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18 novembre 2024

Eva Longoria : Après la victoire de Trump, le maire de Charleville-Mézières offre « l’asile » à l’actrice

L’info n’est pas tombée dans l’oreille d’un (admirateur) sourd : après que l’actrice Eva Longoria eut quitté les États-Unis – qu’elle qualifie de « dystopiques » depuis l’élection de Donald Trump –, le maire de Charleville-Mézières a proposé de l’accueillir, rapporte L’Ardennais.

« Je propose de donner l’asile à Eva Longoria dans notre bonne ville de Charleville-Mézières, aux portes de la forêt des Ardennes et de France », a facétieusement déclaré l’élu (LR) Boris Ravignon, avant d’assurer : « Je peux lui garantir que jamais Donald Trump ne viendra l’y importuner ! »

Il s’agit bien sûr d’une blague, la cité de la région Grand-Est n’ayant que peu de chances d’attirer l’actrice de la cultissime série Desperate Housewives, qui a soutenu la candidate démocrate Kamala Harris lors des dernières élections présidentielles américaines et vit actuellement entre Espagne et Mexique avec sa famille.

Pour mémoire, Eva Longoria avait fait part de sa déception dès la victoire de Trump connue, déclarant être choquée « qu’un criminel condamné qui crache autant de haine puisse occuper la plus haute fonction » ; avant d’ajouter, fataliste : « S’il tient ses promesses, ce pays va devenir effrayant ».

22 août 2024

Beyoncé menace de mettre en demeure Donald Trump après l’utilisation de l’un de ses titres

Beyoncé prête à attaquer. La chanteuse a menacé de mettre en demeure Donald Trump après qu’un de ses morceaux a été utilisé sans son consentement dans un clip de campagne du candidat républicain à la prochaine présidentielle américaine. L’équipe de l’ex-président a partagé mardi une vidéo du milliardaire descendant d’un avion dans l’État du Michigan sur fond du titre Freedom, qui est aussi le morceau de campagne non officiel de son adversaire, Kamala Harris.

Une source proche de Beyoncé a rapporté à Rolling Stone que l’équipe de Donald Trump n’avait pas reçu la permission d’utiliser le morceau dans le clip posté par Steven Cheung, porte-parole de la campagne républicaine. La vidéo a depuis été retirée. Or, Kamala Harris, elle, avait bien obtenu la permission de l’icône du RnB.

En début de semaine, l’équipe de la candidate démocrate a dévoilé une publicité, narrée par l’acteur Jeffrey Wright, dans laquelle figurait le morceau de la star de 42 ans. « Quel genre d’Amérique voulons-nous. Une Amérique où nous sommes divisés, en colère, déprimés ? Nous sommes des Américains ! Le fascisme ? Nous l’avons vaincu. La lune ? On a atterri dessus. L’avenir ? Nous le construisons. La liberté ? Personne ne l’aime plus », a scandé la star de Hunger Games dans le clip.

Ce n’est pas la première fois que l’équipe de Donald Trump utilise des morceaux sans la permission des artistes. Au début du mois, Céline Dion les a publiquement interpellés après la diffusion de son tube My Heart Will Go On lors d’un ralliement républicain dans le Montana.

« Cette utilisation n’est en aucun cas autorisée et Céline Dion n’approuve pas cette utilisation ou toute autre utilisation similaire… Et vraiment, CETTE chanson ? », a ironisé l’équipe de la chanteuse québécoise dans une déclaration postée en ligne.

