17 février 2022

Plus belle la vie s'arrête sur France 3 après 18 saisons

Coup de théâtre sur France 3 ! Après 18 d’existence et plus de 4500 épisodes à l’antenne, Plus belle la vie s'apprête à tirer sa révérence ! Selon les informations du Figaro, France 3 s’apprête en effet à arrêter le programme quotidien qui a marqué l’histoire de la télévision d’ici la fin de cette saison en raison de ses audiences de plus en plus faibles.

Si le feuilleton quotidien a pendant très longtemps était l’un des poids lourds de la chaîne, en rassemblant près de 5 millions de téléspectateurs et téléspectatrices tous les soirs, cela fait quelques années que Plus belle la vie peine à rassembler.

Depuis 2017, les audiences ont commencé à s’étioler, passant de 4.5 millions de téléspectateurs en 2016-2017 à 3.8 millions pour la saison 2020-2021. Les audiences des épisodes actuels plafonnent quant à elles sous la barre des 2.5 millions de téléspectateurs.

France 3 a donc décidé d’arrêter les frais et d’annuler la série au terme de sa saison 18. Si aucune date n'a pour le moment été communiquée, les derniers épisodes devraient être diffusés d'ici cet été, ou à la rentrée 2022 au plus tard. 

Pendant plusieurs années, Plus belle la vie était la seule quotidienne présente sur le paysage audiovisuel français, mais depuis 2017, elle a dû faire face à la concurrence de TF1 qui a lancé Demain nous appartient.

L’année suivante, c’est France 2 qui se lançait dans l’arène avec Un si Grand soleil. Et en 2020, TF1 a enfoncé le clou en mettant à l’antenne Ici tout commence, un nouveau feuilleton à destination d’un public plus jeune que ses prédécesseurs. Trois nouvelles venues qui ont mis à mal celle qui a lancé le mouvement en 2004.

Plus belle la vie a donc eu du mal à résister à cette concurrence accrue. Et avec un budget d’un peu plus de 30 millions d’euros par an, c’est l’un des programmes les plus chers de l'antenne. France Télévisions a donc décidé que le feuilleton quotidien avait fait son temps.

Reste maintenant à savoir comment les scénaristes vont choisir de conclure la série, beaucoup d’intrigues étant encore en suspens. Auront-ils le temps d’offrir à chaque personnage une fin à la hauteur des attentes ? Réponse dans les prochains mois.

16 février 2022

J.J. Abrams annonce Star Trek 4 : le film verra revenir tout le casting


Depuis la sortie de Star Trek : Sans limites (en 2016) et son box-office décevant (340 millions de dollars de recettes mondiales), l'univers de la Fédération se décline désormais à la télé. Paramount a mis le paquet pour sa plateforme Paramount +, avec Star Trek Discovery, Picard et autres Lower Decks. Mais le studio n'a visiblement pas renoncé à poursuivre la saga du Capitaine Kirk au cinéma.

J.J. Abrams annonce aujourd'hui la mise en chantier d'un Star Trek 4, qui sera donc la suite de Sans limites et qui verra revenir le casting original de la dernière décennie, à savoir Chris Pine, entouré de Zachary Quinto, Zoe Saldana, Karl Urban, John Cho et Simon Pegg. De nouveaux personnages viendront s'ajouter à l'équipage, et on peut même commencer à rêver d'un crossover avec les séries en cours...

J.J. Abrams ne sera pas le réalisateur, mais il produira le film, qui devrait être dirigé par Matt Shakman (WandaVision) sur un scénario de Josh Friedman (Avatar 2) et Cameron Squires (WandaVision). Tournage attendu pour la fin de l'année, ce qui voudrait dire une sortir vers 2024 au cinéma.

"Nous sommes ravis de dire que nous travaillons dur sur un nouveau film Star Trek qui sera tourné d'ici la fin de l'année et qui mettra en vedette notre distribution originale et de nouveaux personnages qui, je pense, seront vraiment amusants et excitants. On va emmener Star Trek vers des territoires que vous n'avez jamais vus auparavant", commente Abrams. "Nous sommes ravis de ce film, mais nous avons aussi un tas d'autres histoires dont nous discutons... Nous avons hâte que vous voyiez ce que nous préparons."

