25 février 2024

New York Police Judiciaire : l'acteur Sam Waterston a quitté la série

Attention spoilers ! Cet article dévoile l’intrigue de l’épisode 5 de la saison 23 de “New York Police Judiciaire”.

C’est officiel : après plus de 400 épisodes, Jack McCoy, l’incontournable procureur de New York Police Judiciaire (ou Law & Order pour les adeptes de la VO) et “conscience ultime de la série” selon son créateur Dick Wolf, a fait ses adieux au palais de justice.

Son interprète, Sam Waterston, âgé de 83 ans, a en effet quitté la série le 22 février dernier au cours de l’épisode 5 de la saison 23, après dix-huit saisons et 405 épisodes de bons et loyaux services.

À juste titre, son dernier chapitre s’intitule “The Last Dance” (“La dernière danse”) et l’a ramené au tribunal pour plaider une dernière affaire et poursuivre un dernier criminel. Voici son histoire.

Une femme nommée Veronica Knight a été retrouvée morte à Central Park et les indices ont conduit la police à Scott Kelton, un milliardaire local qui a des amis haut placés, à savoir le maire (Bruce Altman). McCoy a fini par reprendre le dossier des mains du premier substitut du procureur Nolan Price (Hugh Dancy), qui cherchait à appeler le fils du maire à la barre pour le faire témoigner sur la relation passée de Kelton avec la victime. Le maire a non seulement menacé de chasser Price du bureau du procureur, mais a aussi promis de cesser de soutenir McCoy s’il se présentait aux élections.

Sans se laisser décourager, McCoy obtient finalement un verdict de culpabilité pour Kelton. Plutôt que de rester dans les parages pour subir la colère du maire, il décide de démissionner.

“J’y pense depuis un moment”, a-t-il déclaré à Price. “Il est temps. C’est juste. Écoute, le maire est un fils de p*te vindicatif. Il va utiliser tous les jetons dont il dispose pour s’assurer que mon adversaire remporte l’élection et il réussira. Et il va enterrer tous ceux qui lui ont fait du tort, toi y compris. Si je me retire maintenant, le gouverneur pourra nommer quelqu’un d’autre. Quelqu’un d’intègre.”

Nous le savons déjà, ce quelqu’un sera joué par Tony Goldwyn (le président Fitz de Scandal), qui a été annoncé au casting en début de mois. L’acteur n’est pas étranger à l’univers télévisuel judiciaire de Dick Wolf puisqu’il est déjà apparu dans New York Section Criminelle, en 2006 et 2007.

“Ça a été une sacrée aventure”, a conclu McCoy.

Dans sa scène finale, il se promène seul la nuit à l’extérieur du palais de justice...

Sam Waterston a fait ses débuts dans New York Police Judiciaire au début de la saison 5 en 1994 et a repris son rôle dans divers autres projets, notamment dans les séries dérivées, New York Unité Spéciale et New York Cour de Justice, ainsi que dans Homicide ou Police contre police en 1998.

Pour son rôle désormais iconique, il aura reçu onze nominations aux Screen Actors Guild Awards (et le prix du Meilleur acteur en 1999), trois nominations aux Emmys et une autre aux Golden Globes.

Au moment de l’annonce de son départ de la série culte de NBC, le comédien avait expliqué ses raisons aux fans de la série dans un communiqué relayé par Variety : “C’est un plaisir de parler directement ainsi au public absolument incroyable de Law & Order. Le moment est venu pour moi de passer à autre chose et d’emmener Jack McCoy avec moi. Il y a de la tristesse à partir, mais je suis tout simplement trop curieux de la suite.”

“Je vous suis plus reconnaissant que je ne peux le dire. La longue et incroyable carrière de L&O, ainsi que son retour stupéfiant, ont pu se faire entièrement grâce à vous et à Dick Wolf, mais sans la vision, la patience, la persévérance et la combinaison unique de talents créatifs et commerciaux, rien de tout cela ne serait arrivé.”