19 avril 2024

Procès de Donald Trump : un homme tente de s’immoler par le feu devant le tribunal

Des images qui ont fait le tour des médias. Depuis le lundi 15 avril, Donald Trump comparaît au tribunal de Manhattan. L’ancien président des États-Unis est poursuivi pour des paiements destinés à acheter le silence de l'ancienne star de films X Stormy Daniels, à quelques jours du scrutin de 2016 qu'il avait remporté face à Hillary Clinton. Alors que les noms des douze jurés titulaires et six suppléants ont été dévoilés ce vendredi 19 avril, une scène d’effroi s’est déroulée dans le parc, devant le palais de justice new yorkais. Une personne a tenté de s'immoler par le feu comme l’a rapporté BBC News. “Les journalistes quittant le palais de justice ont été accueillis par les feux clignotants des ambulances et le hurlement des sirènes”, a décrit la reporter Kayla Epstein. Avant de donner plus de détails sur ce drame : “On peut encore voir de la fumée à l’endroit où la personne s’est immolée par le feu, et l’air dégage une odeur âcre. Il y a des débris brûlés et ce qui semble être quelques morceaux de papier ou des dépliants éparpillés à proximité. Le parc est fermé et quelques dizaines de policiers sont déjà sur place. J'ai compté au moins quatre ambulances autour du parc.”

Face à cet amas de fumées, les policiers se sont empressés d’intervenir. À l’aide d’un extincteur, ces derniers ont réussi à éteindre les flammes. “Très grièvement brûlé”, l’homme a été rapidement pris en charge et transporté “dans un état critique vers un hôpital voisin”, révèle BBC News. Les services d’urgences avaient reçu un appel aux alentours de 13h37 (heure locale). Présente au moment des faits, une résidente est revenue sur cet incident : “Il s'est aspergé deux fois. Tout cela s'est passé si vite, et il m'a fallu tellement de temps pour rattraper mon retard – un peu comme le tremblement de terre, il m'a fallu environ 20 secondes pour comprendre ce qui se passait”, raconte Julie Berman, ajoutant que l’homme a passé sa semaine au tribunal. Pour l’heure, les motivations de ce dernier restent inconnues. “On ne sait pas si le moment était intentionnel ou pourquoi l'homme protestait”, indique le compte X de Red White et and True News. Quelques minutes après l’incendie, Donald Trump a quitté le tribunal, entouré d’un service de sécurité.

Une absence qui n’est pas passée inaperçue. Si elle était au côté de son époux lors d’une collecte de fonds républicaine à Palm Beach, le 6 avril dernier, Melania Trump n’était pas présente dans la salle d’audience pour assister au procès historique de son époux, comme l’a rapporté The New York Times. “Elle a longtemps évoqué en privé le cas impliquant Stormy Daniels comme ‘son problème’ et non le sien”, a rappelé le tabloïd américain.

Malgré tout, l’ancienne First Lady soutient fermement son époux dans cette affaire. Selon certains de ses proches, la mère de Barron Trump partage son point de vue et considère ce procès comme “injuste”. Après avoir brillé par son absence, l’ex-mannequin pourrait être amenée à quitter sa villa de Mar-a-Lago en Floride dans les prochains jours. En effet, lors de la première journée du procès, le juge Juan M. Merchan a déclaré que Melania Trump “pourrait figurer parmi les témoins potentiels” a indiqué The New York Post. Pour Stephanie Grisham, ex-attachée de presse de Melania Trump, son témoignage pourrait avoir un rôle crucial dans la course à la Maison Blanche de Donald Trump.

01 mars 2024

"L'idée que ce type soit un homme du peuple est risible" : la réponse de George Clooney à Donald Trump

Condamné par un tribunal de New York à payer 354 millions de dollars d'amende pour avoir massivement falsifié la valeur de ses propriétés afin d'obtenir des prêts favorables des banques et des taux préférentiels de la part des compagnies d'assurances, Donald Trump est dans l'oeil du cyclone judiciaire depuis un moment.

En additionnant le montant des dommages et intérêts dont il a écopé jusqu'ici au cours des divers procès, l'ex locataire de la Maison Blanche doit même débourser 500 millions de dollars. Et il est engagé dans une course contre la montre : il n'a en effet que 25 jours pour trouver la somme, faute de quoi ses biens et avoirs seront saisis à hauteur de cette somme, ce qui devrait logiquement être dévastateur pour son empire.

Une actualité judiciaire compliquée pour lui donc, ce qui ne l'empêche pas de sillonner le pays en battant le rappel de ses troupes pour le porter une nouvelle fois à la Maison Blanche en novembre prochain. Parmi ses cibles fétiches figurent en bonne place ceux et celles qu'il appelle les "élites d'Hollywood", dont George Clooney.

