Stéphane Bern va de nouveau troquer le costume d'animateur contre la robe d'avocat. Le 28 novembre prochain, le "Monsieur Histoire" de France Télévisions sera à l'affiche d'un nouvel épisode de Bellefond, la série policière de France 3. Il reprendra son personnage d'Antoine, ce professeur de droit pénal qui va s'allier à ses élèves pour élucider bien des mystères. Un rôle qui rappelle celui de Muriel Robin dans Master Crimes. Mais, lui, contrairement à sa consoeur, n'a pas été contesté par des téléspectateurs tatillons.
Pourtant, les sérivores ont souvent eu la dent dure envers le spécialiste des têtes couronnées et sa crédibilité comme comédien. Ses scènes avec un pistolet dans la main ou comme assassin sautant dans un tas de paille sont passées à la moulinette des réseaux sociaux, mais font plus rire qu'irriter le concerné.
Dans un entretien accordé à Télé 7 Jours, paru ce lundi 20 novembre, le compagnon de Yori Bailleres est revenu sur ces critiques qui glissent sur lui comme la lame des templiers de la Renaissance. "Dire du mal de tout le monde est un peu le jeu des réseaux sociaux. C’est un déversoir de haine, ça ne me touche pas plus que ça", a-t-il indiqué. Il ajoute jeter un voile sur ces "jugements à l'emporte-pièce" : "Je regarde ce qui a été dit cinq minutes le matin en buvant mon thé et je referme. Ceux qui me critiquent comme comédien ne sont jamais venus me voir au théâtre et ne regardent jamais les téléfilms".
Malgré son infusion, la pilule a néanmoins du mal à passer pour l'amateur de tea time. "On ne peut pas plaire à tout le monde", poursuit-il. "Peut-être qu’on attend plus de moi, ça a toujours été comme ça. Mais ce n’est pas grave. Je ne pense pas avoir fait d’émissions indignes à la télévision, d’autres peuvent me faire concurrence en la matière". Bien décidé à faire taire ses détracteurs, Stéphane Bern n'a pas lésiné sur les séances de coaching et de sport pour gagner en crédibilité.
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