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02 décembre 2025

Madonna s’en prend à Donald Trump qui a refusé de soutenir la journée mondiale de lutte contre le sida

Madonna est furax. La Journée mondiale de lutte contre le sida est célébrée le 1er décembre dans le monde entier depuis 1988. Mais cette année, les États-Unis sont sortis du rang. Le New York Times a rapporté que le département d’État avait envoyé un e-mail ordonnant aux employés du gouvernement de « s’abstenir de promouvoir publiquement la Journée mondiale de lutte contre le sida par le biais de tout canal de communication, y compris les réseaux sociaux, les médias, les discours ou tout autre message destiné au public ». Au lieu de cela, le porte-parole adjoint du Département d’État, Tommy Pigott, a expliqué dans un communiqué, cité par CNN, que l’administration travaillait « en direct avec les gouvernements étrangers pour sauver des vies et accroître leur responsabilité et le partage du fardeau ».

Une décision que l’icône pop, qui milite depuis longtemps pour la sensibilisation et la lutte contre cette infection, a déploré. Madonna a été l’une des premières grandes stars à s’exprimer sur l’épidémie qui a fait des ravages dans les années 1980, alors que le sujet était très tabou en raison de l’homophobie rampante. Alors son sang n’a fait qu’un tour quand elle a appris le recul américain, adressant ensuite un message passionné sur Instagram.

« Depuis quatre décennies, cette journée est reconnue internationalement dans le monde entier par des personnes de tous horizons, parce que la vie de millions de personnes a été touchée par la crise du VIH », a-t-elle commencé dans un message écrit à la main. « Des gens ont perdu des amants, des maris, des femmes, des petites amies, des petits amis, des mères, des filles et des enfants à cause de cette maladie mortelle, pour laquelle il n’existe toujours pas de remède » a rappelé la chanteuse, avant de cibler directement le président américain.

« Donald Trump a annoncé que la Journée mondiale contre le sida ne devrait plus être reconnue. C’est une chose d’ordonner aux agents fédéraux de s’abstenir de commémorer cette journée, mais demander au grand public de faire comme si elle n’avait jamais existé est ridicule, absurde, impensable », s’est insurgé la star engagée.

L’artiste de 67 ans a ensuite confié qu’elle avait une liste « assez longue » de « personnes aimées et perdues à cause du sida ». Selon elle, Donald Trump n’a pas cette sensibilité. « Je parie qu’il n’a jamais vu son meilleur ami mourir du sida, qu’il ne lui a jamais tenu la main et qu’il n’a jamais vu le sang se retirer de son visage alors qu’il rendait son dernier souffle à l’âge de 23 ans », a-t-elle lancé, rappelant qu’« il n’existe toujours pas de remède contre le sida, et des gens en meurent encore ». La chanteuse de Like a Virgin « refuse de reconnaître que ces personnes sont mortes en vain » et invite la population à honorer avec elle cette journée malgré tout.

01 décembre 2025

Josh Brolin estime que son ancien ami Donald Trump est un « génie du marketing »

Donald Trump a participé au tournage de Wall Street : L’argent ne dort jamais, avec Shia LaBeouf, sorti en 2010. Mais s’il n’apparaît finalement pas dans la version finale, l’expérience lui aura permis de faire la connaissance d’un autre membre du casting, Josh Brolin, et même de nouer une amitié avec l’acteur à l’époque, avant de se tourner vers la politique et de devenir président des États-Unis.

Toutefois, l’acteur de Dune évoque cette relation avec lucidité. « Je n’ai pas peur de Trump, parce que même s’il dit qu’il restera pour toujours, cela n’arrivera pas », a ainsi déclaré le comédien de 57 ans à The Independent au sujet d’une potentielle modification de la constitution américaine pour permettre à l’élu républicain, élu deux fois, d’effectuer d’autres mandats. « Et si c’est le cas, je m’en occuperai à ce moment-là », a rectifié Josh Brolin, qui aurait connu « un homme différent » avant la politique.

L’acteur garde aussi en mémoire les accomplissements de Donald Trump à New York, notamment la transformation du Grand Hyatt au siècle dernier. Le promoteur immobilier et un entrepreneur qu’il a rencontré ont construit un hôtel de 400 millions de dollars « au milieu d’une ville insalubre à la fin des années 70 – je trouve cela intéressant », a estimé Josh Brolin, même s’il est « sûr qu’il y avait beaucoup de corruption ».

« Il n’y a pas de plus grand génie que lui en matière de marketing - il exploite les faiblesses de la population en général et les comble. C’est pourquoi je pense que beaucoup de gens ont l’impression de voir en lui leur porte-drapeau », a ensuite analysé le comédien, qui assure la promotion de Wake Up Dead Man, le troisième volet d’À couteaux tirés dont la sortie est prévue le 12 décembre sur Netflix. « Je pense que cela a moins à voir avec Trump qu’avec la population en général et son besoin de reconnaissance ».

17 novembre 2025

Olivia Rodrigo fustige l’administration Trump pour avoir utilisé une de ses chansons dans une vidéo anti-immigration

Olivia Rodrigo n’est pas près de lâcher le morceau. L’interprète de Drivers License a vertement critiqué l’administration Trump après la publication, le 4 novembre dernier, d’une vidéo du Département de la Sécurité intérieure et de la Maison-Blanche utilisant sa chanson All-American Bitch.

La vidéo, qui montre des agents de l’ICE, la désormais célèbre police de l’immigration américaine, procédant à des arrestations d’immigrés, va jusqu’à encourager « l’auto-déportation ». Inutile de dire que la star de 22 ans n’a pas tardé à laisser exploser sa colère.

