10 novembre 2023

Marlène Jobert : elle raconte la fois où un fan l'attendait en bas de chez elle pour l'attaquer

La mère de la comédienne Eva Green célébrait ses 83 ans samedi 4 novembre dernier. Si elle est aujourd'hui une mère comblée, elle est passée par bien des tourments avant de devenir une grande actrice dont la vie est admirée par de nombreux Français.

Marlène Jobert a grandi à Alger. Un peu plus tard, sa famille s'est installée dans un petit village de la Côte d'Or, en Bourgogne Franche Comté. Sa mère tenait un café épicerie et son père était militaire dans l'aviation. Une enfance paisible, est-il facile de penser. Pourtant, la comédienne n'a pas de très bons souvenirs de sa vie de jeune fille, notamment à cause de son père qui la battait.

"À l'époque, on n'élevait pas ses enfants, on les matait", confiait-elle à nos confrères de Gala en novembre 2014. "Ce n'était pas de la maltraitance, mais ces coups étaient injustes", a-t-elle avoué. Depuis, Marlène Jobert a bien grandi et a vécu une véritable carrière de vedette de cinéma, mais elle aurait pu s'arrêter net à cause d'un fan qui était obnubilé par sa personne.

ans le numéro de France Dimanche paru en kiosques vendredi 10 novembre 2023, nos confrères ont rappelé la fois où l'octogénaire a failli être assassinée par un admirateur. Un souvenir terrifiant pour la comédienne, qu'elle a raconté dans son autobiographie intitulée Les Baisers du Soleil (Éditions Plon).

Tout a commencé par des lettres et des cadeaux reçus au bureau de son agent de la part d'un inconnu. Mais un beau matin, Marlène Jobert a découvert avec horreur que son admirateur connaissait son adresse. En effet, elle avait reçu des courriers de sa part à son propre domicile. "Non seulement cet homme savait où j'habitais, mais en plus, il me donnait des détails de mes déplacements", a écrit l'actrice dans ses mémoires.

Elle a donc demandé à un de ses amis de stopper son harceleur. Après avoir repéré l'homme à proximité du domicile, l'acolyte de Marlène Jobert l'a averti que s'il continuait, la police serait tenue au courant de son comportement étrange. Des propos qui n'ont pas plu à l'admirateur de l'actrice, étant donné qu'il a sorti un couteau de sa poche et blessé au bras l'ami de l'épouse de Walter Green. Ce jour-là, il guettait la comédienne dans le but de l'attaquer.

"À la vue du sang, le déséquilibré s'est enfui et on ne l'a plus jamais revu", a précisé la mère de famille. Si son ami s'en est sorti, l'admirateur fou est toujours dans la nature. Une histoire qui fait froid dans le dos, et qui explique la raison pour laquelle Marlène Jobert s'est éloignée du feu des projecteurs.

Sheila revient sur ses rapports compliqués avec Michel Sardou

Ses tubes entêtants ont fait d’elle l’une des plus grandes icônes de la chanson populaire. À 78 ans, Sheila continue d’aller à la rencontre de son public qui la suit depuis plus de soixante ans. Dimanche 12 novembre, elle sera notamment en concert au Grand Rex dans le cadre d’une grande tournée anniversaire qui célèbre sa carrière. L’occasion de replonger dans la période yéyé avec des tubes comme L’école est finie, Les rois mages ou encore Love Me Baby et Spacer.

Vendredi 10 novembre, Sheila est revenue sur les épisodes chaotiques qui ont marqué sa vie au cours d’un entretien accordé à Libération. Elle s'est notamment confiée sur sa traversée du désert après l’élection de François Mitterrand en 1981 : "Je n'étais pas la meilleure copine de Jack Lang. À cette époque, je n'avais plus la carte, je n'avais même pas le ticket, je n'avais plus rien du tout. [...] J'étais étiquetée 'droite bête’ par rapport à la ‘gauche intelligente'", s’est-elle souvenue.

Lors de cet entretien, Sheila a également parlé des vedettes des années 70 qu’elle a pu côtoyer au cours de sa carrière. "Il n’y avait pas de rivalité entre nous (les stars des années 70, ndlr). Elle a été créée par nos équipes qui étaient dans la course au numéro 1", a-t-elle d’abord expliqué, avant d’évoquer les rapports compliqués qu’elle a entretenus avec Michel Sardou. "Il y a bien sûr des gens avec qui j’avais moins de feeling. Michel Sardou, dont on parle beaucoup aujourd’hui, avait un caractère de cochon, mais quand nous étions tous ensemble, il ne ramenait pas trop sa fraise", a-t-elle confié.

