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29 mai 2024

43 ans avant Ryan Gosling, The Fall Guy, c'était lui !

Vous avez adoré The Fall Guy, emmené par Ryan Gosling et Emily Blunt ? Alors vous devez absolument jeter un oeil sur la série L'Homme qui tombe à pic, programme culte des années 80 qui a inspiré le long métrage !

Si vous avez grandi dans les années 80 et passé des heures devant votre petit écran, vous n'avez pas pu passer à côté de L'Homme qui tombe à pic (The Fall Guy en VO), série diffusée entre 1981 et 1986 sur la chaîne ABC et emmené par l'acteur américain Lee Majors. L'histoire ? Celle de Colt Seavers, cascadeur à Hollywood, qui profite de ses talents pour arrondir ses fins de mois en étant chasseur de primes. Aidé de son célèbre pick-up, de son cousin Howard et de la belle Jody, il a souvent pour mission de traquer des fugitifs pour les confronter à la justice...

Créée par l'incontournable Glen A. Larson (Magnum, K 2000, Manimal…), la série L'Homme qui tombe à pic est un programme incroyablement divertissant, comme les années 80 savaient si bien nous le proposer. De l'action, de l'humour, un générique VF culte qui entre immédiatement en tête (Je suis l'homme qui tombe à piiiiiic, Je suis l'homme qui vient de loiiiiiiin..., vous l'avez ?), un héros ultra-cool... Tel est le programme de ce show feuilletonnant dans lequel Lee Majors excelle.

En plus d'être acteur, cascadeur et joueur de football américain, Lee Majors est également chanteur. Celui qui a également tenu la vedette de L'Homme qui valait 3 milliards prête ainsi sa voix pour le générique country (en VO) de L'Homme qui tombe à pic.

A noter que de très nombreuses stars sont venues faire une petite apparition dans L'Homme qui tombe à pic, parmi lesquelles James Coburn, Farrah Fawcett (épouse de Lee Majors jusqu’en 1982), Richard Burton, Jack Black, Tony Curtis, Tom Selleck ou encore Lou Ferrigno (le tout premier Hulk), preuve de l'extrême popularité de ce show.

25 mars 2024

Inspecteur Derrick : Mort de l'acteur Fritz Wepper à l'âge de 82 ans

C’était l’un des duos les plus connus du petit écran. Dès 1986, la série Inspecteur Derrick a fait les beaux jours des chaînes du service public. Le public est nombreux pour suivre les enquêtes du célèbre inspecteur Stephan Derrick (Horst Tappert) et de son adjoint, l’inspecteur Harry Klein (Fritz Wepper). Pendant plus de deux décennies (et 281 épisodes !), la série a bercé les téléspectateurs. En décembre 2008, les téléspectateurs ont appris avec tristesse la disparition d’Horst Tappert, le célèbre policier de la série.

Quelques années plus tard, son nom est revenu dans l’actualité. D’après le Frankfurter Allgmeine Zeitung, il aurait été dans la Waffen-SS. De son côté, Fritz Wepper avait annoncé en février 2021 être atteint d’un cancer de la peau. "Ils n'ont pas pu localiser le cancer, c'est-à-dire ce mélanome. Mais des métastases ont été trouvées qui ont probablement été déclenchées par cela", avait-il confié dans les colonnes du magazine allemand Bild. Les médecins s’étaient montrés peu confiants, à tel point que son épouse, Susanne Kellerman, lui avait fait ses adieux à plusieurs reprises.

Quelques mois plus tard, en décembre 2021, Fritz Wepper s’était montré heureux en annonçant quitter l’hôpital. L’acteur avait ensuite été contraint d’être soigné dans une clinique. Ce lundi 25 mars 2024, dans les colonnes du journal allemand Bild, Susanne Kellerman a fait part du décès de son mari. "Fritz s’est endormi paisiblement", a-t-elle déclaré. L’indémodable collègue de Derrick s’est éteint à 82 ans. Sa carrière télévisuelle avait démarré dans les années 1960, en jouant dans une soixantaine d'épisodes de la série Der Kommissar. En 1974, commence l'aventure Derrick.

