C’est un terrible drame qui a frappé Magali Berdah et plus particulièrement son mari Stéphane Teboul. En octobre 2021 et plus précisément dans la nuit du 9 au 10 octobre 2021, les cadavres de sa belle-sœur Karine et de son beau-frère avaient été retrouvés. Les victimes avaient été assassinées sauvagement à Allauch dans les Bouches-du-Rhône. Dévastée, Magali Berdah évoquait ce drame dans Touche pas à mon Poste en se félicitant par ailleurs que le “présumé meurtrier” avait été “incarcéré”. Puis, elle annonçait que le principal suspect dans cette affaire n’était autre que le “voisin” des victimes, un certain Alexis M, âgé de 50 ans.
Sur le plateau de l’émission présentée par Cyril Hanouna, Magali Berdah s’interrogeait alors sur les motifs de ce crime affreux qui ne résultait pas d’un “règlement de comptes” comme elle le confiait à l’époque. “Ma belle-sœur s'est fait assassiner gratuitement et malheureusement, elle laisse aujourd'hui trois filles derrière elle”, dénonçait-elle, horrifiée.
Trois ans après les faits, le mercredi 30 octobre 2024, le journaliste Michel Mary confiait dans TPMP que le suspect avait finalement avoué le crime, bien qu’il restait “libre”. Le journaliste du Nouveau Détective expliquait alors pourquoi la détention du voisin des victimes - que l’on sait atteint de troubles psychiatriques - a été levée : “La loi prévoit sur les longues détentions préventives qu'une commission soit organisée par le juge d'instruction pour la prolongation de la détention provisoire. La juge d'instruction de l'époque a fait une erreur. Entre-temps, ce suspect avait été placé sous curatelle et elle aurait dû convoquer le curateur pour être présent lors de cette commission. Elle ne l'a pas fait. Ça a été considéré comme un vice de procédure et donc ça annule la détention provisoire", a-t-il révélé.
Puis, Magali Berdah - qui a récemment annoncé en grande pompe l’ouverture de son agence internationale d’influence - a réagi, ce vendredi 1ᵉʳ novembre, horrifiée, à la libération du principal suspect dans la mort de ces membres de sa famille qui avaient été battus à mort. “J’ai mal au cœur ce soir de voir mon mari souffrir à ce point !”, a débuté la femme d'affaires, avant de délivrer le fond de sa pensée en faisant référence à ses 3 nièces orphelines.
“J’ai mal au cœur pour nos 3 nièces qui se sentent abandonnées par la justice française et sont terrorisées de vivre à - de 4 km de cet individu alors qu’il n’a même pas une interdiction de se promener dans la ville où elles habitent et de ne pas s’approcher d’elles”, dénonce-t-elle, effrayée d’avance à l’idée qu’une autre femme puisse se faire “massacrer” par cet individu. “Je n’ai même pas les mots en vérité !”, ajoute-t-elle, concluant en ces termes : “Le silence autour de ce qui se passe me rend folle”. Un message poignant.