04 octobre 2021

Rocky IV : la bande-annonce de la version Director's Cu de Sylvester Stallone

Rocky Balboa affronte l'Union soviétique entière dans Rocky IV, emblème absolu du cinéma des années 1980 comme reflet de la guerre froide. Trente-six ans après sa sortie en salle, le film s'offre un petit rafraîchissement bienvenu. Et Ivan Drago n'a jamais fait aussi peur...

MGM a mis en ligne la bande-annonce officielle de ce Director's Cut renommé pour l'occasion Rocky IV : Rocky vs. Drago ! Sylvester Stallone avait annoncé dès l'été 2020 son envie de sortir une nouvelle version du film pour célébrer son 35e anniversaire. Finalement, cela a pris une année de plus que prévu (COVID oblige), mais voici ce Rocky IV remodelé, qui proposera 40 minutes de séquences inédites, dont de nouvelles images du match Apollo contre Drago. Le robot de Paulie sera aussi complètement coupé du montage : "Le robot va à la casse pour toujours, fini le robot", a d'ailleurs commenté Stallone.

Rocky IV : Rocky vs. Drago sortira dans les salles le jeudi 11 novembre pour une nuit seulement, aux Etats-Unis, en présence de Sylvester Stallone, puis aura droit à une sortie numérique le 12 novembre.

Sexe Intentions : une nouvelle tentative de remake en série en préparation

Après un projet de reboot initié par la NBC et finalement avorté en 2016, Sexe Intentions, adaptation libre et contemporaine du roman Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos portée par Sarah Michelle Gellar, Ryan Philippe, Reese Witherspoon et Selma Blair, pourrait avoir droit à une nouvelle tentative de reboot en série selon le Hollywood Reporter.

Développé par la plateforme de streaming américaine IMDb TV détenue par Amazon, ce nouveau projet est coécrit par les scénaristes Phoebe Fisher et Sara Goodman, déjà à l'origine d'un autre reboot de teen movie emblématique des années 1990 pour le géant du web : Souviens-toi l'été dernier, qui sera diffusé courant octobre sur Amazon Prime Video. Si Roger Kumble, le scénariste et réalisateur du film sorti en 1999, ne fait pas partie de ce nouveau projet, Neal Moritz, l'un des producteurs originaux, y est rattaché.

Située au sein d'une université élitiste de Washington D.C., la série se focalisera sur deux demi-frère et soeur prêts à tout pour rester au sommet de la hiérarchie des fraternités et sororités de leur école. Mais alors qu'un incident brutal survenu durant un bizutage menace les fondations mêmes des organisations étudiantes de leur université, ils vont devoir recourir à tous les moyens nécessaires pour préserver leur pouvoir et leur réputation...  y compris tenter de séduire la fille du Vice-président des Etat-Unis ! 

A l'origine prévu pour une diffusion à l'été 2017, le sequel de la NBC, inscrit dans le prolongement du film de Kumble devait voir figurer à son casting les quatre stars originales de Sexe Intentions. Mais en raison d'une trop forte concurrence de programmation estivale et de manque de place dans sa grille, la série a été laissée sur le carreau, et les contrats des comédiens n'ont pas été renouvelés.

Lancé en janvier 2019, la plateforme IMDb TV est déjà à l'origine de plusieurs séries originales : Leverage, un spin-off de la série Amazon Bosch, ou encore Alex Rider, adaptation de la saga littéraire à succès (disponible en France sur OCS.).

Selon Will Smith, ses deux meilleurs films et le pire, sont....

Quand Will Smith jette un regard critique sur sa propre filmographie. Au micro de GQ, la star américaine juge ainsi que ses deux meilleurs films sont, ex-aequo, le premier volet de la saga Men in Black et À la recherche du bonheur, soit un gros blockbuster, énorme succès au box-office mondial, et un drame intimiste qui lui a valu une nomination à l'Oscar du Meilleur acteur. "Pour différentes raisons, ces deux films sont à mes yeux quasiment parfaits", estime le comédien.

Plus amusant, Will Smith révéle également pour GQ lequel de ses films est, à ses yeux,... le pire ! Verdict ? La comédie Wild Wild West, sortie en salles en 1999 et dans laquelle il partage l'affiche avec Kevin Kline. "Ce film est juste une épine dans le pied", rigole l'acteur. "Me voir avec des jambières en cuir... Je n'aime pas ça."