“Je me sens très chanceux. J’espère vous voir tous de l’autre côté. Merci.”

Le film Les Fausses Pudeurs a eu des projections séparées pour les femmes et les hommes

Les Fausses Pudeurs (Mom and Dad de son titre original) est un film américain réalisé par William Beaudine et sorti en 1945 aux États-Unis. Mais attention, vous avez affaire à l’un des longs métrages les plus controversés de tous les temps, un long métrage qui, malgré de nombreux défis juridiques (dont 418 plaintes et près de 428 procès au cours de sa diffusion !) et ses images “scandaleuses” (incluant de véritables scènes d’accouchement) est pourtant devenu l’un des plus rentables des années 1940, grâce à une campagne marketing inédite.

Retour dans les années 40 en Amérique, une époque puritaine où la moralité chrétienne prévalait dans de nombreux foyers américains. La révolution sexuelle des années 60 n’allait avoir lieu que deux décennies plus tard : la grande majorité des Américains n’étaient donc pas prêts à parler de relations sexuelles avant le mariage – encore moins à regarder des films sur le sujet.

D’une certaine manière, le producteur Kroger Babb, qui a fait du film un succès box office, était un visionnaire. Il a compris qu’il n’y a pas de mauvaise presse – bien au contraire. Ainsi, comme le rapporte Variety, il a rassemblé un maigre budget de 67 000 dollars auprès d’investisseurs et a passé six jours en 1944 dans cinq studios distincts à réaliser l’un des films les plus controversés de sa décennie. Retour sur les faits.

Les Fausses Pudeurs est, à première vue, un film simple sur l’amour adolescent. Joan Blake (June Carlson) est amoureuse du fringant pilote Jack Griffin (Bob Lowell). Après avoir courtisé sans relâche la jeune femme célibataire, ils ont des relations sexuelles. Joan ignore tout du sexe et, après sa liaison, demande à sa mère (Lois Austin), des “livres d’hygiène”. Les livres d’hygiène étaient un effort des progressistes de l’époque pour réglementer les comportements sexuels et diffuser des informations sur la santé sexuelle – une sorte de cours d’éducation sexuelle. La mère de Joan, bien sûr, refuse parce que Joan n’est pas mariée. C’est alors que survient la tragédie.

Alors que l’avion de Jack s’écrase provoquant la mort de ce dernier, Joan découvre qu’elle est enceinte, hors mariage : une énorme erreur morale pour l’époque. Incapable de parler à ses parents, la jeune femme en difficulté se tourne vers son professeur, Carl Blackburn (Hardie Albright). Carl est impopulaire auprès de la population locale pour avoir donné des cours d’éducation sexuelle avant d’avoir été licencié. Il blâme les parents de Joan pour l’ignorance de cette dernière, une ignorance qui l’a involontairement mise dans cette situation. Joan confronte alors sa mère, croyant fermement que les parents ont l’obligation morale de dire la vérité à leurs enfants sur de telles choses, et là le film change radicalement de ton.

Les Fausses Pudeurs prend dès lors une tournure très médicale, présentant au public des images graphiques de l’anatomie féminine, des images de véritables naissances défilent sur l’écran avec des bébés qui hurlent ou, dans certaines séquences du film, des bébés silencieux, mort-nés. Le public a droit à des images d’accouchements par césarienne en plus d’accouchements conventionnels.

La majorité du film n’est donc que du remplissage de scènes cliniques : le spectacle est surprenant et provoque alors du dégoût, de la colère, mais aussi de la curiosité auprès du public. Il n’est pas étonnant que le film ait été condamné par la NDL (National Legion of Decency), un censeur qui, à l’époque, cherchait à exercer un contrôle sur le contenu des films en persuadant ses membres de ne pas regarder certains projets offensant la morale chrétienne. La NDL a donc tout tenté pour interdire le long métrage mais malgré cela – et de multiples procès – le film a connu un énorme succès.