« N’utilisez plus jamais mes chansons pour promouvoir votre propagande raciste et haineuse », a écrit Olivia Rodrigo en commentaire de la publication, avant de supprimer son message.

La musique a finalement été retirée de la vidéo, mais l’affaire n’en est pas restée là.

Le Département de la Sécurité intérieure a depuis répliqué dans un communiqué publié le 7 novembre. « L’Amérique est reconnaissante envers les agents fédéraux. Nous suggérons à Mme Rodrigo de les remercier pour leur service, et non de minimiser leur sacrifice », peut-on lire dans cette déclaration relayée par USA Today.

Une réponse qui, évidemment, a dû ulcérer Olivia Rodrigo qui rejoint ainsi une longue liste d’artistes ayant vu le camp trumpiste utiliser leurs œuvres à leur insu.

10 novembre 2025

Etre « 100 % anti-Trump » est « probablement illégal » d’après le président des Etats-Unis

Pourra-t-on bientôt aller en prison ou écoper d’une amende pour avoir émis un avis contraire ou militer contre Donald Trump ? L’idée semble saugrenue dans une démocratie, et pourtant… Le président des Etats-Unis pense qu’être « 100 % anti-Trump » est « probablement illégal ».

C’est ce que Donald Trump a écrit sur son réseau Truth Social après avoir allumé sa télévision, tard le soir jeudi dernier, sur la chaîne NBC. Il y a vu le late-show animé par Seth Meyers et il n’a pas du tout aimé que l’animateur du Late Night se paye sa tête.

« Seth Meyers, de NBC, est peut-être la personne la moins douée pour "jouer" en direct dans toute l’histoire de la télévision. En fait, il est peut-être même le PIRE, en direct ou ailleurs », a commencé le chef de l’Etat américain.

Il a poursuivi en expliquant avoir regardé l’émission « l’autre soir pour la première fois depuis des années » et s’est demandé « Pourquoi NBC perd-elle son temps et son argent avec un type comme lui ».

Comme le rappelle Entertainment Weekly, Seth Meyers s’était moqué ce soir-là de l’intervention de Donald Trump à bord de l’U.S.S. George Washington, un porte-avions nucléaire de la Navy qui était amarré au Japon. Le président des Etats-Unis s’était particulièrement intéressé aux catapultes et au nouveau système électromagnétique qui les propulse.

Celui-ci est, selon lui, moins bien que l’ancien, qui était hydraulique et qu’il a défendu, expliquant, dans un discours étrange, que la foudre ne s’abat pas sur l’eau mais que de l’eau sur des aimants il ne « sai (t) pas ce qui peut se passer ». Il avait ensuite promis de signer un décret pour que sur les « prochains porte-avions, ce soit de la vapeur pour les catapultes », avant de danser sur YMCA des Village People.

Un speech qui a beaucoup fait rire Seth Meyers, ce qui a fait dire à Donald Trump sur Truth Social qu’il se comportait « comme un fou dérangé ». Le président des Etats-Unis a conclu son message en lettres majuscules : « AUCUN TALENT, AUCUNE AUDIENCE, 100 % ANTI-TRUMP, CE QUI EST PROBABLEMENT ILLÉGAL !!! »

Va-t-il signer un décret aussi pour interdire ce qui est « 100 % anti-Trump » ? Il a déjà suspendu des fonctionnaires après une lettre critiquant sa politique en août, alors…

27 octobre 2025

Bruce Springsteen soutient le mouvement No Kings contre Donald Trump aux États-Unis

Bruce Springsteen a encore de l’espoir pour « l’Amérique de nos plus grands idéaux ». Tout comme Robert de Niro quelques jours avant lui, le « Boss » a exprimé son soutien au mouvement No Kings outre-Atlantique. Lancé en juin dernier, No Kings réunit des associations et a pour ambition d’organiser des manifestations à travers les États-Unis pour « faire pression » contre la politique de Donald Trump, en particulier de récentes mesures de son administration aux niveaux fédérale et migratoire.

Les dernières manifestations du 18 octobre ont rassemblé des millions de participants dans plusieurs États, auxquels le président américain a notamment répondu sur son réseau Truth Social avec une vidéo générée par l’intelligence artificielle où on le voit porter une couronne et piloter un avion de chasse déversant un liquide marron sur les manifestants. Ainsi, pour Bruce Springsteen, il ne fait aucun doute que c’est « le chaos total aux États-Unis ». Mais le musicien de 76 ans est fier du message de « No Kings », qu’il a récemment défendu au festival de cinéma AFI de Los Angeles en marge d’une projection de son biopic, Springsteen : Deliver Me From Nowhere, comme l’a rapporté NME.

« Pendant 250 ans, partout dans le monde, malgré toutes nos erreurs, les États-Unis sont restés un symbole de liberté, de démocratie, d’espoir et d’indépendance », a-t-il souligné, guitare à la main. « J’ai passé 50 ans à voyager, presque en tant qu’ambassadeur musical des États-Unis, et j’ai pu constater de mes propres yeux tout l’amour et l’admiration que les gens du monde entier portent à l’Amérique de nos plus grands idéaux. Malgré les terribles dommages que les États-Unis ont récemment subis, ce pays et ces idéaux méritent encore qu’on se batte pour eux », a-t-il poursuivi avant d’« envoyer une prière » à « notre unité » et « No Kings ».

Bruce Springsteen et Donald Trump se sont déjà échangé quelques prises de bec ces derniers mois, l’un critiquant ouvertement l’élu lors de concerts et d’évènements, l’autre ripostant avec des attaques en ligne sur la carrière et l’intégrité du musicien. Le chanteur de Born in the USA, un fervent soutien démocrate, a notamment dénoncé lors d’un concert à Manchester en mai l’administration « corrompue, incompétente et traître » de Donald Trump. Le président américain lui a répondu en le traitant de « connard » et d’artiste « surcoté ». Il a annoncé par la suite vouloir lancer une « enquête majeure » sur des « paiements » qu’aurait effectués son ancienne rivale démocrate à la présidence, Kamala Harris, pour obtenir le soutien de célébrités comme Bruce Springsteen.

