Une affaire qui n'en finit plus de faire parler. Le 26 décembre dernier, Le Figaro a publié une tribune, signée par une soixantaine d’artistes, pour défendre Gérard Depardieu, accusé d'agressions sexuelles et de viol depuis 2020. Parmi les signataires, on retrouve notamment Victoria Abril. Sur Instagram, Lucie Lucas avait réagi à cette prise de position de l’actrice, accusant son ancienne partenaire de jeu d’avoir elle aussi eu des comportements inappropriés sur des tournages. "@victoria.abril.officiel c'est pas vrai?? ... je suis sous le choc... dis-moi que tu n'as pas fait ça?!" , s’était-elle étonnée dans les commentaires d’une publication Instagram.
"Artistes à vomir... boomers de merde... la honte sur vous!!! Je n'arrive vraiment pas à y croire ! J'ai si hâte que vous disparaissiez de nos écrans pour de bon!", avait-elle poursuivi, avant de lancer de lourdes accusations contre son ancienne partenaire de jeu. "Hein Victoria... tu veux qu'on parle de tes nombreuses agressions y compris sexuelles envers tes partenaires ? À y réfléchir, je ne suis pas surprise que tu aies signé ce torchon... tu flippes toi aussi et à y réfléchir tu as bien raison. Ça suffit le délire", avait-elle ajouté.
Vendredi 29 décembre, Lucie Lucas est revenue sur ses accusations portées contre Victoria Abril, expliquant ne pas vouloir vivre "dans un monde où la délation serait une vertu". "Les médias, les réseaux sociaux et la violence des prises de position sans nuances nous poussent à des comportements dignes du Far west… J’y ai cédé moi aussi, j'ai tiré à vue sur Victoria Abril et je n’en suis pas fière", a-t-elle reconnu. "Si vous pensez que ça ne me fait pas mal d’avoir accusé Victoria, vous vous trompez. Elle m’a en grande partie formée en tant que comédienne et m’a soutenue dans des moments difficiles. L’équipe de Clem est une grande famille et nous éprouvons une réelle affection les uns pour les autres. Mais comme dans la plupart des familles il y a des dysfonctionnements", a continué l’actrice.
"J’ai pu constater sur des tournages dont parfois celui de Clem, des comportements qui m’ont profondément choqués [...] Victoria a pris pour tous les autres, je n’aurais pas dû en faire la personnalisation du problème", a-t-elle précisé. "Bien que je n’ai pas été un bon exemple lors de mon coup de sang, je prie de tout mon coeur pour que la parole puisse s’exprimer sans haine", a ajouté Lucie Lucas. Affaire à suivre.