A voir sur Disney+ du 18 au 24 mars

Séries et films Disney+ Originals

Vendredi 18 mars :

Treize à la douzaine

FIRST : Compétition de robots

Mercredi 23 mars :

Parallèles – saison 1

Cool Attitude : Encore plus cool – saison 1, épisode 6

Séries Star Originals

Mercredi 23 mars :

Innocente – saison 1

The Great North – saison 2, épisode 5

Snowdrop – saison 1, épisodes 13 et 14

Queens – saison 1, épisode 11

Les Années coup de coeur – saison 1, épisode 13

Our Kind of People – saison 1, épisode 6

Ajouts au catalogue

Vendredi 18 mars :

Disco

Je vais bien, ne t’en fais pas

Jeux d’enfants

Mercredi 23 mars :

Dans les yeux de Tammy Faye

The Fosters – saison 4

Motherland: Fort Salem – saison 1

Nouveautés Prime Video du 18 au 24 mars

Vendredi 18 mars :

Deep Water – Amazon Original

Master – Amazon Original

Lundi 21 mars :

Crisis – Amazon Exclusive – 21 mars

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L'actrice Karen Fukuhara victime d’une agression raciste

Karen Fukuhara, qui sera de retour dans la peau de Kimiko dans la saison 3 de The Boys, attendue le 3 juin prochain sur Prime Video, a témoigné sur Instagram après avoir été victime d’un crime raciste. En légende de son texte racontant son agression, elle a sobrement partagé le hashtag “Stop à la haine contre les Asiatiques”.

L’actrice, vue également dans le Suicide Squad de David Ayer, a été frappée à la tête par un homme qu’elle ne connaissait pas alors qu’elle se rendait dans un café. “Cette merde doit s’arrêter. Nous, les femmes, les Asiatiques et les personnes âgées avons besoin de votre aide”, assure-t-elle dans son message, posté le jour où une coach de Broadway de 87 ans, Barbara Maier Gustern, est décédée après avoir été poussée dans la rue par une inconnue. 

Concernant son agression, qui ne lui a laissé aucune séquelle physique, elle explique : “C’est arrivé de nulle part. Nos regards ne s’étaient pas croisés, je ne faisais rien qui sortait de l’ordinaire. (...) J’ai pensé à confronter [l'agresseur] mais il a commencé à revenir vers moi et j’ai pensé que cela ne valait pas le risque.”

Les crimes anti-asiatiques ont augmenté partout dans le monde ces dernières années à la suite de la pandémie de COVID. Et Karen Fukuhara voudrait que les auteurs de ces terribles agressions soient “tenus pour responsables”.

“Que pouvons-nous faire en tant que communauté pour empêcher ces horribles crimes ?”, conclut la comédienne qui a reçu le soutien de ses partenaires de The Boys, Chace Crawford (The Deep), Laz Alonso (Mother’s Milk) et Jack Quaid (Hughie) dans les commentaires.

Nouveautés Netflix du 18 au 24 mars

L’incontournable de la semaine

Drôle (18/03) : Après Dix pour cent, Fanny Herrero revient avec un nouveau projet intitulé Drôle, qui est aussi le nom d’un comedy club parisien dans lequel quatre jeunes humoristes poursuivent leur rêve de gloire en tentant de concilier pressions financières, tensions familiales et aventures amoureuses.

Pour incarner ces stars de l’humour de demain, Fanny Herrero a fait appel au talent des comédiens Younès Boucif, Elsa Guedj, Mariama Gueye et Jean Siuen épaulés par Pascale Arbillot.

Le vendredi 18 mars

Contrecoups : Exit Emily in Paris, Lily Collins est à l'affiche d'un film hitchcockien avec Jason Segel (inoubliable Marshall dans How I Met Your Mother) et Jesse Plemons (The Power of the Dog). Dans ce thriller sous tension, un milliardaire et son épouse découvrent que leur maison de vacances a été cambriolée. Problème, le voleur est toujours dans la résidence du couple...

