Ce samedi 13 novembre Lucie Bernardoni vivait un très joli moment de télévision lors du dernier prime célébrant les 20 ans de la Star Academy. Alors que la chanteuse était sur scène interprétant La chanson des vieux amants de Jacques Brel, son mari Patrice Maktav débarquait sur scène pour l'accompagner. Un cadeau auquel elle ne s'attendait manifestement pas et qui l'a prise de court autant que ravie... Mais ce moment de douceur semble bien loin désormais pour la chanteuse qui, depuis quelques mois, est harcelée en ligne et subit de terribles "violences écrites". Le 11 novembre dernier déjà la jeune femme s'emportait sur Instagram et exigeait de ses harceleurs qu'ils l'affrontent les yeux dans les yeux. "On verra si les femmes d'un mètre 58 n'ont pas plus de c*** que certains hommes. Cachez-vous bien derrière votre anonymat. Bande de lâches. J'ai tant envie de connaître vos identités dénuées de courage. Vous devez avoir les doigts qui saignent à force d'écrire autant de conneries. Venez, on se rencontre ? Bisous les c*nnards anonymes", indiquait-elle pleine de colère dans sa publication.
Mais rien ne semble pouvoir mettre un terme à la campagne de harcèlement en cours contre l'épouse de Patrice Maktav. Ce 18 novembre la jolie brune a de nouveau fait usage de sa plume pour dénoncer les attaques dont elle est l'objet. "L'usurpation d'identité numérique est un délit passible d'un an de prison et de 15 000 euros d'amende, a-t-elle d'abord tenu à rappeler. Les tentatives de connexion en recherchant mes mots de passe sur mes adresses mails et autres comptes privés en passant par des VPN c'est trop ", s'est-elle insurgée. Lucie Bernardoni a ensuite révélé que ses harceleurs avaient commis une erreur qui pourraient bien leur coûter cher " Les adresses IP ça se trouve et quand on écrit des horreurs sur ma page Wikipédia en essayant de modifier des informations, il faut prendre la peine de modifier son adresse IP et son adresse mail de connexion. Je sais qui tu es. Je sais qui vous êtes ", a-t-elle lancé avant de menacer les fautifs : " Je n'ai pas repris mes études de droit pour regarder tout ça de loin ". "Le pire c'est que si je balance les noms maintenant, je serai poursuivie juridiquement. Moi pas eux. J'en arriverais presque à le faire en assumant les conséquences ", a-t-elle indiqué au désespoir avant de conclure : " Ce non sens doit cesser et vite, pour tous. "
En légende de sa publication, la jolie brune a redit son désarroi mais aussi sa volonté de mettre un terme à ce harcèlement. " Moi, j’avance à visage découvert. Je signe en mon nom. Et mon nom de naissance, je l’ai gardé pour faire honneur à mon père. S’attaquer à mon nom, c’est s’attaquer à lui et à ma mère. Ça je ne l’admettrai jamais. L’honneur, ça signifie encore quelque chose dans ce monde ? Pour moi, oui. À ceux qui essaient encore et toujours de me malmener, de me harceler etc.. Je m’appelle Lucie Bernardoni-Maktav et je vous emmerde autant que je donne de l’amour à ceux que j’aime et que j’en rends à ceux qui m’en donnent : c’est-à-dire, jusqu’à l’infini. Bon courage. J’ai la force de ceux qui en ont déjà vu beaucoup." Soutenue par son mari et par de nombreux internautes, Lucie attend désormais la fin du cauchemar.
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