Bande-annonce labyrinthique de Longlegs, avec Nicolas Cage

La campagne marketing du studio NEON pour le prochain film d’horreur cryptique d’Oz Perkins (February et Gretel & Hansel), Longlegs, a absolument maîtrisé l’art du teasing. Trois courtes vidéos avaient déjà convaincu les amateurs d’horreur en misant sur les thématiques fortes de cette sombre histoire : une enquête sordide, des sons persistants et l’implication du FBI. Des posters inquiétants ont également été partagés pour intriguer le public avant de dévoiler sa véritable bande-annonce.

L’intrigue de ce thriller psychologique se profile de plus en plus ici... mais sous forme d'indices. Ce qui permet d'impliquer le spectateur comme s'il était lui-même enquêteur. Voici la première bande-annonce de Longlegs, surnom donné au serial killer par l’équipe du FBI qui enquête sur la série de meurtres inexpliqués.

Le grain de l’image rappelle des classiques horrifiques seventies, et l'ambiance tease l'un des films les plus insidieusement tordus de 2024. Nicolas Cage s'est penché sur son rôle dans Longlegs pour Fangoria :

"Il (Oz Perkins) est assez fort dans le genre horreur en ce moment. C'est en fait le fils d’Anthony [Perkins]. Il a fait de très bons films. Gretel & Hansel était formidable. Je joue un personnage qui entend des voix. C’est un peu comme un Geppetto possédé, qui fabrique ces poupées..."

Il s’agit donc d’une enquête, menée par un jeune agent du FBI, joué par la discrète Maika Monroe (It Follows), et d’un tueur en série, interprété par Nicolas Cage qui a joint ses talents de producteur au projet. Néanmoins, malgré ces détails, le cœur de l’intrigue demeure mystérieux. La production du film s’est terminée en mars 2023. Longlegs se placerait "dans la veine des thrillers psychologique, classiques hollywoodiens", d'après Bloody Disgusting.

Toujours dans un élan stratégique redoutable, Nicolas Cage n'apparaît pas frontalement dans cette bande-annonce. Le look de l'acteur en serial killer semble être un élément déterminant, conservé pour le film ou pour les derniers teasings, qui joueront un rôle considérable dans l'expectative du public : mieux vaut ne pas trop en montrer dès les premières vidéos. On aperçoit néanmoins d'étranges formes alphabétiques qui se mêlent au casse-tête chinois, ainsi qu'un culte religieux teasé dans une des cinq affiches promotionnelles du projet. NEON a redoublé d’efforts pour étendre le mystère du film avec l’utilisation de titres écrits en code. Des puzzles qui ont déjà fait saliver les internautes : une fois traduit, l’un de ces messages occultes se lit simplement "JUILLET".

Osgood Perkins hérite d’un héritage horrifique conséquent, à base de Psycho(pathie) iconique, incarné par son défunt père, Antony Perkins. Ce n’est pas (encore) une pointure telle qu’Ari Aster ou Robert Eggers, mais l'attente générée par Longlegs pourrait bien un second souffle au nom Perkins.

Les internautes avaient en tout cas bien deviné : Longlegs proposera son enquête haletante à partir du 12 juillet 2024 dans les salles américaines.

Lords of War, avec Nicolas Cage, se tournera au Maroc, en mars 2024

Retour au trafic d'armes pour Nicolas Cage. Presque vingt ans après le thriller d'Andrew Niccol, Lord of War 2 sera tourné au Maroc en 2024, annonce Variety.

C'est le producteur Karim Debbagh, de Kasbah Films, basé à Tanger, qui révèle que ce tournage durera environ 40 jours à travers le pays, qui servira de décor pour une nouvelle histoire racontant le trafic en Afrique et qui s'intitulera Lords of War.

"Nous essayons de couvrir quatre ou cinq pays africains, comme la Libye, l'Egypte, le Sénégal, le Mali et plusieurs pays du Moyen-Orient, et nous avons presque tout trouvé au Maroc. Casablanca elle-même est une ville si diversifiée, qu'on trouve des zones qui ressemblent au Sénégal et d'autres qui sont très luxueuses comme un quartier californien, et si vous recherchez des endroits qui ressemblent à la Libye, au Yémen ou à la Syrie, on peut les trouver à Marrakech et aux alentours."

