Bande-annonce de La promesse verte, avec Alexandra Lamy

Carole va tenter d’extirper son fils Martin d’une condamnation à mort en Indonésie. Pour en venir à bout, cette mère désabusée va mener un combat contre les exploitants d’huile de palme, responsables de la déforestation.

La Promesse verte est un thriller écologique initié par Edouard Bergeon, réalisateur d’Au nom de la terre (2019) avec Guillaume Canet et des Fils de la terre (2012). Dans le dossier presse de son long-métrage, le cinéaste revendique son engagement écologique à travers une dénonciation audiovisuelle :

"Produire cette huile à l'autre bout du monde s'avère un désastre écologique. Elle implique une déforestation massive, terrible pour l'écosystème local et mondial - la forêt primaire est le poumon de notre planète et un rempart contre le réchauffement climatique. Elle nécessite l'utilisation massive d'engrais chimiques et de désherbants pour faire pousser les palmiers (…) C’est aussi un désastre humain pour les peuples autochtones des forêts tropicales qui se retrouvent expropriés de leurs terres ancestrales."

Au casting de ce drame familial, il y a Sofian Khammes et Alexandra Lamy, dans le rôle de la mère désemparée de Martin, joué par Félix Maoti. L'actrice s'est penchée sur son personnage, l'engagement écologique et judiciaire, d'une mère en détresse :

"J’ai tout de suite aimé le personnage : c’est une mère qui fait face à des lobbies énormes pour tenter de sortir son garçon de prison. Elle se retrouve dans une situation qui la dépasse, elle reçoit coup sur coup dans le film (...) J’adore ce genre d’anti-héroïne à laquelle tout le monde peut s’identifier. On n’est pas dans Les Marvels et les super-pouvoirs."

Le film pousse à revoir la consommation de chacun, à travers des produits du quotidien, qu'ils soient d'alimentation ou d'entretien. 

"J'essaie d’être une consommatrice responsable. Ce qui m’a parfois posé souci, car j’adore le Nutella par exemple. Au départ, je pensais d’ailleurs que seul le Nutella contenait de l’huile de palme. Mais, comme Carole, j’ai découvert que cette huile - la plus utilisée au monde ! - était partout, dans tous nos produits, de la cuisine à la salle de bain, jusqu’à la voiture. C’est fou et c’est terrible", a déclaré Alexandra Lamy.

La promesse verte sortira en salles le 27 mars 2024.

Alexandra Lamy cash sur la sexualité

Pour la première fois, Alexandra Lamy troque son costume d’actrice pour celui de réalisatrice. À 50 ans, elle signe son tout premier téléfilm, intitulé Touchées, qui retrace l’histoire et l’amitié de trois femmes victimes de violences sexuelles. Elles sont incarnées par Mélanie Doutey, Claudia Tagbo et Chloé Jouannet, qui n'est autre que la fille de la comédienne et de son ex-mari Thomas Jouannet. Alors qu’il devrait être prochainement diffusé sur TF1, le film est programmé le 23 février prochain sur la chaîne RTL TVI. À cette occasion, Alexandra Lamy a accordé une interview au magazine Ciné Télé Revue, à lire dans leur dernier numéro en kiosques depuis ce jeudi 17 février. Questionnée sur des sujets comme le féminisme ou la sexualité, l’ex-compagne de Jean Dujardin a répondu cash.

Comme elle l’a notamment confié au journal belge, parler librement de sexualité dans sa famille, "ce n’est pas tabou". Que ce soit avec ses parents ou avec sa fille plus tard, l’actrice et réalisatrice met un point d’honneur à évoquer ce sujet avec ses proches. "J’ai saoulé ma fille sur le sujet du consentement", a-t-elle indiqué. "J’ai raconté ma première fois à mes parents. J'avais 16 ans et demi", a-t-elle également déclaré, avant de raconter la scène. "7 h 30, je descends dans la cuisine, mon père fait du pain grillé et je lui dis : 'Papa, j’ai fait ma première fois hier, cela ne s'est pas bien passé…'", s’est remémoré Alexandra Lamy, en ajoutant que son papa, qui avait "déjà envie de casser la gueule" de ce garçon, l’a envoyée parler à son épouse.

