19 février 2025

La nouvelle marque lifestyle de Meghan Markle est menacée d’un procès

Décidément, Meghan Markle n’a pas de chance avec ses entreprises. Depuis qu’elle et son mari, le prince Harry, ont décidé de voler de leurs propres ailes en renonçant à leur statut de membre senior de la famille royale et les devoirs qui incombaient, ils ont connu plusieurs embûches.

Après des démissions en série, des problèmes administratifs, des annulations de projets de la part de Netflix et l’arrêt du podcast sur Spotify de l’ancienne star de la série Suits, les incendies en Californie ont contraint la duchesse de Sussex de repousser la sortie de son émission lifestyle, With Love, Meghan, sur la plateforme vidéo.

Ce show s’accompagne d’une toute nouvelle marque, que Meghan Markle avait précédemment présentée sous le nom d’American Orchard Riviera.

Les incendies éteints, With Love, Meghan, pourra être diffusé à partir du 4 mars. L’occasion pour la femme d’affaires de 43 ans d’annoncer un changement de taille : son entreprise est dorénavant baptisée As Ever et bénéficie d’un nouveau logo. Eh bien ce petit dessin représentant un palmier entouré de deux colibris fait polémique !

La maire de Porreres, une petite ville d’un peu plus de 5.000 habitants située à l’intérieur des terres de l’île de Majorque, a en effet reconnu les armoiries de sa municipalité. Il faut bien avouer que les deux dessins sont très similaires, même s’il n’est pas si aisé de douter de la bonne foi de Meghan Markle.

Les palmiers représentent Montecito, où elle vit, ainsi que la Californie, où elle est née. Quant aux colibris, ce sont des oiseaux chers au cœur du prince Harry, qui a raconté dans son autobiographie, Le Suppléant, sortie en 2023, avoir été approché par l’un d’eux au moment du décès de sa grand-mère, la reine Elizabeth II, et il y a vu un signe.

Cependant, pour l’édile espagnole Xisca Mora, cette ressemblance mérite d’être examinée par la justice. Elle a donc déposé le dossier auprès des autorités compétentes « pour voir quelles actions peuvent être prises par la municipalité ». Néanmoins, ce n’est pas dit que Meghan Markle devra de sitôt comparaître à la barre pour plagiat. En effet, la maire pense aussi aux bénéfices que sa ville pourrait en tirer.

« Beaucoup de gens dans le monde vont découvrir qu’à Majorque, il existe une ville dans les terres qui a ce blason. On a l’impression d’être devenu international. C’est surréaliste », ajoute-t-elle auprès du média ibérique Ara Balears. Xisca Mora semble en tout cas ne pas vraiment croire à une pure coïncidence. « Je ne sais pas si elle a visité un agritourisme ni si elle a vu le blason, mais la photo sur son site Web a été prise à Majorque », a-t-elle précisé.

S’il n’existe aucune preuve d’une visite de Meghan Markle dans l’île, le père de ses enfants y a séjourné à plusieurs reprises. Sa première venue s’est passée en 1988, alors qu’il était avec ses parents, Lady Diana et le roi Charles III. Le prince Harry s’y est rendu plusieurs fois depuis. Meghan Markle avait en tout cas expliqué le changement de nom de sa marque, qui propose des confitures ou encore du linge de maison, afin de pouvoir présenter des produits ne venant pas exclusivement de Montecito. Il y a peut-être là un compromis à trouver entre les habitants de Porreres et la duchesse de Sussex.

John Malkovich a plusieurs fois refusé les offres de Marvel en raison de leurs cachets peu élevés

À71 ans, John Malkovich s’apprête à faire ses premiers pas dans l’univers Marvel. L’acteur a rejoint le casting du prochain film sur Les Quatre Fantastiques, First Steps (Premiers pas), dont la sortie est prévue cet été. Ce n’est toutefois pas la première fois que les studios tentent de recruter la star des Misérables, mais les négociations n’ont pas toujours été à la hauteur de ses attentes.

