Affichage des articles dont le libellé est Sean John Combs (P. Diddy). Afficher tous les articles
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18 novembre 2024

P. Diddy est accusé d’avoir contrevenu au règlement carcéral

Sean Diddy Combs a déposé une nouvelle demande de libération sous caution du centre pénitentiaire de Brooklyn, où il attend son procès pour trafic sexuel, racket et transport en vue de la prostitution en mai 2025, mais la justice ne semble pas très encline à lui accorder.

Les procureurs reprochent en effet au rappeur d’avoir tenté d'« échapper à la surveillance des forces de l’ordre » et d'« influencer de manière corrompue les témoignages » de « jury potentiel ». Comment ? Avec cette vidéo d’anniversaire publiée par sa famille.

Selon des documents obtenus par People, la star de 55 ans est accusée d’avoir utilisé l’accès téléphonique d’autres détenus, notamment un « service de messagerie tiers non autorisé », pour communiquer avec plusieurs personnes et d’avoir utilisé ses enfants via leurs propres comptes sur les réseaux sociaux.

« Tout en essayant d’échapper à la surveillance des forces de l’ordre, l’accusé a, entre autres, orchestré des campagnes sur les réseaux sociaux qui, selon ses propres termes, visent à entacher la composition du jury ; il s’est efforcé de faire fuiter publiquement des documents qu’il considère comme utiles à son affaire ; et il a contacté des témoins par l’intermédiaire de tierces parties », affirme le document. « Pour ces raisons, la Cour devrait refuser à l’accusé une nouvelle audience de mise en liberté sous caution ».

« L’accusé a demandé à des membres de sa famille de planifier et d’exécuter une campagne sur les médias sociaux autour de son anniversaire, dans l’intention d’influencer le jury potentiel dans cette procédure pénale », affirme le document. « Selon les instructions soigneusement formulées par l’accusé, les enfants de l’accusé ont posté une vidéo sur leurs comptes respectifs de médias sociaux montrant les enfants de l’accusé réunis pour célébrer l’anniversaire de l’accusé. »

Les procureurs avancent que la star « a explicitement discuté avec sa famille de la manière de s’assurer que la vidéo avait l’effet désiré sur les membres potentiels du jury dans cette affaire ». Il est également accusé d’avoir tenté de « faire fuiter anonymement des vidéos favorables à sa défense ».

P. Diddy a plaidé non coupable de toutes les accusations portées contre lui. Deux juges ont déjà refusé de le remettre en liberté. Ses avocats ont proposé une caution de 50 millions de dollars.

16 octobre 2024

P. Diddy accusé de trafic sexuel : ce viol qu’il aurait commis sur une femme par pure vengeance

P. Diddy est dans la tourmente.  Le 1er octobre dernier, Sean Combs, plus connu sous les noms de Puff Daddy, Puffy, Diddy ou encore P. Diddy a été accusé de faits d’agression sexuelle par plus de 100 victimes présumées. Ce mercredi 16 octobre, dans les colonnes du Daily Mail, des révélations ont été faites, notamment concernant le fait qu'il aurait violé une jeune femme par pure vengeance. Le tabloïd donne le nom de cette dernière, Ashley Parham, affirmant qu’elle poursuit le rappeur pour des faits qui se seraient produits en 2018. 

Ashley Parham aurait eu une conversation téléphonique avec P. Diddy durant laquelle elle l’aurait accusé d’avoir ordonné le meurtre de Tupac. C’est en septembre 1996 qu’il est assassiné dans sa voiture mais l'affaire n’a jamais été résolue. P. Diddy faisait l’objet de rumeurs évoquant son implication puisqu'il avait des soucis avec Death Row Records à ce moment-là. Selon Ashley Parham, elle aurait fait la rencontre de Shane Pearce, un ami du rappeur, dans un bar en février 2018. Ce dernier aurait appelé P. Diddy pour montrer qu’il le connaissait et la jejune femme n’auraita pas hésité à l’accuser de ce meurtre. 

