14 janvier 2025

Les propos de Cassandra Jullia sur le harcèlement scolaire suscitent l'indignation

Tout a commencé avec une vidéo publiée sur la chaîne Youtube de la candidate de télé-réalité. Cassandra Jullia apparaît en compagnie de son compagnon, Simon Castaldi, le couple discutait de sujets de la vie courante, comme la parentalité ou l’accouchement, avant d’aborder la délicate question du harcèlement scolaire. Simon Castaldi a adopté une position ferme, déclarant que, s’il était le père d’un enfant harceleur, il n’hésiterait pas à le corriger physiquement. "Je reste cordial à l’école mais à la maison je le massacre, je lui mets des grosses fessées", a-t-il affirmé. Le cadet de Benjamin Castaldi a conclu en disant "j’ai pris des tartes dans ma vie, j’en veux pas à mes parents. Je ne suis pas contre la tarte".

L'ancienne participante de la Villa des coeurs brisés, quant à elle, a prôné une approche sans violence. Cependant, son discours a rapidement dérapé lorsqu’elle a ajouté : "On ne lève pas la main sur un enfant" avant d’ajouter "Je pense que tu peux éduquer ton enfant et s’il a fait une bêtise, tu peux le faire autrement que par la gestuelle" et a conclu par une phrase qui fait grandement polémique : "alors attends, à l’école, le harcèlement à l’école on connait comment c’est, c’est pas non plus un truc de foufou...". Cette phrase a été perçue par beaucoup comme une minimisation de la gravité du harcèlement scolaire. De nombreux internautes, des créateurs de contenu ainsi que des associations engagées dans la lutte contre ce fléau ont vivement réagi.

Face à l’ampleur de la controverse, Cassandra Jullia a pris la parole sur TikTok pour tenter d’apaiser les esprits et clarifier sa position. "Le harcèlement c'est grave. Je l'ai subi et je sais que plein de personnes qui me suivent le subissent ou l'ont subi, je ne rigole pas avec ça". Elle a poursuivi en expliquant : "Je pense qu'à ce moment-là où je parle, je suis restée braquée sur un sujet avec Simon, où je n'étais pas d'accord, et je n'ai pas fait attention à ce que je disais. Je vous lis, je vous comprends. Et je ne laisserai jamais mon enfant subir le harcèlement scolaire ou autre, ni le fasse subir." Malgré ses excuses, la jeune femme de 25 ans a du mal à regagner la confiance de son public. Dans les commentaires, les internautes ont continué à exprimer leur mécontentement et leur désillusion face à cette prise de parole jugée insuffisante.

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