"Je vais voir ma mère dans la salle de bains et elle me parle de la pilule. On entre dans un truc technique et là, je vois, dans l'encadrement de la porte, mon père qui écoute la conversation", a ensuite expliqué la grande sœur d’Audrey Lamy. Son père qui, d’un coup, lui a demandé si elle avait "fait des préliminaires", s’est rappelé l’ancienne star de la série Un gars, une fille. "On s'est mis à parler de sexualité d'une manière que je n’aurais jamais imaginée", a-t-elle poursuivi. Grâce à son papa, Alexandra Lamy a affirmé avoir compris "qu’il fallait faire attention à l'autre et que c’était important que les femmes aient une jouissance autant que les hommes", a-t-elle livré, non sans fierté.

Bande-annonce du film Le Test, avec Alexandra Lamy et Philippe Katerine

Annie (Alexandra Lamy) est heureuse. Son couple avec Laurent (Philippe Katerine) est un exemple d’harmonie. Ses deux grands, Maximilien et César, sont des garçons brillants et sensibles. Et Poupi, sa jeune ado, l’épaule sans jamais se plaindre dans l’éducation d'Antoine, le petit dernier.

La découverte d’un test de grossesse positif dans la salle de bain va tout chambouler, et être le point de départ d'une comédie fraiche et riche en situations inattendues dans cette famille, comme en atteste la bande-annonce du Test qui vient d'être dévoilée.

Le Test est le second long métrage d'Emmanuel Poulain Arnaud, coécrit par ce dernier et Noé Debré. Le film sortira en salles pour les fêtes, le 29 décembre prochain.

Le premier film d'Emmanuel Poulain-Arnaud, Les Cobayes, vient par ailleurs de sortir directement sur OCS.

Bande-annonce du film Le Sens de la famille avec Franck Dubosc et Alexandra Lamy

Cinq ans après le film de SF Arès, Jean-Patrick Benes change totalement de registre avec Le Sens de la famille. 

Cette fois, il convoque Alexandra Lamy et Franck Dubosc pour une comédie déjantée explorant le thème du "body swap".

Ce sous-genre cinématographique tourne autour de l'échange des corps. Récemment, Stéphane de Groodt et Louise Bourgoin ont permuté le leur dans L'un dans l'autre, sorti en 2017.

D'autres films sont également à citer comme Freaky Friday avec Lindsay Lohan, Echange standard avec Ryan Reynolds ou l'animé culte de Makoto Shinkai, Your Name.

Dans Le Sens de la famille, ce n'est pas seulement Lamy et Dubosc qui échangent leurs corps ! Les enfants sont aussi impliqués dans le processus. 

Tout commence un beau matin. Les Morel se réveillent avec un sérieux problème. Ils découvrent que l'esprit de chacun est coincé dans le corps d’un autre membre de la famille !

Chacha, 6 ans, est dans le corps de Papa, Papa dans le corps de son ado de fils, le fils dans le corps de la grande sœur, la grande sœur dans le corps de la mère, et la mère dans le corps de Chacha…. Vous n’avez pas suivi ? Eux non plus. Et ce n’est que le début.

"Le principe du film de "body swap", c’est de se mettre à la place de l’autre. Le héros change de corps pour vivre la vie de l’autre afin de mieux le comprendre", explique Jean-Patrick Benes dans le dossier de presse du film.

"Dans Freaky Friday, une mère et sa fille échangent leur corps et réapprennent à se comprendre. Dans Dans la peau d'une blonde, un macho apprend ce que c’est que d’être une femme. Le genre a même connu une version thriller avec Volte/Face où le gentil et le méchant échangent leur corps... Sauf qu’ils n’apprennent pas grand-chose et qu’ils continuent de s’entretuer", précise le cinéaste.

"Dans Le Sens de la famille, ce sont six personnages qui switchent et reswitchent en même temps. Du coup, évidemment, chacun découvre l’autre (et même les autres) mais ce n’est pas l’unique thème du film. On y parle surtout de la famille, du couple, de l’éducation et de toutes les désillusions et les désenchantements qui peuvent les accompagner", ajoute le réalisateur.

À noter que la comédie est écrite par Martin Douaire, créateur d'Ovni(s) sur Canal+, et Thibault Valetoux, dont la série Les Sentinelles arrive bientôt sur OCS. Jean-Patrick Benes et Allan Mauduit, collaborateurs sur Kaboul Kitchen, ont aussi participé à l'écriture.

Le Sens de la famille dès le 30 juin au cinéma !