24 mars 2025

Alain Chamfort est « enfin guéri » de son cancer des os après cinq ans de rémission

Face à la maladie, Alain Chamfort voit « enfin » le bout du tunnel. Le chanteur de Manureva a révélé ce mois-ci qu’il avait récemment tourné la page de son cancer des os à l’issue d’un parcours de guérison truffé d’inquiétudes. « Après cinq ans en rémission, je suis enfin guéri », a-t-il affirmé à La Tribune Dimanche. « Je vous avoue que j’ai vraiment eu peur ».

Si Alain Chamfort a remporté la bataille contre son cancer, ce dernier a laissé des traces sur son corps, comme il l’avait témoigné plus tôt auprès de Le Télégramme. « Je me sens différent d’avant et un peu plus fragile », a-t-il confié. « J’ai, en effet, des problèmes dans le dos, les vertèbres ont été un peu touchées et je ressens des douleurs dans les doigts ». Mais l’artiste ne se laisse pas abattre pour autant : « Je fais donc maintenant un peu de sport, je continue à avoir des projets et à ne pas me laisser dominer par ces petites douleurs. Je fais, certes, moins alerte qu’avant mais ça le fait ».

Le chanteur a mis du temps à partager son diagnostic avec le public par « pudeur » et par crainte d’attirer vers lui toute forme de compassion ou de comparaison avec d’autres malades moins chanceux que lui. « Je ne voulais pas que l’on me plaigne », a-t-il expliqué à La Tribune Dimanche. « J’étais malade au même moment que Johnny Hallyday et, franchement, savoir qu’il se battait contre un cancer comme moi ne me rassurait pas du tout sur mes chances de guérison ».

Un choix qu’il a déjà évoqué l’an dernier à l’occasion de la sortie de son seizième album studio, L’impermanence, déclarant notamment à Télé Loisirs que « le fait » d’évoquer sa maladie auprès du public « puisse aider d’autres » personnes. « Si cela aide des gens, tant mieux. En ce qui me concernait, ça n’avait pas d’impact sur moi », expliquait-il à l’époque. « Ça ne fait pas avancer la science d’en parler. C’est un point de vue, je ne dis pas que j’ai raison ».

Grimes révèle son récent diagnostic d’autisme et de trouble du déficit de l’attention

En 2021, Elon Musk révélait au monde entier être atteint du syndrome d’Asperger, lors de son passage dans l’émission Saturday Night Live. Son ex-compagne, Grimes, vient d’annoncer quant à elle, avoir récemment reçu un diagnostic d’autisme et de TDAH, trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité.

« J’ai reçu un diagnostic de TDAH/autisme cette année et j’ai compris que je suis probablement dyslexique, ce qui explique pourquoi je suis incapable d’épeler sans correcteur orthographique », a-t-elle constaté dans un long message posté sur X, le réseau détenu par le père de ses trois enfants.

La star répondait à un post faisant un lien entre une lecture supposée excessive durant l’enfance et certains troubles, alors que Donald Trump fait interdire l’accès de certains livres aux Etats-Unis. Grimes dénonçait ce qui s’apparente à une véritable « sous-culture de la santé mentale mal informée dans les réseaux sociaux ».

La chanteuse et productrice de 37 ans, au contraire, témoigne que ses symptômes de TDAH étaient « infiniment pires lorsque je n’étais pas une grande lectrice » et regrette que l’on ne jette le doute sur « l’une des meilleures choses qu’un enfant peut faire pour lutter contre le TDAH ». Pour la chanteuse d’Oblivion, découvrir ce diagnostic sur le tard est une chance.

« J’ai l’impression que si on l’avait su quand j’étais enfant, j’aurais travaillé beaucoup moins dur, j’aurais pris des médicaments », estime-t-elle. « Beaucoup de mes obsessions et motivations bizarres auraient été considérées comme pathologiques et j’aurais pu oublier certaines choses qui ont été très difficiles pour moi, mais je suis heureuse de les avoir surmontées. »

Le véritable danger, selon elle, c’est « la dépendance aux écrans et au burn-out dopaminergique ». L’autre danger, bien sûr, c’est l’exposition de ses enfants dans la sphère publique, contre laquelle l’artiste n’a de cesse de se battre, multipliant les appels au bras droit de Donald Trump et père de Techno Mechanicus, deux ans, Exa Dark Sideræl, trois ans et de X Æ A-Xii, quatre ans.

Darren Aronofsky en lice pour réaliser le remake de Cujo sur Netflix

Il fallait un cinéaste qui ait du mordant… Et c’est Darren Aronofsky qui a été choisi. Le réalisateur américain serait en discussions pour diriger Cujo, remake du célèbre roman d’horreur de Stephen King mettant en scène un Saint-Bernard assoiffé de sang.