Selon Variety, Paramount a fait des études de marché pour connaître l'intérêt potentiel du public vis à vis d'un autre film de Star Trek. A priori, le casting porté par Chris Pine avait encore des fans et la franchise va donc concrétiser le fameux dicton vulcain : "Live long and prosper".

Transformers: Rise of the Beasts sera le premier film d'une nouvelle trilogie

Il y aura (au moins) 9 films Transformers. Le prochain opus déjà tourné, Transformers: Rise of the Beasts, qui sera le 7e de la franchise, sera le premier volet d'une toute nouvelle trilogie, a annoncé hier soir Paramount Pictures, devant les investisseurs.

Deux autres films seront donc produits dans la foulée, même si le studio n'a rien dévoile de spécifique concernant ces deux suites à venir au cinéma. Mais il a confirmé son intention d'étendre la franchise au maximum, avec un gros film Transformers animé, un long métrage d'animation destiné lui aussi aux salles obscures. Il a déjà une date de sortie calée au 19 juillet 2024 et on sait qu'il sera réalisé par Josh Cooley, connu pour son travail dans plusieurs films Pixar. 

Sans un bruit 3 sortira en 2025


Paramount a officialisé hier soir Sans un bruit 3, la suite de la franchise de John Krasinski. Le film devrait sortir en 2025 prévient le studio, qui ne précise rien au sujet de son réalisateur. Krasinski sera-t-il de retour ? Rien n’est moins sûr. Même chose pour le casting, qui reste mystérieux. Par ailleurs, Paramount communique également sur le premier spin-off de Sans un bruit, qui sera mis en scène par Michael Sarnoski (le très chouette Pig avec Nicolas Cage). Le cinéaste a remplacé Jeff Nichols, à la base derrière ce projet né d’une idée de John Krasinski. Sans un bruit 2 avait rapporté un peu plus de 297 millions de dollars à travers le monde l’année dernière, dans une période très compliquée pour les cinémas. 

Windfall : trailer pour le thriller Netflix avec Jesse Plemons, Lily Collins, et Jason Segel

Un couple (Jesse Plemons et Lily Collins) rentre tranquillement chez lui mais découvre qu’un cambrioleur (Jason Segel) est dans la maison… Voici le pitch a priori simplissime de Windfall, thriller de Charlie McDowell - le fils de Malcolm et le mari de Lily Colins. Mais d’après le trailer, les choses semblent être plus compliquées que prévu… « Ce qui m’intéressait dans cette histoire dans la période qu’on vit, c’était le sentiment de se sentir prisonnier dans sa propre maison, dans son propre espace », assure le réalisateur à Entertainement Weekly. « On voit toujours notre maison comme un refuge contre le monde extérieur. Et ce qui m’intéressait, c’était de raconter une histoire en me demandant : et si cet espace était envahi, et si on ne s’y senti plus en sécurité ? » Tourné durant le confinement, Windfall sortira le 18 mars en France, sur Netflix.

L’occasion de vous recommander chaudement de regarder The One I Love, le premier long de Charlie McDowell avec Elisabeth Moss, Mark Duplass et Ted Danson. Aussi cool qu’un (très) bon épisode de La Quatrième dimension. Son deuxième film, The Discovery, est toujours disponible sur Netflix.

Matrix 4 : poursuivi en justice, Warner se défend

La décision de Warner Bros de sortir ses films de 2021 en simultané au cinéma et sur leur plateforme HBO Max continue de faire des émules ! La semaine dernière, la société de production Village Roadshow Pictures, associée à Warner Bros. à la production de Matrix Resurrections, portait plainte contre le studio.