Toujours selon le témoignage de Ashley Parham, le rappeur l’aurait très mal pris et il lui aurait fait part de son intention de se venger. Environ un mois plus tard, Shane Pearce aurait invité cette dernière chez lui, pour qu'elle vienne l’aider avec ses traitements contre le cancer. Il aurait affirmé être trop faible pour s’en sortir tout seul. A son arrivée, Ashley Parham se serait retrouvée face à un P. Diddy bien décidé à se venger. Elle a notamment confié qu’elle pensait qu’elle ne le verrait jamais en personne mais il l’attendait avec un couteau. 

Le contenu de la plainte a été dévoilé et Ashley Parham aurait affirmé que le frappeur leur aurait enlevé ses habits avant de lui mettre de l’huile sur le corps. Il lui aurait ensuite violemment inséré une télécommande dans le vagin. Kristina Khorram, l’assistante du rappeur, aurait tenté d’arrêter les faits en affirmant qu’elle pouvait se retourner contre Shane Pearce. Après quelques minutes, Ashley Parham aurait retrouvé ses capacités pour se lever et s’enfuir mais elle serait tombée sur un P. Diddy surpris de la voir debout. Ce dernier aurait confié qu’il pensait l’avoir suffisamment droguée pour qu’elle ne bouge plus.  

15 octobre 2024

P. Diddy accusé de trafic sexuel : la star déchue aurait également agressé des hommes

C’est une affaire dont les révélations s’enchaînent au quotidien. Le rappeur Sean Combs, plus connu sous les noms de Puff Daddy, Puffy, Diddy ou encore P. Diddy est au centre de l'attention. Le 1er octobre dernier, ce sont plus de 100 victimes qui ont accusé la star américaine de faits d’agression sexuelle. Ce mardi 15 octobre, l’affaire a pris un nouveau tournant puisque, selon les informations de The Six, ce sont six nouvelles qui auraient été déposées et il y aurait également quatre hommes.  

Les nouvelles accusations ont été formulées par deux femmes et quatre hommes, dont certains étaient mineurs au moment des faits dénoncés. Selon leurs propos, ils se seraient déroulés entre 1995 et 2021. Plusieurs plaignantes ont confié que les agressions auraient eu lieu lors de fêtes organisées par le producteur, auxquelles ont participé de grandes célébrités. L’identité de ces personnes n’a pas été dévoilée mais le contenu de leur plainte a été partiellement dévoilé et ce sont des propos bouleversants qu’ils ont tenus.

Selon les informations du tabloïd, un des plaignants confie que P. Diddy l’aurait agressé sexuellement quand il avait 16 ans. Selon ses propos, l’affaire remonte à 1998 dans les Hamptons près de New-York. L’homme confie avoir croisé P. Diddy aux toilettes au cours de la soirée et lui avoir fait part de son intention de percer dans l’industrie de la musique. Le producteur l’aurait ensuite emmené dans un “endroit plus privé” avant de lui ordonner de se déshabiller. Il aurait justifié ce geste en indiquant qu’il s’agissait d’un “rite de passage”. 

Dans sa plainte, l’homme laisse sous-entendre que P. Diddy utilise sa notoriété pour obtenir des faveurs sexuelles. Toujours selon le témoignage de ce dernier, le producteur lui aurait ensuite indiqué qu’il avait assez de ressources pour faire de lui une star.  La seconde plainte concerne une jeune femme qui, selon ses propos, aurait été agressée par le rappeur en 2004 à l’âge de 19 ans. Ce dernier l’aurait invité, avec son amie, à le rejoindre pour une soirée privée dans son hôtel. P. Diddy l’aurait ensuite “caressée, agressée et finalement violée” dans une chambre malgré ses nombreux refus.

02 octobre 2024

P.Diddy est accusé du viol d’un petit garçon de 9 ans

Ça se corse pour P.Diddy. Le rappeur de 54 ans est au coeur d'une affaire qui continue de prendre des proportions. Et cette semaine, on apprend via un avocat texan, Tony Buzbee, qu'il y aurait encore 120 personnes en passe de porter plainte contre lui pour agression et abus sexuels.