Black Crab : Noomi Rapace est au générique de ce thriller post-apocalyptique et incarne une ancienne patineuse devenue soldate qui doit traverser une mer gelée dans le cadre d'une mission secrète désespérée qui pourrait arrêter la guerre civile dans son pays.

Top Boy saison 2 : Attendue depuis trois ans, la suite de Top Boy arrive enfin. Cette série britannique très plébiscitée par les abonnés et remise au goût du jour par la plateforme suit toujours le quotidien de Dushane Hill et Gerald Sullivan, assoiffés de pouvoir et d'argent, dans un quartier de l'est de Londres, où trafic de drogue et gangs sont légion.

Human Ressources : Ce spin-off de la série animée irrévérencieuse Big Mouth se concentre sur les papillons de l’amour et Hormone Monsters qui gèrent les idylles, les soucis professionnels et les besoins de clients humains. L’envers du décor du travail des créatures qui accompagnent les héros de Big Mouth.

Cherche l’amour… éperdument : Cette série comique indienne suit les pérégrinations d’un jeune célibataire introverti qui tente désespérément de trouver l’amour avec l’aide et les conseils malavisés d’un sorcier imaginaire.

Les Monstres de Cracovie : Série polonaise dans laquelle une jeune femme hantée par son passé rejoint un mystérieux professeur et son groupe d’étudiants surdoués pour analyser des phénomènes paranormaux et combattre des démons.

The Cursed : Dans cette série coréenne, une journaliste en quête de vérité affronte le PDG machiavélique d’un grand groupe de l’informatique avec l’aide surprenante d’une adolescente capable de jeter de terribles sorts qui pourraient bien venir à bout du démon.

Bien plus qu’un au revoir : Au Pérou, un accro au travail et une artiste pleine de fougue vont voir leurs vies totalement chamboulées à la suite d’une rencontre inattendue qui va changer leurs perspectives et leurs convictions.

Le lundi 21 mars

Riverdale saison 6 (1 épisode / semaine) : Après une première partie de saison spéciale en 5 épisodes, la série pour ados revient à son intrigue principale avec les aventures mouvementées d'Archie, Betty, Veronica et Jughead.

Reste la vie : Cette comédie romantique turque suit le parcours d’une mère célibataire atteinte d’une maladie incurable qui fait tout ce qu’elle peut pour assurer un avenir à son fils de six ans. Lorsqu’elle croise la route d’un séduisant jeune homme, sa vie prend un tout autre tournant.

Le jeudi 24 mars

Us (catalogue) : Après Get Out, la nouvelle histoire horrifique de Jordan Peele dans laquelle les vacances de rêve au bord de mer d’une famille se transforment en cauchemar lorsque leurs doubles effrayants se présentent devant leur maison.

Love Like The Falling Petals : Dans ce film romantique japonais, un jeune photographe prometteur tombe amoureux d’une photographe pleine de vie. L’avenir leur tend les bras, mais un coup du sort va soudainement changer leur vie.

Déjà disponible

Bad Vegan - Arnaque au menu : Après L'Arnaqueur de Tinder, un nouveau documentaire choc a débarqué sur Netflix. Cette série en 4 épisodes revient sur le scandale de fraude entourant la restauratrice populaire Sarma Melngailis et son ancien compagnon Anthony Strangis.

Cette histoire hallucinante qui a défrayé la chronique aux Etats-Unis vaut le détour pour ses nombreux témoignages, ses images d’archive inédites et les coulisses de cette affaire sordide et étonnante.

Scream 6 : le retour de Courteney Cox confirmé

Increvable Gale Weathers ! Toujours avide d'un scoop ou d'une histoire sordide à Woodsboro, la célèbre journaliste sera de retour dans le sixième opus de la saga Scream. Et c'est son interprète Courteney Cox qui l'a confirmé dans le podcast Just for Variety.

