place sur la liste MR dans le Hainaut.

Son combat ? Si cette rencontre avec le président du MR s’est révélée décisive, Julie Taton a toujours nourri un rêve. Celui de faire quelque chose pour venir en aide aux personnes handicapées. Pour cause, la maman de deux enfants a appris le handicap de son fils il y a trois ans. Elle raconte : "Cette maladie génétique, je l’ai transmise à mon fils. J’étais incapable d’en parler. J’avais vraiment envie de faire quelque chose. Je pensais à créer un centre, aider, former une ASBL… Ces années sont passées. Et je n’ai encore rien fait. Et je me suis rendu compte de petites choses qui ne sont pas faciles à gérer quand on a une personne handicapée dans sa famille […]. Il y a vraiment un truc à faire. J’ai échangé avec Georges-Louis, je lui ai parlé de plein de choses. Je me suis dit que c’était un peu fou, mais que je pouvais utiliser ce levier pour faire changer les choses et aider les gens."