À propos des Fausses Pudeurs, le critique du Washington Post, Kenneth Turan, a déclaré que le film n’a pas “prospéré à cause de ses images de naissance ou à cause de son intrigue puérile” mais que son succès “découlait plutôt des extraordinaires capacités promotionnelles de Babb.” En effet, le producteur Kroger Babb a distribué 300 copies du film sur les marchés des États-Unis dans les semaines précédant sa sortie et a ainsi lui-même provoqué une panique morale, attirant l’attention des journaux locaux en leur envoyant des lettres et des tracts religieux pour protester contre le fondement moral du projet. Et oui, il a carrément protesté contre son propre film pour créer “le buzz”, comme on dirait aujourd’hui !

Selon le biographe Eric Schaefer, dans son livre Bold! Daring! Shocking! True!: A History of Exploitation Films (1999), les lettres qu’il a envoyées étaient de fausses attestations de maires imaginaires de villes voisines qui exprimaient leur inquiétude au sujet des jeunes femmes locales qui avaient vu le film et dont la sexualité avait été éveillée à cause de cela. L’idée était de submerger les petites villes endormies de lettres pour créer un (faux) air de controverse autour du film.

Conséquences : les cinémas locaux ont organisé des projections limitées réservées aux adultes et séparées : les femmes d’un côté, les hommes de l’autre, le tout accompagné de conférences en direct du “commentateur intrépide en matière d’hygiène, Elliot Forbes”. Qui était Elliot Forbes ? Personne et tout le monde, une entité fictive incarnée par plusieurs acteurs, donnant des leçons au public sur des questions de sexualité – à la manière du professeur dans le film. Parfois, des “infirmières” étaient également présentes au cas où les gens s’évanouiraient à cause des images chocs – c’est en tout cas ce qu’a écrit Joe Bob Briggs dans son livre Profoundly Disturbing: The Shocking Movies that Changed History (2003).

Les Fausses Pudeurs a été le centre de pas moins de 418 plaintes visant à arrêter ses diffusions : “Nous avons gagné chacun d’entre eux”, a déclaré Kroger Babb à l’époque, de façon triomphale (via Variety). “Et je n’ai encore entendu personne assis sur la chaise des témoins dire franchement ce qu’il trouve de mal avec le film”, a-t-il poursuivi, lui qui a investi quelque 500 000 dollars pour lutter contre la censure.

“Les objections semblent généralement viser notre promotion. [...] Des prêtres m’ont dit qu’ils ne voyaient rien de mal dans le film, mais ils s’opposent au battage médiatique et à l’accent mis sur le sexe et la conscience envers cela. Pourtant, nous avons toutes sortes de soutiens de la part des prêtres,” a-t-il ajouté.

C’est un vieux cliché, mais dans ce cas précis, l’adage “il n’y a pas de mauvaise presse” était bien vrai. Kroger Babb savait que le sexe fait vendre et que la controverse était une bonne publicité, et a ainsi conduit Les Fausses Pudeurs vers un succès au box-office inespéré. Le film a depuis rapporté entre 40 et 100 millions de dollars, selon Kenneth Turan, et est considéré comme le film sur la santé sexuelle le plus réussi jamais sorti.

Depuis 2005, Les Fausses Pudeurs est inscrit au National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès aux États-Unis qui répertorie les films américains ayant une “importance culturelle, historique ou esthétique”. Babb a ainsi involontairement révélé la profonde ignorance du public en matière de santé sexuelle puisque les bobines médicales insérées dans le film ont finalement eu une portée éducative sur un sujet qui n’était pas acceptable à l’époque. Il a finalement ouvert une porte qui n’a depuis pas été refermée.

24 février 2024

César 2024 : Christopher Nolan remercie "la France où on parle de films"

Non seulement il est nommé au César du Meilleur film étranger, Christopher Nolan est en couverture du prochain numéro de Première, en kiosques la semaine prochaine, où il debriefe sa carrière et le succès d’Oppenheimer. Ce petit passage promo étant passé, on peut donc revenir sur le discours du réalisateur de The Dark Knight sur la scène de l’Olympia : c’est Marion Cotillard, qu’il a dirigée dans Inception et The Dark Knight Rises, qui lui a remis le trophée. "C’est un plaisir d’être ici en France où on parle de films", a commencé le cinéaste, en se souvenant de la sortie de Following en 1999 puis de Memento, que "personne ne voulait distribuer" en France et dont le succès ici a "changé (sa) vie". 