La production de Lords of War sera composée de 400 à 500 membres, dont une centaine viendront principalement des États-Unis et du Royaume-Uni. "Les techniciens marocains sont désormais très bien formés grâce à tous les grands films qui sont venus se filmer ici et aussi aux grandes écoles qui ont ouvert leurs portes et ont contribué à renforcer cette jeune génération".

Dans Lords of War, le trafiquant d'armes, Yuri Orlov, découvre qu'il a un fils, Anton, qui est en train de constituer une armée de mercenaires pour combattre les conflits au Moyen-Orient. Nicolas Cage sera rejoint au casting par Bill Skarsgård. Pas encore de date de sortie.

Superman ; Nicolas Cage ne se remet pas de son apparition dans The Flash

C'était une des surprises du long métrage The Flash réalisé par Andy Muschietti : la présence dans une apparition éclair de Nicolas Cage dans le rôle de Superman. Sauf que d'après lui, l'acteur est montré dans une situation très différente de ce qu'il a effectivement tourné !

Et si vous n'avez pas la réf de pourquoi Nic Cage apparaît dans le rôle de l'Homme d'acier, sachez que c'est pour une très bonne raison !

Au micro de Yahoo Entertainment, Nicolas Cage a tenu à dire qu'il avait été très surpris de la façon dont il était représenté dans le film DC sorti en juin dernier et depuis disponible en support physique et VOD :

"Quand je suis allé voir [The Flash], je me suis vu combattant une araignée géante, ce que je n'ai pas fait [le jour de tournage]. (...) Je ne crois pas que c'était [créé par] une intelligence artificielle. (...) C'étaient des effets numériques, et je suis d'accord avec ça, car ils pouvaient me rajeunir et me faire combattre une araignée. Mais je ne l'ai pas fait, donc j'ignore ce qui s'est passé."

Mais alors, qu'a tourné Nicolas Cage le jour où il était sur le plateau de l'aventure solo de Barry Allen ? Toujours pour Yahoo, l'interprète de Dracula et de Castor Troy se souvient :

"J'étais littéralement supposé me tenir dans une autre dimension, (...) assistant à la destruction de l'univers. Kal-El assistait à la fin de l'univers et vous pouvez imaginer ce que cela pouvait signifier en termes de ce que je pouvais transmettre durant ce court laps de temps [d'écran] que j'avais. Je n'avais aucun dialogue, donc [je devais] transmettre l'émotion uniquement par le regard. C'est ce que j'ai fait. J'étais sur le plateau environ trois heures."

S'il souligne le travail fourni pour recréer le Superman qu'il devait interpréter pour Tim Burton : "Ils ont en effet passé beaucoup de temps à créer le costume, et je trouve que [Muschietti] est un réalisateur génial, j'adore ses deux films 'Ça'", Cage n'a pu que s'étonner de se voir réaliser à l'écran des choses qu'il n'a jamais accepté de faire.

Tim Burton avait d'ailleurs critiqué l'utilisation de ses versions de Batman et de Superman dans le film dans une tribune cinglante. Nicolas Cage ne pense pas autrement, puisqu'il conclut son entretien par : "(...) Je vois où Tim veut en venir. Je sais ce qu'il veut dire. Je serais très mécontent si des gens utilisaient mon art... et se l'appropriaient. Je le comprends. (...) L'intelligence artificielle est un cauchemar, à mon avis, et elle est inhumaine."

Bande-annonce de Dream Scenario, avec Nicolas Cage

Nicolas Cage dans vos rêves les plus fous. C'est le pitch de Dream Scenario de Kristoffer Borgli.

Dans ce long métrage déjanté produit par le studio indépendant A24, l'acteur - qui tourne plus vite que son ombre - incarne Paul Matthews, un père de famille professeur de biologie à l'Université. Ce dernier apparaît soudainement dans les rêves des autres de manières très différentes. Paul devient alors une sorte de star sur les réseaux sociaux.

Un pitch auquel l'acteur s'est très vite identifié... Lors de la présentation du film au Festival international du film de Toronto au début du mois de septembre, l'acteur a expliqué s'être senti très proche du personnage.