"J'ai reçu le scénario hier", a déclaré l'ex-Monica de Friends, actuellement au générique de la série Shining Vale, disponible sur StarzPlay. "Je ne l'ai pas encore lu, je l'ai juste reçu. Mais j'ai hâte de le lire et je crois qu'ils commencent à tourner en juin au Canada. Je ne sais pas si je suis censée dire quelque chose. Mais laissez-moi vous dévoiler le tueur."

Déjà aux commandes du cinquième épisode, sorti en début d'année, Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett seront de retour derrière la caméra, au même titre que le scénaristes James Vanderbilt et Guy Busick. Les conditions du retour de Ghostface ne sont, évidemment, pas encore connues. Pas plus que l'implication de Neve Campbell.

Il serait toutefois étonnant que Sidney Prescott ne soit pas de nouveau de la partie. Surtout que le tueur risque, une fois de plus, de la prendre pour cible. À moins d'un vrai changement de cap. On peut d'ailleurs se demander quelle sera l'approche du long métrage, alors que le précédent avait évoqué la mode des "legacyquels" (suites en forme de léger reboot, où il est question de passage de relais entre deux générations).

Si le tournage est prévu pour le mois de juin, en vue d'une sortie en 2023, le casting ne devrait donc pas tarder à être annoncé. Et on peut notamment s'attendre à voir revenir les rescapés du film précédent. Qui feront peut-être partie des victimes de ce Scream 6.

Fear The Walking Dead : Kim Dickens de retour dans la saison 7

Attention, ce qui suit révèle des éléments majeurs de la seconde partie de saison 7 de la série Fear the Walking Dead. Si vous souhaitez conserver la surprise de ce retour inattendu, il vous est alors vivement recommandé d’interrompre dès à présent votre lecture de cet article.

Alors que le retour de Rick Grimes dans The Walking Dead n’a toujours pas été confirmé, malgré la présence d’Andrew Lincoln aux environs du tournage du final de la série, c’est un personnage emblématique du spin-off Fear the Walking Dead qui va de son côté réapparaître dans la seconde partie de saison 7.

Laissée pour morte à la fin de la saison 4, Madison Clark (incarnée par Kim Dickens), introduite comme une héroïne principale au début de la série, sera en effet de retour lors des prochains épisodes, comme le confirme la bande-annonce dévoilée cette nuit par la chaîne américaine AMC.

Il ne s’agit néanmoins pas d’une surprise à proprement parler, le retour du personnage ayant déjà été confirmé par la production à l’occasion du renouvellement de la série pour une huitième saison en décembre dernier.

La suite de la septième saison de Fear the Walking Dead sera diffusée sur AMC aux États-Unis à partir du 17 avril prochain, et dès le lendemain chez nous en US+24 sur Canal+ Séries.

Bande-annonce de J'adore ce que vous faites, avec Gérard Lanvin et Artus

Alors que Gérard Lanvin s’apprête à tourner l’un des films les plus importants de sa carrière dans le sud de la France, son chemin croise celui de Momo Zapareto… pour son plus grand regret. Car Momo est fan, très fan, trop fan ! Pour Gérard, le cauchemar ne fait que commencer…

Voici le point de départ de J'adore ce que vous faites, comédie reposant sur le tandem Gérard Lanvin - Artus, dont la bande-annonce vient d'être dévoilée.

J'adore ce que vous faites a été présenté en avant-première hors compétition à l'Alpe d'Huez. La comédie à la mécanique efficace, et reposant sur un tandem drôle et attachant, multiplie les clins d'oeil au monde du cinéma, en nous emmenant dans les coulisses de la vie d'un acteur, en l'occurrence celle de Gérard Lanvin, qui a bien entendu été romancée pour les besoins du scénario.

Gérard Lanvin était récemment dans Envole-moi de Christophe Barratier, sorti en mai 2021, puis on a pu entendre sa voix grâce au personnage de Clay Calloway dans le film d'animation à succès Tous en scène 2, et il est attendu bientôt au générique de la première série française produite sur Apple TV+, Liaison, avec Vincent Cassel et Eva Green.

Quant à Artus, il était récemment à l'affiche de Si on chantait et Pourris gâtés, ainsi que la série Le Bureau des légendes sur Canal+.