"Depuis lors, j’ai toujours aimé le public français et les distributeurs français. C’est toujours formidable de venir en France de présenter un film. Quand on a présenté Interstellar au Grand Rex on s’est aperçus qu’ils ont installé un projecteur 70mm construit exprès pour la projection, la cabine avait été adaptée", s’est-il souvenu, soulignant qu'en France on parle de "films" et d'"auteurs".

"Dans ce monde où le streaming est si présent, le cinéma est une inspiration pour moi et le monde entier", a conclu Nolan en saluant le montage résumant les films de sa carrière au rythme. Des mots de Michael Caine dans Le Prestige. Il a enfin salué sa femme Emma Thomas, productrice de tous ses films : "Sans toi rien de tout, cela ne se serait produit."

Palmarès complet des César 2024

César de la meilleure actrice dans un second rôle

Adèle Exarchopoulos dans Je verrai toujours vos visages

César de la meilleure adaptation

Valérie Donzelli, Audrey Diwan pour L’Amour et les Forêts

César des meilleurs costumes 

Ariane Daurat pour Le Règne animal 

César des meilleurs décors 

Stéphaine Taillasson pour Les Trois Mousquetaires

César du meilleur son

Fabrice Osinski, Raphaël Sohier, Mattthieu Fichet, Niels Barletta pour Le Règne animal

César du meilleur premier film

Jean-Baptiste Durant pour Chien de la casse

César du meilleur court métrage d’animation

Été 96, de Mathilde Bédouet

César du meilleur film d’animation

Linda veut du poulet !, de Chiara Malta et Sébastien Laudenbach

César de la révélation féminine

Ella Rumpf dans Le Théorème de Marguerite

César de la révélation masculine

Raphaël Quenard dans Chien de la casse

César des meilleurs effets visuels 

Cyrille Bonjean, Bruno Sommier, Jean-Louis Autret pour Le Règne animal

César du meilleur acteur dans un second rôle

Swann Arlaud dans Anatomie d’une chute

César de la meilleure musique originale

Andrea Laszlo de Simone pour Le règne animal

César du meilleur scénario original

Justine Triet, Arthur Harari pour Anatomie d’une chute

César du meilleur court métrage documentaire

La Mécanique des fluides, de Gala Hernández López

César du meilleur film documentaire

Les Filles d’Olfa, de Kaouther Ben Hania

César du meilleur film étranger 

Simple comme Sylvain, de Monia Chokri 

César de la meilleure photo 

David Cailley pour Le Règne animal

César du meilleur montage

Laurent Sénéchal pour Anatomie d'une chute

César de la meilleure réalisation

Justine Triet pour Anatomie d'une chute

César du meilleur acteur

Arieh Worthalter dans Le Procès Goldman

César de la meilleure actrice

Sandra Hüller dans Anatomie d’une chute

César du meilleur film

Anatomie d'une chute de Justine Triet

23 février 2024

Stéphane Plaza au musée Grévin : la direction rétropédale

Cette affaire a secoué le monde de la télévision. En septembre dernier, Mediapart publiait une enquête dans laquelle trois ex-compagnes de Stéphane Plaza l'accusaient de diverses violences. Humiliations, menaces, violences verbales, violences physiques… Deux de ces femmes ont décidé de porter plainte. L'agent immobilier aurait ainsi cassé la main d'une ex-compagne. Des accusations qu'il a toujours niées. Depuis les premiers témoignages, plusieurs rebondissements ont eu lieu.