Le western Wild Wild West, relatif échec au box-office américain avec seulement 114 milllions de dollars de recettes au compteur, avait été fraîchement reçu par la critique. Il avait notamment été nommé à huit reprises aux Razzie Awards, la célèbre "cérémonie du pire". On notera toutefois que Wild Wild West avait permis à Will Smith de remporter un gros succès musical avec la chanson éponyme, interprétée par ses soins.

Will Smith, qui pourrait prochainement reprendre son personnage de Deadshot dans un nouveau Suicide Squad, sera à l'affiche le 1er décembre prochain de La Méthode Williams. Un long métrage dans lequel il incarne le père des joueuses de tennis Serena et Venus Williams.

03 octobre 2021

Mila Kunis hallucine sur la polémique engendrée par sa blague sur son hygiène corporelle

Mila Kunis a du mal à croire qu’on discute encore de son hygiène et de celle de ses enfants. Il y a quelques semaines, l’actrice avait déclaré que ses enfants ne prenaient pas un bain tous les jours, et qu’elle et Ashton Kutcher ne se douchaient pas forcément quotidiennement. Un commentaire qui, depuis, continue de faire jaser, au grand dam de la star de That 70s Show qui s’est agacée sur le plateau du Ellen DeGeneres Show.

« C’est tellement stupide. Genre, je me douche tous les jours, mais je ne me lave pas les cheveux tous les jours. Je ne pense pas que ce soit nécessaire », a-t-elle déploré.

Mais le plus hallucinant pour Mila Kunis, c’est que d’autres célébrités se sont invitées dans la discussion, à l’instar de Dwayne Johnson.

« Apparemment, The Rock se douche, alors félicitations The Rock, tu te douches », s’est amusée Mila Kunis avant de tenter de désamorcer la polémique par quelques traits d’humour qui, malheureusement, risquent de ne rien arranger.

« Oui, Ellen, je me douche. Les enfants, ils sont en contact avec des tonnes d’eau presque tous les jours. Parfois c’est une piscine, parfois c’est un arrosoir automatique. Ça dépend… Et c’est le Covid. Qu’est-ce que ça peut faire qu’on se douche ou pas ? On ne quitte pas la maison », a-t-elle plaisanté. Et de conclure, prenant conscience de ce qu’elle venait de dire : « Je ne pense pas que j’ai arrangé les choses, là ».

Jada Pinkett Smith et sa fille Willow veulent se faire lifter les fesses

Jada Pinkett Smith et sa fille Willow ont choisi d’aborder un véritable sujet de société lors de la dernière édition de leur Red Table Talk : le lifting de fesses ! En effet, l’actrice de 50 ans songe très sérieusement à avoir recours à cette intervention de chirurgie esthétique aussi connue sous le nom de BBL (Brazilian Butt Lift).

« Je suis heureuse qu’on parle aujourd’hui du BBL, parce que je pense m’en faire un », a-t-elle annoncé avant de laisser la parole à sa fille. Pour sa part, Willow Smith se montre plus hésitante et elle préfère pour le moment compter sur la gym pour se galber les fessiers. Et c’est d’ailleurs ce que lui a conseillé sa mère. « Je lui ai dit, "Tu veux te faire de belles fesses ? S’il y a une chose que ta mère sait faire, c’est bien ça. Tu vas te muscler les fesses au point que les gens penseront que tu as fait de la chirurgie" », a raconté Jada Pinkett Smith.

Un débat qui a également soulevé l’intérêt d’Adrienne Banfield-Norris, la mère de Jada Pinkett Smith et grand-mère de Willow Smith. « J’ai juste l’impression qu’il y a encore tellement de pression sur les femmes vis-à-vis de leur apparence... Vous savez, il y a une obsession de la jeunesse, alors pour quelqu’un comme moi, le combat a été extrêmement concret… J’ai fait du Botox, et au fur et à mesure vous êtes prête à aller de plus en plus loin et ça devient presque addictif », a-t-elle déploré.

De son côté, Jada Pinkett Smith n’a jamais caché avoir eu recours à la chirurgie esthétique. Elle avait confié sur le même plateau en 2018 avoir subi une vaginoplastie.