21 octobre 2025

Robert De Niro réagit aux manifestations contre Donald Trump

Robert De Niro ne compte pas abandonner le combat contre Donald Trump. L’acteur oscarisé, opposant de longue date du président américain, s’est exprimé ce week-end en marge des dernières manifestations « No Kings », organisées depuis cet été par un collectif d’associations souhaitant exercer une pression sur le dirigeant républicain.

Les derniers rassemblements, dont le nom s’inspire de manifestations indépendantistes américaines du 18e siècle, et d’une remarque de Donald Trump se comparant à un « roi », ont tout particulièrement abordé la réduction de programmes fédéraux, la présence de la Garde nationale dans certaines villes et les raids de la police de l’immigration et des douanes (ICE) ordonnés par l’administration Trump contre les migrants clandestins.

Le « No Kings » du 18 octobre aurait aussi rassemblé près de sept millions de personnes à travers le pays, d’après MSNBC News. Bien que « très heureux », Robert De Niro a exhorté ses concitoyens à ne « pas lâcher prise ».

« C’est la seule chose que les politiques vont reconnaître, entre la colère de Donald Trump et celle des gens, ils doivent être davantage effrayés par la colère des gens », a assuré la star de 82 ans au micro de la chaîne d’information.

Et pour que le message atteigne vraiment la Maison Blanche, le comédien préconise une persistance du combat. « Nous ne pouvons pas laisser tomber parce qu’il ne va pas quitter la Maison Blanche. Il ne veut pas quitter la Maison Blanche », a insisté Robert De Niro. « Ceux qui pensent qu’il va faire ceci ou cela se font des illusions, surtout les Républicains parce qu’ils savent mais ils continuent malgré tout. C’est une situation classique d’intimidation. Nous le voyons, et il n’y a pas d’autre moyen de faire face à un tyran. Il faut l’affronter, se battre, et le faire reculer. C’est la seule façon de faire avancer les choses. »

Deux semaines plus tôt, l’acteur de Taxi Driver a encouragé le public dans une vidéo TikTok partagée par le groupe activiste Indivisible à se joindre aux « manifestations pacifiques » de « No Kings ». Il n’est pas la seule star hollywoodienne à s’être jointe au mouvement, puisque certains de ses collègues ont participé aux manifestations, comme le cinéaste Spike Lee et l’acteur Pedro Pascal, tandis que d’autres ont fait part de leur soutien sur les réseaux sociaux, à l’instar de l’actrice Glenn Close.

30 septembre 2025

Donald Trump menace encore les films produits en dehors d'Hollywood

Toujours en mission pour tenter de Make America Great Again, Donald Trump n'a pas abandonné l'idée de faire payer aux studios l'internationalisation de la production hollywoodienne.

Alors que les films et séries américains sont désormais régulièrement tournés à l'étranger (surtout au Royaume-Uni, mais aussi au Canada, en France, en Australie, en Afrique du Sud etc.), le locataire de la Maison Blanche promet d’imposer de lourdes taxes sur ces productions délocaliséees. Dans un nouveau post sur son réseau social Truth Social, Trump brandit de nouvelles menaces contre l'industrie et tacle au passasge le gouverneur de Californie, Gavin Newsom.

Il assure qu’il imposera une "taxe majeure sur tous les films" produits en dehors des États-Unis. Selon lui, cette mesure vise à empêcher que l’industrie cinématographique américaine ne soit « volée » par d’autres pays.

"Notre industrie cinématographique a été volée aux États-Unis d’Amérique, par d’autres pays... comme on volerait une sucette à un bébé. La Californie, avec son gouverneur faible et incompétent, a été particulièrement touchée. Par conséquent, afin de résoudre ce problème ancien et sans fin, j’imposerai une taxe de 100 % sur tous les films produits en dehors des États-Unis. Merci de votre attention à cette question."

Ce n’est pas la première fois que Trump menace l’industrie cinématographique. Plus tôt cette année, il avait déclaré vouloir relancer la production de films aux États-Unis, précisant que l’acteur Jon Voight, son « ambassadeur spécial » à Hollywood, travaillait sur un plan. À ce jour, aucun plan concret n’a été dévoilé.

22 septembre 2025

Donald Trump menace de nouveaux journalistes et programmes télé

Donald Trump a franchi un nouveau cap dans ses relations tendues avec les médias progressistes. Mardi dernier, devant la Maison-Blanche, le président des Etats-Unis s’est montré particulièrement menaçant envers Jonathan Karl, journaliste politique d’ABC News.

« Nous allons probablement nous en prendre à des gens comme vous parce que vous me traitez de manière si injuste. C’est de la haine. Vous avez beaucoup de haine dans votre cœur », a lancé Donald Trump au reporter.

Cette sortie fait suite à une question de Jonathan Karl sur les intentions de la ministre de la Justice américaine Pam Bondi qui a dit vouloir « s’attaquer aux discours de haine » dans le pays. Quand le journaliste a demandé s’il était approprié pour un président en exercice de menacer ainsi la presse, Donald Trump a rappelé les 15 millions de dollars qu’ABC News a versés pour sa bibliothèque présidentielle dans le cadre d’un procès en diffamation réglé à l’amiable.