Sheila a par ailleurs expliqué avoir subi des remarques sexistes de la part de Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Michel Sardou lors du tournage d’une émission avec Sylvie Vartan. "Ils nous ont dit : 'C’est bon, maintenant, les mamans peuvent retourner à la maison.' C’était le royaume des hommes, mais cela, hélas, n’a pas trop changé. Une femme qui se ride, elle a une sale gueule. Un homme qui se ride, il devient très beau", a-t-elle ajouté

Avatar : des fans recréent si bien Pandora que c'est validé par Disney !

Le monde de Pandora a fasciné des millions de spectateurs à travers le monde avec Avatar et sa suite Avatar : la voie de l'eau. Et parmi les fans de cet univers créé de toute pièce par James Cameron, certains sont aussi de fervents amateurs de Lego. Et lorsque ces deux mondes se rencontrent, le résultat en vaut la peine !

Ces fans ont utilisé 1 million de briques pour reconstituer l'univers de Pandora en surface comme sous-marin ! Des ateliers réalisés dans les écoles élémentaires et les bibliothèques ont fait participer des enfants à la fois à la construction, mais aussi au design de certaines parties du décor. Le diorama représente des images tirées des films, et derrière, le ciel qui lui donne toute sa profondeur est lui aussi fait en Lego !

L'initiative est partie d'un des LUG de la marque, un LUG étant l'appellation donnée outre-Atlantique à une association de fans de Lego. Le LUG a contacté Lego pour leur faire part de l'idée, et la firme leur a donné les ressources nécessaires pour réaliser ce projet (très !) fou.

On peut ainsi reconnaître les créatures sous-marines et la flore très particulière dévoilées dans La Voie de l'eau, mais aussi les Ikrans (créatures volantes du premier film), dans un décor en 3D montrant la surface avec une magnifique cascade et des arbres probablement millénaires ainsi que les fonds marins et ses couleurs hypnotisantes.

Si le projet a été soutenu par Disney, qui a diffusé l'impressionnant résultat de ces heures de construction sur la chaîne Youtube officielle de la franchise, on ignore encore ce qu'en a pensé James Cameron.

Le cinéaste est très occupé avec la reprise prochaine des tournages d'Avatar 4 et 5 (interrompus par la grève des scénaristes et des acteurs) et la post-production d'Avatar 3, qui est prévu dans les salles pour le 17 décembre 2025.

Netflix veut relancer la franchise Fear Street

Avant d'être une série de films Netflix, proposée en trois parties - 1994, 1978 et 1666 -, Fear Street est une collection de romans écrite par R.L. Stine, l'auteur de Chair de Poule.

Après le succès des longs métrages sortis en 2021, la plateforme souhaite relancer la franchise avec un quatrième volet, indépendant des trois précédents, avec de nouveaux personnages et une nouvelle histoire.

L'information a été révélée par Scott Stuber, directeur de la section cinéma chez Netflix, dans une entrevue avec Collider. La collection Fear Street contient plus de 50 tomes, alors forcément la plateforme ne manque pas de choix. Le PDG annonce qu'une équipe travaille actuellement sur le scénario du nouveau film.

En relançant cette franchise, Netflix espère trouver son propre personnage emblématique horrifique : "J'aimerais que l'on retrouve notre propre Freddy Krueger, notre propre Jason, ce personnage iconique d'horreur, mais nous n'en sommes pas encore là. L'équipe travaille dur parce que je pense que l'opportunité est réelle. Il y a tellement de bons personnages."

Il faut dire que si le genre horrifique a parfois connu quelques périodes difficiles, notamment durant les années 2000, il n'a jamais été aussi populaire qu'aujourd'hui. Les récents succès des films Blumhouse et du reboot de Scream, entre autres, le prouvent.

Sur Netflix, c'est d'autant plus vrai que chaque proposition horrifique finit très souvent par truster les premières places du classement.

L'auteur R.L. Stine continue, quant à lui, d'inspirer les films et séries. Récemment, la plateforme Disney+ a sorti une nouvelle version, plus sombre et horrifique, de Chair de Poule en série. Une excellente surprise.

Les trois films Fear Street sont toujours disponibles sur Netflix.

Delicatessen revient au cinéma dans une version restaurée 4K

En avril 1991, l'Hexagone découvrait un véritable OVNI cinématographique : Delicatessen ! Mis en scène par Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro, Cette œuvre bénéficie d'une ressortie en version restaurée 4K grâce à Splendor Films. Véritable pépite, ce film est à (re)découvrir absolument !