Comme il l’a récemment expliqué à GQ, il a su rester ferme, connaissant sa valeur sur le marché du cinéma et la pénibilité d’un tournage de film de superhéros.

« La raison pour laquelle je n’ai pas accepté (les précédentes offres) n’a rien à voir avec une quelconque considération artistique. Je n’aimais pas du tout les contrats qu’ils proposaient », a-t-il confié au magazine.

« Ces films sont très éprouvants à réaliser… Si vous voulez me voir suspendu à une grue devant un fond vert pendant six mois, payez-moi (en conséquence) », a lancé l’acteur septuagénaire. « Si vous ne voulez pas me payer, c’est cool, mais alors je ne veux pas le faire, parce que je préférerais être sur scène, ou mettre en scène une pièce, ou faire quelque chose d’autre. »

Visiblement, Marvel a revu sa proposition à la hausse puisque le comédien prête ses traits aux mystérieux Fantôme rouge dans le prochain volet des Quatre Fantastiques. Une expérience qu’il semble en plus avoir appréciée, notamment en raison de ses quelques similitudes avec le théâtre. « (Ce n’est) pas si différent de faire du théâtre… (parce que) vous imaginez un tas de choses qui n’existent pas et vous faites votre petite pièce », a-t-il ajouté.

Dans ce nouveau film, John Malkovich partage la vedette avec Vanessa Kirby, Pedro Pascal, Julia Garner et Joseph Quinn.

Catherine Deneuve explique pourquoi elle a accepté de présider les César malgré son rejet de la cérémonie

Catherine Deneuve a accepté de laisser de côté son aversion pour les César afin de les honorer lors d’une occasion particulière.

La star de Belle de jour présidera la 50e cérémonie des prix français du cinéma à L’Olympia, à Paris, le 28 février prochain. Un rôle surprenant pour la comédienne de 81 ans qui n’a pas participé à l’événement depuis 2011 et préfère les plateaux de cinéma aux planches.

« Je n’aime pas être sur scène, ça c’est certain », a-t-elle commencé lors de son passage sur France Inter cette semaine. « Autant j’aime faire des films, j’aime le cinéma, autant le théâtre sur scène c’est très différent. Même, là, pour les César… Mais ce ne sera pas long ! », a-t-elle ajouté pour se rassurer.

Or, une fois le sujet lancé après ces révélations, et son absence remarquée ces dernières années malgré quelques nominations, Catherine Deneuve a accepté d’expliquer son aversion pour cette soirée de récompenses.

« J’avais dit non, je ne voulais pas y aller », a-t-elle d’abord affirmé, du fait de son rejet du « système » actuel qu’elle ne trouve pas assez « sérieux » comparé à ses débuts. « Je n’étais plus du tout d’accord avec les César. Je les ai connus au début avec (le créateur des prix - Georges) Cravenne, après c’était Daniel Toscan du Plantier, mais c’était très différent puis ça a changé à nouveau et là, pour moi, ça s’est aggravé d’une façon que je ne trouvais pas acceptable », a-t-elle déclaré.

L’actrice a cité pour exemple le système de votes pour les films en compétitions, au cours duquel certains « ne votent qu’au deuxième tour » ou n’ont même « pas vu le film ». « Ça fausse beaucoup les choses », a-t-elle noté, relevant ensuite qu’elle n’est pas la seule à avoir faussé compagnie à l’Académie. « C’est devenu un peu une caricature des Césars », assène Catherine Deneuve.

Mais alors comment justifier son choix d’accepter le rôle majeur de présidente de cérémonie de sa prochaine édition ? « J’ai changé d’avis juste pour cette soirée-là. C’est (le cinéaste) Bertrand Bonello qui voulait m’y voir absolument alors que j’avais dit non. Puis finalement, j’ai fini par dire oui parce que ce sera le 50e anniversaire », a-t-elle expliqué, en insistant sur le fait que ce serait sûrement la dernière fois que l’on reverrait la star des Parapluies de Cherbourg aux César.

Peaky Blinders : bonne nouvelle pour les fans !