"Ce n'était pas un jeu pour moi, car j’avais l’impression d’avoir l’expérience pour puisque ça m'est arrivé. Je me suis réveillé un matin et j'étais devenu la star d'un montage vidéo qui regroupait les scènes des films dans lesquelles je m'énerve. Je crois que c’était intitulé "Nicolas Cage loses his shit" (Nicolas Cage pète un plomb). Du jour au lendemain, c'est devenu viral à travers le monde. Je n’arrêtais pas de le regarder et de me demander : "Qu’est-ce qui m’arrive ?"

Le nombre de vues de la vidéo a continué à croître de façon exponentielle et je n'ai rien pu faire pour arrêter ça."

Il ajoute ensuite : "Et ça a commencé à devenir des mèmes, avec du photoshop et des T-shirts, et je me suis dit : "Je dois faire quelque chose". Puis j’ai lu Dream Scenario et je me suis dit : "Voilà maintenant je peux transformer ça en un peu d’or !"."

Également porté par Julianne Nicholson, Michael Cera et Lily Bird, le long métrage sort dans les salles américaines le 10 novembre prochain. Aucune date n'est encore annoncée en France.

Nicolas Cage sera également prochainement à l'affiche de Butcher's Crossing dans lequel il incarne Miller, un mystérieux chasseur de bisons qui escorte Will Andrews (Fred Hechinger) un jeune diplômé d'Harvard venu chasser un buffle légendaire. Un western adapté de l'œuvre de John E. Williams, qui n'est pas sans rappeler l'oscarisé The Revenant avec Leonardo DiCaprio.

Nicolas Cage affirme se souvenir quand il était dans le ventre de sa mère

Si le Dracula qu’il incarne dans le film Renfield est doté d’une certaine extra-sensorialité de par sa condition de vampire, Nicolas Cage a des souvenirs qui remontent à très loin pour un humain. Au questionnaire proposé par Stephen Colbert, lors de son show télévisé, la star de Sailor et Lula a affirmé que son premier souvenir d’enfance était en fait un souvenir… prénatal.

Dans ses propos, que rapporte Variety, l’acteur de 59 ans se fait tout de même prudent dans son affirmation, mais il n’en évoque pas moins des souvenirs précis de sa vie in utero.

« Écoutez, je sais que cela semble très éloigné et je ne sais pas si c’est réel ou non, mais parfois je pense que je peux remonter jusqu’à la période in utero et avoir l’impression de pouvoir voir des visages dans le noir ou quelque chose comme ça. Je sais que cela semble très abstrait, mais je pense que c’est peut-être arrivé », a-t-il répondu à l’animateur.

« Maintenant que je ne suis plus dans l’utérus, j’imagine qu’il s’agissait peut-être de vibrations vocales qui résonnaient en moi à ce moment-là », dit-il en cherchant une explication plausible à ses ressentis.

Et d’ajouter : « Cela remonte à loin. Je n’en sais rien. Cela me vient à l’esprit… Je ne sais même pas si je me souviens d’avoir été in utero, mais cette idée m’a traversé l’esprit. »

Nicolas Cage a bien raison de se méfier de ses souvenirs… Il semble que notre cerveau soit en fait incapable de fabriquer des souvenirs au moment où notre vie est encore intimement liée à celle de notre mère. Et, sur la mort, comme sur la naissance, le comédien a quand même un avis. Oh, pas très tranché non plus, car de cela, il n’a pas de souvenirs…

« Personne ne le sait vraiment, je ne sais pas », a répondu le comédien quand Stephen Colbert lui a demandé ce qu’il croyait qu’il se passait à l’instant de notre mort. « On dit que l’électricité est éternelle. Que l’étincelle continue. J’aime à penser que, quelle que soit l’étincelle qui anime notre corps, une fois que le corps est mort, l’étincelle continue de fonctionner. Mais qui peut vraiment dire si cette électricité a une conscience ou non ? »

Renfield : Nicolas Cage s'est fait limer les dents pour incarner Dracula

De la transformation vampirique de Nicolas Cage pour son rôle dans Renfield, le plus grand défi a été de développer les dents aiguisées de Dracula, explique le maquilleur Christien Tinsely à Variety. En ce qui concerne la conception des dents, il était important de tenir compte de la façon dont celles de Dracula seraient rattachées aux gencives de Cage. Tinsley a déclaré que Chris McKay, le réalisateur, voulait que toutes les dents soient pointues — pas uniquement les canines.