Le récit de Delicatessen nous entraîne au milieu d'un terrain vague où se dresse un immeuble habité par d'étranges personnages. Tous sont clients du boucher du rez-de-chaussée, dont les stocks augmentent avec la disparition de certains locataires.

Un beau jour arrive Louison, clown au chômage. Virtuose de la scie musicale, il plaît à Julie, violoncelliste, la fille du boucher.

Delicatessen est le premier long métrage de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro. Cependant, il ne s'agit pas de leur première collaboration. De façon individuelle, Caro avait notamment fait de la BD et Jeunet de la publicité.

Ensemble, ils avaient déjà réalisé cinq courts-métrages dont Le Bunker de la dernière rafale (1981). Ce film avait fait sensation car il avait déclenché des émeutes dans certaines salles de cinéma. Le duo a également signé Foutaises (1989), qui a remporté le César du meilleur court métrage en 1991.

"J'habitais au-dessus d'une boucherie et j'étais réveillé tous les matins par les coups de hachoir. Ma copine de l'époque me disait : Ils sont en train de tuer les locataires là-haut, et ils descendent chaque jour d'un étage.

Ça va arriver chez nous, il faut vite qu'on déménage ! Voilà comment est né le film. Un lieu clos, car on cherchait un truc pas trop cher, et une idée marrante", confie Jean-Pierre Jeunet dans les colonnes de Première.

Le réalisateur et son acolyte, Marc Caro, ont été beaucoup soutenus par la productrice Claudie Ossard, qui s'est battue pour trouver des financements pour le film.

"Je pensais vraiment trouver l'argent. J'essayais de les rassurer mais ils ne me croyaient plus ! Ils étaient désespérés. J'avais des rendez-vous et j'étais tout le temps dans l'action, mais eux ne pouvaient qu'attendre. C'était horrible. À chaque fois que je voyais des gens, je disais : Ça va aller, ça va aller. Mais ça n'allait jamais", se souvient la productrice.

Finalement, Claudie Ossard a réussi à convaincre UGC, qui lui a signé un contrat pour cinq films. "Elle a dit que Delicatessen serait le premier. Ça a tenu à la ténacité de Claudie. Elle m'a avoué que si on ne l'avait pas appelée tous les deux jours pour lui demander où les choses en étaient, elle aurait peut-être abandonné", indique Jean-Pierre Jeunet.

Delicatessen devait se tourner dans un immeuble voué à la démolition situé dans l'ouest de la banlieue parisienne. Malheureusement, à la dernière minute, le maire a exigé un "bakchich de 100 000 francs" à la production. L'équipe a refusé et a décidé d'aller dans les anciens entrepôts de la Seita, à Pantin, à l'endroit où Luc Besson a filmé Nikita.

"On avait toute une usine à nous pour 5 000 balles par mois, c'était génial, il n'y avait personne à part les pigeons. Le budget était de 18 millions de francs, c'était serré. Il y avait seize semaines de tournage mais on n'avait pas le droit à une seule heure supplémentaire. Certains dimanches, j'ai vu mon Caro faire les patines lui-même sur les décors", souligne Jean-Pierre Jeunet.

Delicatessen est porté par deux comédiens de poids, des "gueules de cinéma" : Jean-Claude Dreyfus et Dominique Pinon. D'après Jeunet, le casting devait être complètement différent !

"Le personnage principal de Louison devait être joué non pas par Dominique Pinon mais par Christophe Salengro, le président de Groland. Alors on a fait des essais et là je me suis rendu compte de la limite de ces acteurs visuels, un peu moins bons dans les dialogues et la composition. C'est là que j'ai eu l'idée de Pinon", explique le metteur en scène.

Pour interpréter le Boucher, Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro avaient jeté leur dévolu sur Jean Bouise. Malheureusement, le comédien est mort avant le tournage, en juillet 1989, à l'âge de 60 ans. Les deux auteurs se sont donc tournés vers Jean-Claude Dreyfus.

"Un jour, ils sont venus chez moi et ont mis le scénario de Delicatessen sur la table. Je leur ai dit : Tiens, c'est amusant, retournez-vous. Et ils se sont retrouvés face à 250 cochons, parce que je collectionne les cochons depuis des années.