Parmi ces victimes supposées, un accusateur qui affirme que P.Diddy a abusé de lui à l'âge de 9 ans, alors qu'il était encore un petit garçon. Le crime se serait produit au studio Bad Boy Records à New York. L'enfant aurait été attiré par une promesse de contrat. Arrivé sur place, P.Diddy l'aurait violé, dit-il.

Tony Buzbee, qui a déjà mené des affaires médiatisées contre Travis Scott et Chris Brown affirme qu'il prépare du lourd. Dans les 30 prochains jours, il va lancer une vague de poursuites judiciaires contre Diddy, dit-il.

Il cite aussi le témoignage d'une accusatrice qui affirme qu'à 15 ans, on l'a droguée et emmenée dans une pièce privée, pendant une fête de P.Diddy à New York. Et que le rappeur l'aurait alors violée.

À chaque fois, précise Tony Buzbee, le mode opératoire semble le même. Les victimes auraient toutes bu une boisson qui contenait de la xylazine, un tranquillisant pour chevaux, rapporte TMZ.

L'affaire fait aujourd'hui grand bruit parce qu'elle pourrait impliquer d'autres célébrités, toutes photographiées aux fêtes du rappeur. Et l'avocat Tony Buzbee assure de son côté qu'il va révéler "des noms qui vous choqueront".

Pendant ce temps, en attendant son procès, P.Diddy a plaidé non coupable. Son avocat, Marc Agnifilo, estime que les attaques visent à descendre un "homme noir qui réussit".

Une autre avocate du rappeur, Erica Wolff, a répondu à TMZ en particulier sur les accusations de viol d'un enfant de 9 ans.

Elle a déclaré : "Comme l'a souligné l'équipe juridique de M. Combs (le rappeur s'appelle Sean Combs, à l'état civil), il ne peut pas répondre à toutes les allégations sans fondement dans ce qui est devenu un cirque médiatique imprudent. Cela dit, M. Combs nie catégoriquement (...) Il a hâte de prouver son innocence et de se défendre devant le tribunal, où la vérité sera établie sur la base de preuves, et non de spéculations."

25 septembre 2024

Affaire P. Diddy : Emprisonné, le rappeur américain est visé par une nouvelle plainte pour viol

Les faits imputés à P. Diddy sont de plus en plus sordides : une femme est sortie du silence, mardi 24 septembre 2024, pour accuser le rappeur de viol et annoncer une plainte au civil contre lui. Ce faisant, elle allonge la liste des victimes présumées du producteur de hip-hop, qui a été incarcéré la semaine dernière.

Dans une plainte déposée au civil à New York, Thalia Graves accuse Sean « Diddy » Combs de l’avoir « violée avec brutalité », en 2001, dans les studios de sa maison de production Bad Boy Records, à New York, et ce avec l’aide d’un complice.

Selon la plainte, elle avait été droguée et ligotée par ses deux agresseurs. Ces derniers auraient aussi enregistré la scène dans une vidéo qu’ils auraient fait circuler. Des accusations qui font écho à celles du parquet fédéral de Manhattan, la semaine dernière, lors de l’arrestation du musicien.

« Je suis heureuse qu’il soit enfermé, mais ce n’est qu’un soulagement temporaire », a déclaré la plaignante, Thalia Graves, lors d’une conférence de presse annonçant sa plainte au cabinet de son avocate Gloria Allred, à Los Angeles.

« La douleur ressentie à l’intérieur (de soi-même) quand on a subi une agression sexuelle est incroyablement profonde, et difficile à exprimer. Cela va bien au-delà des blessures physiques », a-t-elle témoigné, se disant toujours traumatisée par le viol subi.