On le sait, l'histoire des Peaky Blinders n'est pas finie. Son créateur Steven Knight poursuit l'intrigue de la série, terminée depuis 2022 à l'issue de sa sixième et dernière saison en 2022, sous la forme d'un film séquel pour Netflix.

Toujours sans titre officiel pour le moment, ce long-métrage, dont le tournage est terminé, est évidemment porté par Cillian Murphy, qui retrouve son rôle culte de Thomas Shelby. Réalisé par Tom Harper, le film raconte "un nouveau chapitre de l’histoire de Peaky Blinders, qui se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale ; le pays étant en guerre, et bien sûr nos Peaky Blinders le sont aussi", selon Steven Knight.

Le casting est composé de très beaux noms, comme Barry Keoghan (The Batman, Les Banshees d'Inisherin, Saltburn), Rebecca Ferguson (Mission Impossible, Dune), Tim Roth (Reservoir Dogs, Funny Games US, Little Odessa) et Jay Lycurgo (Titans).

Cillian Murphy retrouvera par ailleurs des acteurs de la série, tels que Stephen Graham (Hayden Stagg), Sophie Rundle (Ada Shelby), Ned Dennehy (Charlie Strong) et Ian Peck (Curly).

Les fans de Peaky Blinders pouvaient déjà se réjouir de savoir que les Shelby allaient revenir sur leurs écrans, mais Steven Knight vient de confirmer les rumeurs selon lesquels cet univers était loin d'être fini.

Le scénariste et producteur avait déjà expliqué à Paris Match il y a quelques mois qu'il avait prévu de continuer à exploiter l'univers qu'il a créé avec un tout nouveau projet qu'il a teasé :

"On va s’intéresser à la nouvelle génération à travers une série dont les évènements reprendront après la Seconde Guerre mondiale. Et puis, qui sait ? Pourquoi pas une ligne de vêtements ?"

Steven Knight semble distiller certaines informations au compte-goutte concernant l'expansion de l'univers de Peaky Blinders, puisqu'il vient de confirmer une nouvelle fois son intention. Au micro de BBC Breakfast (via Radio Times), il a ainsi déclaré : "Je ne suis pas autorisé à l'annoncer, mais je dis simplement que le monde de Peaky continuera".

On ne connaît pas encore les futurs projets officiels qui poursuivront l'univers de Peaky Blinders, mais on a quelques pistes. Des spin-offs étaient à l'étude chez Netflix. En effet, deux projets de séries dérivées étaient dans les tuyaux : une à Boston au milieu du XXème siècle, quelques décennies après la série originale, et l'autre sur la jeunesse de Polly Gray, la matriarche du clan Shelby, qui était campée par la regrettée Helen McCrory, décédée en 2021.

En attendant d'en savoir plus et de découvrir le long-métrage, vous pouvez vous replonger dans l'ambiance de Peaky Blinders en musique avec le spectacle "Peaky Blinders : The Redemption of Thomas Shelby" en mars prochain à la Seine Musicale.

Le réalisateur de la première adaptation de Shōgun a donné son avis sur la nouvelle version diffusée en 2024

C’est incontestablement la meilleure série de 2024. Notée 4,3 sur 5, la nouvelle adaptation de Shôgun a connu un succès international, et s’est notamment vu remettre l’Emmy Award et le Golden Globe de la meilleure série dramatique. Plusieurs saisons supplémentaires ont été commandées, alors que le programme a été conçu comme une mini-série d’une seule saison.

Presque tout le monde a validé cette nouvelle adaptation du roman de James Clavell, notamment pour son ton plus réaliste et les moyens conséquents mis à disposition de cette production historique. Mais la série a malgré tout essuyé quelques critiques, notamment celles du réalisateur de la version originale de Shôgun, Jerry London.

Une première série a en effet vu le jour en 1980. Ce feuilleton porté par Richard Chamberlain et Toshirô Mifune avait déjà rencontré à l’époque un large succès, et avait remporté plusieurs prix. Ses multiples diffusions ont permis à la série de devenir culte, et de se faire ensuite connaître par plusieurs générations de téléspectateurs.