Stéphane Plaza a porté plainte à son tour pour harcèlement et cyberharcèlement contre celles qui l'accusent. Il a aussi reçu le soutien de sa meilleure amie Karine Le Marchand, qui soupçonne un complot de la part des plaignantes. Pour l'heure, les émissions immobilières de Stéphane Plaza sont toujours diffusées à l'antenne. En effet, l'enquête interne menée par M6 n'a relevé "aucun acte s'apparentant de près ou de loin à de la violence morale ou physique, aucun harcèlement de quelque nature que ce soit, pas de propos sexistes ou actes pouvant y être assimilés". Stéphane Plaza avait disparu des réseaux sociaux dès le début de la polémique.

Il réapparaît peu à peu en ligne, si bien que cette semaine, l'animateur a dévoilé une première photo de son double de cire au musée Grévin. Une nouvelle qui a scandalisé les internautes. Ce vendredi 23 février 2024, le Musée Grévin désamorce la polémique auprès du Parisien. "Son personnage a été choisi en février 2023 bien avant les affaires", assure le musée, avant de préciser : "Il répondait à nos critères de sélection, une image populaire positive, au cœur de l'actualité, singulier dans son domaine. [...] Il a un parcours atypique, c'est pour cette raison qu'il a été élu par l'Académie Grévin [...] Il y a ensuite eu plus de six mois de fabrication".

Le musée Grévin assure qu'il n'aurait pas été consulté avant la publication Instagram de Stéphane Plaza. "Et, mercredi, c'est lui qui a pris l'initiative d'annoncer sa venue, parce qu'il est content et très fier. [...] De notre côté, nous n'avions pas lancé le communiqué de presse. [...] Pour l'instant, il n'y a pas de date pour dévoiler sa statue. Nous attendons que la justice fasse son travail [...] Le process est long, wait and see (attendons de voir)", commente la direction. Il y a quelques semaines, le musée Grévin avait décidé de retirer la statue de Gérard Depardieu après sa mise en examen pour viols et agressions sexuelles.

Nous, les Leroy : bande-annonce avec Charlotte Gainsbourg et José Garcia

Florent Bernard, scénariste de La Flamme et Vermines (et prochainement du Evil Dead de Sébastien Vaniček) et présentateur du Floodcast, s’essaye pour la première fois à la réalisation d’un long-métrage avec Nous, les Leroy. Une comédie tendre où Sandrine Leroy (Charlotte Gainsbourg) annonce son désir de divorce à sa famille. Le principal intéressé, Christophe (José Garcia), organise alors une mission sauvetage – l’opération de la dernière chance.

Leurs enfants (Lily Aubry et Hadrien Heaulmé) sont assez grands pour voler de leurs propres ailes, mais Christophe ne compte pas baisser les bras. Il décide d’embarquer ses proches dans un voyage improvisé, voué à sauver son mariage. Le road trip est balisé par les lieux clés qui ont marqué l’histoire de la famille Leroy. Le trajet ne sera pas de tout repos…

Récompensé par le Grand Prix du 27e Festival international du film de comédie de l'Alpe d'Huez, Nous, Les Leroy, rassemble aussi à son casting, Adrien Ménielle, Jérôme Niel, Sébastien Chassagne... Sortie le 10 avril 2024 en salles. 

Nouveautés Netflix du 23 au 29 février

L’incontournable de la semaine

Formula 1 saison 6 (23 février) : Offrant un regard inédit, cette nouvelle saison invite les fans aux premières loges pour assister aux préparatifs des pilotes et des écuries qui s'affronteront lors du Championnat du monde FIA de Formule 1 2023. La série propose des images et des interviews jamais diffusées des légendes de la catégorie reine du sport automobile.

L'oscarisé James Gay-Rees ("Amy", "Senna") et Paul Martin ("Diego Maradona") assurent la production exécutive de "Formula 1 : Pilotes de leur destin" pour Box to Box Films.

Le vendredi 23 février

Mea Culpa : Quand l'avocate pénaliste Mea Harper (Kelly Rowland) se charge de l'affaire de meurtre dans laquelle est impliqué le séduisant peintre Zyair Malloy (Trevante Rhodes), la vérité n'est pas aussi évidente qu'il y paraît. Alors qu'elle tente de découvrir si son client, qui reste sur ses gardes, est innocent ou pas, il apparaît indéniable que tout le monde est coupable de quelque chose.