Visé depuis plusieurs mois par une dizaine de plaintes pour viols ou agressions sexuelles, Sean « Diddy » Combs, une figure influente du hip-hop, a été arrêté le 16 septembre dans un hôtel de Manhattan et placé en détention provisoire. Il a plaidé non coupable des chefs d’accusation de trafic sexuel et d’extorsion.

Le procureur fédéral Damian Williams a décrit un système fondé sur la « violence » pour contraindre les femmes à avoir de « longues relations sexuelles avec des travailleurs du sexe », des scènes qu’il « enregistrait » et pendant lesquelles les victimes prenaient des substances comme de l’ecstasy, du GHB (la drogue des violeurs) ou de la kétamine.

D’après l’acte d’inculpation, le rappeur s’appuyait sur ses employés, « les ressources et l’influence de l’empire commercial multifacettes qu’il dirigeait et contrôlait pour créer une entreprise criminelle dont les membres se sont livrés […] au trafic à des fins d’exploitation sexuelle, au travail forcé, à l’enlèvement, à l’obstruction de la justice ».

20 septembre 2024

P. Diddy reste en prison, des détails effrayants de l’enquête émergent

«C’est aussi grave qu’Epstein », lâche un membre du Homeland Security qui a participé à l’enquête sur les accusations de trafic sexuel à l’encontre de P. Diddy, célèbre rappeur américain. Arrêté lundi à New York dans le cadre de ce dossier, qui porte également sur des accusations d’extorsions et de transport à des fins de prostitution, l’artiste fait face à plus d’une dizaine de plaignantes. Dans le New York Post, l’agent évoque ainsi Jeffrey Epstein, l’homme d’affaires américain suspecté d’être à la tête d’un réseau pédophile mondial et qui s’est suicidé dans sa cellule en 2019.

Le policier a participé à la perquisition du manoir du rappeur à Miami et décrit des chambres sexuelles pleines de jouets, matériel de bondage et de caméras dissimulées. « Donc, si vous avez participé à ces soirées sexuelles, vous avez été enregistré sous tous les angles possibles, y compris sous des angles dont vous n’auriez pas eu connaissance », ajoute l’agent fédéral.

Ces « soirées » pouvaient en fait durer des jours, lors de ce qu’il appelle des « freaks offs », où des victimes droguées à la kétamine, aux ecstasys ou au GHB étaient forcées à des relations sexuelles avec des prostitués masculins. Il ajoute : « Ces femmes étaient jeunes, parfois à peine majeures, parfois pas majeures. »

La description va encore plus loin dans l’horreur, car, selon la justice américaine, qui poursuit le rappeur pour trafic sexuel et extorsions, les vidéos obtenues dans ces chambres spécialisées servaient ensuite de monnaie de chantage pour maintenir les victimes et les autres participants dans le silence. Les employés de P. Diddy auraient été chargés d’organiser la logistique de ces « freaks offs », réservant des vols pour les victimes, ou s’assurant de l’approvisionnement en lubrifiants.

Au moins dix personnes accusent le producteur de musique d’agressions sexuelles. « Ces femmes nous disent des choses que nous pouvons vérifier indépendamment à l’aide de preuves vidéo et physiques », explique l’agent.

C’est pourquoi sa nouvelle demande de remise en liberté a été refusée par la justice mercredi, après une première tentative mardi. La procureure adjointe Emily Johnson a qualifié Diddy de « délinquant en série » et a déclaré que le rappeur avait eu « un comportement de maltraitance ». « Il représente un danger extrême pour la communauté », a-t-elle ajouté.

Mardi, les avocats de Sean Combs, le vrai nom de P. Diddy, ont décrit les conditions d’incarcération de l’artiste comme « horribles » et « inadaptées à une détention provisoire ». La défense avait alors proposé que le rappeur soit confiné à sa résidence en Floride, avec une équipe de sécurité en permanence et une liste d’invités pré-établies. Il aurait aussi renoncé à l’accès à son téléphone et à Internet. Mais le juge Andrew Carter a estimé qu'« il n’existe aucune condition ou combinaison de conditions garantissant qu’il n’entravera pas la justice ou ne mettra pas la pression sur les témoins ».

