Il semblerait que les mois passés aient été synonymes de succès pour Léa Drucker. En effet, l’actrice française était à l’affiche de cinq films et une série en 2022. En 2023, deux productions dont elle tient le rôle principal paraîtront. Une année qui s’annonce chargée, et qu’elle a évoquée dans les colonnes de « Madame Figaro », le 26n janvier : « J’ai terminé une série pour Arte : “Sous contrôle”, réalisée par Erwan Leduc. C’est une comédie politique dans le milieu des affaires étrangères […] On a tourné “L’été dernier”, Catherine Breillat a fait l’adaptation d’un film danois. Il s’agit d’une histoire d’amour entre une femme mûre et un très jeune homme. »
À 51 ans, la cousine de Marie Drucker s’épanouie professionnellement : « C’est un âge intéressant. D’un point de vue professionnel, les choses ont commencé assez fort dans ma quarantaine. Le chemin continue… J’ai eu des propositions très intéressantes ces derniers temps, des personnages complexes dans des registres variés […] Passer de Quentin Dupieux à Catherine Breillat, voilà ce qui me plaît dans le cinéma français. »
En 2014, Léa Drucker, en couple avec le cinéaste français Julien Rambaldi, a donné naissance à une petite fille prénommée Martha. Pourtant, rien ne la prédestinait à devenir mère. En janvier 2020, dans les colonnes de « Paris Match », elle précise : « La rencontre avec Julien et ses enfants a changé ma perception des choses. Je suis devenue optimiste sur l’amour. Je me suis autorisée à vivre ce que je m’étais plus ou moins interdit. J’ai enfin pu me construire. »
Finalement, l’interprète de Marie Tessier dans « Sous contrôle » savoure pleinement ce rôle qui lui montre la vie sous un autre angle. « En étant mère à 42 ans, j’ai eu l’impression de commencer une nouvelle vie. Elle s’appelle Martha, comme une chanson des Beatles, comme la chorégraphe Martha Graham […] Je me dis qu’un prénom insuffle une part du caractère. On souhaite à toutes les petites filles d’avoir de la force », a avoué la compagne de Julien Rambaldi à « Madame Figaro ». Pour le futur, la mère de Martha souhaite avant toute chose que sa fille soit libre de faire ses propres choix. Comme elle l’a indiqué à « Paris Match », : « On peut avoir des rêves pour ses enfants, mais on n’a pas le droit de leur enlever leur liberté de choix. »
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