30 août 2023

Gérald de Palmas de retour : le chanteur explique ce qu'il a fait pendant sa longue absence

Mais que devient Gérald de Palmas ? Cette question, les fans du chanteur se la posent depuis longtemps. C'est en 1994, que le chanteur sort son premier album intitulé La dernière année. Le titre Sur la route, lui permet de conquérir le public et restera l'un des joyaux de son répertoire. L'année suivante, il est sacré Révélation masculine lors des Victoires de la musique. Gérald De Palmas travaille d'arrache-pied et ses talents de compositeur lui offre une opportunité unique, celle de travailler pour celui qui est alors le Taulier de la chanson française Johnny Hallyday. Il écrit et produit pour lui Marie, l'un des plus grands succès du chanteur.

Mais la médaille à son revers. "Le problème, c'est que, lorsque j'écris pour les autres, je ne trouve pas l'inspiration pour mes propres créations", reconnaissait le chanteur dans un entretien accordé au quotidien Le Parisien, en 2016. Alors que sa carrière marque le pas, le chanteur prend une décision radicale, celle du retour aux sources...

C'est sur l'île de la Réunion dont il est originaire, qu'il s'est installé ces sept dernières années. "C’était une obligation. J’avais perdu un peu le contact avec mon île natale", avait-il expliqué alors qu'il travaillait sur son huitième album, La beauté du geste. Et depuis plus rien. Dans les colonnes du Parisien ce 30 août l'interprète de J'en rêve encore signe son grand retour avec un single intitulé Personne aux sonorités folk et soul. C'est le premier extrait d'un album qui sortira au mois de novembre, qui comptera 11 titres et déjà baptisé Sous un soleil de plomb.

Pour le chanteur ces années n'ont pas été perdues bien au contraire. "Cette période a été bénéfique" assure-t-il. "J'ai arrêté la musique pendant trois ans et j'ai réalisé un rêve d'enfant : voler" révèle celui dont la fille Rose a désormais 20 ans. "J'ai passé des brevets de pilote de petit avion et d'hélicoptère, j'ai fait un peu de voltige. Je me suis mis aussi au parachutisme. Comme tous les anxieux, j'avais besoin de lâcher prise, et j'ai fait 300 sauts ! Mon corps avait besoin de retrouver l'adrénaline des concerts. Certains jours, je sautais dès l'aurore, je faisais de la voltige à 11heures et de l'hélico le soir. Cela m'a bien vidé la tête" a-t-il confessé.

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