Attention, spoilers. Il est conseillé d'avoir vu le premier épisode de la série House of the Dragon avant de poursuivre la lecture de cet article.
En huit saisons, Game of Thrones a eu son lot de scènes violentes, sanglantes et choquantes. Son premier spin-off House of the Dragon, dont la diffusion a démarré ce lundi 22 août sur OCS en France, n'épargnera pas ses personnages non plus.
Située 200 ans avant Game of Thrones, la série dérivée créée par George R. R. Martin et Ryan Condal raconte les débuts de la chute de la mythique maison Targaryen ainsi que les événements qui ont précédé et rythmé la guerre de succession de la dynastie jusqu'à la tragique "Danse des Dragons".
Alors évidemment, certains Targaryen vont y laisser des ailes de dragon dans les différentes batailles qui rythmeront ce spin-off de Game of Thrones. Et le premier épisode a mis les pieds dans le plat avec une mort violente qui a choqué les spectateurs.
Le Roi Viserys Ier (Paddy Considine) a organisé un tournoi de chevaliers pour fêter la naissance prochaine du nouvel héritier mais les festivités tournent court lorsque l'accouchement vire au drame. Sa femme, la Reine Aemma (Sian Brooke), est en détresse et les médecins ont du mal à procéder à l'accouchement. Le Roi Viserys Ier doit faire un choix : sauver sa femme ou sauver son futur héritier.
Et c'est la pauvre Aemma qui subit la décision de son époux. La Reine endure une césarienne sans son consentement. Elle perd beaucoup de sang et meurt en couches. Le bébé, nommée Baelon, décède lui aussi quelques heures après sa mère.
Si l'histoire est déjà tragique, la scène peut être traumatisante pour certaines personnes. Et le public a vivement réagi face cette séquence assez graphique et violente. Certains fans de Game of Thrones n'ont pas manqué d'exprimer leur choc car ils ne s'attendaient pas à voir ce genre de scènes, que certains trouvent assez réaliste et même impactant face au contexte politique actuel outre Atlantique, notamment avec l'abrogation de l'arrêt Roe v. Wade et la suppression du droit fédéral à l'avortement.
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