« Votre entreprise m’a payé 16 millions de dollars pour quelque chose qui s’apparente à un discours de haine », a affirmé Donald Trump dont les propos ont transcrit par Entertainment Weekly. « Alors, peut-être qu’on devrait s’en prendre à vous. »

Donald Trump a conclu en conseillant ironiquement au journaliste d’emmener sa femme « dîner maintenant qu’ils ne risquent plus de se faire tirer dessus » dans la capitale, faisant référence au récent déploiement de la garde nationale à Washington DC au motif d’une soi-disant hausse de la criminalité.

Une déclaration qui intervient quelques semaines après le renvoi de l’animateur star de CBS Stephen Colbert, lequel tournait régulièrement en dérision le locataire de la Maison-Blanche, mais aussi quelques jours après l’assassinat de Charlie Kirk dont Donald Trump et son administration se servent pour justifier une chasse aux sorcières visant tous ceux qui ne sont pas d’accord avec lui. A propos de ceux qui ne pleurent pas le décès de l’influenceur d’extrême droite, le vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance a déclaré dans une émission posthume spéciale du Charlie Kirk Show : « Dénoncez-les, appelez leur employeur ».

02 septembre 2025

Woody Allen a très envie de refaire un film avec Donald Trump

Tout le monde ne déteste pas Donald Trump à Hollywood.

Aux côtés de Dean Cain et Zachary Levi, on trouve désormais... Woody Allen !

Invité récemment dans le podcast Club Random de Bill Maher, le réalisateur quadruplement oscarisé a confié qu’il gardait un bon souvenir de Donald Trump, puisque le cinéaste a fait tourner le milliardaire dans son film Celebrity (en 1997). Et il serait prêt à le diriger à nouveau, même aujourd’hui.

“Je fais partie des rares personnes qui peuvent dire qu’elles ont dirigé Trump. Je l’ai dirigé dans Celebrity. Et c’était un plaisir de travailler avec lui, c'est un très bon acteur. Il était très poli, savait exactement où se placer, faisait tout correctement et avait un vrai sens du show-business. Je pourrais le diriger encore aujourd’hui. Si, maintenant qu'il est Président, il me laissait le diriger, je pense que je pourrais faire des merveilles.”

Dans Celebrity, Trump jouait brièvement son propre rôle lors d’une interview avec un journaliste people sur ses projets immobiliers. Dans un rare moment d’autodérision, il déclarait : “J’essaie de racheter la cathédrale Saint-Patrick. Peut-être faire un petit chantier de démolition et construire un immeuble très, très haut et magnifique.”

Alors Woody Allen est-il un soutien du Président controversé ?

Pas du tout. Il précise dans al foulée qu’il a voté pour Kamala Harris lors de l’élection présidentielle de 2024 et qu’il est en "désaccord avec Trump sur 99 %” de ses positions. Mais devant la caméra, selon lui, l’ancien président a “un vrai charisme”.

“Je suis surpris qu’il ait voulu entrer en politique,” a-t-il ajouté. “La politique, ce n’est que des migraines, des décisions critiques et de l’angoisse. Je le voyais aux matchs des Knicks, il aimait jouer au golf, juger des concours de beauté, faire des choses agréables et relaxantes. Pourquoi vouloir soudain se plonger dans les problèmes de la politique ? Ca me dépasse.”

Et de conclure :

"Je suis en désaccord avec beaucoup, presque toutes ses idées. Mais en tant qu’acteur, il a été très professionnel, très agréable, très poli avec tout le monde. Comme je le dis, j’aimerais le diriger maintenant qu’il est président et prendre les décisions. Mais bon ça n’arrivera pas..."

11 août 2025

Ce jour où Emma Thompson a repoussé les avances de Donald Trump

Emma Thompson a un jour reçu un curieux coup de téléphone. L’actrice était en plein tournage de Primary Colors, en 1998, une satire politique inspirée de l’ascension présidentielle de Bill Clinton, incarné par John Travolta. Drôle de timing, c’était aussi le jour où a été prononcé son divorce avec le cinéaste et comédien Kenneth Branagh. Et à l’autre bout du fil, « c’était Donald Trump », a raconté la star de Love Actually, lors d’une rencontre au Festival du film de Locarno, en Suisse, comme le rapporte The Guardian.

Celle qui a reçu le prix du Leopard Club, pour l’ensemble de sa carrière ce week-end, a expliqué que l’actuel président des États-Unis s’est présenté en disant : « Bonjour, ici Donald Trump ». Croyant à une blague, l’actrice a alors demandé « En quoi puis-je vous aider ? »

Mais la requête de Donald Trump, qui venait de se séparer de sa deuxième femme, Marla Maples, va quelque peu désarçonner l’actrice de Cruella.

« J’aimerais beaucoup que vous veniez séjourner dans l’une de mes magnifiques propriétés. Nous pourrions peut-être dîner ensemble », a-t-il alors lancé, selon elle. Pas de quoi impressionner la lauréate des Oscars qui a répondu : « C’est très gentil. Merci beaucoup. Je vous rappellerai. » Et ne l’a jamais fait.

Avec du recul, la star pense que l’ancien présentateur de The Apprentice a su « que (s) on jugement de divorce avait été prononcé ce jour-là » et « qu’il avait des gens qui cherchaient une jolie divorcée à présenter ». Jamais bien loin de ses engagements en faveur de l’écologie et des droits des réfugiés et des femmes, Emma Thompson a conclu : « J’aurais pu sortir avec Donald Trump, et j’aurais eu une histoire à raconter. J’aurais pu changer le cours de l’histoire américaine. »

17 juin 2025

Cette séquence de Donald Trump avec son épouse Melania exhumée à l'occasion de la parade régale la Toile !

