Sophie Turner poursuit en justice Joe Jonas pour soustraction d’enfants et rétention de passeports

Les choses ont vite tourné au vinaigre entre Sophie Turner et Joe Jonas. Tout semblait pourtant bien s’enchaîner pour l’actrice de Game of Thrones et le chanteur des Jonas Brothers : un mariage en 2019 après trois ans de romance, deux filles, dont la dernière est née en juillet 2022… Mais la lune de miel est bel et bien terminée. Le 5 septembre, Joe Jonas a demandé le divorce.

S’ils avaient dès le lendemain publié un communiqué commun assurant que la décision était « mutuelle » et à l’amiable, force est de constater qu’il n’en est rien. La star britannique affirme aujourd’hui avoir appris la demande de son mari par voie de presse et elle vient de déposer plainte pour soustraction d’enfants et rétention de passeports.

Dans sa plainte, relayée par le New York Times, Sophie Turner explique que le couple avait décidé de vivre de façon permanente en Angleterre en avril dernier. Elle avance qu’ils avaient même signé l’achat d’une nouvelle maison au Royaume-Uni en juillet et avaient prévu d’y emménager en décembre. D’ici là, comme elle le précise, ils avaient convenu que leurs deux filles suivraient leur père en tournée cet été aux Etats-Unis, pendant qu’elle assurait le tournage d’une nouvelle série dans son pays natal.

De son côté, Joe Jonas assure que le divorce avait été discuté en amont. Quant aux passeports des enfants, il explique qu’il ne fait que respecter la loi. Jeff Raymond, l’avocat du chanteur, a déclaré que l’ordonnance de la cour de Floride, où la procédure de divorce a été déposée, interdit à l’un des parents de déplacer les enfants, et que par conséquent, le chanteur serait dans l’illégalité s’il se pliait à la requête de Sophie Turner.

« Joe cherche à partager la responsabilité parentale avec les enfants afin qu’ils soient élevés à la fois par leur mère et leur père, et est bien sûr également d’accord pour que les enfants soient élevés à la fois aux États-Unis et au Royaume-Uni », indique-t-il dans sa déclaration, tout en ajoutant que « les enfants sont nés aux États-Unis et y ont passé la plus grande partie de leur vie ».