À Hollywood Reporter, le réalisateur de la première adaptation de Shôgun a donc donné son avis sur la nouvelle série. Et bien qu’il semble prêt à reconnaître les qualités de cette version, celui-ci semble également très critique quant au succès rencontré par ce remake.

"J'ai regardé toute la série, et c'est très difficile de s'y accrocher. Elle a remporté tous les prix parce qu'il n'y avait pas de grandes séries en face. Il n'y avait pas beaucoup de concurrence" a notamment confié ce dernier qui ajoute avoir eu beaucoup de mal à regarder la série dans son intégralité.

"Cette nouvelle version repose sur l'histoire du Japon et se concentre davantage sur Toranaga, qui était le shōgun. C'est très technique et très difficile à saisir pour un public américain. J'ai parlé à de nombreuses personnes qui l'ont regardée, et elles m'ont dit : 'J'ai dû arrêter parce que je ne comprenais pas.' Les réalisateurs de cette nouvelle version ne se sont donc pas vraiment souciés du public américain."

Satisfait de son propre travail, Jerry London reconnaît qu’il n’était pas favorable à cette nouvelle version de Shôgun. "Je pense avoir fait un excellent travail, et la série a reçu tant de prix que je ne voulais pas qu'ils la refassent" a-t-il expliqué, ajoutant toutefois qu’il est satisfait que cette adaptation ne soit pas un simple copié-collé de la sienne.

La nouvelle adaptation de Shôgun est à retrouver dès à présent en intégralité sur Disney+.

Dune 3 avec Timothée Chalamet : le tournage va commencer plus tôt que prévu !

Le retour de Dune se précise. Toujours portée par le réalisateur Denis Villeneuve, la production du troisième volet a déjà commencé et le tournage serait d'ores et déjà prévu pour cet été comme l'annonce le média Deadline.

Aucune information ne précise, pour le moment, où se déroulera le tournage, même si les deux premiers volets ont été tournés dans les studios Origo en Hongrie, en Jordanie et à Abu Dhabi.

La grande interrogation concerne Zendaya et son emploi du temps très chargé. Actuellement occupée par la saison 3 d'Euphoria, l'actrice est également attendue sur le tournage de L'Odysée de Christopher Nolan et du quatrième volet de Spider-Man - dont le tournage est également prévu pour cet été.

Deadline précise que l'équipe de Dune pourrait se réunir à la fin de l'été. Le studio Warner Bros. aurait déjà prévu la sortie pour décembre 2026 mais le délai semble assez court pour être entièrement respecté.

Dans le roman, Le Messie de Dune, Paul Atréides (Timothée Chalamet) règne en empereur depuis 12 ans. Presque un dieu, puisqu'il voit l'avenir. Il sait quand et comment frapperont ses ennemis. Ils vont essayer de lui reprendre l'épice qui donne la prescience et peut-être de percer le secret de son pouvoir. Il peut déjouer leurs plans, mais voit plus loin encore. Il sait que tous les futurs possibles mènent au désastre et est hanté par la vision de sa propre mort.

Le cinéaste Denis Villeneuve a fait savoir, à plusieurs reprises, qu'il ne réaliserait plus aucun film de la saga après celui-ci.

Stranger Things : Jamie Campbell Bower a eu besoin d’une thérapie après la saison 4

S’il y a bien un acteur qui s’est donné dans la saison 4 de Stranger Things, c’est Jamie Campbell Bower. L’interprète de Numéro 1 et de Vecna a fait une arrivée remarquée en se révélant être le grand méchant de la série Netflix. Un rôle qui lui a donné du fil à retordre, tant physiquement que psychologiquement.

Lors d’une convention récente qui s’est tenue à Orlando, le comédien de 36 ans a fait une bien triste révélation aux fans présents, d’après People : “Nous parlions de certaines choses avec mon thérapeute, et il m'a dit : "Nous devons vraiment nous assurer que vous vous réservez du temps pour vous lorsque vous travaillerez à nouveau”. Je me suis retourné vers lui et je lui ai dit : “Pour être honnête, je ne pense pas que je jouerai un autre méchant avant un certain temps. Ça m'a foutu en l’air. Je suis très sérieux”.

