Amoureuse, Inès Vandamme l'est ! Après une rupture difficile et de longs mois de célibat, la figure emblématique de Danse avec les stars partage la vie d'un sportif nommé Antoine Léger depuis la fin de l'année dernière. La Nordiste est sûre d'elle : cet homme de 27 ans, avec qui elle souhaite emménager, pourrait être le bon. "Ça fait six mois qu'on est ensemble et pourtant je sais que c'est l'homme de ma vie alors que je suis resté cinq ans quelqu'un et je n'ai pas ressenti ça. Je sais que j'ai rencontré mon âme sœur", assure-t-elle face à Dominique Lagrou-Sempère lors d'un entretien.
En face de l'ancienne reporter de TF1, la chorégraphe s'est également confiée sans fard sur son enfance, et l'absence totale de son père pendant cette période. D'ailleurs, elle refuse de le nommer "papa" et parle de lui comme son "géniteur". "Pour moi, un père, c’est quelqu’un qui est là, qui est présent dans l’éducation. Moi il ne m’a pas éduquée, il ne m’a pas élevée, il ne venait même pas me chercher", s'est souvenue celle qui dit avoir grandi avec sa mère, sa tante qu’elle considère comme sa seconde maman et son oncle.
À l'écouter, Inès Vandamme "n'a jamais ressenti de manque", bien au contraire. Elle a confié trouver "génial" que l'ex-compagnon de sa mère ne vienne pas la récupérer un week-end sur deux, alors qu'elle l'attendait avec son sac sur le dos. "Je ne l’ai jamais aimé. Je n’ai jamais eu d’amour pour cet homme en fait. Et ce n’est pas grave", relativise-t-elle aujourd'hui, espérant seulement que ses futurs enfants ne connaissent pas le même schéma familial.
Pas malheureuse aujourd'hui, l'ex-cavalière de Jungeli dans la dernière saison de DALS a pourtant vu son géniteur tenter de reprendre contact avec elle avant sa majorité. Mais elle l'a envoyé balader et a décidé de couper définitivement les ponts. "Il a essayé de me rappeler quand j’ai eu 18 ans. J’ai décroché et dit 'je peux te rappeler ?' et je n’ai jamais rappeler", a-t-elle raconté sans exprimer le moindre regret. L'amour de son homme et du reste de sa famille lui suffit amplement.