Ébloui par le défilé du 14 juillet auquel il avait été convié par le président Emmanuel Macron, Donald Trump s'était mis à rêver d'avoir lui aussi sa grande parade militaire. Après avoir tenté sans succès, à plusieurs reprises, de faire voter le budget, il est enfin parvenu à obtenir ce qu'il désirait. Le jour de ses 79 ans, ce 14 juin, le président et Melania son épouse de 24 ans sa cadette étaient en tribune à quelques pas de la Maison-Blanche pour assister à la reconstitution de 250 ans d'histoire militaire made in USA. C'est derrière une vitre pare-balles que le 47e président des Etats-Unis et la First Lady ont assisté au spectacle qui a laissé aux témoins de l'évènement une sensation mitigée.

De nombreux habitants de la capitale avaient quitté la ville, ne voulant pas, par leur présence, donner une impression de succès de l'initiative. Dans le pays, la contestation contre la politique du président a donné de la voix sous la bannière "No Kings" (Pas de rois, ndlr). C'est face à un public clairsemé et dans une ambiance morose que le défilé a donc eu lieu. Donald Trump espérait un défilé qui montrerait la toute-puissance de la nation américaine, c'est presque celui de la 7e compagnie qui s'est offerte en spectacle. Soldats marchant de manière non coordonnée, sans enthousiasme, sans rigueur non plus. Pour beaucoup, le manque d'allant des troupes était à mettre sur le compte des coups de tronçonneuse de l'ex-ex meilleur ami de Donald Trump, le milliardaire Elon Musk, dans le budget alloué aux Vétérans. Sur les réseaux, de nombreux anciens militaires ont indiqué que selon eux, ce défilé très mou du genou était une sorte de doigt d'honneur adressé au président par des troupes remontées contre sa politique.

Alors que le sourire de Donald Trump s'effaçait progressivement au fil du temps, les internautes ravis faisaient de piquants commentaires. Un internaute a même exhumé une vieille séquence du couple Trump saisie en 2017 (à retrouver ci-dessous), et l'image a refait le tour de la Toile comme une trainée de poudre : "Trouvez vous quelqu'un qui vous aime comme Melania aime Donald Trump", "Lol, elle est très manifestement écoeurée par lui, c'est hilarant", "Parfois je me demande si je ne devrais pas avoir de la peine pour 'Mélanome'. Puis je reprends mes esprits", "Nous ne le supportons pas non plus, Melania, mais au moins tu es bien payée pour supporter ce crapaud orange", "C'est manifeste, elle le DÉTESTE" pouvait-on lire sur X.

"Je veux toujours savoir ce qu'il lui a dit le jour de son investiture en 2016 qui l'a tant dégoûtée. Pas étonnant qu'elle préfère être à NYC où il ne va plus que rarement " a déclaré un autre se remémorant une séquence qui avait également connu un grand retentissement.

La maman de Barron Trump est encore très jeune et pourtant elle a déjà de troublants problèmes de mémoire. Elle a en effet confié deux versions différentes de son premier date avec le sulfureux homme d'affaires. Dans les colonnes de Harper's Bazaar elle se remémorait une rencontre lors d'un gala durant lequel Donald Trump pourtant déjà en galante compagnie aurait désespérément essayé de lui soutirer son téléphone avant qu'elle ne le mette au pas en lui disant que c'est elle qui l'appellerait. "Je voulais voir quel genre de numéro il me donnerait - si c'était un numéro professionnel, de quoi serait-il question ? Je ne comptais pas faire affaire avec lui." Le magnat de l'immobilier a résolu la question en lui donnant tous ses numéros : "le bureau, Mar-a-Lago, la maison à New York, tout." Le couple serait ensuite allé dîner dans l'un des lieux les plus chics de New-York à la fin des années 90.

Dans sa seconde version de leur idylle, rapportée dans le Telegraph, Melania se rappelait plutôt une heure et demie de route en voiture à deux, pour aller visiter une résidence à Bedford que l'homme d'affaires souhaitait acquérir. Ce surprenant date immobilier aurait été fixé après une première rencontre dans les Caraïbes, où elle était en déplacement pour une séance photo de mannequinat. À chacun de choisir sa version préférée ?

06 mai 2025

Sean Penn pense que Donald Trump « pourrait tenter de détruire le monde »

Sean Penn n’a pas pour habitude de mâcher ses mots. L’acteur est le producteur exécutif de Words of War, qui raconte l’histoire de la journaliste russe Anna Politkovskaïa, assassinée devant l’ascenseur de son appartement à Moscou en 2005.

Un « récit édifiant pour nous tous », pas si éloigné de la vie politique américaine que l’on pourrait le penser selon lui.

« Ceux qui pensent que cela ne peut pas arriver ici n’ont pas étudié les signes qui indiquent que cela arrivera, à moins que les gens ne s’impliquent et ne s’informent » a-t-il ainsi assuré dans le podcast The Jim Acosta Show.

« Nous goûtons dans notre pays à ce que les Russes ont vécu », a averti l’acteur de Daddio. « Nous devrions envisager les pires scénarios », estime-t-il au sujet de l’actuel président des Etats-Unis Donald Trump, qui « pourrait tenter de détruire le monde avant la fin de sa vie ».

Car, selon Sean Penn, le locataire de la Maison-Blanche a tout « d’un conjoint qui quitte son partenaire, peut-être pour quelqu’un d’autre, et qui assassine ensuite son ancien partenaire parce que s’il ne peut pas l’avoir ». Rien à voir avec une volonté aveugle de servir son pays ; le mantra de Donald Trump, selon Sean Penn, serait plutôt : Après moi, le déluge.

« Je pense que Donald Trump et son solipsisme ont peut-être cette relation avec le monde et que cette destruction est en partie un jeu de pouvoir, mais aussi une intention littérale de sa sortie finale », confirme Sean Penn.