Si Jamie Campbell Bower n’est pas rentré plus dans les détails, on imagine toute la noirceur qu’il a dû convoquer pour jouer Vecna, le seigneur du monde à l’envers et celui qui tire les ficelles depuis le début. Le comédien a dû travailler sa voix et sa manière de se déplacer. Et on ne parle pas non plus des 8h de maquillage quotidien qui ont été nécessaires pour le transformer en créature terrifiante.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que l’acteur anglais se confie sur ses problèmes mentaux. Après la sortie de la saison 4, il avait profité de son regain de popularité pour révéler qu’il s’était battu pendant des années contre ses addictions et qu’il avait été interné, pour préserver sa santé et celle de ses proches.

Malgré tout cela, Vecna garde un très bon souvenir de Stranger Things : "C'était une incroyable aventure que de rejoindre la série à partir de la saison 4, de faire partie de quelque chose que tant de gens aiment, que j'aime aussi et que j'aimerais toujours. Mais je suis définitivement prêt à raccrocher le costume et à lui faire mes adieux."

Pour Jamie Campbell Bower, les adieux ont déjà eu lieu puisque le tournage de la saison 5 de Stranger Things s’est achevé il y a quelques semaines. Quant aux fans, ils vont devoir faire preuve de patience avant de retrouver Vecna et les héros de Hawkins.

Si Netflix a annoncé la dernière saison pour 2025, les frères Duffer sont en train de travailler sur le montage et le travail est titanesque puisqu’ils ont filmé l’équivalent de huit blockbusters. Et on ne sait toujours pas si cette saison 5 sera diffusée en deux parties...

Ces 5 entreprises de science-fiction sont les plus dangereuses du cinéma

Le cinéma a su nous offrir de nombreux méchants mémorables qui ont marqué des générations entières de spectateurs. Cependant, si on glorifie souvent ces personnages, à juste titre, pour leur impact dans la pop culture, on oublie souvent une autre sorte d'antagoniste : les entreprises malfaisantes !

Ces multinationales pernicieuses, que l'on adore détester, ont tellement frappé les spectateurs, qu'elles font désormais partie du panthéon des plus grands méchants du cinéma. Pour leur rendre hommage, on vous propose un focus sur les 5 entreprises les plus nuisibles du 7ème art !

Weyland-Yutani - Alien

La société Weyland-Yutani, au centre de la saga Alien, est sans doute la société fictive la plus connue du cinéma. Fondée par l'industriel Charles Bishop Weyland, elle fusionnera avec sa concurrente japonaise, Yutani Corporation, devenant Weyland-Yutani Corp.

Engagée dans la colonisation spatiale et la fabrication d'androïdes, l'entreprise n'a pas hésité une seconde à sacrifier des équipages entiers afin de garder en vie des xénomorphes, voyant en ces créatures sanguinaires une poule aux oeufs d'or pour la science et l'exploitation militaire.

Colonies, armement, ressources minières, recherche scientifique... Weyland-Yutani est omniprésente dans l'univers d'Alien. La multinationale, aussi fourbe que cupide, ne prend pas de gants quand il s'agit de sacrifier des vies humaines pour faire le plus de profits possibles. 

Cyberdyne Systems / Skynet - Terminator

Dans la franchise Terminator, Cyberdyne Systems est la société de haute technologie responsable du développement de Skynet, l'Intelligence Artificielle responsable du Jugement dernier. À la base, il ne s'agit que d'une entreprise de la tech spécialisée dans la fabrication de composant pour ordinateurs.

Après les événements du premier Terminator, elle récupère le bras robotique et le processeur du T-800 après sa destruction par Sarah Connor dans une usine du groupe. À partir de là, Cyberdyne développera Skynet, IA qui finira par devenir autonome et déclencher une apocalypse nucléaire.

Cependant, si la société est responsable du Jugement dernier, elle ne l'a pas fait sciemment, ne prévoyant pas que Skynet prendrait le contrôle total pour éliminer la quasi-totalité de l'Humanité.