Ça les a fait rire. Ils venaient pour me proposer un autre rôle et d’un coup à leurs yeux, je suis devenu le Boucher. Je suis tombé fou amoureux de cette histoire", déclare l'acteur.

Enfin, il faut noter que le chef-opérateur du film n'était autre que Darius Khondji, grand artiste ayant collaboré avec David Fincher (Seven), Woody Allen (Minuit à Paris) ou Bong Joon-ho (Okja).

D'après le directeur de la photographie, Jeunet et Caro avaient toujours tous les deux une vue sur l'ensemble. Cependant, "Caro supervisait tout, particulièrement le visuel : la couleur, la lumière, l'ambiance, les costumes, les décors…"

"Jean-Pierre était vraiment sur la direction d'acteur et la mise en cadre. Mais parfois Caro et moi avions peut-être tendance à aller trop loin dans la stylisation, et Jean-Pierre nous ramenait vers plus de réalisme ou de comédie.

Comme ils avaient tout storyboardé, c'était très précis. C'est rare que je travaille sur un film aussi pensé, travaillé à l'avance. Il n'y a qu'eux, David Fincher et Bong Joon-ho."

En dernière instance, Delicatessen a été très bien accueilli par la critique et le public. Il a notamment attiré 1,5 million de spectateurs au cinéma. Il a aussi remporté 4 Césars en 1992 : Meilleure première œuvre, Meilleurs décors, Meilleur montage et Meilleur scénario original.

Bande-annonce de Vice Versa 2

C'est le grand retour de Joie, Peur, Colère, Dégoût et Tristesse ! 9 ans après la sortie de la pépite Vice Versa, nos célèbres émotions vont intégrer dans leur club haut en couleur de nouveaux personnages parmi lesquels Anxiété, dont voici les premières images.

Dans Vice Versa 2, réalisé par Kelsey Mann, la jeune Riley est désormais une adolescente fraîchement diplômée. Ce qui n’est pas sans déclencher un chamboulement majeur au sein du quartier général qui doit faire face à quelque chose d’inattendu : l’arrivée de nouvelles émotions !

Joie, Tristesse, Colère, Peur et Dégoût - qui ont longtemps fonctionné avec succès - ne savent pas trop comment réagir lorsqu’Anxiété débarque. Et il semble qu'elle ne soit pas la seule...

La réalisatrice confie dans le communiqué de presse du film : "Même si elle est nouvelle dans l’équipe, Anxiété n'est pas du genre à rester en retrait. Cela fait même tout à fait sens quand on pense à tout ce qui peut se passer dans nos esprits à l’adolescence".

Écrit par Meg LeFauve, coscénariste du premier film aux côtés de Pete Docter, désormais directeur artistique de Pixar, le long métrage s'intéresse au difficile passage à l'adolescence et à l'arrivée de toutes nouvelles émotions parfois compliquées à maîtriser telles que l'anxiété, le doute, l'embarras, l'amour...

Maya Hawke prête sa voix à la nouvelle venue tandis que Amy Poehler, Diane Lane, Phyllis Smith et Lewis Black reprennent leur rôle dans la version originale du long métrage animé annoncé dans nos salles obscures le 19 juin 2024.

On ignore encore si Pierre Niney, Mélanie Laurent, Marilou Berry, Charlotte Le Bon et Gilles Lellouche seront de retour pour la version française.

Sorti en 2015, Vice Versa de Pete Docter et Ronaldo Del Carmen a été un succès critique (4,7/5 étoiles) et public (noté 4,3/5 par les spectateurs AlloCiné). Il a fait venir 4,5 millions de spectateurs dans les salles françaises et a récolté 857 millions de $ au box-office monde.

Nouveautés Netflix du 10 au 16 novembre

L'incontournable de la semaine

The Crown (16 novembre) saison 6 partie 1 : L'histoire d'amour entre la princesse Diana et Dodi Al Fayed est brutalement interrompue par un accident de voiture à l'issue fatale. Le prince William tente de reprendre le cours de sa vie à Eton après le décès de sa mère, tandis que la monarchie subit les foudres de l'opinion publique.

Alors qu'elle s'apprête à célébrer son jubilé d'or, la reine réfléchit à l'avenir de la monarchie face au mariage à venir de Charles et Camilla et à la romance royale de William et Kate.

Quatre épisodes seront proposés dans cette partie 1.

Le vendredi 10 novembre

The Killer : Après une catastrophe évitée de justesse, un tueur se bat contre ses employeurs (et lui-même) dans une chasse à l'homme à travers le monde qui, dit-il, n'a rien de personnel. Le nouveau film de David Fincher avec Michael Fassbender est l’un des événements de ce mois de novembre.

