Des JO qui n’en finissent plus de faire parler. Il y a quelques jours, L’Express révélait qu’Aya Nakamura aurait été sollicitée par Emmanuel Macron pour reprendre Édith Piaf lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris. Cette information a alors engendré une vague de haine contre la chanteuse franco-malienne. Le 15 mars dernier, le parquet de Paris a indiqué qu'une enquête avait été ouverte après un signalement de la Licra dénonçant des publications à caractère raciste.
18 mars 2024
05 décembre 2023
Les regrets de Michèle Torr sur ses débuts dans la musique
Pour Michèle Torr, la musique, c'est plus de soixante ans de carrière et une dizaine de tubes écoutés en France. De J’aime (1977) à Emmène-moi danser ce soir (1978) en passant par Une vague bleue (1974), Michèle Torr a enchaîné les succès depuis ses débuts. Pour célébrer ses 60 ans en musique, l'artiste a décidé de compiler une intégrale avec quatre cent soixante chansons. "C’est très émouvant parce que c’est soixante ans de ma vie, de la vie d’une femme […] Ce n’est pas un métier, c’est une passion, un rêve d’enfant et la possibilité de le réaliser, ce rêve", avait-elle confié à Télématin.
C'est auprès de Claude François, à seize ans, qu'elle commence sa carrière. Elle faisait notamment les premières parties du chanteur et se confiait sur le comportement de ce dernier. En pleine tournée, il lui arrivait régulièrement de s'en prendre à ses musiciens et ses choristes. "Il était odieux, il était charmant, c’était Claude quoi !", expliquait-elle, précisant qu'avec elle, il était "charmant, très protecteur".
Avec du recul, Michèle Torr ne garde pas que de bons souvenirs de ses débuts dans le monde de la musique. Ce mardi 5 décembre 2023, elle était invitée sur le plateau de RTL info, un média belge. À l'antenne, elle avouait avoir des regrets concernant ses débuts. "Je préfère ma voix aujourd’hui. Parce que quand j'écoute mes premiers disques, je trouve que j'avais la voix très aiguë. J'avais la voix très aiguë !", explique Michèle Torr. En effet, à cette période, les chanteuses usaient de leur voix aiguë, poursuit-elle. "C'était aussi un petit peu la mode de chanter [de cette façon, ndlr] et puis j'avais aussi l'impression, je me disais : 'plus je chante haut, mieux je chante'. Je croyais naïvement que plus on chantait haut, mieux c'était", avoue-t-elle.