Jack White a joué sur un toit pour l’ouverture de sa nouvelle boutique Third Man à Londres

Jack White a surpris ses fans londoniens en donnant un concert sur le toit de la nouvelle boutique de son label Third Man Records. Située au 1 Marshall Street dans le quartier de Soho, le lieu a officiellement ouvert ses portes le 25 septembre dernier et plusieurs centaines de personnes s’étaient pressées pour l’occasion.

L’artiste a commencé par jouer dans le sous-sol de la boutique quelques-uns de ses classiques – période White Stripes et solo – dont Icky Thump, Hello Operator ou encore Love Interruption. Ce n’est que plus tard qu’il s’est installé sur le rooftop d’un bâtiment appartenant à l’artiste Damien Hirst situé sur Beak Street pour donner un second concert d’anthologie qu’il a bien évidemment terminé avec un immanquable Seven Nation Army.

Quelques jours après ce lancement, Jack White a posté un montage reprenant tous les temps forts de la soirée sur Instagram, remerciant au passage les Londoniens pour leur accueil chaleureux.

« Merci du fond de nos cœurs pour nous avoir aidés à ouvrir nos portes à Londres avec style et pour avoir fait en sorte que nous nous sentions déjà comme chez nous », a-t-il écrit en légende du post publié sur le compte de la boutique.

Bernard Tapie est mort à l'âge de 78 ans

Son état de santé s'était à nouveau dégradé ces derniers mois. Atteint d'un cancer de l'estomac depuis 2017, Bernard Tapie est mort ce dimanche à l'âge de 78 ans.

"Dominique Tapie et ses enfants ont l'infinie douleur de faire part du décès de son mari et de leur père,  Bernard Tapie, ce dimanche 3 octobre à 8h40, des suites d'un cancer", a fait savoir sa famille par un communiqué transmis à BFMTV. "Il est parti paisiblement, entouré de sa femme, ses enfants, ses petits-enfants et son frère, présents à son chevet." La famille précise que le défunt "a fait part de son souhait d'être inhumé à Marseille,  sa ville de coeur".

C'est donc la fin d'un long combat contre la maladie, que l'homme d'affaires aux mille facettes a mené pendant quatre longues années. C'est pour cette raison qu'il avait renoncé, en mai dernier, à se présenter aux audiences de son procès en appel pour escroquerie dans l'affaire de l'arbitrage controversé dans l’affaire du Crédit Lyonnais. "De nouvelles tumeurs sont apparues", expliquait à l'époque son fils Laurent sur BFMTV. "Les chances statistiques à ce stade-là sont épouvantables."

Dirigeant d'entreprises, propriétaire d'Adidas, de l'Olympique de Marseille, député des Bouches-du-Rhône, député européen, patron de presse mais aussi animateur télé, chanteur et acteur, Bernard Tapie aura connu plusieurs vies et de nombreux rebondissements, et un passage par la prison. Impliqué dans plusieurs scandales judiciaires, il a été condamné pour corruption, subornation de témoins et fraude fiscale. Et aura ainsi passé 165 jours derrière les barreaux.

En 2016, sa fortune est estimée à 150 millions d'euros, classant ainsi l'homme d'affaires au rang de la 400e richesse française. Pourtant, Bernard Tapie est parti de rien. Petit-fils de cheminot, fils d'un ouvrier et d'une aide-soignante, il est né en 1943 à Paris.

Après une brève carrière de chanteur - "Je ne crois plus les filles avec leurs beaux serments, je ne crois plus les filles ce n'est plus comme avant, je ne crois plus les filles avec leurs sentiments, je ne crois plus les filles mais je les aime quand même" chante-t-il en 1966 sur le 45 tours Passeport pour le soleil d'un certain "Bernard Tapy" - et de pilote de Formule 3, il se lance à 24 ans dans la vente de télévisions. Il ouvre un premier magasin, le revend puis s'embarque dans la création et le rachat d'entreprises.