Umbrella Corporation - Resident Evil

Umbrella Corporation est sans aucun doute le groupe le plus maléfique de tous. Au-delà d'une multinationale, Umbrella est un personnage à part entière, véritablement crucial dans la licence Resident Evil. Sa spécialité ? La recherche pharmaceutique.

À l'instar de Weyland-Yutani, Umbrella ne s'embarrasse pas de l'aspect humain. Entre expérimentations génétiques et recherches illégales sur les armes bio-organiques, l'entreprise est le vice incarné. Elle n'hésite pas à exploiter n'importe quel être vivant, animaux, humains et même des végétaux, dans le but de contrôler le monde et maximiser ses profits.

 Comme on peut le constater dans les jeux vidéo puis dans les films tirés de la licence, Umbrella possède deux visages. Il y a d'abord l'entreprise bienveillante, présente dans la vie quotidienne des gens. Cependant, elle a une seconde facette beaucoup moins glorieuse avec le développement clandestin d'armes biologiques génétiquement modifiées et la traite d'êtres humains pour ses recherches.

La société n'hésite pas à revendre ces armes à des groupes para-militaires et à des pays du Tiers-Monde. Cette aspect, d'une vilénie sans nom, est inconnue du grand public et de la grande majorité de ses employés. Dans tous les opus de la saga, sa toute puissance est combattue par les protagonistes afin de révéler au grand jour cette malfaisance et faire couler cette entreprise criminelle.

InGen - Jurassic Park

Fondée par John Hammond, International Genetics Incorporated, alias InGen, est une multinationale de bio-ingénierie de l'univers Jurassic Park / Jurassic World. Elle est spécialisée dans la recherche génétique dans le but de recréer des animaux disparus afin de les exploiter commercialement. C'est comme ça qu'est né le projet Jurassic Park avec les dinosaures.

Son concurrent, Biosyn Genetics, utilise des méthodes bien plus délétères qu'InGen. Cette entreprise est encore plus avide et inhumaine, prête à tout pour voler les secrets scientifiques d'autres sociétés pour se les approprier et maximiser se profits.

Par exemple, c'est Biosyn qui engage Dennis Nedry dans le premier Jurassic Park afin qu'il dérobe les embryons de dinosaures. Entre espionnage industriel et sabotage, ses méprisables dirigeants n'ont que faire de la légalité et de la dignité humaine.

Omni Comsumer Products (OCP) - RoboCop

Enfin, on termine cette liste avec Omni Computer Products, société ultra dominante du secteur militaro-industriel dans la saga Robocop. Son vice-président, Richard "Dick" Jones, campé par Ronny Cox, est un dirigeant corrompu sans scrupules qui cherche à privatiser la police de Detroit afin de mieux dissimuler ses activités criminelles. 

Dans le premier opus de Robocop, un prototype de robot-policier nommé ED-209 connaît une avarie et se met à tuer des innocents en pleine réunion.

Ce drame a mené au projet Robocop, qui finira par mettre en lumière les sombres projets de Dick Jones et l'entreprise OCP, ces derniers étant liés à la pègre et au parrain du crime, Clarence Boddicker. Quelle est la plus terrible des multinationales de la SF selon vous et est-ce que vous en voyez d'autres qui pourraient venir gonfler cette liste ? On peut citer aussi Tyrell Corporation de Blade Runner, mais il fallait faire des choix. En tout cas, on vous laisse en débattre !

18 février 2025

Lara Fabian sans filtre sur ses débuts compliqués

Lara Fabian a célébré le 9 janvier dernier ses 55 ans. La chanteuse fête aussi cette année ses 30 ans de carrière dans la chanson, un tournant marquant, qui lui permet de faire un bilan de ce qu’elle a vécu. Elle s’est confiée à Gael à propos de son départ au Canada en 1990 et son émancipation de ses parents. « Il fallait que je coupe le cordon complètement, que je sorte du triptyque formé avec mon père et ma mère, oui, et que je parte vivre au Canada pour pouvoir définir les contours de qui j’étais et m’exprimer librement », a-t-elle partagé à nos confrères, et d’ajouter : « Tout en restant très proche de ma famille, mais en sortant de la surprotection parentale. Mon départ a aussi été lié à ma rencontre avec Rick Allison (avec qui elle a écrit ses plus grands tubes, NDLR), qui rêvait d’Amérique, tout comme moi. »