Le maquilleur, lui, avait pour ambition de pouvoir procéder à des ajustements rapides une fois que Cage serait sur le plateau, ce qui signifiait qu'il n'aurait pas eu beaucoup de temps pour préparer les prothèses et le moulage des dents en utilisant les méthodes traditionnelles de fabrication. La solution finale a été d'utiliser l'impression 3D. "À ma connaissance, c’est le premier film à utiliser l’impression 3D pour fabriquer toute la dentition. On a scanné les dents de Nic puis on les a sculptées numériquement," confie Tinsely.

En utilisant de la résine acrylique numérique qui a ensuite été imprimée, Tinsley explique que les avancées technologiques de l'impression 3D "lui ont permis d’avoir plus de liberté en matière de création de designs variés, le tout très rapidement." Il pouvait donc en produire des dizaines en quelques minutes, et tester différentes épaisseurs.

Lorsqu’ils ont eu fini la fabrication de ces dents tranchantes, ils ont "raboté les dents de Nic et les prothèses ont été ajustées de manière à ne pas entraver son élocution et à lui laisser une totale liberté." Car "Nic voulait pouvoir s’exprimer et prononcer correctement, il était donc important que les facettes dentaires soient fines."

En tout, Nicolas Cage mettait 3 heures et demi à se transformer en Dracula, à cause d’innombrables prothèses. Celles dentaires, oui, mais également d’autres au niveau du visage, du torse, des bras, des mains et des ongles. "Tout ça prend du temps," déclare finalement Tinsley. Le look de Cage dans Renfield sera à découvrir au cinéma le 31 mai prochain.

Nicolas Cage veut son propre film Dracula

Après avoir incarné le Ghost Rider, Benjamin Gates, ou encore le Big Daddy de Kick-Ass, Nicolas Cage enfile la cape et les crocs pour le rôle de Dracula, qu’il interprète dans la comédie horrifique Renfield, consacrée à l'assistant torturé du maître de Transylvanie, joué par Nicholas Hoult.

Le rôle de Dracula sera donc secondaire, ce qui frustre Nicolas Cage, qui aurait souhaité développer ce personnage “warholien”, sorte de dandy américain des précédentes incarnations du vampire. “Vous savez, il y a certains moments dans le film ici et là où l’on peut voir de l’émotion dans les yeux de Dracula”, a déclaré l’acteur au magazine Total Film. “Cela me fait penser que j’aimerais bien essayer de comprendre un jour la psychologie du personnage dans un autre film. Je n’ai pas eu le temps de le faire ici.”

Cage considère le rôle comme “un challenge”, rappelant le fait qu’il a été joué “beaucoup de fois” et souhaite “apporter quelque chose de nouveau au personnage.”

L’acteur a d'ailleurs évoqué les précédentes interprétations de Dracula, et notamment celle de Christopher Lee, légendaire incarnation des années 1960 et 1970, apparu dans neuf films. “J’ai toujours su que je devais jouer ce rôle (...) Pour l’occasion, j’ai revu les films avec Christopher Lee, pour étudier sa manière de parler comme point de départ. Je connaissais Christopher, j’avais tourné avec lui sur une scène du Dernier des Templiers. On a eu de superbes discussions, il me rappelait mon père August.”

Il faudra attendre encore quelques mois pour voir Nicolas Cage dans le rôle de Dracula. Renfield sortira dans les salles de cinéma françaises le 31 mai prochain.

Nicolas Cage en Dracula bande-annonce de Renfield

La première bande-annonce de Renfield avec Nicolas Cage en comte Dracula vient enfin d'être dévoilée ! Cette comédie d'horreur reprend les personnages du roman de Bram Stoker et les transpose de nos jours à la Nouvelle-Orléans.

Mis en scène par Chris McKay (The Tomorrow War, Lego Batman), le long-métrage est centré sur R.M. Renfield incarné par Nicholas Hoult, le serviteur dévoué de Dracula. Lassé de devoir accomplir des actes malveillants du comte transylvanien, ce dernier va peu à peu réévaluer sa vision de la vie et sa volonté de continuer à aider le vampire...