Il fait parler de lui pour la première fois en 1979 en rachetant les châteaux du dictateur de la République centrafricaine, Jean-Bedel Bokassa, après lui avoir fait croire qu'ils allaient être saisis par la justice française - châteaux qu'il a par la suite dû rendre à son propriétaire. Dès le début des années 1980, il rachète de nombreuses entreprises, parfois pour un franc symbolique. Comme Terraillon, un des leaders du pèse-personne revendu 33 millions de francs, ou Look, fabricant de fixations de ski, revendu 260 millions.

Bernard Tapie n'hésite pas à se mettre en scène, comme dans une publicité pour les piles Wonder, entreprise achetée pour 30 millions de francs et revendue quatre ans plus tard 470 millions. Dans ce clip, alors que tous les hommes et femmes en costumes qui l'entourent s'effondrent d'épuisement les uns après les autres, il fonce d'un pas assuré et clame le slogan:

Dans les années 1980, il est incontournable. Il figure dans les vingt premières fortunes de France. Il fonde plusieurs écoles de commerce réservées aux jeunes au chômage ou sans formation - qui fermeront lorsqu'il sera déclaré en faillite - et devient l'une des personnalités préférées des Français. Il fréquente les stars, apparaît régulièrement dans les médias. Son style direct et son franc-parler plaisent. Bernard Tapie est invité dans de nombreuses émissions télévisées, comme Gym tonic.

À la même époque, il reprend le micro avec Réussir sa vie, chanson écrite par Didier Barbelivien. "Réussir sa vie, c'est traverser un océan, sans savoir pourquoi ni pour qui, à l'aventure tout simplement. C'est d'être un président, ou bien n'importe qui, et de prendre le temps d'aider un ami", chante-t-il alors.

Souvent, les sociétés qu'il rachète sont mal en point. "Redresser des entreprises, j'ai fait ça pendant vingt ans", clamait-il il y a quelques années. En 2012, il affirme avoir racheté 41 entreprises en dépôt de bilan. Mais en réalité, le résultat est plus contrasté. Comme le prouvent les échecs de Manufrance, articles de chasse et de pêche, ou encore Testut, une entreprise de pesage qui l'a conduit à être condamné à deux ans de prison avec sursis pour abus de biens sociaux, rappelle L'Express.

Bernard Tapie s'est aussi passionné pour le sport. Au début des années 1980, il monte une équipe cycliste - La Vie claire, du nom de l'entreprise de magasins biologiques qu'il a rachetée - avec Bernard Hinault et gagne le Tour de France. Quelques années plus tard, il bat le record de la traversée de l'Atlantique nord avec son yatch de luxe, le Phocéa, qu'il vendra ensuite pour solder ses dettes.

Il se tourne aussi vers le ballon rond. À la tête de l'OM entre 1986 et 1993, il fait briller l'équipe marseillaise. Il remporte quatre titres de champion de France, gagne une finale de Coupe de France et décroche la Ligue des champions. Mais l'ère Tapie s'arrête brusquement lorsqu'un joueur de Valenciennes révèle l'existence d'une tentative de corruption.

Les affaires judiciaires, un autre aspect de la vie tumultueuse de Bernard Tapie. En 1995, l'affaire du match truqué contre Valenciennes lui vaut d’être condamné à deux ans d'emprisonnement dont huit mois ferme et trois ans d'inéligibilité. Alors patron du club de football de la cité phocéenne, il est reconnu coupable de complicité de corruption et subornation de témoins - il a toujours clamé son innocence. Il passe près de six mois en prison.

Deux ans plus tard, il est à nouveau condamné, cette fois pour fraude fiscale. Au cœur de cette affaire: un navire de luxe appartenant à une filiale de la Financière immobilière Bernard Tapie. En 1998, nouvelle condamnation pour ses pratiques financières lorsqu'il était à la tête de l'OM. Les détournements sont évalués à plus de 15 millions d'euros. Il écope de trois ans d'emprisonnement avec sursis, un peu plus de 45.000 euros d'amende et cinq ans de privation de ses droits civils et civiques.

Autre affaire et pas des moindres: Adidas. Bernard Tapie disait lui-même que c'était "l'affaire de (s)a vie". En 1990, il rachète la marque sportive pour 1,6 milliard de francs. Deux ans plus tard, alors qu'il est ministre, il en confie la vente à une filiale du Crédit lyonnais. La marque aux trois bandes est revendue 4,4 milliards de francs à Robert Louis-Dreyfus. Mais Tapie estime qu'il s'est fait flouer. Il attaque le Crédit lyonnais, qui a réalisé une plus-value sur la vente. Il obtient réparation en 2008 après douze années de procédure: quelque 404 millions d'euros lui sont versés. Mais en mai 2017, nouveau revers pour l’homme d’affaires, qui est définitivement condamné à rembourser cette somme.

