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04 janvier 2022

Joan Collins : ses terribles révélations sur son premier mari

Elle a décidé de sortir de silence. Dans le documentaire This is Joan Collins, diffusé le 1er janvier sur la BBC et relayé par The Daily Mail, Joan Collins, 88 ans, est revenue sur un tragique événement qui a bouleversé sa vie. La star de la série américaine Dynastie, diffusée de 1981 à 1989, a raconté comment elle a épousé son premier mari, l'acteur irlandais Maxwell Reed, après qu'il l'ait violée lors de leur premier rendez-vous. "Il avait 31 ans et j'avais 17 ans et j'étais vierge. Je savais que cela causerait des problèmes à la maison", a expliqué cette icône de beauté dans le documentaire. Après s'être fait remarquer pour son rôle dans le film I Believe in You (1952), l'actrice est présentée à Maxwell Reed et accepte de se rendre dans son appartement pour boire un verre. C'est là que l'acteur l'aurait droguée au rohypnol. "La chose suivante dont je me suis souvenue, c'est quand j'étais à plat ventre sur le canapé et qu'il me violait", s'est-elle souvenue.

Rongée par la "honte" et la "culpabilité" d'avoir été agressée, Joan Collins se marie avec l'acteur. S'ensuivent des années de calvaire. La comédienne est victime d'abus et de nombreuses humiliations. "La lune de miel a été un fiasco. Nous avions l'air heureux, mais en dessous, j'étais malheureuse", a-t-elle affirmé, jusqu'à ce que son époux tente de la louer pour une nuit à un cheikh. "Max m'a dit : "Il te paiera 10 000 livres pour une nuit - et je peux même regarder". J'ai regardé mon beau et détestable mari et j'ai commencé à pleurer", a raconté l'actrice de 88 ans dans le documentaire. Mais c'en est trop pour Joan Collins, qui décide de divorcer en 1954. La bataille judiciaire est lancée. Maxwell Reed lui demande 950 livres par mois, prétendant qu'il l'avait "découverte" et qu'il méritait donc une part de son salaire. Le divorce est finalement prononcé en 1956.

Après sa rupture, Joan Collins profite pleinement de la vie hollywoodienne, faisant la fête avec Marilyn Monroe chez Gene Kelly. L'interprète de I Wanna Be Loved by You met en garde son amie contre les "loups" d'Hollywood, notamment du producteur américain Darryl Zanuck, qui l'aurait plaquée contre un mur lors d'une tentative d'agression sexuelle. "Il m'a épinglée comme un scarabée sur une planche et m'a dit : 'Il te faut un vrai homme, chéri, un vrai homme.' Heureusement, un maquilleur est arrivé dans le couloir et j'ai pu m'enfuir", a-t-elle expliqué.

Joan Collins s'est mariée quatre fois avant de trouver l'homme de sa vie, Percy Gibson - de 32 ans son cadet - en 2000, alors qu'il dirigeait une production théâtrale. Un histoire d'amour qui donne lieu à un cinquième mariage pour l'actrice. "J'ai enfin trouvé ma véritable âme sœur. Et mon mari pour toujours", a assuré l'actrice avant d'ajouter : "Je sais que j'ai eu une vie chanceuse mais j'ai aussi eu ma part de désastre et de malheur (...) Mais qui veut de la réalité ? Il y en a déjà trop dans le monde d'aujourd'hui, ce n'est pas pour ça que le public paye".

25 août 2020

Joan Collins recadrée par la police française pendant une virée shopping

Joan Collins ne va probablement pas garder un bon souvenir de son séjour en France. En vacances à Saint-Tropez où elle possède une demeure, la comédienne britannique raconte dans The Spectator, comment elle a été rappelée à l'ordre par un agent de sécurité pendant une virée shopping chez Ikea. Et ce, parce qu'elle ne portait pas de masque, rendu obligatoire depuis plusieurs semaines dans les espaces publics clos.

"Je portais une nouvelle visière en plastique, que j'avais vue porter par des coiffeurs londoniens. Comme c'est moins étouffant qu'un masque "museau", je pouvais respirer plus facilement", a ainsi confié Joan Collins, qui précise ensuite que lorsqu'elle se trouvait au restaurant du magasin, le vigile "a bondi", "gesticulant à la manière gauloise" en lui "criant" de mettre un masque approprié, car les visières ne sont pas autorisées. "Châtiée, je m'échappai en marmonnant un juron anglo-saxon dans ma barbe, ce que, en me regardant, je craignais qu'il n'ait compris", a ensuite ajouté la comédienne, réputée pour ne pas avoir sa langue dans sa poche.

Véritable coqueluche de la télévision britannique depuis plusieurs décennies, Joan Collins n'est pas vraiment du genre à garder ce genre d'incident pour elle, surtout lorsque cela la concerne directement. Il faut dire qu'elle ne s'était également pas vraiment gardée il y a quelques mois de critiquer Meghan Markle, taclant les envies de la duchesse de revenir sur le petit écran. "Ah, mais vous plaisantez ?", avait-elle ainsi lancé à des paparazzis qui lui demandaient si l'épouse du prince Harry pourrait devenir une star à Hollywood.