Une saga professionnelle qui durera pendant 281 épisodes en incarnant l'adjoint de l'inspecteur principal Stephan Derrick. Côté cœur, l'acteur a été marié une première fois en 1979 avec Agnela von Morgen, ancienne princesse de Hohenzollern. De cette union est née une fille Sophie Wepper, elle aussi actrice. Il connaîtra ensuite une seconde relation avec Susanne Kellerman, avec qui il a une deuxième fille. Pour les plus nostalgiques, la série Derrick connaît encore des rediffusions en télévision...

26 octobre 2023

Happy Days : Henry Winkler évoque ses problèmes de dyslexie sur le tournage de la série

Si vous avez grandi dans les années 70 ou 80, il y a de fortes chances pour que la célèbre comédie familiale Happy Days fasse partie des séries qui ont bercé votre enfance. Diffusée sur ABC à partir de 1974, cette sitcom réjouissante et nostalgique qui a marqué l'histoire de la télévision plongeait ses spectateurs dans le quotidien d'une famille américaine des années 50.

Bercée par un générique inoubliable (le fameux "Sunday, Monday, Happy Days..."), elle est également restée dans les souvenirs de ses fans pour ses personnages hauts en couleurs, et notamment l'attendrissant voyou Fonzie, interprété par Henry Winkler.

Si ce dernier a sans doute apporté beaucoup de bonne humeur à ses spectateurs, le tournage de la série n'a pas toujours été facile pour lui, ainsi qu'il l'a récemment confié dans sa biographie Being Henry: The Fonz… and Beyond. En effet, ainsi qu'il l'explique entre les pages de son livre, le jeune comédien a appris qu'il était dyslexique à l'âge de 31 ans.

"Même au beau milieu de Happy Days, lorsque j'étais au sommet de ma célébrité et de mon succès, je me sentais gêné, inadapté", raconte l'acteur.

"Tous les lundis à 10 heures, nous lisions nos scripts de la semaine autour d'une table, et à chaque lecture je me perdais ou je bredouillais. J'oubliais un mot ou une ligne.

Je n'arrivais jamais à donner la bonne réplique, ce qui gâchait le gag pour la personne qui faisait la scène avec moi. Ou bien je fixais un mot, comme 'invincible', et je n'avais pas la moindre idée de la manière de le prononcer."

Toujours dans sa biographie (relayée dans un article du site People), l'interprète de Fonzie poursuit :

"Mon cerveau et moi n'avions pas le même code postal. Pendant ce temps-là, les autres acteurs attendaient, me regardaient. C'était humiliant et honteux. Tous les membres du casting étaient chaleureux et encourageants, mais j'avais constamment l'impression de les décevoir."

"Je devais demander mes pages de scripts très tôt, afin de pouvoir les relire encore et encore, ce qui mettait une pression supplémentaire aux scénaristes qui étaient déjà sous tension chaque semaine, puisqu'ils devaient fournir 24 scripts rapidement. Et tout ça se passait au sommet de mon succès, alors que j'incarnais le type le plus cool du monde."

Outre son rôle dans la célèbre sitcom des années 70, Henry Winkler est également connu pour avoir incarné le principal Himbry dans le slasher Scream de Wes Craven. On a d'ailleurs pu le voir faire un petit caméo dans l'avant-dernier volet de la saga, sorti en 2022.

11 octobre 2022

L’actrice Angela Lansbury, star de la série Arabesque, est morte

Elle était une icône du petit écran, mais aussi du grand. L’actrice d’origine britannique Angela Lansbury, star de la série Arabesque (Murder she wrote en anglais), diffusée entre les années 80 et 90 en France, est morte à l’âge de 96 ans ce mardi, annonce sa famille à des médias américains.