A travers ma fenêtre 3 les yeux dans les yeux : Après les événements de l'été, Ares et Raquel ne voient pas comment poursuivre leur relation et décident de se séparer. Mais lorsqu'ils se retrouvent en hiver à Barcelone, l'amour et le désir qu'ils éprouvent l'un pour l'autre sont indéniables. Sauront-ils trouver le moyen de se remettre ensemble ?

Le dimanche 24 février

Un événement en direct : La 30e cérémonie annuelle des Screen Actors Guild Awards, présentée par la SAG-AFTRA et Screen Actors Guild Awards, LLC, sera produite par Silent House Productions. Elle sera diffusée en direct sur Netflix le samedi 24 février 2024 à 02 h 00, heure de Paris depuis le Shrine Auditorium & Expo Hall. Les SAG Awards, l'un des événements majeurs de la saison des récompenses, célèbrent les meilleures performances cinématographiques et télévisuelles de l'année..

Le mercredi 28 février

American Conspiracy : Lorsque Danny Casolaro est retrouvé mort dans la baignoire d'une chambre d'hôtel, la police conclut à un suicide. Cette explication ne satisfait pas sa famille ni ses collègues convaincus que le journaliste américain a été assassiné pour avoir enquêté sur une conspiration qu'il appelait "La Pieuvre" — une organisation secrète impliquée dans des vols de logiciels d'espionnage gouvernementaux, dans une série de meurtres non élucidés et dans certains des plus grands scandales politiques du XXe siècle.

Le jeudi 29 février

Sous les applaudissements : Une mère, un père et un enfant. Un enfant qui s'interroge sur la nature de l'existence et qui se languit de sa vie d'avant, dans une orange. L'histoire suit une famille sur plusieurs décennies alors qu'elle se confronte à ses difficultés et à la société qui l'entoure.

C’est déjà disponible

Crossroads : Lucy (Britney Spears), Kit (Zoe Saldana) et Mimi, trois amies d'enfance, ont évolué différemment : la première est restée sage et a réussi dans ses études, la seconde est devenue la fille la plus populaire du lycée tandis que la troisième est enceinte et en perpétuel conflit avec les autres.

Bon, on ne vous conseille pas ce film pour sa qualité, mais parce que c’est la première fois qu’il est disponible en streaming.

Barry Keoghan réagit à son statut de nouvelle star hollywoodienne

Deux mois après sa sortie sur la plateforme Prime Video, le film d'Emerald Fennell, Saltburn, continue de faire parler de lui. En cause ? Sa poignée de scènes mémorables, entre un passage torride dans une baignoire et une scène de danse nue sur le titre Murder on the Dancefloor.

La Toile toute entière s'est emparée du thriller pour le commenter, le critiquer et même reproduire certaines séquences - ce qui a donné lieu à une tendance sur TikTok, cumulant des millions de vues.

Que pense Barry Keoghan de toutes ces réactions en chaîne ? L'acteur, qui incarne le rôle principal, a répondu à cette question au magazine Vanity Fair : "Si vous lisez ce qu'on écrit sur vous et que vous regardez trop de choses, cela peut porter préjudice à votre état mental. Mais je ne l'aurais fait si je n'étais pas préparé pour ça, ou si je n'étais pas ouvert à recevoir l'opinion des autres."

Quant à la nudité, il relève que les séquences nues sont pourtant assez communes dans le cinéma européen et qu'elles ne font pas autant réagir le public. Il ajoute : "Si elle est justifiée par l'histoire et qu'elle permet d'avancer, pourquoi pas ?" Mais l'acteur est le premier à en jouer, comme sur la dernière couverture du magazine Vanity Fair où il apparaît entièrement nu.

