Comme beaucoup d’entre nous, l’animatrice de 44 ans profite de l’été et s’est offert un repos bien mérité en compagnie de proches. Aussi a-t-elle publié sur Instagram un cliché d’elle aux côtés du producteur Pierre-Antoine Capton. Tout sourire, les deux amis sont visiblement à Cannes et profitent avec joie de la côte d’Azur.
Sur cette photo, Pierre-Antoine Clapton et Alessandra Sublet prennent la pose à la plage. Décontractée et au naturel, la jurée de Mask Singer est vêtue d’un jean et d’un top rouge.
Et alors qu’elle est rayonnante face à l’objectif, certains n’ont pas été du même avis et ne se sont pas gênés pour le faire savoir. Mais Alessandra Sublet n’est pas du genre à se laisser faire.
Un internaute a ainsi conseillé sous la publication, avec un certain manque de tact :
"Waouh pour votre âge, vous êtes super ridée. Stoppez le soleil et vite car vous allez le regretter dans dix ans."
Ce à quoi l’intéressée à sobrement répondu :
"Je fais ce que je veux."
Visiblement encouragé par cet échange, un autre détracteur est allé jusqu’à lui balancer qu’elle avait le visage « ridé et défraîchi » et qu’elle était « à vomir ».
De la méchanceté gratuite qui n’a heureusement pas pris le dessus sur le reste des commentaires. Alessandra Sublet a pu compter sur ses abonnés pour prendre sa défense et s’indigner de ces propos injustifiés.
Ce n’est hélas pas la première fois qu’Alessandra Sublet est critiquée sur la Toile. Dernièrement, son choix de quitter Paris pour s’installer dans le sud de la France l’avait obligée à se justifier auprès du Parisien en juin dernier.
Car la quadragénaire a déménagé seule et laissé ses enfants avec leur papa, Clément Miserez, dont elle a divorcé en 2018. Mais à la suite de cette décision, la mère de famille a été accusée d’être peu soucieuse de l’éducation de sa fille et son fils, Charlie et Alphonse, voire de les abandonner :
"Heureusement que je peux choisir ma vie, sans me soucier du jugement des autres ! Je vais voir mes enfants une semaine sur deux comme beaucoup de couples divorcés. Je souhaite qu’ils restent dans leur maison, leur école. Et je ferai les allers-retours. Ils ne sont pas malheureux ni moi."
Et de déplorer certaines mentalités qu’elle juge archaïques :
"Or, force est de constater qu’à l’aube de 2022, quand une femme dit : « Je vais voir mes enfants une semaine sur deux et je pars vivre ailleurs », d’autres femmes qui se veulent féministes estiment qu’elle les abondonne. J’ai l’impression d’avoir évolué. Laissons ces gens au Moyen Âge."
Un discours limpide, qui confirme qu’Alessandra Sublet fait bel et bien ce qu’elle veut.
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