Dans le passé, Clooney n'avait pas manqué de tacler Trump, dès 2017. "Être une célébrité ne suffit pas pour être un bon président" avait-il dit. L'acteur a répondu tout récemment aux nouvelles attaques de Trump, dans un billet saignant et bien senti, dont voici la teneur.

"Voici le truc : j'ai grandi dans le Kentucky. Je vendais des assurances en porte-à-porte. Je vendais des chaussures pour femmes. Je travaillais dans un magasin d'alcool ouvert toute la nuit. J'achetais des costumes trop grands et trop longs, dont je coupais et enlevais le bas pour faire des cravates, afin d'avoir une cravate pour aller aux entretiens d'embauche. J'ai grandi en comprenant ce que c'était que de ne pas avoir d'assurance maladie pendant huit ans.

Donc cette idée que je suis en quelque sorte «l'élite hollywoodienne» et que ce type qui chie dans des toilettes en or est en quelque sorte l'homme du peuple est risible.

Les gens à Hollywood sont pour la plupart des gens du Midwest qui ont déménagé à Hollywood pour faire carrière. Cette idée d’«élites côtières» vivant dans une bulle est donc ridicule. Qui vit dans une plus grosse bulle ?

Il vit dans une tour d'or et compte douze personnes dans sa compagnie. Il ne dirige pas une entreprise de centaines de milliers de personnes qu’il emploie et dont il prend soin. Il dirigeait une entreprise de douze personnes !

Lorsque vous réalisez un film, vous avez sept syndicats différents qui veulent tous des choses différentes, vous devez trouver un consensus avec chacun d'entre eux et vous devez les faire avancer dans la même direction.

Il n’a jamais eu à faire ce genre de choses. Je viens de le regarder et je ris quand je le vois dire «élite hollywoodienne». L'élite hollywoodienne ? Je n'ai pas d'étoile sur Hollywood Boulevard, Donald Trump a une étoile sur Hollywood Boulevard ! Va te faire foutre!"

George Clooney

Acteur, philanthrope, humanitaire et activiste

28 décembre 2023

"S'ils m'ont gardé, c'est que j'étais génial dedans !" Donald Trump tacle le réalisateur de Maman, j'ai encore raté l'avion

Donald Trump Vs le reste du monde. Ou plutôt contre Chris Columbus, le réalisateur de Maman, j'ai encore raté l'avion. Dans un entretien accordé à Business Insider...en décembre 2020, le cinéaste livrait quelques anecdotes de tournage à propos du film, revenant notamment sur le fameux caméo du futur président des Etats-Unis.

"Dans la plupart des lieux new-yorkais, vous pouvez payer pour avoir le droit de tourner quelque part. On a donc contacté l’hôtel Plaza, que Donald Trump possédait à l’époque, car nous voulions tourner une scène dans le hall. C’était impossible pour nous de le reconstruire en studio. Donald Trump a accepté, on a payé pour pouvoir tourner, mais Donald Trump a ajouté : "La condition pour que vous puissiez utiliser le Plaza est que j’apparaisse dans le film".

Trois ans plus tard (c'est dire le retard à l'allumage...), Donald Trump a donc réagi sur sa plateforme Truth Social, lâchant que Chris Columbus et la production du film l'avaient au contraire "supplié pour qu'il fasse un caméo dans le film".

"Ils ont loué le Plaza Hotel à New York, dont j'étais propriétaire à l'époque. J’étais très occupé et je ne voulais pas le faire. Ils étaient très gentils, mais surtout insistants", a écrit Trump. "J’ai accepté, et le reste appartient à l’histoire ! Cette petite apparition a décollé comme une fusée et le film a été un grand succès, et l'est toujours, surtout à l'approche de Noël. Les gens m'appellent chaque fois que c'est diffusé".

