Affichage des articles dont le libellé est Jacques Weber. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Jacques Weber. Afficher tous les articles

11 septembre 2020

Jacques Weber victime d'une terrible arnaque : 450.000 lui sont passés sous le nez

Mercredi 9 septembre 2020, Jacques Weber était l'invité de l'émission L'instant De Luxe, diffusée sur la chaîne télévisée Non Stop People. L'acteur de 71 ans en a profité pour faire quelques confidences, notamment au sujet de l'argent. Il y a plusieurs années, celui que l'on a pu voir à l'affiche des films Etat de siège, Cyrano de Bergerac et Le Malin plaisir a accepté d'apparaître dans plusieurs publicités de la marque Danone.

En effet, son visage a été choisi pour promouvoir les yaourts et autres boissons lactées Danacol, censées aider à faire baisser le mauvais cholestérol. Face à l'animateur Jordan De Luxe, Jacques Weber a révélé avoir eu quelques soucis financiers par le passé. Pour la petite explication, le comédien a précisé qu'il devait "une somme conséquente au fisc". Pour cela, il a accepté de tourner quelques publicités pour Danone. "De la merde", lâche-t-il sans détour face caméra, avant d'affirmer : "Comme je me foutais de l'argent, à un moment, je n'ai pas fait gaffe (...) Donc je préférais gagner beaucoup de sous pendant trois, quatre jours, que de faire pendant trente, quarante jours une série télé en ayant un pistolet dans la main".

Comme pour anticiper les commentaires négatifs qui pourraient lui être adressés, Jacques Weber poursuit : "Je ne méprise pas ce que j'ai fait. Je l'ai fait. J'essayais de bien faire, je ne méprise pas les gens avec qui je l'ai fait". Malheureusement pour lui, même si ces tournages lui ont permis de gagner beaucoup d'argent en peu de temps, l'acteur n'a jamais pu toucher la jolie somme qui aurait dû lui être versée pour son travail. "Ce qui est ahurissant dans cette histoire, c'est que je n'en ai pas vu la couleur parce que c'est là où il y a eu une escroquerie d'un gars qui prétendait s'occuper de mes comptes et qui en fait s'occuper des siens", balance avec regret Jacques Weber. Au total, il aurait dû recevoir un chèque d'environ 450.000 euros...

10 août 2020

Jacques Weber : ce jour où il s'est retrouvé avec un pistolet sur la tempe avec sa femme

C'est une pure coïncidence. Le 20 août 2020, le nouveau livre de Jacques Weber intitulé Paris-Beyrouth, sortira dans les libraires. Mais le comédien l'assure, il ne fait aucunement résonance à la tragédie qui vient de toucher la capitale du Liban. "C'est horrible... Depuis 1974 ce pays n'en finit pas de souffrir. Il y a un acharnement de la destinée sur eux considérable... Mais ça n'a rien à voir, puisque dans ce livre je parle d'un Beyrouth de 1983", a-t-il confié dans un entretien accordé à Nice Matin. L'occasion pour celui qui se produit actuellement au Festival de Ramatuelle de revenir sur le moment de sa vie où il a sans aucun doute eu le plus peur. Il s'était rendu à Beyrouth en 1983 pour tourner le film Une Vie suspendue.

"On me dit que cela se fera en toute tranquillité car c'est la fin du conflit... En réalité cette fin n'en finissait pas de finir et donc j'ai tourné pour la première fois de ma vie dans un climat de guerre. J'ai découvert ce que pouvait être la peur physique, l'effroi, la mort en direct... Dès le soir même de mon arrivée nous avons été menacés avec ma femme par des enfants armés jusqu'aux dents avec des pistolets sur la tempe... J'aurais pu repartir. Bizarrement je ne l'ai pas fait...", a-t-il encore raconté. Pourtant, avec sa femme, ce soir-là, ils ont eu très peur de mourir.

A 70 ans, Jacques Weber n'est pas impressionné de jouer devant un public totalement masqué, crise de coronavirus oblige. "J'en ai déjà fait l'expérience et cela s'est merveilleusement bien passé. On s'habitue à tout..." Il tient tout de même a assuré qu'il est important de relativiser cette pandémie qui frappe le monde entier. Selon lui, même si le nombre de morts est énorme, il est relatif par rapport à d'autres pandémies. "On en est pas à la grippe asiatique, à la famine qui tue deux-tiers de la planète... Et pourtant, Dieu sait si je fais partie des gens à risque !"