Obligé de se reconvertir à la fin des années 1990, étant inéligible et en faillite personnelle, Bernard Tapie s'essaie à la scène. Il joue l'un des deux rôles principaux dans le film de Claude Lelouch Hommes, femmes, mode d'emploi. Il brûle ensuite les planches dans plusieurs pièces de théâtre, dont Vol au-dessus d'un nid de coucou, Oscar ou plus récemment Les Montagnes Russes. Il écrit aussi plusieurs livres, dont Gagner ou encore un roman qui se déroule dans le milieu du football.

En 1998, il enregistre son dernier single avec Doc Gynéco, C'est beau la vie. Bernard Tapie passe aussi par le petit écran. Il anime plusieurs émissions, à la télévision et à la radio, et tient le rôle principal de téléfilms et d’une série policière, Commissaire Valence, diffusée entre 2003 et 2008.

Parmi les multiples vies de Bernard Tapie: sa carrière d'homme politique. Il s'est illustré à de nombreuses reprises dans sa bataille contre le Front national. Il lui est notamment arrivé d'insulter Jean-Marie Le Pen ainsi que des militants frontistes lors d'un meeting à Orange. En 1989, il devient député des Bouches-du-Rhône sous l'étiquette de la majorité présidentielle de François Mitterrand. Trois ans plus tard, il prend la tête du ministère de la Ville dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy. Mais une mise en examen l'oblige à démissionner. Quelques années plus tard, en 1994, il est élu au Parlement européen. Sa peine d'inéligibilité entrave ses ambitions, il est déchu de son mandat.

Après avoir racheté les titres du groupe Hersant médias, dont La Provence et Nice Matin, on lui prête en 2012 des velléités à la mairie de Marseille. "C'est pas une mauvaise idée", jugeait l'ancien ministre Bernard Kouchner. Son éventuel retour en politique fait alors grand bruit: 40% des Marseillais se disent même favorables à sa candidature. Rumeurs qu'il douche rapidement.

Dernier coup d'éclat en 2015, lorsqu'il envisage de postuler aux plus hautes fonctions de l'État: se présenter à l'élection présidentielle. Si aucun des prétendants dans la course à l'Élysée ne lui convient, "j'y vais moi", assure-t-il sur France 2. Il ne sera finalement pas candidat. Mais il concédait alors: "La vie m'a gâté."

02 octobre 2021

André Dussollier : l'origine maudite de son prénom… en hommage à un mort et un disparu

Dans Tout s'est bien passé, le dernier film du réalisateur François Ozon, André Dussollier livre une véritable performance. Et pour cause, le long métrage, adapté du roman autobiographique d'Emmanuèle Bernheim, raconte l'histoire d'André, 85 ans, partiellement paralysé et dépendant après un AVC, qui demande à sa fille, Sophie Marceau, de l'aider à mourir. Un jeu d'acteur d'autant plus impressionnant que, par la force des choses, l'essentiel de son rôle est basé sur le regard. Et même si l’œuvre ne prend pas parti, pour ou contre l’euthanasie, elle évoque à André Dussollier une blessure d'enfance : son prénom qu'il "n'a jamais aimé" et qu'il a "toujours trouvé démodé". Un bagage difficile à porter, comme il l'a révélé à l'occasion d'une interview accordée à Télérama le 22 septembre 2021. "Il me vient d'un oncle paternel qui était malade, enfant, et qui est mort à l'âge de 13 ans", a ainsi indiqué l'acteur au média. Un fardeau sous forme de malédiction qu'il porte depuis plusieurs générations. "Mon père, qui en a souffert, m'a tout de même appelé André", a-t-il ainsi expliqué.