Loin de sa mère et de son père, elle a débarqué dans « une bulle de francophonie qui nous rassurait ». Lara Fabian a expliqué que ce voyage a été « une seconde naissance ». « C’est le berceau de ma carrière : j’y ai fait ma première télé, ma première radio, je m’y suis exprimée sur scène pour la première fois. Ce lieu m’a construite, nourrie », a-t-elle poursuivi. Mais si le Canada lui a beaucoup apporté, l’artiste n’a pas oublié à quel point elle a dû travailler afin de se faire remarquer dans l’industrie. « Pendant sept ans, on a ramé, mangé des petits pois , fait trois jobs par jour pour développer ma carrière. Je connais le goût du travail, de la persévérance, de l’échec, de la prise de risque, du saut dans le vide, de la faim, du manque d’argent… Du coup, le premier succès a été surnaturel. Une part de vous ne le croit jamais. Cela m’habite encore aujourd’hui », a-t-elle conclu sans filtre.

La chanteuse a révélé le 8 décembre dernier sur Europe 1 avoir fait la manche lorsqu’elle était adolescente avec son père. « Je devais avoir 13 ans » quand elle confie avoir fait la manche pour « s’offrir un ensemble chandail et pantalon [qu’elle aimait] beaucoup ». « C’était assez cher, c’était dans une galerie assez chic de la rue Neuve à Bruxelles, à l’époque », a-t-elle ajouté. Pierre Crokaert, son père, ramoneur de profession, n’avait peut-être pas les moyens de lui en faire cadeau et avait alors trouvé une solution.

Elon Musk a-t-il menti sur son enfance ? Son père balance : “Ce sont des conneries”

À l’image de son fils, Errol Musk ne mâche pas ses mots. Ce mardi 18 février, le père d’Elon Musk a accordé une interview exclusive à nos confrères de Libération portant sur son célèbre fils et l’éducation qu’il a donnée à ce dernier. Ingénieur de formation, le septuagénaire assure qu’il a toujours été un père très présent et bienveillant avec ses enfants. "Les gens me demandent si je suis fier de mes enfants ? Je suis fier de les avoir emmenés à l’école tous les jours", s’est-il notamment félicité au cours de cet entretien, précisant toutefois qu’aucun d’entre eux ne peut "dire qu’il a levé la main sur [eux]".

Face à nos confrères, Errol Musk a notamment évoqué l’enfance de son fils Elon — qui a longtemps assuré lors d’interviews qu’il a été victime de harcèlement scolaire lorsqu’il était enfant. Une déclaration que le septuagénaire a formellement démentie. "Ce sont des conneries, il ment, il veut s’attirer de la sympathie. Il ne s’est battu qu’une fois [à l’école], et il était en tort : Elon avait insulté un gamin qui venait de perdre son père", a-t-il ainsi révélé. Et de poursuivre : "Dans les écoles sud-africaines [...] si quelqu’un te frappe, tu dois frapper en retour." Ça donne le ton !

Lors de la cérémonie d’investiture de Donald Trump, en janvier dernier, Elon Musk avait scandalisé le monde entier en adressant un salut jugé "nazi" et "fasciste" à la foule. Un geste qui avait défrayé la chronique et concernant lequel le patron de Tesla s’était justifié, en assurant qu’il n’avait nullement pour intention de faire un tel salut. Questionné par nos confrères de Libération sur le geste réalisé par son fils, Errol Musk a rapidement pris la défense de l’ami de Donald Trump. Aux yeux du septuagénaire, son fils n’a nullement fait un "salut nazi" comme il a pu le lire dans les médias et sur les réseaux sociaux. "C’était juste un bonjour", a-t-il simplement assuré à ce sujet. Des propos qui risquent de faire jaser…