Dans le roman de Bram Stoker, Renfield est dépeint comme un être délirant enfermé dans un asile. Ce dernier mange des créatures vivantes parce qu'il croit que leur sang le rendra immortel. Stoker révèle plus tard que que ces actes farfelus sont le résultat d'un lavage de cerveau effectué par Dracula.

Bien que Nicholas Hoult incarne le rôle-titre, la véritable curiosité de ce film est l'interprétation du monstre par Nicolas Cage. Ce dernier apparaît à la fin de la bande-annonce et dévoile un look étonnant. L'acteur déclarait d'ailleurs récemment au magazine Empire s'être inspiré de l'œuvre "Dracula" d'Andy Warhol.

"Quand j’ai compris où McKay voulait aller, j’ai réalisé que le film avait un côté drôle et pop. Alors j’ai pensé: "Ce sera un Dracula pop-art." Warhol a fait un super Dracula noir sur noir. Mon personnage est dans cette veine."

L'acteur américain a revu les grands classiques du genre et a notamment étudié avec précision le film de Murnau, Nosferatu, le vampire.

"J'ai remarqué tous ces petits gestes qui sont, selon les normes d'aujourd'hui, un peu too much. Quand Max Schreck fait claquer son poignet, tend ses doigts et souffle dans la fumée, je me suis dit : "Qu'est-ce que c'est ? Est-ce de la danse ? Qu'est-ce qu'il transmet là ?". J'ai donc tenté de créer des gestes similaires dans ma propre performance.

J'ai dit à Chris [McKay] que je voulais vraiment les inclure dans Renfield. C'est un film de grand studio, alors j'ai voulu jouer avec. Si vous jouez Dracula, vous avez beaucoup de latitude."

Et à la vue de ces premières images, l'acteur américain semble donc s'en être donné à cœur joie.

Écrit par Ryan Ridley à qui l'on doit la série Rick & Morty, le film est également porté par Awkwafina, Ben Schwartz et Shohreh Aghdashloo.

Renfield doit sortir dans nos salles le 31 mai prochain.  

Nicolas Cage aimerait jouer dans une comédie musicale

Alors qu'on l'attend dans son premier western début 2023, The Old Way, ainsi qu'en Dracula dans Renfield, Nicolas Cage révèle à Empire qu'il est loin d'avoir réalisé tous ses rêves en matière de rôles inattendus au cinéma. A 58 ans, la star de Volte/face et de Benjamin Gates, qui s'est bien amusée à jouer avec sa propre carrière dans Un talent en or massif, cette année, aimerait par exemple tourner dans une comédie musicale. Et Cage a même un rôle idéal en tête...

"Je n'ai encore jamais tourné dans une comédie musicale, et c'est quelque chose que j'aimerais essayer, détaille l'acteur. Je ne suis pas un très bon chanteur, mais j'étais correct dans Sailor et Lula, enfin je trouve. J'ai quand même abimé ma voix depuis à force de chanter faux 'Purple Rain' dans des karaokés. Mais bon, je crois que je pourrais faire un bon Ponce Pilate dans Jesus Christ Superstar."

Cet opéra rock de Andrew Lloyd Webber et Tim Rice est un succès sur scène depuis les années 1970, et il a déjà été porté à l'écran en 1973 par Norman Jewison. Dans la pièce originale, Ian Gillan jouait Jésus Christ et Murray Head était Judas. Ponce Pilate était lui incarné par Barry Dennen. Dans le film, ce dernier a repris son rôle, mais les deux premiers comédiens ont été remplacés respectivement par Ted Neeley et Carl Anderson.

Avant de signer pour une potentielle comédie musicale, Nic Cage doit revenir dans un film indépendant de Kristoffer Borgli (Sick of Myself) au pitch fou : dans Dream Scenario, il jouera "un professeur devenant subitement une célébrité en apparaissant la nuit dans les rêves de tout le monde." Produit par A24, ce projet est actuellement en tournage.

Benjamin Gates 3 : Nicolas Cage finalement au casting ?

Benjamin Gates 3 se fera-t-il avec ou sans Nicolas Cage ? 15 ans après la sortie de Benjamin Gates et le livre des secrets, la question d'un troisième opus est toujours en suspens... 

Annoncé depuis 2008, le troisième volet des aventures de l'archéologue est régulièrement évoqué dans la presse mais sans pour autant avancer.

