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12 mai 2023

Patrick Hernandez victime d'un vol : sa canne fétiche a été dérobée


Avec une seule chanson, Patrick Hernandez a réussi le défi de marquer le monde de la musique. En 1979, il connaît un succès mondial avec son titre disco Born to be alive. Et plus de 40 ans plus tard, force est de constater qu'il n'est pas près de regretter d'avoir interprété cette chanson. La raison ? Il arrive encore à en vivre.

C'est du moins ce qu'il a confié au mois de juin 2022 dans l'émission TPMP. "J'en suis le papa à 150%. Je suis l'auteur, le compositeur, l'interprète, l'éditeur et le producteur de cette chanson. Donc forcément quand c'est une musique à résonance mondiale, ça rapporte un peu de thunes. Et donc avant le passage des impôts, avant un certain nombre de choses, il ne me reste pas 1500 balles dans ma poche tous les soirs. Donc voilà mais ça rapporte beaucoup d'argent oui", a-t-il confié.

Depuis son début de carrière, Patrick Hernandez ne se sépare pas d'un accessoire qui fait partie intégrante de son identité artistique : sa canne. Malheureusement, d'après les informations de France Dimanche, l'objet lui a récemment été dérobé dans sa valise au cours d'un voyage en train à destination de la Belgique.

07 mai 2022

Patrick Hernandez : cet incroyable stratagème pour échapper à une horde de fans brésiliens

Une solution radicale. Ce vendredi 6 mai, Anne-Élisabeth Lemoine recevait Patrick Hernandez sur le plateau de C à vous. L'occasion pour l'animatrice de revenir sur l'incroyable succès mondial de sa chanson Born to be alive, sortie en 1979. "27 millions de singles, 20 000 disques vendus par jour, 56 disques d'or, le titre numéro 1 dans 26 pays. Ça reste aux États-Unis le troisième tube le plus vendu, jamais détrôné depuis", a-t-elle rappelé avant d'ajouter : "C'est l'époque où vous provoquez des émeutes dans les aéroports". Une célébrité qui forçait parfois le chanteur à être "exfiltré façon Carlos Ghosn dans des malles", lors de ses déplacements au Brésil.

"Ils ont été obligé de mettre dans une malle de théâtre, en osier, pour me faire sortir parce que les fans brésiliens étaient particulièrement chaleureux, et donc ça devenait limite dangereux", a raconté Patrick Hernandez, précisant que "c'est le seul pays où j'étais protégé par la police et l'armée en même temps en arrivant aux aéroports. Donc c'est était une période un peu particulière pour moi."

Plus qu'une période particulière, il s'agissait même d'une période "insensée" a insisté Anne-Elisabeth Lemoine. "Vous alliez prendre l'apéritif à Los Angeles pour revenir en Concorde à Paris", a rapporté l'animatrice. "Tout à fait, et c'étaient des choses qui m'avaient amusé pendant un temps, mais je me suis rendu compte très vite que ce n'était pas la manière dont j'avais envie de vivre ma vie, donc je suis passé très rapidement à autre chose", a conclu Patrick Hernandez. Une folie éphémère qui a donc vite lassé l'artiste mais qui continue tout de même de faire danser le monde entier grâce à son plus célèbre tube.