J'adore ce que que vous faites est le 4ème long métrage de Philippe Guillard, après Le fils à Jo (2011), On voulait tout casser (2015), et Papi Sitter (2020). Philippe Guillard est un ancien joueur de rugby à XV, devenu depuis journaliste, scénariste, réalisateur et écrivain.

J'adore ce que vous faites sort au cinéma le 18 mai 2022. 

Bella Hadid dit tout sur sa rhinoplastie, ses troubles alimentaire, sa dépression et son anxiété

Bella Hadid a choisi de tout balancer (ou presque). Dans un entretien fleuve donné à Vogue US, la star des podiums s’est livrée à cœur ouvert, abordant sans détour ses pires démons, entre désordres alimentaires, dépression et anxiété. Dès l’adolescence, Bella Hadid a rencontré de nombreux problèmes de santé qui ont participé à altérer son rapport à son image.

C’est d’abord la maladie de Lyme qui a provoqué chez elle de nombreux symptômes physiques et cognitifs. Ceux-ci ont commencé à lui rendre l’existence difficile, entre sautes d’humeur, épisodes dépressifs et anxiété chronique. Mais en parallèle, un psychiatre avait diagnostiqué à la top-modèle un trouble de l’attention et lui avait prescrit de l’adderall, un stimulant qui l’a fait entrer dans le cercle infernal des troubles alimentaires et de l’anorexie mentale.

« J’utilisais cette application de calcul de calories qui m’apparaissait comme une chose diabolique. Je préparais mon petit repas avec mes trois framboises et mon bâton de céleri. Je m’en rends compte maintenant, mais j’essayais juste de me sentir en contrôle de moi-même alors que j’avais l’impression que tout le reste était hors de contrôle », a confié Bella Hadid.

C’est à cette période qu’elle a commencé à développer une dysmorphobie dont elle admet encore souffrir. « Je ne peux quasiment pas me regarder dans le miroir encore aujourd’hui à cause de cette période de ma vie », a-t-elle ajouté, avouant au passage avoir subi une rhinoplastie à l’âge de 14 ans, qu’elle regrette aujourd’hui.

Enfin, il a fallu beaucoup de temps à Bella Hadid pour admettre qu’elle avait tout à fait le droit, malgré sa situation privilégiée, de souffrir et de s’en plaindre. « J’ai toujours eu l’impression que je n’avais pas le droit de me plaindre, ce qui voulait dire que je n’avais pas le droit de demander de l’aide, et c’était mon premier problème », a-t-elle ajouté. Désormais, Bella Hadid essaye de se maintenir à flot du mieux qu’elle peut en gardant l’esprit occupé grâce au travail.

Guerre en Ukraine : Arthur est allé à la frontière polonaise pour sensibiliser à la cause des réfugiés

Arthur s’engage pour les réfugiés ukrainiens… sur le terrain ! Depuis le début de la semaine, l’animateur de TF1 partage photos et vidéos depuis la frontière polonaise, où il a rendu visite à des bénévoles de l’association Sauveteurs Sans Frontières, qui viennent en aide aux populations déplacées par la guerre en Ukraine. 

« Il fait moins dix degrés. Il n’y a jamais eu autant de monde qui a traversé cette frontière parce que nous sommes à 25-30 kilomètres des bombardements. Ils bravent le froid et les conditions la nuit parce qu’il semblerait que la nuit, c’est plus safe. Toutes les femmes et les enfants que je croise depuis le début ont marché en moyenne sept ou huit heures. C’est complètement dingue. C’est la première fois que j’assiste à ça, ce sont des scènes… Je ne trouve pas les mots. C’est émouvant, c’est bouleversant de voir tous ces visages dignes et désespérés », a-t-il déclaré dans un message vidéo où il apparaît manifestement touché, appelant ses abonnés à faire des dons. 