"Nous avons accepté de le mettre dans le film, et lorsque nous l'avons projeté pour la première fois, la chose la plus étrange s'est produite : les gens ont applaudi lorsque Trump est apparu à l'écran. Alors j’ai dit à mon monteur : "Laissez-le dans le film". C’est un moment [fun] pour le public.’ Mais il a vraiment fait des pieds et des mains pour apparaître dans le film" lâchait Columbus dans l'interview.

Trump faisant le forceur ? "Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité" tacle l'aspirant candidat aux prochaines élections présidentielles de 2024. "Ce caméo a contribué au succès du film, mais s’ils se sentaient intimidés ou ne voulaient pas de moi, pourquoi m’ont-ils mis dedans et gardé [dans le film] depuis plus de 30 ans ? Parce que j’étais, et je suis toujours, génial pour le film, c’est pour ça ! Et modeste, donc.

05 décembre 2023

Première photo de Sebastian Stan en Donald Trump

De la star du rock Tommy Lee dans la série Disney+ Pam & Tommy à... Donald Trump ! Sebastian Stan, notamment connu pour son interprétation de Bucky Barnes dans l'univers Marvel, prête ses traits à l'ancien président des États-Unis dans sa jeunesse.

Le tournage a commencé à Toronto et de premières images de son étonnante transformation ont commencé à circuler, via Page Six.

Le film est intitulé The Apprentice, en référence à la série de téléréalité NBC animée par Donald Trump. Il est mis en scène par Ali Abbasi, remarqué en 2022 pour son puissant thriller Les Nuits de Mashhad.

Le scénario est signé Gabriel Sherman. Le scénariste avait notamment écrit la biographie du fondateur de Fox News, Roger Ailes. L'ouvrage avait servi de base à la mini-série The Loudest Voice, mettant en vedette Russell Crowe.

L'histoire est décrite comme "une exploration du pouvoir et de l’ambition, se déroulant dans un monde de corruption et de tromperie". Le récit brossera le portrait de Donald Trump dans les années 70 et 80 avec en toile de fond ses affaires immobilières à New York.

Le film explorera aussi sa relation avec sa première épouse, Ivana Trump, qui sera incarnée par Maria Bakalova (Les Gardiens de la Galaxie 3). Jeremy Strong, héros de Succession, enfilera le costume de Roy Cohn, l'avocat de Trump.

La production n'a pas encore communiqué de date de sortie. En attendant, Sebastian Stan est en ce moment à l'affiche de Dumb Money, (bande-annonce ci-dessus), en salles depuis le 29 novembre.

Le long-métrage relate l’incroyable histoire vraie d’un homme ordinaire et de ses followers qui ont ébranlé Wall Street en misant sur GameStop, une entreprise à laquelle personne ne croyait.

En engageant toutes ses économies sur un pari fou, Keith Gill et ceux qui décident de le suivre, vont gagner beaucoup, beaucoup d’argent : Wall Street a ses nouveaux loups. Mais ce qui enrichit les uns appauvrit les autres, et les milliardaires des fonds d’investissement ne vont pas tarder à riposter.

30 novembre 2023

Sebastian Stan va se métamorphoser en Donald Trump au cinéma

Après avoir incarné la star du rock Tommy Lee dans la série Disney+ Pam & Tommy, Sebastian Stan s'apprête à enfiler le costume d'une autre figure célèbre de l'Amérique : Donald Trump.

Le comédien de 41 ans, notamment connu pour son interprétation de Bucky Barnes dans l'univers Marvel, va donc prêter ses traits à l'ancien président des USA dans sa jeunesse.

Selon The Hollywood Reporter, le projet est intitulé The Apprentice, en référence à la série de téléréalité NBC animée par Donald Trump. L'œuvre sera mise en scène par Ali Abbasi, remarqué en 2022 pour son puissant thriller Les Nuits de Mashhad.

Le script est signé Gabriel Sherman. Le scénariste avait notamment écrit la biographie du fondateur de Fox News, Roger Ailes. L'ouvrage avait servi de base à la mini-série The Loudest Voice, mettant en vedette Russell Crowe.