Un prénom difficile à porter pour André Dussollier qui cache également une autre histoire familiale dramatique. "Du côté maternel, il y avait un autre André, un grand-oncle au destin tragique, qui a disparu du jour au lendemain. Cela fait pas mal d'André que je ressuscite, peut-être par procuration", a ainsi déclaré l'acteur à Télérama. Une disparition inexpliquée et une malédiction autour de son prénom qui ont provoqué chez André Dussollier des traumatismes d'enfance. Pour autant, celui qui a vécu une relation avec Isabelle Adjani dans les années 80, a préféré choisir le théâtre plutôt que la psychanalyse pour effacer ses vieux démons. "La scène a été la meilleure thérapie", a-t-il ainsi conclu dans cet entretien. De tristes confidences pour André Dussollier qui a reçu trois César au cours de sa carrière.

Chantal Goya victime d’un accident en pleine rue


L'interprète du titre Dans la forêt a été victime d'un accident en pleine rue et elle s'est affichée un plâtre au bras sur sa page Facebook. "Voilà ! Vous voyez ce qu'il m'est arrivée ! J'en était sûre ! Ça faisait 7 ans que je n'étais pas tombée. En allant à la poste, près de chez moi, j'ai buté sur une pierre et je me suis étalée", a-t-elle lâché dans une vidéo indiquant qu'elle s'est rendue à l'hôpital.

"J'ai rencontré tous ceux qui m'ont connue petits et ils m'ont dit : ’Oh non, on ne le croit pas ! C'est Chantal Goya !’", a-t-elle poursuivi. "J'ai la chance, évidemment, que ce ne soit pas déplacée comme fracture donc j'ai eu un plâtre qui est là pour 5 semaines".

Et elle a conclu avec une bonne nouvelle pour ses fans !

"Malgré les difficultés, je suis toujours là. Figurez-vous que Jean-Jacques m'a écrit un album de Noël qui va sortir le 15 novembre, avec toutes les belles chansons de Noël et 3 inédits. Ça sera mon cadeau pour vous. Ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vus. Mais oui, on ne pouvait pas se parler, j'étais tellement occupée... J'étais partie, je suis revenue... Mais je suis tellement heureuse de vous retrouver bientôt !"

Chantal Goya va continuer de son spectacle Le soulier qui vole aux quatre coins de la France. "Vous êtes si nombreux à vous être souciés pour mon plâtre, je vous en remercie mais ne vous inquiétez pas : on se retrouve comme convenu sur scène lors des prochaines dates".

Amanda Lear explique pourquoi elle a failli être expulsée du territoire français

Peu importe l’âge qu’on lui donne sa nationalité, Amanda Lear reste une icône intemporelle qui a marqué de nombreuses émissions de télé françaises ou encore italiennes. Épicurienne avertie et assumée, celle qui fut notamment la muse de Salvador Dali sait jouir de tous les plaisirs que peut lui offrir la vie. Un personnage haut en couleur qui a toujours fait le bonheur des divertissements du PAF. Et pourtant, au micro de RTL, dans On refait la télé, présenté par Eric Dussart et Jade, elle a expliqué que la France a bien failli lui claquer la porte au nez.

Amanda Lear explique en effet que suite au Brexit, un titre de séjour lui a été demandé. Car celle qui a défilé pour le dernier show de Jean-Paul Gaultier confie qu’elle n’a jamais eu la nationalité française. "Étant de nationalité britannique, quand j’ai épousé un Français, je n’ai pas jugé nécessaire de me convertir, disons, parce que de toute façon on vivait en France, il y avait le marché commun, l’Union européenne…", indique-t-elle tout en avouant que selon elle le Brexit a été "une catastrophe pour tout le monde".

"On s’en foutait. Personne n’avait besoin de passeport pour aller en Angleterre, en Espagne ou en Italie. Et puis, du jour au lendemain, les Anglais ont dit : 'Non, nous, c’est fini.' En France, il y a des milliers de braves Anglais qui sont installés là depuis des années, qui payent des impôts, qui ont une résidence et qui, brusquement, ont besoin d’un permis de séjour. C’est insensé !", a déploré l’ancienne animatrice de la RAI 1. Elle précise donc qu’elle a dû faire une demande de titre de séjour pour pouvoir continuer à rester en France. Un épisode rocambolesque dont elle se serait bien passée. Au sujet du Brexit et de Boris Johnson, elle rajoute : "Il est en train de couler l’Angleterre. Là, ils n’ont plus d’essence, c’est dramatique."