La comédienne, née à Londres en 1925, « est morte paisiblement dans son sommeil chez elle à Los Angeles (…), cinq jours tout juste avant son 97e anniversaire », ont expliqué ses proches.

Nominée trois fois aux Oscars, et couronnée d’un Oscar d’honneur en 2013 pour l’ensemble de sa carrière, l’actrice naturalisée américaine était l’une des gloires de l’âge d’or du cinéma hollywoodien.

Elle s’était illustrée dans plusieurs rôles au grand écran, comme Le Portrait de Dorian Gray (1945), Un crime dans la tête (1962), L’Apprentie sorcière (1971), ou encore Mort sur le Nil (1978).

Fille d’une actrice de théâtre, la comédienne s’est aussi distinguée par de nombreux rôles à Broadway, notamment dans des productions de comédies musicales de Stephen Sondheim comme Gypsy et Sweeney Todd.

Angela Lansbury a également prêté sa voix à de nombreux personnages marquants de films d’animation, comme Mrs Potts (Madame Samovar en français) dans La Belle et la Bête de Disney, ou l’impératrice Marie, dans Anastasia, sorti en 1997.

Mais c’est son interprétation de Jessica Fletcher, auteure de romans policiers et enquêtrice hors pair, dans Arabesque, qui a marqué plusieurs générations - et lui a valu quatre de ses six Golden Globes. La série américaine, diffusée sur 264 épisodes, avait duré de 1984 à 1996, et a connu de multiples rediffusions, notamment en France.

Elle laisse derrière elle trois enfants, trois petits-enfants, cinq arrière-petits-enfants, ainsi que son frère selon le communiqué. Son mari, l’acteur britannique Peter Shaw, était mort en 2003. « Une cérémonie privée pour la famille se tiendra à une date qui reste à déterminer », a ajouté sa famille dans le communiqué.

29 mars 2021

William Shatner n'a jamais regardé un épisode de Star Trek

William Shatner vient d'avoir 90 ans, et pour fêter ça, il a été invité dans l'émission Couch Surfing de PeopleTV (visible en anglais sur le site d'Entertainment Weekly) à revenir sur sa carrière au sein d'une longue interview vidéo, où il révèle... qu'il n'arrive pas à regarder Star Trek ! Un comble pour l'interprète du Capitaine Kirk, qui était au cœur de la saga de 1966 à 1994. Si la série de Gene Roddenberry a changé sa vie, et qu'il adore le fait qu'elle donne de l'espoir aux spectateurs, il n'aime pas se voir dans le show, explique-t-il. Ni dans les films, d'ailleurs : "Je n'ai jamais regardé Star Trek. Il y a plein d'épisodes que je ne connais pas, et quelques films aussi. J'ai réalisé l'un deux (le cinquième, L'Ultime frontière, sorti au cinéma en 1989, ndlr), donc celui là j'ai dû le regarder, mais c'est dur à voir pour moi car je n'aime pas mon apparence, ni ce que je fais à l'écran."

Conscient de la popularité de Star Trek depuis plus de 50 ans, l'acteur canadien suggère ensuite que le succès de la saga réside dans le fait qu'elle donne de l'espoir au public : "Nous sommes au bord de l'extinction. Nous nous empoisonnons nous-même, mais la Terre survivra en tuant ce petit cancer, c'est à dire les humains, à la manière du corps qui détruit un virus en augmentant sa température. La Mère Nature va finir par se débarrasser de nous, car nous sommes des parasites. Mais nous ne sommes pas obligés de vivre comme ça. Nous pourrions passer le reste de notre vie à essayer de vivre mieux sur la Terre. Le fait que l'action de Star Trek se déroule dans 400 ans, c'est une sorte de promesse, ça dit que si on fait les choses bien, nos enfants et petits enfants pourront vivre une vie décente. Star Trek donne de l'espoir, c'est le message de cette série, et je pense que c'est ce qui la rend si populaire."