L'histoire est décrite comme "une exploration du pouvoir et de l’ambition, se déroulant dans un monde de corruption et de tromperie". Le récit brossera le portrait de Donald Trump dans les années 70 et 80 avec en toile de fond ses affaires immobilières à New York.

Le film explorera aussi sa relation avec sa première épouse, Ivana Trump, qui sera incarnée par Maria Bakalova (Les Gardiens de la Galaxie 3). Jeremy Strong, héros de Succession, enfilera le costume de Roy Cohn, l'avocat de Trump.

Le tournage de The Apprentice vient de commencer et la production n'a pas encore communiqué de date de sortie. En attendant, Sebastian Stan est en ce moment à l'affiche de Dumb Money, en salles depuis le 29 novembre.

Le long-métrage relate l’incroyable histoire vraie d’un homme ordinaire et de ses followers qui ont ébranlé Wall Street en misant sur GameStop, une entreprise à laquelle personne ne croyait.

En engageant toutes ses économies sur un pari fou, Keith Gill et ceux qui décident de le suivre, vont gagner beaucoup, beaucoup d’argent : Wall Street a ses nouveaux loups. Mais ce qui enrichit les uns appauvrit les autres, et les milliardaires des fonds d’investissement ne vont pas tarder à riposter.

28 août 2023

Donald Trump inculpé pour tentative de manipulation de l'élection de 2020 : la date de son procès...

L'étau se resserre autour de Donald Trump. Le 14 août dernier, l'ancien président des États-Unis a été inculpé, aux côtés de 18 autres personnes, pour "tentative de manipulation du résultat de l'élection présidentielle de 2020 dans l'État de Géorgie". Pour rappel, l'homme d'affaires n'a jamais accepté sa défaite face à Joe Biden pour sa réélection et aurait tout tenté pour invalider, voire inverser le résultat du suffrage. Toujours sûr de sa force, le mari de Melania Trump clame son innocence et rallie ses supporters à sa cause : "Pourquoi n'ont-ils pas inculpé il y a deux ans et demi ? Parce qu'ils voulaient le faire en plein milieu de ma campagne politique. Chasse aux sorcières !" avait-il alors écrit sur son réseau social. Mais cette inculpation n'est qu'un énième épisode dans ses problèmes judiciaires, entre un procès pour avoir acheté le silence de l'actrice X Stormi Daniels, un autre pour avoir supporté l'assaut sur le Capitole en 2021, ou encore celui pour avoir conservé des documents classés secret défense.

Donald Trump a d'ailleurs fait un rapide passage par la case prison pour son fameux "mugshot" avant d'être libéré sous caution... mais ses équipes ont retourné la situation à leur avantage en récoltant plusieurs millions de dollars pour sa future campagne présidentielle grâce aux produits dérivés. Mais cela ne l'empêchera pas de se présenter à nouveau au tribunal. Ce lundi, l'AFP a en effet annoncé que la juge Tanya Chutkan, qui présidera les débats lors du procès, avait tranché quant à la date d'ouverture de ce dernier. Le 4 mars 2024, l'ancien président sera jugé par un tribunal fédéral à Washington D.C. pour sa tentative de manipulation de l'élection. Les avocats de Donald Trump avaient pourtant demandé une ouverture du procès en avril 2026, une date jugée beaucoup trop lointaine par la juge. Il ne reste donc plus que six mois à la défense pour préparer une stratégie et éviter une condamnation qui serait historique outre-Atlantique...

02 août 2023

Donald Trump inculpé pour « complot à l'encontre de l'Etat américain »

Donald Trump a été encore une fois rattrapé par la justice. Ce mardi 1er août, l'ancien président des Etats-Unis a été inculpé pour ses tentatives d'inverser les résultats de l'élection présidentielle de 2020. Comme le rapporte l'AFP, l'homme politique de 77 ans a été inculpé pour "complot à l'encontre de l'Etat américain", entrave à une procédure officielle et l'atteinte aux droits électoraux. Des faits graves qui font suite au scrutin qui avait été remporté par Joe Biden et avait été suivi, le 6 janvier 2021, par la prise d'assaut du Capitole par des partisans de Donald Trump qui s'insurgeaient de la défaite de ce dernier. Des images de chaos qui avaient fait le tour du monde. Comme le rapporte BFMTV, celui qui se présente à la prochaine présidentielle américaine en 2024, est attendu devant le juge ce jeudi 3 août. Le procureur Jack Smith, qui a lancé l'enquête contre l'ex-président, a également annoncé qu'il voulait un "procès sans délai".