Village Roadshow Pictures, qui savait évidemment que le studio allait diffuser le long-métrage de Lana Wachowski sur HBO Max, accuse Warner Bros. d'avoir délibérément saboté la sortie en salles de Matrix Resurrections afin de favoriser la plateforme de streaming HBO Max pour attirer de nouveaux abonnés. Et d'avoir éteint l'avenir de la franchise en précipitant l'échec de ce 4ème volet.

Warner Bros. affirme aujourd'hui, dans de nouveaux documents judiciaires, n'avoir jamais accepté que le film sorte exclusivement en salles, et que Village Roadshow leur doit toujours 112,5 millions de dollars de frais de production. La société de production soutient qu'elle ne peut pas payer parce que Warner Bros. a "vidé le film de sa valeur".

Pour rappel, Scarlett Johansson avait utilisé un argument similaire en juillet dernier lors de son procès contre Disney. L'actrice de Black Widow avait fait valoir que Disney avait sacrifié le succès du film au box-office au profit de son service de streaming, la privant ainsi de millions de dollars de rémunération incitative. L'affaire a été rapidement réglée sans passer par le tribunal puisqu'une coquette somme a été versée à la comédienne en compensation.

L'avocat Daniel Petrocelli, qui représentait Disney dans cette précédente affaire, s'occupe de la défense de Warner Bros. Il a ainsi fait valoir que le différend devrait être régi par la clause d'arbitrage du contrat, et que son client était autorisé à sortir le film simultanément sur sa plateforme de streaming parce que le contrat n'avait jamais promis une sortie exclusive en salles.

"Le mot "exclusif" apparaît plus d'une douzaine de fois dans le contrat des parties, mais pas une seule fois lorsqu'il est question des obligations de Warner en matière de diffusion", a fait valoir M. Petrocelli. "Une sortie en salles 'exclusive' ne faisait donc pas partie du marché".

L'avocat souligne que le studio a accepté une "sortie large" définie dans le contrat comme la diffusion de Matrix Resurrections sur au moins 1 000 écrans. Hors Warner Bros. a sorti le long-métrage porté par Keanu Reeves sur 5000 écrans.

A cause de sa décision de sortir simultanément ses films en salles et sur HBO Max, Warner a déjà dû verser des millions de dollars en compensation pour plusieurs oeuvres, notamment Dune, La Méthode Williams et The Suicide Squad.

Mais le procès "Matrix" est bien plus vaste, puisqu'il remet en cause la participation de Village Roadshow aux futurs projets Warner. L'affaire concerne également des litiges sur les droits de Wonka, le prochain film avec Timothée Chalamet, et un projet de série télévisée basé sur Edge of Tomorrow. Village Roadshow soutient en effet que Warner Bros. lui a retiré les droits de participation à ces projets.

Le Seigneur des Anneaux : après la série, un nouveau film se dévoile

Le timing n'a évidemment rien d'un hasard : quelques heures après la très attendue bande-annonce de la série Les Anneaux de pouvoir prévue sur Amazon, Warner a rappelé que l'avenir audiovisuel du Seigneur des Anneaux se dessinerait aussi de son côté. Et a donc dévoilé, grâce à Variety, une première image du flm d'animation The War of the Rohirrim.

Confié au réalisateur japonais Kenji Kamiyama, qui se plonge dans un autre univers culte de la pop culture après avoir participé à Star Wars Visions et Blade Runner - Black Lotus, le film se focalisera sur un événement clé de l'Histoire de la Terre du Milieu : la bataille au cours de laquelle le Roi du Rohan, Helm Hammerhand, a repoussé la plus grande invasion d'Hommes du Pays de Dun.

En créant notamment le célèbre Gouffre de Helm, où se tient la séquence centrale des Deux Tours. Car The War of the Rohirrim se déroulera deux siècles avant les aventures de Bilbo et Frodon, et s'appuiera sur un personnage vu dans les annexes des ouvrages de Tolkien.

Si le concept art mis en ligne ne révèle pas grand-chose de plus, le casting vocal devrait être annoncé sous peu alors que la date de sortie américaine est fixée au 12 avril 2024.

NCIS : une nouvelle série en préparation.... en Australie !

