Légende du monde de la musique, Jean-Jacques Goldman préfère exister loin des projecteurs, c’est pourquoi il s’est retiré de la scène médiatique il y a déjà plusieurs années. Mais celui qui mène désormais une vie tranquille à l’abri des regards n’hésite pas à utiliser sa notoriété pour la bonne cause. On pense notamment à l’association des Restos du cœur, pour laquelle il a officié pendant près de 30 ans, mais aussi à l’organisation caritative Bleuet de France, dont il est devenu ambassadeur.
Alors que l'œuvre vient en aide aux anciens combattants, aux victimes de guerre, aux veuves et aux orphelins, Jean-Jacques Goldman s’est exprimé dans une lettre partagée ce 11 novembre à l’occasion des commémorations de la guerre, mais aussi des attentats de Paris. En quelques lignes, l’artiste a salué le travail des forces armées.
“Nous avons peut-être eu tendance à l'oublier, mais l'actualité nous le rappelle dramatiquement chaque jour. Il me semblait important de montrer notre reconnaissance envers nos armées, ses blessés et plus généralement avec toutes les forces de sécurité qui nous protègent au quotidien”, écrit Jean-Jacques Goldman après avoir indiqué : “Pas de paix sans gardien, ni liberté sans soldat”. Puis de conclure : “Je suis heureux et fier de pouvoir aider le Bleuet de France, qui accompagne ceux qui nous protègent et leurs familles”.
En marge de cette lettre manuscrite sera dévoilé le clip de la chanson On sera là, que Jean-Jacques Goldman a composée pour les 100 ans du Bleuet de France. L’occasion de découvrir des images de l’artiste en en studio, aux côtés des chanteurs Eloïz et Yvard, interprètes de ce titre qu'ils avaient chanté lors du défilé du 14 Juillet. Un clip qui se présente comme un hommage "discret et puissant à ceux qui restent", victimes civiles et militaires des conflits armés, indique l'association Bleuet de France.