D’où le « courage » indispensable des journalistes, selon l’acteur de 65 ans. Quand c’est le cas, « le journalisme devient un organe vital de la démocratie », martèle celui qui a récemment officialisé avec Valeria Nicov, mannequin d’origine moldave.

Donald Trump veut taxer à 100% les films produits à l'étranger

En janvier dernier, Donald Trump nommait Sylvester Stallone, Jon Voight et Mel Gibson "ambassadeurs spéciaux" d'Hollywood. Un poste initialement honorifique dans une industrie qualifiée par le Président américain de "très troublée". Cependant, Jon Voight, le père d'Angelina Jolie, a pris ce rôle au sérieux.

Selon le média américain Deadline, l'acteur de 86 ans, lauréat de l'Oscar du meilleur acteur pour Retour en 1979, a rencontré plusieurs représentants syndicaux, dont la Directors Guild of America, ainsi que des dirigeants de studios pour comprendre les défis auxquels est confrontée la production cinématographique nationale.

Suite à son rapport, Donald Trump a décidé d'instaurer des droits de douane de 100 % sur les films étrangers. Dans un message publié sur son réseau social Truth Social, le président américain a déclaré : "L'industrie cinématographique américaine est en train de mourir très rapidement. D'autres pays offrent toutes sortes d'incitations pour attirer nos cinéastes et nos studios loin des États-Unis.

Hollywood et de nombreuses autres régions des États-Unis sont dévastées. Il s'agit d'un effort concerté de la part d'autres nations et, par conséquent, d'une menace pour la sécurité nationale."

Il ajoute : "Il s'agit, en plus de tout le reste, de messages et de propagande ! Par conséquent, j'autorise le ministère du commerce et le représentant des États-Unis pour le commerce à entamer immédiatement le processus d'instauration d'un droit de douane de 100 % sur tous les films entrant dans notre pays et produits à l'étranger. NOUS VOULONS DES FILMS PRODUITS EN AMERIQUE, A NOUVEAU !"

On ignore encore quelles seront les conditions d'application de ces surtaxes. Cette annonce concerne les films étrangers, mais également les films américains tournés à l'étranger, à l’instar de nombreuses productions Marvel qui bénéficient de crédits d’impôt dans divers pays.

05 mai 2025

Donald Trump a trouvé le moyen de s’en prendre encore à Taylor Swift

Donald Trump ne rate décidément pas une occasion de s’en prendre à Taylor Swift. Lors d’une cérémonie organisée à la Maison-Blanche pour célébrer la victoire des Eagles de Philadelphie au Super Bowl 2025, le président américain est parvenu à glisser une pique à l’encontre de la pop star.

Premier président en exercice à avoir assisté à un Super Bowl, Donald Trump est revenu sur ce match « incroyable » qui s’est déroulé le 9 février dernier à la Nouvelle-Orléans, et lors duquel les Eagles ont battu les Chiefs de Kansas City emmenés par Travis Kelce, le petit ami de la chanteuse.

« J’étais là, avec Taylor Swift », a lancé, d’après People, Donald Trump devant son auditoire. « Comment ça s’est passé pour elle ? », a-t-il répété sous les rires de la foule.

Un nouveau tacle qui intervient après que le locataire de la Maison-Blanche avait déjà publiquement affiché son aversion pour la chanteuse en septembre dernier, postant « JE DÉTESTE TAYLOR SWIFT ! » sur son réseau Truth Social à la suite du soutien affiché de la star à Kamala Harris durant l’élection présidentielle.

05 février 2025

Jeanne Mas citoyenne américaine : son avis tranché sur la politique de Donald Trump

Elle a quitté la France il y a bien longtemps. Ce mardi 4 février, Jeanne Mas était l’invitée de Pascal Praud, sur Europe 1. Au cours de cet entretien, la chanteuse a abordé plusieurs sujets. Si elle est sans surprise revenue sur sa carrière artistique, l’interprète de Toute première fois a aussi évoqué son rapport à la mort. Avant de conclure avec l’artiste, Pascal Praud a voulu en savoir plus sur sa vie actuelle : “Quelle est votre vie aujourd’hui ? Vous vivez en France ? Vous vivez à Paris ? Vous vivez en Italie ?”, s’est-il interrogé.

Jeanne Mas a alors expliqué qu’elle était installée outre-Atlantique depuis de nombreuses années. “Je vis aux États-Unis depuis vingt ans. Je viens vous voir de temps en temps”, a-t-elle indiqué, précisant qu’elle habitait à Phoenix. Désireux d’en savoir plus, Pascal Praud a demandé à son invitée si elle s’intéressait à l’actualité aux États-Unis, plus particulièrement à la politique menée par Donald Trump. “Il faut s’intéresser à ce qui se passe dans le monde ! C’est l’avenir des hommes, c’est l’avenir des animaux, de notre planète... C’est très important de suivre ce qui se passe”, a estimé la chanteuse. “Vous êtes une citoyenne américaine, donc vous avez peut-être voté lors des dernières élections ?”, lui a ensuite demandé l’animateur d’Europe 1. “Pour l’avortement. Qui est un droit”, a-t-elle indiqué, laissant entendre qu’elle n’était pas favorable aux idées du nouveau président des États-Unis.

Le 20 janvier dernier, Donald Trump a été officiellement investi comme 47ème président des États-Unis. Mais pour la première fois depuis 40 ans, la cérémonie d’investiture, pourtant très millimétrée, ne s’est pas déroulée comme à l’accoutumée. Donald Trump a demandé à ce qu’elle soit faite à l’intérieur du Capitole, plutôt qu’à l’extérieur, a révélé l’agence de presse Reuters.