Après Los Angeles, la Nouvelle Orléans et Hawaiʻi, NCIS : Enquêtes Spéciales va avoir droit à un nouveau spin-off destiné à la plateforme de streaming Paramount+, qui sera pour l’occasion la première itération internationale de la franchise.

Chapeautée par Shane Brennan, créateur et showrunner de NCIS : Los Angeles, cette nouvelle venue dans la franchise, intitulée NCIS : Sydney, se déroulera, comme son nom le laisse entendre, en Australie.

Pour le moment, peu de détails ont été dévoilés sur ce nouveau spin-off si ce n’est que la série devrait faire appel à des acteurs et des producteurs australiens, sera filmée à Sydney et suivra des enquêtes locales. Le lancement est attendu pour 2023 sur la plateforme.

Cette commande permet ainsi à Paramount+ d’étoffer son offre en Australie, où le service de streaming a été lancé en août 2021, tout en consolidant par la même occasion sa place sur la scène internationale. CBS a d’ailleurs annoncé hier, lors du Paramount’s Investor Day, que la plateforme serait disponible d’ici la fin de l’année en France, dans le cadre d’un accord avec Canal+.

Outre NCIS : Sydney, CBS et Paramount+ ont également annoncé que SEAL Team, la série portée par David Boreanaz, ferait l’objet d’un film indépendant des intrigues du drama militaire, qui sera disponible en exclusivité pour la plateforme.

Produit par l’acteur ainsi que par Christopher Chulack et Spencer Hudnut, producteur exécutif de la série, il permettra “d’étendre l’univers narratif” de SEAL Team, qui a récemment été renouvelé pour une saison 6.

“Ces deux projets sont pour nous une manière d’étendre la portée de notre studio tout en stimulant notre offre de streaming”, a ainsi confié George Cheeks, président de CBS, lors de l’événement. “Nous avons à notre disposition une vaste bibliothèque de franchise et d'œuvres dont nous disposons des droits, ce qui nous offre la possibilité d’être créatif.”

Paramount+ débarque en France !

La plateforme de streaming Paramount+, qui s'est déployée sur des dizaines de territoires mondiaux au cours de l'année écoulée, va se développer en France dans le cadre d'un partenariat de grande envergure avec le groupe Canal+.

La nouvelle est sortie chez nos confrères de Deadline lors d'une série d'annonces à l’occasion d'une journée des investisseurs où ViacomCBS (désormais Paramount) a annoncé ses résultats du quatrième trimestre.

Le partenariat stratégique entre Paramount et Canal+ comprendra le lancement de Paramount+ dans une offre destinée à tous les abonnés de Canal+ Ciné Séries en France. Celui-ci devrait se déployer au mois de décembre prochain selon Raffaele Annecchino, président-directeur général de ViacomCBS Networks International dans un entretien aux Echos.

Cela signifie donc que Paramount+ sera disponible dans l’offre commerciale Canal+ Ciné Séries qui propose déjà l’accès à d’autres plateformes de streaming telles que Netflix, Disney+ ou encore Starzplay.

Mais cet accord avec Canal+ n’est pas exclusif. Paramount+ sera également disponible en tant qu'application autonome dans Apple iOS et Android via les téléviseurs connectés et plateformes OTT. Maxime Saada, président du directoire du groupe Canal+ confirme aux Echos que le prix de l’abonnement pour l’offre Canal+ Ciné Séries – qui inclura donc Paramount+ - ne changera pas et restera à un tarif mensuel de 35€.

Parallèlement au lancement de la plateforme, Canal+ distribuera les neuf chaînes de ViacomCBS : Nickelodeon, Nickelodeon Junior, Nickelodeon Teen, MTV, Paramount Channel, Game One, J-One, BET et Comedy Central. Les films de Paramount Pictures seront également disponibles sur les chaînes du Groupe Canal+ six mois après leur sortie en salles, conformément à la nouvelle réglementation sur la chronologie des médias.