At the moment : Cette série d'anthologie qui se déroule pendant la pandémie raconte dix histoires uniques de passion amoureuse et de peine de cœur.

Fame after Fame : "Sálvame", une série espagnole qui a connu un succès fou, touche à sa fin. "Fame After Fame" en suit les huit animateurs principaux, véritables célébrités en Espagne, dans leur périple dément à la recherche d'un nouvel emploi entre Miami et Mexico.

Le mardi 14 novembre

Suburræterna : Rome, 2011. Alors que les institutions politiques sont au bord du gouffre, le Vatican est ébranlé par des scandales et les rues de la capitale italienne sont en proie au chaos.

Dans le milieu de la pègre, Cinaglia tente de prendre la succession du Samouraï et, secondé par Badali, supervise toute les activités criminelles de la ville avec l'assistance d'Adélaïde et d'Angelica, qui dirigent désormais les Anacleti, et de Nadia, qui les aide à gérer les lieux de deal à Ostie.

Le parcours des gangsters : Dans cette série sombre et satirique, le narrateur Peter Dinklage nous guide et nous raconte l'ascension et la chute des gangsters les plus célèbres de l'histoire — d'Al Capone à Pablo Escobar — ainsi que leurs tactiques pour réussir.

Le jeudi 16 novembre

Bonjour l’esprit de Noël : À la fin de chaque année, Jackie envoie des nouvelles de sa vie merveilleuse que son ancienne amie de fac, Charlotte, reçoit comme un cadeau empoisonné.

Quelques jours à peine avant Noël, le destin mène Charlotte, son mari Rob et leur famille sur le pas enneigé de la porte de Jackie et de son compagnon Valentino. Charlotte saisit alors l'occasion de démontrer que la vie de son amie n'est certainement pas aussi parfaite qu'elle le laisse entendre

C’est déjà disponible

Toute la lumière que nous ne pouvons voir : Cette mini-série suit tout au long d'une décennie les destins entrecroisés de deux héros dont la Deuxième Guerre mondiale va bouleverser l'existence. Quatre épisodes à la fois bouleversants et pleins d’humanité qui ont ému les abonnés.

09 novembre 2023

Isabelle Adjani évoque ses déboires judiciaires

Ce vendredi 10 novembre les fans d'Isabelle Adjani vont sans doute se ruer pour découvrir Bande Originale son deuxième album enregistré avec Pascal Obispo il y a plus d'une décennie déjà. Cet opus s'annonce selon le Parisien comme une excellente surprise musicale - notamment grâce à un duo avec Seal, avec le regretté Christophe ou à la présence de Gaétan Roussel et Benjamin Biolay.

Dans les colonnes du quotidien Isabelle Adjani revient sur la genèse de cet opus dont on a longtemps pensé qu'il ne sortirait jamais. Petit clin d'oeil du destin, cet album sort 40 ans après le premier, écrit composé et réalisé par Serge Gainsbourg selon la comédienne. Dans Le Parisien, Isabelle Adjani évoque ce projet avouant l'aimer, "tout simplement" ce qu'elle considère comme "une bande-son de sa vie, fictionnée".

Mais si la sortie de Bande originale procure une immense joie à la comédienne, difficile d'oublier qu'elle est actuellement en pleine tourmente visée par une enquête pour blanchiment et fraude fiscale depuis 2016 et poursuivie pour plusieurs chefs d'accusation. Elle a notamment été soupçonnée d'avoir dissimulé une donation en prêt en 2013, et de s'être fictivement domiciliée au Portugal entre 2016 et 2017. L'actrice a toujours clamé son innocence dans cette affaire, assurant être "pleinement en règle tant à l'égard de l'administration fiscale française que de la portugaise et (n'avoir) aucune dette fiscale où que ce soit" auprès de nos confrères du Point. Le 19 octobre dernier, elle était absente du Tribunal correctionnel de Paris où elle devait être entendue. Le PNF a requis auprès du tribunal une peine de 18 mois de prison avec sursis ainsi que 250 000 euros d'amende à l'encontre de l'actrice.

Dans les colonnes du Parisien, elle a répondu à nos confrères qui lui demandaient comment elle vivait ses déboires judiciaires. "Comment est-ce que la sérénité de l'innocence pourrait faire bon ménage avec des commentaires intrusifs à répétition ?, s'est-elle interrogée. Les mauvais souvenirs de harcèlement vécus à l'époque de la rumeur accusatrice de 1987 refont surface. Il existe un temps pour la parole, un temps pour le silence. Je ne parlerai que le moment venu."