Selon des sources proches du projet (via Variety), Cujo est encore à un stade préliminaire de développement, et Aronofsky n’a pas encore eu de réunion créative avec Netflix. Si l’accord aboutit, ce film marquerait sa première collaboration avec une plateforme de streaming.

Le réalisateur de Requiem for a Dream et The Whale finalise actuellement Caught Stealing, un thriller policier produit par Sony, avec Austin Butler et Zoë Kravitz à l’affiche. Le film est attendu en salles dès le mois d’août.

Le nouveau Cujo sera produit par Roy Lee. Pour l'instant, le script n'est pas écrit et Netflix cherche un scénariste ainsi qu'un réalisateur. La sortie n'est donc pas prévue pour tout de suite.

Cujo est un film d'horreur emblématique des années 1980 et 1990, avec un chien tueur sanguinaire, un Saint-Bernard autrefois amical, qui devient un tueur après avoir été mordu par une chauve-souris enragée. "Le mari de Donna Trenton est à New York, essayant de gérer une campagne publicitaire catastrophique. Se sentant abandonnée par son mari accro au travail, souvent absent, Donna Trenton entame une liaison avec un bricoleur local. Alors qu'elle doit faire face seule à la situation, elle emmène sa voiture au garage pour des réparations, mais se retrouve piégée avec son fils Tad dans la voiture en pleine chaleur, face au chien monstrueux."

John Carpenter signera la musique du prochain film d'horreur de Bong Joon-ho

Alors que son Mickey 17 est actuellement à l'affiche, Bong Joon-ho prépare déjà ses prochains projets cinématographiques. Suite au carton plein de Parasite, il a récemment confirmé avoir tourné un film d'animation sur des créatures marines. Pour l'instant intitulé The Valley, ce projet sera donc sa prochaine mise en scène pour le cinéma, puis il compte réaliser un film d'action et d'horreur se déroulant dans une station de métro souterraine de Séoul. Il le décrivait déjà comme "le projet de sa vie", et ce film pour l'instant sans titre vient d'ajouter un talent de taille à son équipe : John Carpenter. Qui devrait se charger de composer sa bande originale.

L'info a été donnée en direct d'une séance de questions réponses menée par Bong autour d'une d'une projection de The Thing restauré en 4K. Après avoir revu le film culte avec Kurt Russell, le réalisateur de The Host a demandé à son acolyte s'il serait intéressé par la composition de la musique de son film d'horreur.

Avant même qu'il ait pu poser officiellement la question, Carpenter a répondu avec empressement : "Je veux m'occuper de votre musique." Les deux hommes se sont serré la main et Bong a assuré au public que c'était "officiellement" et "sérieusement" en train de se faire.

Les détails du film d'horreur de Bong restent à confirmer, mais l'emballement de Carpenter réjouit ses fans. S'il n'a plus mis en scène de long métrage depuis The Ward : l'hôpital de la terreur, en 2011, il reste très impliqué dans sa carrière musicale. Compositeur de plusieurs BO de ses propres films, ou des œuvres dérivées de ceux-ci, telles que les Halloween de David Gordon Green sortis depuis 2018, il signe aussi quelques musiques pour d'autres réalisateurs à l'occasion. Cette année, il a par exemple travaillé aux côtés d'Alex Scharfman pour son premier film Death of a Unicorn, avec Paul Rudd et Jenna Ortega.

On achève bien les chevaux : Sorti il y a 56 ans, c'est le plus grand film de Jane Fonda

Disparu en 2008 à l'âge de 73 ans, Sydney Pollack a laissé une empreinte indélébile dans l'Histoire du cinéma américain, livrant à la postérité des oeuvres marquantes : Les trois jours du Condor, Tootsie, le western Jeremiah Johnson, la fresque romanesque couverte d'Oscars Out of Africa, Nos plus belles années, La Firme... On peut pourtant affirmer sans trembler que son plus grand film n'est pas son oeuvre la plus connue; en tout cas par le grand public : On achève bien les chevaux.

L'histoire ? Elle se déroule en 1932. Les Etats-Unis sont plongés dans les abîmes de la Grande Dépression. Poussés par le chômage et la misère, hommes et femmes décident de participer aux marathons de danse dont les vainqueurs reçoivent des primes intéressantes.

Le jeune Robert pénètre à son tour dans un de ces immenses halls transformés en dancings et Rocky, le maître des cérémonies, accueille les concurrents. Parmi eux « Sailor », un ancien matelot; Alice, une blonde extravagante et désespérée. Et Gloria, qui va devenir la partenaire de Robert…

Pour les Romains, il fallait au peuple du pain et du cirque, selon l'expression Panem et circenses. Pour les laisser pour compte de l'Amérique de la Grande Dépression, il n'est désormais plus question que de faire le cirque dans des marathons de danse sans fin, pour un peu de pain. Des marathons qui ont réellement existé.