Quant aux séries de la chaîne Showtime – qui appartient également à ViacomCBS – elles resteront également disponibles sur Canal+. Ces séries à succès, telles que Dexter ou Homeland, ont largement contribué à l’attractivité de Canal+. Leur distribution continue avec à venir The First Lady avec Viola Davis dans le rôle de Michelle Obama, Fatal Attraction avec Lizzy Caplan et Joshua Jackson, soit l’adaptation du film culte d’Adrian Lyne, Liaison fatale.

Enfin, le Groupe CANAL+ aura l’exclusivité de la diffusion de la série Paramount+ Originals tant attendue : Halo, jusqu’au lancement du service Paramount+.

Dans un communiqué, Maxime Saada a qualifié cet accord de "nouvelle démonstration de la capacité du Groupe Canal+ à s'allier avec les plus grands acteurs mondiaux de l'industrie des contenus. Il nous conforte à la fois sur notre métier d'agrégateur, via la distribution de Paramount+ et des chaînes de ViacomCBS, et sur notre métier d'éditeur, en sécurisant pour le long terme l’accès en exclusivité aux films Paramount et à des séries Showtime pour notre chaîne Canal+."

15 février 2022

Marc Lavoine élevé comme une fille par sa mère qui en voulait une

"Tout le monde me prenait pour une fille". Sur les ondes d'Europe 1, ce lundi 14 février, Marc Lavoine a fait d'étonnantes confidences au sujet de son enfance. Et notamment de sa naissance, à Longjumeau, le 6 août 1962. A l'époque, sa maman était persuadée d'accoucher d'une fille... "Je suis une fille : j'ai été élevé comme une fille par ma mère, qui m'appelait Brigitte et m'avait laissé les cheveux longs", s'est souvenu l'interprète d'Elle a les yeux revolvers. Physiquement même, le petit garçon d'alors avait des traits féminins. "J'étais obligé de montrer mon sexe aux gens pour leur prouver que j'étais un garçon", a ajouté Marc Lavoine, que "tout le monde prenait" pour une petite fille. Mais ce n'était pas pour le déranger.

"J'ai été élevé avec des femmes, donc j'ai une approche différente des choses", a assuré le chanteur sur Europe 1. Mais sa différence enfant lui a valu de nombreuses critiques de la part de ses camarades de classe. "On m'appelait le gros, la gonzesse, ou le pé**, s'est souvenu Marc Lavoine, qui a longtemps été complexé. J'ai été maltraité par ceux qui ont un peu ce pouvoir d'être le type qui rentre dans la bonne case." D'ailleurs le chanteur l'assume : il a toujours "été à côté de la plaque", et ce n'est pas grave du tout. Bien au contraire ! "Ce qui est important, c'est ceux qui se retrouvent autour des mêmes choses et il y a plus de gens de ce côté-là, a-t-il conclu, philosophe, sur les ondes d'Europe 1. On est plus nombreux à désirer vivre avec tous ceux que l'on rejette, et sans lesquels on ne voit pas la vie en entier."

Il y a dix ans, Marc Lavoine a perdu sa mère, la femme de sa vie, une féministe qui lui a beaucoup appris. "Elle a rempli ma vie. Elle est dans toutes mes chansons, et c'est elle qui m'a donné la phrase 'les yeux revolver', racontait, ému, le chanteur à Télé 7 Jours. La dernière image que j'ai du visage de ma mère, c'est une photo que j'ai prise d'elle. Je lui avais demandé de me faire un sourire et, malgré tout, elle a réussi à me le donner. Un véritable cadeau." Dans les colonnes de Psychologies magazine, Marc Lavoine confié avoir eu un sentiment de culpabilité depuis le décès de sa mère. "Je me sens responsable de ne pas l'avoir sauvée quand elle était sur son lit, à la fin de sa vie, avait-il expliqué. Ses yeux ne m'ont jamais quitté et elle m'a toujours beaucoup dit 'je t'aime'. Elle ne pouvait pas aller plus loin et ce n'est pas grave. Elle me manque, vous savez."