Les soucis avec la justice s'accumulent donc pour Donald Trump puisqu'il s'agit de sa troisième inculpation. En juin dernier, le mari de Melania a ainsi déjà été inculpé pour détention de documents classifiés car il n'a pas restitué des documents confidentiels lors de son départ du pouvoir. En mars dernier, le milliardaire a également été inculpé pour une affaire remontant à 2016. Il a été accusé d'avoir versé 130 000 dollars à Stormy Daniels, une actrice et réalisatrice de films X, afin d'acheter son silence en raison de leur relation extra-conjugale. Une grosse somme d'argent qui proviendrait des fonds de sa campagne présidentielle. C'est la première fois qu'un ancien président était inculpé au pénal. La prochaine campagne électorale de Donald Trump s'annonce très mouvementée.

20 janvier 2023

Donald Trump accusé de viol : il confond son accusatrice… avec son ex-femme

Un procès attend prochainement Donald Trump. L'ancien président américain est concerné par deux affaires au civil, portées devant la justice par la journaliste américaine Elizabeth Jean Carroll. Dès 2019, elle a accusé l'actuel mari de Melania Trump de viol, puis de diffamation lorsqu'il l'avait traitée de menteuse, affirmant ne l'avoir jamais rencontrée. Donald Trump doit comparaître le 10 avril prochain devant un tribunal de New York, pour le volet diffamation des accusations. Il a donc été a été auditionné le 19 octobre 2022, dans son club Mar-a-Lago à Palm Beach, en Floride.

Sa déposition a été rendue publique ce mercredi 18 janvier. Alors qu'il indiquait n'avoir jamais croisé Elizabeth Jean Carroll, une photo d’un événement NBC de 1987 démontre le contraire. Donald Trump apparaît à côté de son accusatrice, alors accompagnée de son mari de l'époque. Mais, l'ex-président des États-Unis n'a pas reconnu Elizabeth Jean Carroll. "C’est Marla", aurait-il déclaré, selon des propos rapportés par CBNC. Il a alors fait référence à la comédienne Marla Maples, avec qui il fut marié entre 1993 et 1999. "Vous dites que Marla est sur cette photo ?", s'est alors étonnée l'avocate de la journaliste américaine. "C’est Marla, ouais. C’est mon épouse", a confirmé dans un premier temps Donald Trump, aussitôt contredit par sa propre avocate, Alina Habba. "Non, c'est Carroll", a-t-elle déclaré, obtenant finalement l'approbation de son client.

Les accusations de viol d'Elizabeth Jean Carroll contre Donald Trump sont intervenues durant son mandat présidentiel. C'est en 2019 que l'ex-journaliste du magazine Elle a pris la parole pour dénoncer les faits. "C’est ce que je portais il y a 23 ans quand Donald Trump m’a attaquée dans une cabine d’essayage d’un magasin Bergdorf Goodman", était inscrit en Une du New York Magazine.

Elizabeth Jean Carroll avait alors décrit la scène de viol : "Dès que la porte du vestiaire est fermée, il se jette sur moi, me pousse contre le mur, me frappe violemment la tête et pose la bouche sur mes lèvres. Je suis tellement choquée que je le repousse et recommence à rire. Il me saisit par les bras et me repousse une seconde fois contre le mur, il me serre contre le mur avec son épaule et met sa main sous ma robe de manteau et abaisse mon collant." Donald Trump a toujours nié les faits qui lui étaient reprochés. "Je n’ai jamais rencontré cette personne de ma vie. Elle essaye de vendre un nouveau livre. Cela devrait vous faire comprendre quelles sont ses motivations. Cela devrait être vendu au rayon fiction", avait réagi l'ex-magnat de l'immobilier.

