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31 octobre 2024

Poupette Kenza avait été libérée de prison sous contrôle judiciaire

L’influenceuse est à nouveau une femme libre ! Habituée aux polémiques, Poupette Kenza a été mise en examen le 7 juillet 2024 pour "tentative d’extorsion en bande organisée" et "association de malfaiteurs" avant d’être incarcérée. Celle-ci aurait en effet tenté de soutirer entre 200 000 € et 350 000 euros à une ancienne associée, faisant appel pour cela à un homme de main. Enceinte de son troisième enfant, la jeune femme bénéficiait d’une cellule spéciale pour les femmes enceintes.

Le 10 octobre 2024, pour Le Parisien, son avocat, Me Hugues Vigier, avait été interrogé sur la possibilité qu’elle accouche en prison. "Ce scénario est inenvisageable. J'ai bon espoir qu'elle sorte très vite et que son mari, aussi. (...) Il faut raison garder. Son statut d'influenceuse fait que tout le monde a une lecture paroxystique de cette affaire, les réseaux sociaux s'emballent. Certes, c'est une façon violente de vouloir régler un contentieux commercial, c'est évidemment interdit, mais on n'est pas dans le spectre haut de l'extorsion : ils n'ont frappé personne !", avait-il estimé.

Depuis le début de son incarcération, l’influenceuse ne cessait de dire qu’elle n’était « pas à sa place » en prison. Le 4 juillet 2024, elle avait déclaré alors : "Je suis enceinte de cinq mois et les odeurs je ne les supporte pas (...) Dans la geôle, on m'a reconnue et je me fais appeler toute la soirée, je suis très angoissée". Enceinte de huit mois aujourd’hui, elle ne souhaitait surtout pas accoucher en prison. Jeudi 31 octobre 2024, Le Parisien a révélé qu’elle avait pu quitter la maison d’arrêt de Rouen ce matin.

Libérée sous contrôle judiciaire, Poupette Kenza a une obligation de pointer au commissariat le plus proche, une interdiction de quitter le territoire et d’entrer en contact avec les victimes présumées. Si elle ne dispose pas de bracelet électronique, elle a cependant dû remettre son passeport aux forces de l’ordre.

10 octobre 2024

Poupette Kenza en prison : les conditions de détention de l'influenceuse dévoilées

La mère de famille est terrorisée. En juillet 2024, l'influenceuse Poupette Kenza, âgée de 24 ans, de son vrai son Kenza Benchrif, était mise en examen pour "avoir tenté de soutirer 350.000 euros à une ancienne associée, en usant d'un stratagème aussi sombre que rocambolesque, entre menaces, recrutement d'un homme de main, photo de sévices corporels et scénario de film de gangsters", a rappelé Le Parisien ce jeudi 10 octobre 2024.

Quelques jours plus tard, elle était incarcérée à la "nurserie" de la maison d'arrêt de Rouen (Seine-Maritime), réservée aux détenues enceintes. En effet, la jeune femme, qui est déjà la mère de deux enfants, Seyana, âgée de 4 ans, et Khalis, un petit garçon de 2 ans, est enceinte de 8 mois. Nos confrères, qui ont suivi l'affaire depuis le début de son incarcération, ont relayé ses propos sur les conditions de sa détention. Une chose est sûre, c'est qu'elle "ne veut pas accoucher en prison".

Enceinte de 5 mois au moment de son incarcération, Kenza Benchrif expliquait : "Les odeurs, je ne les supporte pas". Elle affirmait également avoir été reconnue par ses codétenues. "Je me fais appeler toute la soirée, je suis très angoissée", déplorait-elle alors. Selon le quotidien francilien, l'influenceuse occupe deux cellules individuelles reliées par une porte intérieure. "Les plus propres de la détention", a même précisé le secrétaire local du syndicat pénitentiaire des surveillants non gradés. À la disposition de la jeune mère : une douche avec de l'eau chaude, des WC et un coin cuisine. En ce qui concerne les 43 autres détenues de la "nurserie" de la maison d'arrêt de Rouen, elles vivent parfois "jusqu'à trois dans 9m2" et se lavent en collectivité.

En tant que femme enceinte, Kenza Benchrif a le droit "à une promenade solitaire d'une heure par jour dans la cour en macadam. À un horaire différent, afin de la protéger d'éventuelles bagarres et agressions", a précisé Le Parisien. Mais la créatrice de contenus de 24 ans affirmait qu'elle ne s'y risquait pas. "J'ai peur, on crie mon nom dans la cour", a-t-elle confié. À l'approche de son terme, si le travail venait à se déclencher au milieu de la nuit, elle serait "emmenée à l'hôpital" et regagnerait ensuite sa cellule avec son nouveau-né, qu'elle pourra garder auprès d'elle jusqu'à ses 18 mois.