Dans une autre vidéo très émouvante, Arthur a partagé des images d’un couple de survivants de la Shoah​, qui ont pu, après être arrivés en Pologne, parler à leurs proches. « Cette nuit, par un froid glacial et après 17h de voyage, @ssfsauveteurs ont accueilli à la frontière ukrainienne deux survivants de la Shoah. L’émotion était intense quand par FaceTime pour la première fois ils ont pu parler avec leur petite fille. Ils la retrouveront d’ici 24 heures. J’ai été témoin de ces retrouvailles. Un moment bouleversant et si déchirant quand on sait qu’ils ont survécu aux atrocités de la Seconde Guerre mondiale et qu’à nouveau ils ont dû fuir leur pays sous les bombes », a-t-il partagé. 

En une vingtaine de jours, depuis le début du conflit, plus de trois millions d’Ukrainiens ont fui les affrontements.

Romy Schneider s'expose à la Cinémathèque française du 16 mars au 31 juillet

1982 – 2022. Toute une vie sans Romy Schneider. Ou presque. 40 ans tout rond après sa mort, le mythe perdure avec les litanies de rigueur (vie tragique, beaux amants, grands rôles, immense tragédienne, icône…) Les mêmes films repassent à la télé - Sissi, La Piscine, Les Choses de la vie… – et l’on se noie dans ses yeux bleus alors que Romy semble regarder sans cesse ailleurs. Avec Schneider, rien de figé, on continue donc de creuser. Les plus curieux pourront ainsi laisser les "Sautet" de côté pour le seul "Cavalier" : Le combat dans l’île (1962). Ce magnifique long-métrage ne figure pas dans la mini-rétro de la Cinémathèque Française en marge de la grande exposition qu’elle lui consacre (du 16 mars au 31 juillet) mais un beau Blu-Ray existe chez Gaumont. On l’entend dire à Trintignant : "Je voulais vivre, tu me fais mourir !", le tout enveloppé dans un noir et blanc tranchant de Pierre Lhomme. A l’autre extrémité du spectre, il y a les rares Clair de femme de Costa Gavras (1979) et Fantôme d’amour de Dino Risi (1981), où Romy semblait déjà nous faire ses adieux. Entre tout ça, il y a bien-sûr L’important c’est d’aimer d’Andrzej Zulawski (1975) qui sort pour la première fois en Blu-ray (Le Chat qui fume). Film que l’on espère avoir été pour elle un miroir déformant. Elle y incarnait une comédienne en souffrance obligée d’accepter des rôles "olé olé" pour masquer la misère. "Faites pas de photos, je vous en supplie… disait son personnage angoissé. Je suis une comédienne vous savez ?  Je sais faire des choses bien… Ça, je le fais pour bouffer…"

Netflix de son côté dégaine neuf films labellisés "Romy" avec entre autre les films majeurs de sa prolifique collaboration avec Claude Sautet: Les Choses de la vie, Max et les ferrailleurs, César et Rosalie. A noter la présence du plus rare Christine de Pierre Gaspard-Huit (1958) avec le jeune Alain Delon.

L’expo de la Cinémathèque porte le sous-titre "L’invention de la femme moderne" pariant sur l’immortalité supposée - et avérée - de l’icône Romy. Bien en vue, la commissaire de l’exposition, Clémentine Deroudille, a placé un extrait du journal de la star : "En réalité, j’étais simplement en avance sur mon temps. A une époque où il n’était encore nulle part question de libération de la femme, j’ai entrepris ma propre libération. J’ai forgé moi-même mon destin, et je ne le regrette pas." L’absence de regrets n’a bien-sûr pas empêché les blessures. La vie de Romy Schneider ressemble à s’y méprendre à un long supplice déguisé en ronde de nuit. Enfin pour sortir la tête de l’eau, il reste La Piscine. Aussi bleue que la pupille de ses yeux. Le film de Jacques Deray, celui de la renaissance à la fin des sixties, semble tout résumer : une tragédie ensoleillée. Notons donc la parution de ce beau livre : La Piscine, histoire illustrée du film culte par Luc Larriba (Huginn & Muninn), où l’eau vient forcément à la bouche des lecteurs. Happy you Romy !