26 juin 2021

Donald Trump : une enquête pénale bientôt ouverte

Depuis son départ de la Maison-Blanche, la menace pesait sur Donald Trump. Elle semble désormais se concrétiser. Le bureau du procureur de Manhattan a informé les avocats de l'ancien président américain qu'il envisageait des poursuites pénales contre la Trump Organization, rapporte ce 25 juin le New York Times. En cause ? Les avantages sociaux accordés par la société à son directeur financier, Allen Weisselberg, et d'autres cadres de l'entreprise.

La Trump Organization aurait notamment versé des dizaines de milliers de dollars pour payer les frais de scolarité de l'un des petits-enfants d'Allen Weisselberg. Elle aurait également payé des loyers d'appartements et des locations de voitures. L'enquête menée par le procureur de Manhattan, Cyrus Vance, doit désormais déterminer si ces avantages ont bien été consignés dans les livres de l'entreprise, mais également s'il n'y a pas eu de fraude fiscale.

Selon le New York Times, les avocats de Donald Trump auraient déjà rencontré les services du procureur de Manhattan pour leur faire abandonner les poursuites. En vain. Le procureur de Manhattan pourrait officialiser dès la semaine prochaine l'ouverture de l'enquête contre Allen Weisselberg et la Trump Organization, rapporte le média américain.

Une mise en accusation de la Trump Organization constituerait un nouveau coup dur pour Donald Trump. Car la société semble indissociable de l'homme d'affaires, tant dans son nom que dans les activités menées. Et une condamnation pourrait mettre en danger toutes les velléités politiques du magnat de l'immobilier. Ce dernier, fidèle à lui-même, a d'ores et déjà dénoncé une "chasse aux
sorcières" menée par Cyrus Vance.

31 mars 2021

Donald et Melania Trump plus intouchables : un juge ouvre la boîte de Pandore

La disgrâce continue pour Donald et Melania Trump et, cette fois-ci, leurs anciens collaborateurs pourraient bien les enfoncer davantage. Dans une nouvelle décision rendue ce mardi 30 mars, comme l'a confirmé le site d'informations Politico, un juge fédéral a décrété que l'accord de confidentialité signé par les employés de l'ex-président des États-Unis (embauchés dès sa première campagne en 2016) était irraisonnable sur le plan légal ou encore "inapplicable." En raison, d'abord, d'un "langage vulgaire et passe-partout" faisant de ce contrat vague et donc invalide en vertu du droit des contrats de New York.

"Quant à la portée de la disposition, elle est - en pratique - illimitée. ... Par conséquent, les employés de la campagne ne sont pas libres de parler de quoi que ce soit concernant la campagne", a développé le juge Paul Gardephe dans sa décision. En d'autres termes : "la disposition de non-divulgation est donc beaucoup plus large que nécessaire." Une muselière pour les anciens collaborateurs de Donald et Melania Trump désormais envolée. La porte est donc ouverte à toutes les confidences et, sans aucun doute, à d'autres ennuis. Stéphanie Winston Wolkoff sera sans doute ravie : en 2020, elle a revendiqué le droit d'évoquer publiquement les coulisses de l'administration Trump, dont elle a fait partie, en parlant notamment sans tabou au sujet de l'ex-First Lady.

Leur rencontre a eu lieu en 2016, lorsque Stéphanie Winston Wolkoff a été nommée conseillère non rémunérée de l'ex-mannequin slovène, à la suite de la victoire de Donald Trump face à Hillary Clinton. Ex-directrice des relations publiques pour le magazine Vogue, elle devait alors aider Melania Trump à emmenéager à la Maison Blanche, tout en la conseillant sur son portefeuille politique. Deux ans plus tard, leur collaboration a volé en éclats.