12 septembre 2024

P. Diddy a été condamné à payer 100 millions de dollars à un détenu l’ayant accusé d’agression sexuelle

Sean Combs, alias P. Diddy, a été condamné par un tribunal du comté de Lenawee, dans le Michigan, à verser 100 millions de dollars à un homme l’ayant accusé d’agression sexuelle lors d’une fête à Détroit, dans le même Etat, en 1997. La sentence a été rendue « par défaut », le rappeur ayant manqué de se présenter à l’audience virtuelle du tribunal, qui s’est tenue lundi dernier.

Ses avocats ont néanmoins nié les accusations du plaignant, Derrick Cardello-Smith, qui purge actuellement une peine de 75 ans de prison pour inconduite sexuelle et enlèvement, d’après Reuters. L’équipe de P. Diddy compte désormais faire appel du jugement, qui précise également que le producteur de disque devra effectuer sa peine par versements de 10 millions de dollars par mois à compter du 1er octobre.

Cependant, d’après une source proche du dossier qui s’est confiée à Variety, l’équipe de P. Diddy n’avait pas reçu la mise en accusation, envoyée à une ancienne adresse. Aux Etats-Unis, les plaintes doivent être remises en main propre à l’accusée.

« (Cardello-Smith) est un criminel condamné et un prédateur sexuel, qui a été condamné pour 14 chefs d’accusation d’agression sexuelle et d’enlèvement au cours des 26 dernières années », a déclaré Marc Agnifilo, avocat de la star du hip-hop, dans un communiqué. « Son curriculum vitae inclut désormais la fraude au tribunal depuis la prison, puisque M. Combs n’a jamais entendu parler de lui et encore moins reçu la plainte. M. Combs espère que ce jugement sera rapidement rejeté. »

Le Detroit’s Metro Times décrit Derrick Cardello-Smith comme « un détenu (de 51 ans) du Michigan connu pour avoir longtemps contesté le système judiciaire par des actions civiles », après s’être formé au droit pénal et droit civil en prison. D’après le détenu, P. Diddy lui aurait rendu visite en août pour lui offrir 2,3 millions de dollars en échange de l’abandon de sa plainte ; offre qu’il dit avoir décliné.

Le chanteur est visé par d’autres plaintes pour trafic et agression sexuels déposées depuis l’an dernier par plusieurs femmes.

22 mai 2024

Le rappeur P. Diddy est visé par une nouvelle plainte pour agression sexuelle

Les jours se suivent et se ressemblent pour Sean « Diddy » Combs : après avoir dû reconnaître qu’il s’était rendu coupable de violences « inexcusables » contre son ex-compagne, le voilà visé par une nouvelle plainte pour agression sexuelle, la dernière d’une série d’accusations contre ce poids lourd du hip-hop américain.

Dans une plainte déposée mardi 21 mai 2024, Crystal McKinney, une ancienne mannequin, l’accuse en effet d’agression sexuelle à New York, en 2003. La plaignante affirme avoir été « poussée à boire » de l’alcool et à consommer de la marijuana (mélangée à un autre stupéfiant) avant d’avoir été forcée à une fellation.

« Crystal McKinney souffre de dépression, d’anxiété, de problèmes d’image, d’un sentiment de dévalorisation et de problèmes d’intimité à cause de l’agression de M. Combs », indique la plainte, qui précise que le rappeur aurait usé de son influence pour étouffer la carrière de la plaignante.

Le rappeur et producteur de 54 ans, qui se fait aussi appeler « Puff Daddy » et « P. Diddy », est rattrapé, depuis 2023, par plusieurs accusations de viols, d’exploitations sexuelles et de violences physiques et psychologiques.

Une plainte au civil avait été déposée à New York, en novembre 2023, par son ex-compagne, la chanteuse de R & B Cassie, qui l’accusait d’un viol en 2018 et de « comportement violent et déviant » durant une décennie, comme des relations sexuelles forcées avec des hommes prostitués. L’affaire a finalement été réglée « à l’amiable » en vertu d’un accord confidentiel.