Et pour cause, les températures devraient être glaciales. “Un vent arctique balaie le pays. Je ne veux pas que des gens soient blessés, de quelque manière que ce soit”, a déclaré le mari de Melania Trump sur sa plateforme Truth Social. “C’est pourquoi j’ai ordonné que le discours d’investiture, ainsi que les prières et autres discours, soient prononcés dans la rotonde du Capitole des États-Unis”, a ajouté le successeur de Joe Biden.

02 février 2025

Madonna encourage ses fans à ne pas « abandonner le combat » face à Donald Trump et son administration

Fidèle à son engagement pour les libertés individuelles, Madonna n’a pas tardé à réagir aux premières mesures de la nouvelle administration Trump.

« C’est si triste de voir notre nouveau gouvernement démanteler lentement toutes les libertés pour lesquelles nous nous sommes battus et que nous avons GAGNÉES au fil des ans », a-t-elle écrit sur X, ajoutant un drapeau LGBT+ et un émoji cœur brisé à son message.

Un post accompagné d’un selfie et qui se termine sur un appel à la résistance.

Depuis son retour à la Maison-Blanche, Donald Trump a signé de nombreux décrets dont certains visent à supprimer les postes liés à l’équité et à la diversité dans les départements gouvernementaux, à interdire aux personnes transgenres de servir dans l’armée, et à n’autoriser que deux genres, les sexes donnés à la naissance - masculin et féminin - sur les passeports et autres documents officiels.

28 janvier 2025

Selena Gomez en larmes après les ordres d’expulsion de Donald Trump

Selena Gomez a dévoilé son immense tristesse dans une vidéo dans ses Stories Instagram – depuis supprimée – face aux raids ordonnés par Donald Trump contre les migrants en situation irrégulière. Dès son retour au pouvoir le 20 janvier dernier, le 47e président des États-Unis a exhorté les agents de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) à arrêter et déporter toutes les personnes concernées, y compris dans des lieux dits « sensibles », comme les écoles, églises et hôpitaux, où ce type d’action était autrefois limité.

Ces ordres ont donné lieu à des images d’arrestations qui ont rapidement fait le tour de la Toile, tandis que Donald Trump soumettait en parallèle la Colombie à un bras de fer pour accepter le retour de ses ressortissants en situation illégale sur le sol américain. De son côté, Selena Gomez, qui a des origines mexicaines du côté de son père, a vu en cette situation « une attaque » de son « peuple » et n’a pu retenir son émotion. « Je voulais juste dire que je suis tellement désolée. Mon peuple se fait attaquer… Les enfants… Ils ne comprennent pas », a-t-elle lancé dans une vidéo montrant son visage profondément marqué par la tristesse.

« Je suis tellement navrée. J’aimerais pouvoir faire quelque chose, mais je ne peux pas. Je ne sais pas quoi faire », a-t-elle confié, la main tremblante au moment d’essayer ses larmes, avant d’ajouter : « Je vais tout essayer, je le promets ». Son cri du cœur ne semble toutefois pas avoir sensibilisé toute sa communauté, puisque la star d’Emilia Pérez a fini par le remplacer par un message : « Apparemment, ce n’est pas bien de montrer de l’empathie pour les gens ».

Donald Trump s’était engagé durant sa campagne présidentielle à s’attaquer à l’immigration illégale en expulsant en masse les migrants clandestins, en particulier dans les grandes villes et dans le sud du pays, près de la frontière mexicaine. L’élu a rapidement mis sa promesse à exécution, faisant expulser des centaines de personnes depuis son investiture la semaine dernière. « L’opération de déportation de masse la plus importante de l’Histoire est en cours », a posté la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, sur X/Twitter le 23 janvier.

21 janvier 2025

Les stars réagissent au décret de Donald Trump pour reconnaître « deux genres seulement »

En annonçant la signature d’un décret reconnaissant légalement « seulement deux genres, le masculin et le féminin », Donald Trump lançait un message clair à la communauté LGBTQ+ ainsi qu’aux stars qui défendent depuis longtemps les minorités de genre – et qui sont souvent les mêmes qui dénoncent ses propos et contre-vérités.

Eh bien, gage que le message est passé, puisque les célébrités ont été nombreuses à lui répondre. En tête de file, on retrouve Ariana Grande, qui a partagé, en Story Instagram, un message de Matt Bernstein. Le podcasteur rappelle que « les personnes queer et trans existaient avant Donald Trump et continueront d’exister après sa mort ».

Et de s’adresser directement au nouveau Commandant en Chef : « Le soleil se fiche que vous signiez un décret lui interdisant de se lever chaque matin, il le fera quand même ».

Un message qu’a également partagé Demi Lovato, qui a depuis longtemps annoncé être non binaire, ainsi que plusieurs autres, dont celui du chanteur country Chris Housman : « Ne laissez pas les ténèbres des autres éteindre votre lumière ».

Garbage a également rappelé sur Instagram que les personnes « queer, trans et non binaires existent depuis la nuit des temps ». Et de leur apporter son soutien, précisant que « seule une personne sans éducation ou cruelle par plaisir » peut penser que la communauté LGBT+ doit disparaître.

Lizzo, de son côté, s’adresse à ceux « qui peuvent avoir peur ou être déçu et triste ». La chanteuse de Truth Hurts estime qu’il est temps de se rassembler et de « ne pas laisser ce qu’il se passe dans le monde changer votre monde ». « Souvenez-vous de la valeur d’avoir un cœur pur et d’être une bonne personne », a-t-elle ajouté dans sa longue vidéo sur ses réseaux sociaux.