Au mois de mars dernier, Nicolas Cage annonçait ne pas avoir entendu parler d'un troisième opus à sa saga culte. L'acteur précisait à The Hollywood Reporter : "Il arrive souvent que ces choses dont on entend parler ne soient que des conjectures sans aucun fondement. J'ai l'impression que c'est pareil avec Benjamin Gates 3. Cela fait quatorze ans [que le 2 est sorti]. Mais il n'y a rien là. Mais est-ce amusant d'y penser ? Bien sûr !"

Aujourd'hui, et alors qu'une série dérivée est prévue sur Disney+ avec la jeune Lisette Alexis dans le rôle principal, le producteur Jerry Bruckheimer a précisé lors d'un Questions / Réponses Reddit, qu'il était en train de travailler sur le scénario de Benjamin Gates 3.

Interrogé sur la possibilité de collaborer de nouveau avec Nicolas Cage, ce dernier répond: "Absolument. J'adore Nicolas, c'est un acteur brillant et nous travaillons actuellement sur un scénario pour Benjamin Gates 3".

Le mythique producteur ne dit pas si Cage aura le rôle principal ou s'il apparaîtra pour passer le flambeau. Aucun réalisateur n'est encore rattaché au projet.

Si depuis 2008, les échecs consécutifs des films de l'acteur et son image écornée n'inspiraient plus confiance aux studios, il semblerait que ce dernier soit en train de remonter la pente.

Les succès critiques de Pig et d'Un Talent en or massif et la récente annonce de son retour dans la suite de Volte / Face pourraient en effet redonner envie aux sociétés de production d'offrir de nouveau des rôles au neveu de Francis Ford Coppola.

Nicolas Cage sera à l'affiche de Renfield de Chris McKay en avril 2023 dans le rôle du Comte Dracula.

Dracula : les premières photos de Nicolas Cage en vampire

Annoncé en décembre dernier, Nicolas Cage va bientôt incarner sur grand écran un monstre mythique du cinéma : Dracula ! Les premières photos étaient bien sûr très attendues, et les voici.

S'il s'agit simplement de photos prises sur le tournage pour l'instant, elles permettent tout de même de constater son look très... dandy.

Cheveux gominés, teint pâle, costume rouge sang, ongles longs, les doigts ornés de bagues... Tout y est ! 

Le film s'appellera Renfield et sera réalisé par Chris McKay (The Tomorrow War, Lego Batman). L'histoire est décrite comme une aventure moderne avec une tonalité comique.

Renfield a été écrit par Ryan Ridley (Rick et Morty), sur une idée originale de Robert Kirkman (The Walking Dead). Sortie prévue en 2022.

Quant à Nicolas Cage, il avait déjà campé un suceur de sang dans Embrasse-moi vampire en 1988. De plus, Francis Ford Coppola, oncle du comédien, a réalisé un grand classique sur cette figure vampirique avec le Dracula de 1992. 

Bande-annonce d'Un talent en or massif avec Nicolas Cage

Nicolas Cage en a-t-il fini avec les Direct-To-Video ? Rien n’est moins sûr mais notons tout de même que son dernier film, Pig, est non seulement sorti dans les salles obscures mais qu’il a même figuré en compétition lors du Festival du Cinéma Américain de Deauville en septembre dernier.

L’acteur est aussi annoncé au casting d’un film de grand studio pour la première fois depuis longtemps : Renfield d’Universal dans lequel il jouera nul autre que Dracula. Mais ce n’est pas tout, un autre de ses projets atypiques va sortir au cinéma : Un talent en or massif de Tom Gormican attendu en France le 20 avril 2022.

Dans ce long-métrage dont vous pouvez retrouver la bande-annonce survoltée ci-dessus, Nicolas Cage interprète… Nicolas Cage ! Un acteur endetté qui attend le grand rôle qui relancera sa carrière. Pour rembourser une partie de ses dettes, son agent (Neil Patrick Harris) lui propose de se rendre à l’anniversaire d’un dangereux milliardaire (Pedro Pascal) qui se révèle être son plus grand fan.

Mais le séjour prend une toute autre tournure lorsque la CIA le contacte, lui demandant d’enquêter sur les activités criminelles de son hôte. Nicolas Cage va devoir jouer le rôle de sa vie et prouver qu’il est à la hauteur de sa propre légende.