La télévision américaine CNN a récemment diffusé un montage d’images de vidéosurveillance d’un hôtel de Los Angeles datées de mars 2016 et montrant un déchaînement de violence du rappeur contre sa compagne de l’époque. Depuis, P. Diddy s’est excusé pour son comportement « dégoûtant ».

Crystal McKinney affirme qu’elle s’est sentie « moralement obligée de s’exprimer » après avoir vu les autres plaintes contre le rappeur.

17 mai 2024

Cassie violemment agressée par P.Diddy : des images choquantes révélées par CNN

 

Après avoir vécu l'enfer aux côtés de P.Diddy, Cassandra Ventura a brisé le silence en 2023 pour révéler au monde la face sombre de son ex-compagnon. "Après des années de silence et d'obscurité, je suis enfin prête à raconter mon histoire et à m'exprimer en mon nom et celui d'autres femmes confrontées à la violence et aux abus dans leur couple", avait alors fait savoir l'épouse d'Alex Fine dans un communiqué qui a fait grand bruit. Ayant déposé une plainte contre la star du rap, l'heureuse maman de deux enfants l'accusait d'avoir abusé d'elle et frappée pendant plusieurs années.

Comme elle l'a révélé, c'est en 2005 que la spirale infernale aurait débuté ! A l'époque, l'interprète de Me and U venait de souffler sa 19ème bougie tandis que l'ex de Kim Porter avait tout juste 36 ans. Jouissant de son influence, P.Diddy l'aurait notamment droguée tout en la forçant à avoir des relations intimes avec des hommes prostitués... Rencontres qu'il aurait filmées. Pour rappel, la célèbre chanteuse avait par le passé signé avec le label Boy Records tenu par son ex-amant, visé dans la foulée par d'autres plaintes pour viol et agressions sexuelles ! Raison pour laquelle ce dernier aurait exercé un contrôle anormal sur sa vie professionnelle et personnelle.

De son côté, Sean Combs de son vrai nom, n'a cessé de clamer son innocence. Mais contre toute attente, P.Diddy a échappé à un procès en trouvant un accord "à l’amiable" avec l'artiste de 37 ans. Mais ce vendredi 17 mai, les équipes de CNN ont dévoilé en exclusivité des images choc datant de 2016 qui confirment l'enfer que semble avoir vécu Cassie. Dans les séquences de vidéosurveillance appartenant à l'hôtel InterContinental, désormais fermé, à Los Angeles, on y voit l'interprète de Last Night poursuivre et attraper violemment la jeune femme dans un couloir avant de la bousculer près d'un ascenseur.

Déchaîné et portant simplement une serviette autour de la taille, il lui assène également de violents coups de pied si bien que Cassandra Ventura perd connaissance. Dans l'extrait, P.Diddy récupère également ses affaires avant de la trainer de force par le bras. Une violente altercation évoquée dans le dossier judiciaire de cette dernière ! "La vidéo déchirante n'a fait que confirmer davantage le comportement inquiétant et prédateur de M. Combs. Les mots ne peuvent exprimer le courage dont Madame Ventura a fait preuve en se manifestant pour mettre cela en lumière", a confié Douglas H. Wigdor, l'avocat de Cassie à nos confrères. Des séquences qui ont choqué des milliers d'internautes...

26 mars 2024

P. Diddy accusé de viols et agressions sexuelles : plusieurs résidences du rappeur ont été perquisitionnées

Alors qu'en France, tout le monde ne parle que des tensions entre Inès Reg et Natasha St-Pier dans les coulisses de Danse avec les stars, aux Etats-Unis, c'est le rappeur P. Diddy qui fait la Une de l'actualité. Comme le révèle TMZ, plusieurs de ses propriétés ont été perquisitionnées. Des policiers armés sont entrés dans plusieurs des luxueuses résidences possédées par le rappeur milliardaire, à la fois sur la côte ouest et la côte est.