Au sujet de sa nouvelle popularité, Barry Keoghan admet que c'est non seulement "nouveau pour lui", mais aussi "assez effrayant". "Je ne suis pas habitué à recevoir autant d'attention, c'est beaucoup si je dois être honnête. C'est presque une vie différente que je dois vivre en ce moment. Je veux juste faire des films, travailler avec des réalisateurs, jouer des rôles et ne pas trop me préoccuper de tout ce bruit autour de moi.".

Hilary Swank n'apparaîtra pas dans Cobra Kai

Les fans de Cobra Kai se préparent à faire leurs adieux à la série dérivée des films Karaté Kid, alors que Netflix a confirmé la diffusion dès cette année de l’ultime saison du programme ! Après six années de bons et loyaux services, le show s’apprête donc à faire ses adieux.

Mais des spin-offs pourraient toutefois voir le jour, et un nouveau long métrage Karaté Kid entrera prochainement en tournage avec Ralph Macchio et Jackie Chan pour la toute première fois réunis. Nul doute que la saga est encore loin d’avoir dit son dernier mot !

De nombreux acteurs de la saga cinématographique sont apparus dans la série, et beaucoup espéraient que la sixième saison de Cobra Kai accueille Julie Pierce, l’héroïne du spin-off Miss Karaté Kid. Ce personnage incarné par Hilary Swank a également été formé au karaté par maître Miyagi (la toute dernière apparition dans le rôle du regretté Pat Morita).

La bande-annonce de la saison 6 a teasé la présence d’un invité surprise, et de nombreux internautes ont pensé qu’il pourrait s’agir de Julie Pierce. Interrogée par Collider, Hilary Swank a malheureusement confirmé qu’elle ne figure pas au casting de l’ultime saison de Cobra Kai :

"Je ne pense pas, malheureusement. Oui, je sais. C’est la question qu’on me pose le plus souvent en ce moment. D’habitude les gens me demandent comment c’est de travailler avec Clint Eastwood. Mais je crois que la question sur ma participation à Cobra Kai a désormais surpassé cela."

Au cours de ce même entretien, l’actrice doublement Oscarisée (pour Boys Don’t Cry et Million Dollar Baby) a également révélé n’avoir jamais entendu parler du nouveau film en projet, et qu’il n’est par conséquent pas prévu qu’elle apparaisse dedans. Les fans devront donc accepter l’idée que le grand retour de Julie Pierce ne se concrétisera pas d’ici la fin de Cobra Kai.

Eva Longoria rejoint la série Only Murders in the Building

Vrai succès sur la plateforme américaine Hulu et diffusée sur Disney+ en France, la série Only Murders in the Building se poursuit avec un casting de taille. Après Meryl Streep, qui a rejoint la saison 3, Eva Longoria - connue, entre autres, pour son célèbre rôle de Gabrielle dans Desperate Housewives - devient la nouvelle recrue pour la saison 4, très bientôt en tournage.

Si l'histoire est encore tenue secrète, on sait que ce nouveau chapitre sera centré sur le meurtre de Sazz Pataki - jouée par Jane Lynch, la coach de Glee -, une doublure de longue date sur le tournage de Brazzos, la série du personnage joué par Steve Martin.

Changement de décor pour cette saison 4 : si, jusqu'ici, l'intrigue se déroulait à New York, les personnages seront cette fois à Los Angeles avant de revenir dans l'hôtel The Arconia.

Aucune information ne précise quel personnage incarnera Eva Longoria. Le trio star, campé par Selena Gomez, Martin Short et Steve Martin seront évidemment de retour.

Tout comme Meryl Streep qui retrouvera les traits de Loretta Durkin. Le média Deadline indique le personnage interprété par l'actrice oscarisée jouera un rôle important dans les événements de cette nouvelle.

Parmi les nouveaux arrivants, la série pourra également compter sur Molly Shannon, comédienne populaire aux États-Unis, qui devrait apparaître dans le rôle d'une femme d'affaires très puissante de Los Angeles.

Les trois saisons de Only Murders in the Building sont disponibles sur Disney+.