Alessandra Sublet se livre sur sa vie sentimentale

Alessandra Sublet a quitté le monde de la télévision pour se consacrer à la comédie. Elle est actuellement à l’affiche de Tous les risques n’auront pas la saveur du succès, son premier spectacle qui s’inspire aussi bien de sa carrière que de sa vie privée. Elle aborde notamment son "baby blues terrible qui était vraiment une dépression post-partum", comme elle l’avait déclaré le 24 octobre dernier sur RTL. "En tout cas, moi, quand j'étais enceinte, aucune nana autour de moi m'a dit 'tu peux avoir une marée de larmes, ça peut arriver, ça peut être dur'. Non, tout le monde vous dit que c'est le beau métier du monde et que c'est merveilleux. Ce n'est pas faux, mais c'est super dur", avait-elle expliqué.

Sa vie amoureuse est également une source d’inspiration. Pour rappel, l'ex-présentatrice a été mariée au producteur Thomas Volpi pendant un an. Puis, elle s’est unie à Clément Miserez, le père de ses enfants Charlie et Alphonse, entre 2012 et 2018, avant de divorcer pour la deuxième fois.

Sans fard, Alessandra Sublet a reconnu auprès de Elle : "Mes deux divorces ont été des échecs, même si la société a tendance à les banaliser. C'est un petit traumatisme, surtout quand il y a des enfants". En effet, selon elle, il y a dans toute séparation "des dommages collatéraux que l'on ne pourra jamais réparer". "Et Dieu sait que je m'entends bien avec le père de mes enfants !", a ajouté celle qui est toujours soutenue par Clément Miserez dans ses projets.

Comme elle l’a souligné, Alessandra Sublet a aussi "essayé plein de choses" dans sa vie professionnelle, "mais tout n’a pas marché". "Mais c’est parce que j’ai tenté beaucoup de choses, et l’échec m’a construite", a-t-elle analysé. 

Harry et Meghan Markle : depuis les États-Unis, ils commémorent la Journée du souvenir en rendant visite à des vétérans

Ce n’est un secret pour personne, le prince Harry a toujours souhaité soutenir les vétérans et soldats de la meilleure façon possible. Et même après avoir quitté ses obligations royales et s’être exilé aux États-Unis, le frère du prince William a continué d’aider ces personnes. En 2014, il a d’ailleurs créé les Invictus Games, une compétition multisports pour soldats et vétérans de guerre blessés. Cet événement est presque devenu incontournable. Après une première édition à Londres en 2014, la compétition s’exporte : Orlando (2016), Toronto (2017), Sydney (2018), La Haye (2022), et plus récemment à Düsseldorf. Pour organiser ces jeux de grande ampleur, le prince Harry s’est inspiré des Warrior Games, un événement pour soldats et vétérans américains en situation de handicap. Son engagement envers cette communauté lui permet alors de faire rayonner ce projet au niveau international. En dehors du sport, le petit-fils d’Elizabeth II continue de manifester son soutien en venant à la rencontre des vétérans et soldats.

Samedi 11 novembre de nombreux pays d’Europe et du Commonwealth, commémoreront la mémoire des soldats qui se sont battus lors de la Première Guerre mondiale. De l’autre côté de l’Atlantique, le prince Harry et Meghan Markle ont aussi décidé de rendre hommage aux soldats et vétérans. Mercredi 8 novembre, ils se sont rendus au camp Pendleton de San Diego pour y rencontrer des anciens combattants et des militaires en service actif. Alors que le duc et la duchesse de Sussex vivent désormais aux États-Unis, ils ont tout de même choisi d’arborer le traditionnel coquelicot porté dans les pays du Commonwealth lors de la Journée du souvenir.

C'est ce que révèlent les photos publiées sur le site de la fondation Archewell. Cette visite était l’occasion pour le couple de découvrir l’opération Bigs, un service de mentorat destiné aux enfants des familles de militaires en service actif, de vétérans et de la médaille Gold Star. Avoir un parent dans les forces armées n’est pas toujours simple et ce programme permet aux jeunes et à leur famille d’être soutenus et écouté. Le site de la fondation Archewell affirme que depuis 2004, ce programme a bénéficié à plus de 3 000 enfants de la Marine et du corps des Marines. Le prince Harry et Meghan Markle semblent fiers de pouvoir soutenir cette opération.