Dans un communiqué, le bureau d'enquête du département de la Sécurité intérieure de New York a en effet annoncé avoir mené des actions aux côtés des antennes de Los Angeles et Miami. Les raisons de ces perquisitions n'ont pas été données par les enquêteurs, mais elles interviennent à un moment où Sean Combs, de son vrai nom, est empêtré dans un grave scandale : l'artiste de 54 ans fait face à plusieurs plaintes pour viols et agressions sexuelles, certaines remontant à plusieurs décennies.

La première à avoir pris la parole contre P.Diddy n'est autre que son ex-compagne, la chanteuse de R&B Cassie. Dans sa plainte, la chanteuse, qui avait 19 ans au moment de leur rencontre, a affirmé avoir subi un viol de la part du rappeur en 2018, peu avant leur rupture. Auparavant, le rappeur lui aurait infligé des violences physiques "M. Combs a souvent frappé à coups de poing, de pied, tapé, piétiné Mme Ventura avec pour résultats des contusions, lèvres éclatées, yeux au beurre noir et saignements", détaillait la plainte de 35 pages.

Deux jours plus tard, Cassie avait annoncé à la surprise générale avoir trouvé un accord à l'amiable avec l'interprète de Last Night et Coming home. Depuis, deux autres femmes ont porté plainte contre P.Diddy, dont une, à visage découvert. Cette dernière a accusé le rappeur de l'avoir "droguée, et agressée sexuellement" en 1992. En décembre, le rappeur a également été visé par une plainte au civil à New York l'accusant d'un viol en réunion sur une mineure de 17 ans, en 2003. Des allégations que l'artiste dément fermement.

27 février 2024

P. Diddy de nouveau accusé d’abus sexuels, cette fois par un producteur de musique

Les accusations continuent de tomber sur P. Diddy. Le rappeur et producteur est visé par une nouvelle plainte déposée par Rodney « Lil Rod » Jones, âgé de 54 ans. Cet Américain affirme avoir été abusé pendant plus d’un an alors qu’il travaillait, entre 2022 et 2023, avec l’artiste sur l’album « Love », rapporte « People ». Dans des documents déposés devant la justice fédérale de New York, il explique avoir été harcelé sexuellement, drogué et menacé par le musicien. Les faits se seraient déroulés alors que Rodney « Lil Rod » Jones vivait chez Sean « Diddy » Combs durant leur collaboration.

Il dit avoir été « témoin, avoir expérimenté et enduré de nombreuses choses qui allaient bien au-delà de son rôle de producteur sur l’album Love ». Justin, le fils de P. Diddy, sa chef de cabinet, Kristina Khorram, Sir Lucian Grainge, PDG d’Universal Music Group et l’ancien PDG de Motown Records, Ethiopie Habtemariam, sont également cités dans la plainte.

Rodney « Lil Rod » Jones rapporte qu’en tant que vidéaste pour l’album « Love », il avait pour mission de « filmer constamment » le rappeur. « En conséquence, M. Jones a obtenu des CENTAINES d’heures d’enregistrements vidéo et audio de M. Combs, de son personnel et de ses invités se livrant à de graves activités illégales », est-il détaillé dans la plainte. Rodney « Lil Rod » Jones, qui réclame 30 millions de dollars, affirme avoir été touché de façon non sollicitée, notamment au niveau de l’anus. Il aurait également été forcé à travailler dans la salle de bains de l’artiste alors que ce dernier « se baladait nu ou se douchait derrière une vitre transparente ».