Une fois n’est pas coutume, Donald Trump s’est un peu emmêlé les pinceaux lors de son discours d’investiture en mélangeant « sexe » (biologique) et « genre ». Son administration a donc dû clarifier (via BBC) ce que contient le décret : la reconnaissance de deux sexes – terme que devront exclusivement utiliser les employés de la fonction publique – le masculin et le féminin, et l’impossibilité d’en changer.

Une clarification qui ne semble pas avoir fait mouche du côté de Caitlyn Jenner, qui a félicité Donald Trump pour son investiture qu’il doit, selon elle, à « Dieu ». Certains internautes ont tout de même eu l’amabilité de lui expliquer ce que cela signifie. « Il vient d’ordonner au gouvernement de t’appeler Bruce », lui a ainsi précisé l’activiste américaine Olivia Julianna.

Caitlyn Jenner est née Bruce Jenner et a annoncé sa transition en avril 2015. Celle qui a été mariée à Kris Jenner, avec qui elle a deux enfants, Kendall et Kylie Jenner, avait documenté sa vie en tant que femme sans se cacher - ce qu’elle considérait comme une libération - dans une téléréalité, I Am Cait (soit Je m’appelle Cait, en français).

09 janvier 2025

Donald et Melania Trump snobés aux obsèques de Jimmy Carter : cette vidéo qui crée des remous

Ce jeudi 9 janvier, Donald et Melania Trump ont assisté aux obsèques de Jimmy Carter à Washington. Après avoir salué son ancien vice-président Mike Pence, le futur locataire de la Maison Blanche a littéralement été ignoré par l’épouse de ce dernier.

Un ultime adieu. Le 29 décembre 2024, Jimmy Carter a rendu son dernier souffle à l’âge de 100 ans. À l’issue de cette triste nouvelle, un deuil national de six joursa été organisé en l’hommage du 39ème président des États-Unis. Après un temps de recueillement devant le Capitole de Géorgie, puis à Washington, les funérailles de l’époux de la regrettée Rosalynn Carter se sont déroulées ce jeudi 9 janvier. Dès lors, de nombreuses personnalités politiques n’ont pas hésité à faire le déplacement afin de rendre hommage à l’ancien locataire de la Maison blanche. Aux côtés d’environ 3.000 personnes, cinq présidents américains ont pris place dans l’édifice religieux. Après Barack Obama, George W. Bush, Joe Biden et Bill Clinton, Donald Trump est arrivé main dans la main avec son épouse Melania. Avant de s’installer au premier rang, celui qui sera bien investi à la tête du pays a pris le temps de saluer ses pairs. Si Mike Spence a accepté la poignée de main du magnat de l’immobilier, il en est tout autre pour son épouse Karen. Au moment où le père de Barron Trump s’est approché d’elle, la femme de l’ancien Vice-président l’a totalement ignoré, en témoigne une vidéo dévoilée par The Dailymail sur son compte X. Contrairement à son mari, cette dernière est restée assise et a à peine lancé un regard à Donald Trump. 

Il faut dire que leurs relations sont quelque peu tendues entre les deux clans.. En mars 2024, Mike Pence a catégoriquement refusé d’apporter son soutien à l’ex-mari d’Ivana Trump pendant sa campagne présidentielle. “Je ne peux pas, en bonne conscience, soutenir Donald Trump dans cette campagne”, justifiait le républicain à Fox News, accusant M. Trump de proposer “un programme qui est en contradiction avec le projet conservateur que [les républicains] mis en place durant quatre ans”, comme l’a rapporté Le Monde . Outre cette mésentente idéologique, l’assaut du Capitole en janvier 2021 a ébranlé l’entente entre les deux hommes. “Ce jour-là, M. Pence dirigeait, en tant que vice-président, la séance au Congrès, lors de laquelle les élus devaient certifier la victoire de Joe Biden à la présidentielle de 2020. M. Pence n’avait qu’un rôle protocolaire, mais M. Trump avait insisté pour qu’il refuse de valider l’élection du démocrate (...) Entrés par la force dans le Capitole, certains avaient appelé à ‘pendre’ M. Pence, qui avait dû se cacher à la hâte”, ont rappelé nos confrères. Par la suite, la candidature du gouverneur de l’Indiana aux primaires républicaines n’a fait que raviver les tensions. Le clap de fin des années de loyauté indéfectible.

18 novembre 2024

Eva Longoria : Après la victoire de Trump, le maire de Charleville-Mézières offre « l’asile » à l’actrice

L’info n’est pas tombée dans l’oreille d’un (admirateur) sourd : après que l’actrice Eva Longoria eut quitté les États-Unis – qu’elle qualifie de « dystopiques » depuis l’élection de Donald Trump –, le maire de Charleville-Mézières a proposé de l’accueillir, rapporte L’Ardennais.

« Je propose de donner l’asile à Eva Longoria dans notre bonne ville de Charleville-Mézières, aux portes de la forêt des Ardennes et de France », a facétieusement déclaré l’élu (LR) Boris Ravignon, avant d’assurer : « Je peux lui garantir que jamais Donald Trump ne viendra l’y importuner ! »

Il s’agit bien sûr d’une blague, la cité de la région Grand-Est n’ayant que peu de chances d’attirer l’actrice de la cultissime série Desperate Housewives, qui a soutenu la candidate démocrate Kamala Harris lors des dernières élections présidentielles américaines et vit actuellement entre Espagne et Mexique avec sa famille.

Pour mémoire, Eva Longoria avait fait part de sa déception dès la victoire de Trump connue, déclarant être choquée « qu’un criminel condamné qui crache autant de haine puisse occuper la plus haute fonction » ; avant d’ajouter, fataliste : « S’il tient ses promesses, ce pays va devenir effrayant ».