Le film qui ne semble pas manquer d'humour devrait également présenter une version jeune de l’acteur qui s'amuse à le vilipender pour ses choix de carrière. Une histoire complètement méta donc, qui fait bien sûr écho à la véritable carrière de la star, qui après avoir été au sommet dans les années 90, enchaîne désormais les thrillers et films d’action nanardesques à un rythme effréné tout en devant gérer des dettes.

Également présents au casting, Tiffany Haddish et Ike Barinholtz rappellent d'ailleurs aux spectateurs quelques-uns des plus grands succès de Nic Cage, de Volte/Face aux Ailes de l'enfer. Un talent en or massif rejoindra-t-il cette liste ? À vous de juger le 20 avril prochain.

Nicolas Cage va incarner Dracula dans le film Renfield

Nicolas Cage a les crocs ! Après avoir failli enfiler la cape de Superman, l'acteur va revêtir celle de Dracula dans Renfield, réalisé par Chris McKay (The Tomorrow War, Lego Batman).

Le comédien, qui nous avait habitué à enchaîner les nanars, serait-il en train de sortir de cette spirale infernale ? C'est en tout cas ce que nous mettions en avant en octobre dernier après sa performance dans Pig.

Selon The Hollywood Reporter, Nicolas Cage a été engagé pour interpréter Dracula, le plus célèbre des vampires, dans Renfield. Il donnera la réplique à Nicholas Hoult, qui campera le fameux serviteur du Prince des Ténèbres.

Ce film est l'occasion pour Cage de faire son retour dans un projet porté par un grand studio (Universal) destiné à sortir en salles. Si on exclut ses prestations vocales dans Les Croods 2 ou Spider-Man New Generation, le dernier gros long-métrage hollywoodien de Nicolas Cage remonte à 2011 avec Ghost Rider 2.

L'artiste oscarisé pour Leaving Las Vegas avait quitté le circuit des studios pour favoriser le cinéma indépendant (Joe) et les productions nanardesques du type Croisades, Pay The Ghost ou Jiu Jitsu. Tout comme Dracula, le récit de Renfield est encore gardé secret au fond d'un tombeau. On sait juste que l'histoire est décrite comme une aventure moderne et que l'elle aura une tonalité comique.

À noter que Renfield a été écrit par Ryan Ridley (Rick et Morty), sur une idée originale de Robert Kirkman (The Walking Dead). Sortie prévue en 2022. Quant à Nicolas Cage, il avait déjà campé un suceur de sang dans Embrasse-moi vampire en 1988.

Nicolas Cage promet de ne jamais prendre sa retraite d’acteur

Imaginez un monde où les yeux hallucinés de Nicolas Cage disparaîtraient des affiches de film. Ce monde serait bien triste, n’est-ce pas ? Eh bien, rassurez-vous, Nicolas Cage a bien l’intention de travailler jusqu’à son dernier souffle ! Et à seulement 57 ans, on peut dire que sa carrière ne fait que commencer.

« Non, non, non. Non, non. Ça ne peut pas arriver. Faire ce que je fais dans le cinéma, ça a été comme un ange gardien pour moi, et j’en ai besoin », a-t-il assuré à Entertainment Weekly, qui l’interrogeait sur une possible retraite alors qu’il avait annoncé faire une petite pause au sortir de ses projets en cours. « Je suis en meilleure santé quand je travaille. J’ai besoin d’un espace positif pour exprimer mon expérience de vie, et le cinéma m’a donné ça. Alors je ne prendrai jamais ma retraite. Où est-ce qu’on en est aujourd’hui, à 117 films ? », a-t-il continué.

Etant donné le rythme effréné de Nicolas Cage ces dernières années, on peut comprendre qu’un petit break s’impose. Rien que pour 2021, l’acteur est crédité dans cinq films dont Prisoners of the Ghostland, présenté comme le « Nicolas Cage movie ultime ».

Quoi qu’il en soit, le comédien est accro à son boulot et il fera autant de films qu’il le pourra. « Je suis heureux quand je travaille, et au passage, des types comme James Cagney et Humphrey Bogart on fait des centaines de films », a conclu Nicolas Cage.