Lorsqu’il aurait essayé d’en parler autour de lui, l’équipe de Diddy aurait qualifié ses gestes « d’amicaux ». À une occasion, Rodney « Lil Rod » Jones pourrait avoir été drogué et violé lors d’une soirée en présence de prostituées. Jones affirme par ailleurs détenir des images de « Monsieur Combs fournissant des boissons alcoolisées à des mineurs et à des travailleuses du sexe à son domicile en Californie, à New York, dans les îles Vierges américaines et en Floride. »

En réponse à ces accusations, les avocats de P. Diddy on envoyé un communiqué à « People ». « Lil Rod n'est rien de plus qu'un menteur qui a déposé une plainte contre 30 millions de dollars sans vergogne à la recherche d'un chèque immérité. (...) Nous avons la preuve accablante et incontestable que ses affirmations sont de purs mensonges. (...) Nous examinerons ces allégations farfelues devant les tribunaux et prendrons toutes les mesures appropriées contre ceux qui les formulent. »

Depuis que l’ex-compagne de Diddy, Cassie, a porté plainte contre lui, d’autres affaires ont été dévoilées. Plusieurs femmes l’accusent de viol, abus sexuels, abus et manipulations psychologiques. Dernièrement, une victime présumée a affirmé avoir été violée en groupe dans un studio en 2003 alors qu’elle avait 17 ans. Des allégations qu’il réfute catégoriquement.


11 septembre 2023

P. Diddy rend leurs droits à tous les artistes et compositeurs qui ont fait Bad Boy Records

Voilà un acte suffisamment rare pour être souligné : P. Diddy a décidé de rendre leurs droits aux artistes et compositeurs qui ont participé à faire la gloire de son label Bad Boy Records. C’est ce qu’a révélé une source interne interrogée par Variety, citant des artistes tels que Faith Evans, Ma$e, les héritiers de Notorious B.I.G., ou encore the Lox.

Des catalogues dont la valeur se chiffrerait en « centaines de millions de dollars » et pour lesquels le magnat de l’industrie de la musique aurait reçu des offres très généreuses avant de prendre cette étonnante décision. Toujours d’après la même source, la plupart des artistes concernés auraient déjà signé les papiers relatifs au transfert de ces droits. Un mouvement de générosité par lequel P. Diddy, Sean Combs de son vrai nom, espère servir un plus grand but.

« Sean Combs voit ce geste comme faisant partie d’un plus grand but, celui de promouvoir l’empuissancement économique des artistes et de la culture noirs », a encore affirmé la source.

Même si l’on considère ce geste comme un coup de communication, cela n’enlève rien à son immense générosité, d’autant plus quand on sait que l’histoire de Bad Boy Records est entachée de sombres magouilles et d’artistes lésés. De quoi laver P. Diddy de ses péchés à quelques jours de la sortie de The L.O.V.E. Album : Off the Grid, son nouvel album solo et le premier depuis Press Play, son opus de 2006.

13 février 2021

P. Diddy porte plainte contre les patrons de la marque de vêtements Sean John

Sean Diddy Combs attaque les nouveaux patrons de son ancienne marque de vêtements Sean John pour avoir utilisé son image sans son autorisation. La holding Global Brands Group USA, qui possède la marque depuis 2016, ne se serait pas gênée pour promouvoir une récente collection à l’aide de fausses citations de l’artiste exprimant son approbation.

Or, Diddy affirme qu’il n’était même pas au courant de cette collection, fruit d’une collaboration entre Sean John et Missguided. D’ailleurs, la marque britannique de vêtements féminins n’est pas étrangère à ce genre de pratique puisqu’elle avait dédommagé Kim Kardashian à hauteur de 2,7 millions de dollars en 2019 pour des faits similaires.

« M. Combs n’a jamais approuvé cette collection de GBG, qui porte le nom de Sean John x Missguided. M. Combs n’a pas donné aux accusés le droit d’utiliser son nom, son image ou sa personne en lien avec la collection de GBG, et il n’a pas non plus donné son accord pour faire des déclarations publiques, ou des apparitions en soutien à cette collection », affirme la plainte obtenue par All HipHop. Au total, la défense de Diddy réclame 25 millions de dollars de dommages.

En outre, le rappeur aurait déjà porté plainte contre la marque le mois dernier pour avoir déposé et utilisé le slogan « Vote or Die » qu’il avait créé pour faire campagne pour le vote à quelques semaines du scrutin présidentiel américain.