Ébloui par le défilé du 14 juillet auquel il avait été convié par le président Emmanuel Macron, Donald Trump s'était mis à rêver d'avoir lui aussi sa grande parade militaire. Après avoir tenté sans succès, à plusieurs reprises, de faire voter le budget, il est enfin parvenu à obtenir ce qu'il désirait. Le jour de ses 79 ans, ce 14 juin, le président et Melania son épouse de 24 ans sa cadette étaient en tribune à quelques pas de la Maison-Blanche pour assister à la reconstitution de 250 ans d'histoire militaire made in USA. C'est derrière une vitre pare-balles que le 47e président des Etats-Unis et la First Lady ont assisté au spectacle qui a laissé aux témoins de l'évènement une sensation mitigée.
De nombreux habitants de la capitale avaient quitté la ville, ne voulant pas, par leur présence, donner une impression de succès de l'initiative. Dans le pays, la contestation contre la politique du président a donné de la voix sous la bannière "No Kings" (Pas de rois, ndlr). C'est face à un public clairsemé et dans une ambiance morose que le défilé a donc eu lieu. Donald Trump espérait un défilé qui montrerait la toute-puissance de la nation américaine, c'est presque celui de la 7e compagnie qui s'est offerte en spectacle. Soldats marchant de manière non coordonnée, sans enthousiasme, sans rigueur non plus. Pour beaucoup, le manque d'allant des troupes était à mettre sur le compte des coups de tronçonneuse de l'ex-ex meilleur ami de Donald Trump, le milliardaire Elon Musk, dans le budget alloué aux Vétérans. Sur les réseaux, de nombreux anciens militaires ont indiqué que selon eux, ce défilé très mou du genou était une sorte de doigt d'honneur adressé au président par des troupes remontées contre sa politique.
Alors que le sourire de Donald Trump s'effaçait progressivement au fil du temps, les internautes ravis faisaient de piquants commentaires. Un internaute a même exhumé une vieille séquence du couple Trump saisie en 2017 (à retrouver ci-dessous), et l'image a refait le tour de la Toile comme une trainée de poudre : "Trouvez vous quelqu'un qui vous aime comme Melania aime Donald Trump", "Lol, elle est très manifestement écoeurée par lui, c'est hilarant", "Parfois je me demande si je ne devrais pas avoir de la peine pour 'Mélanome'. Puis je reprends mes esprits", "Nous ne le supportons pas non plus, Melania, mais au moins tu es bien payée pour supporter ce crapaud orange", "C'est manifeste, elle le DÉTESTE" pouvait-on lire sur X.
"Je veux toujours savoir ce qu'il lui a dit le jour de son investiture en 2016 qui l'a tant dégoûtée. Pas étonnant qu'elle préfère être à NYC où il ne va plus que rarement " a déclaré un autre se remémorant une séquence qui avait également connu un grand retentissement.
La maman de Barron Trump est encore très jeune et pourtant elle a déjà de troublants problèmes de mémoire. Elle a en effet confié deux versions différentes de son premier date avec le sulfureux homme d'affaires. Dans les colonnes de Harper's Bazaar elle se remémorait une rencontre lors d'un gala durant lequel Donald Trump pourtant déjà en galante compagnie aurait désespérément essayé de lui soutirer son téléphone avant qu'elle ne le mette au pas en lui disant que c'est elle qui l'appellerait. "Je voulais voir quel genre de numéro il me donnerait - si c'était un numéro professionnel, de quoi serait-il question ? Je ne comptais pas faire affaire avec lui." Le magnat de l'immobilier a résolu la question en lui donnant tous ses numéros : "le bureau, Mar-a-Lago, la maison à New York, tout." Le couple serait ensuite allé dîner dans l'un des lieux les plus chics de New-York à la fin des années 90.
Dans sa seconde version de leur idylle, rapportée dans le Telegraph, Melania se rappelait plutôt une heure et demie de route en voiture à deux, pour aller visiter une résidence à Bedford que l'homme d'affaires souhaitait acquérir. Ce surprenant date immobilier aurait été fixé après une première rencontre dans les Caraïbes, où elle était en déplacement pour une séance photo de mannequinat. À chacun de choisir sa version préférée ?