Stéphanie Winston Wolkoff a été limogée, impliquée dans un scandale lié à la cérémonie d'investiture du prédécesseur de Joe Biden. Le New York Times a accusé la proche conseillère de l'ancienne FLOTUS d'avoir empoché 1,44 millions d'euros pour cet événement. Deux ans après avoir claqué la porte du 1600 Pennsylvania Avenue - et alors qu'elle espérait conserver une relation complice avec Melania Trump - Stéphanie Winston Wolkoff était de retour sur le devant de la scène... avec un livre explosif au sujet de l'ex-Première dame.

27 février 2021

Jim Carrey a décidé de ne plus faire de caricatures de Donald Trump

Tout au long du mandat de Donald Trump, Jim Carrey a mené un projet qui lui permettait, par l’humour, de ne pas céder au découragement. Régulièrement, le comédien postait des caricatures parfois très sombres mais toujours cinglantes de l’ex-locataire de la Maison Blanche et de ses partisans. « Faire ces caricatures n’est pas un choix. Je le fais parce que je ne peux pas me contenter de regarder ce cauchemar se dérouler », avait-il déclaré en 2018 lors d’une table ronde. Mais alors que Donald Trump a tant bien que mal cédé sa place à Joe Biden, Jim Carrey a décidé de mettre fin à ce projet.

« Durant les quatre dernières années, parmi d’autres engagements, j’ai investi des efforts considérables dans cette collection de caricatures protestataires. C’est comme si nous avions traversé un océan d’indignation ensemble. Mais quelque chose me dit qu’il est temps de reposer mon crayon afin de récupérer sur le plan neurologique », a-t-il annoncé dans un communiqué dont le lien a été posté sur Twitter.

Pour Jim Carrey, il était nécessaire de dénoncer les actions de Donald Trump tant qu’il était au pouvoir. « Je pense qu’une Amérique radicalisée est une menace pour chacun de nous. Quand un fou prend le volant d’un bus chargé de passagers innocents et menace de le conduire dans un gouffre, ça a tendance à accaparer toute l’attention », s’est justifié l’humoriste.

Jim Carey a posté sa dernière caricature le 14 février. Très épuré, le dessin présentait la silhouette de Donald Trump plongée dans l’ombre, simplement éclairée par la lueur de la mèche d’un cierge magique quasiment parvenue à son terme.

07 février 2021

Dolly Parton a refusé deux fois la Medal of Freedom que voulait lui remettre Donald Trump

Par deux fois Dolly Parton s’est vue offrir la Medal of Freedom, équivalent américain de la Légion d’honneur, par Donald Trump, et par deux fois elle l’a refusée. Pour autant, les raisons de l’artiste n’avaient officiellement rien de politique. « Je ne pouvais pas l’accepter parce que mon mari était malade. Et puis ils m’ont demandé une nouvelle fois mais je n’allais pas voyager à cause du Covid », a expliqué la star de la country lors d’un passage dans l’émission de la NBC Today.

Et alors que l’administration Biden/Harris semble encline à lui délivrer également cet honneur, Dolly Parton reste hésitante. « J’ai l’impression que si je l’accepte, je vais faire de la politique, alors je ne suis pas sûre. Je ne travaille pas pour ces récompenses. Ce serait bien mais je ne suis même pas sûre de la mériter. Mais c’est un beau compliment de la part des gens de penser que je pourrais la mériter », a-t-elle ajouté.

Si l’ancien gouvernement américain et le nouveau sont aussi déterminés à honorer Dolly Parton, c’est pour sa participation financière conséquente à la recherche pour le vaccin contre le Covid-19. En effet, la star de la country a fait don d’un million de dollars dans le développement du vaccin de Moderna en avril dernier. « Je suis certaine que des millions et des millions de dollars ont été versés par de nombreuses personnes, mais je me sens fière d’avoir pris part à ce petit effort qui, je l’espère, va donner quelque chose de bien et aidera à soigner ce monde. Dieu sait que nous en avons besoin ! », a-t-elle expliqué.

Une donation efficace puisque le vaccin Moderna a été validé notamment aux Etats-Unis et dans l’Union Européenne.