La crise, qui jette dans la rue et la misère plus de 2 millions d'américains et 13 millions de chômeurs, touche tout le monde, et installe les citoyens dans un état de désillusion tel que c'est tout le système de valeurs à la fois morales et économiques qui est très durement remis en cause.

C'est ainsi qu'il faut voir de la part d'Horace McCoy, auteur du livre dont est tiré On achève bien les chevaux, le gigantesque bal comme la mise en abime cruelle d'une société où l'argent (facile) devient le seul prisme de référence d'une communauté qui n'en a plus que le nom.

C'est d'ailleurs cette métaphore implacable qui a motivé le choix du réalisateur, qui, avec le recul de trente ans écoulés depuis les événements lorsqu'il réalise le film, a pu mettre le doigt sur l'une des dérives dangereuse d'un modèle de société qui donne à ce point à l'être humain la condition d'esclave.

MCoy commença à écrire son livre en 1931, et fut publié en 1935. S'il reçu des critiques plutôt positives, il n'a vendu que 3000 exemplaires aux Etats-Unis, principalement parce que de nombreux lecteurs n'avaient tout simplement pas les moyens de se l'offrir, préférant ainsi emprunter l'ouvrage à la bibliothèque.

Traduit en de nombreuses langues, il est notamment devenu un best-seller en France, et, dans les années 50, son livre est devenu culte. Albert Camus en parlait même comme du "premier roman existentiel à sortir des Etats-Unis". On dit d'ailleurs que le personnage principal du livre de McCoy, Robert, a servi d'inspiration à Camus pour son roman L'étranger.

Le roman de McCoy fut réédité aux Etats-Unis en 1946, 1955 (l'année de son décès) et 1966. Bien que les ventes furent faméliques là-bas à ses débuts, Hollywood avait rapidement perçu son potentiel dramatique pour être adapté à l'écran.

Les droits d'adaptations changèrent souvent de mains : Charles Chaplin et Norman Lloyd achetèrent les droits par exemple en 1949, pour 3000$, et tentèrent sans succès d'écrire un script. Il faudra attendre 1968 et le script de James Poe, pour que le projet d'adaptation sorte enfin de l'ornière.

Puissamment mis en scène par Pollack, le film est porté à bout de bras par une immense et bouleversante Jane Fonda, qui trouve ici un des plus grands rôles de sa carrière, aux côté de Michael Sarrazin, Susannah York, Red Buttons, et un extraordinaire Gig Young en ignoble maître de cérémonie, qui sera d'ailleurs récompensé à juste titre par l'Oscar du Meilleur acteur dans un second rôle, sur les neuf nominations reçues par le film.

Implacable et dévastateur portrait d'une Amérique qui se violente toute seule, s’enfoncant dans le précipice sans personne d'autre qu’elle-même pour l’y pousser, On achève bien les chevaux est sans aucun doute l'oeuvre la plus poignante et puissante de toute la filmographie du regretté Sydney Pollack. Et reste toujours, 56 ans après sa sortie, aussi perturbante et d'une actualité saisissante.

Cette merveille est sortie chez nous en DVD en 2007, dans une édition indigne et nue comme un ver. Et depuis ? Rien, aucun Blu-ray à l'horizon. Si un éditeur pouvait se pencher sur la question, on lui en serait mille fois reconnaissant.

Only Murders in the Building : Christoph Waltz rejoint le casting de la saison 5

C’est le méchant iconique d’Inglourious Basterds de Quentin Tarantino. Il nous a glacés le sang de ce rôle odieux de nazi, "chasseurs de Juifs". Lui, c’est Christoph Waltz bien sûr. Connu pour son étonnante habilité à incarner des antagonistes détestables de bout en bout – on n’a pas oublié son rôle du méchant Blofeld dans la dernière saga James Bond ou encore la série The Consultant – l’acteur austro-allemand s’apprête à changer de registre.

Et même si on l’a déjà vu dans des comédies, c’est sur le petit écran que Christoph Waltz s’apprête à sévir. En effet, on apprend via Variety qu’il rejoint le casting de la saison 5 d’Only Murders in the Building. Il va donc se retrouver à donner la réplique à Selena Gomez, Martin Short, Steve Martin, Mery Streep et Keegan-Michael Key qui a récemment été annoncé.

Christoph Waltz a remporté ses deux Oscars pour ses collaborations avec Quentin Tarantino – d'abord pour Inglorious Basterds en 2010, puis pour Django Unchained en 2013, tous deux dans la catégorie du meilleur acteur dans un second rôle.

Il a également remporté des Golden Globes, des BAFTA Awards et d'autres prix pour ces films. Parmi ses autres films, citons Dead for a Dollar de Walter Hill, Pinocchio de Guillermo del Toro et The French Dispatch de Wes Anderson.

Comme c'est généralement le cas avec Only Murders, les détails concernant les personnages et l'intrigue de la nouvelle saison ne sont pas dévoilés. On sait seulement que la saison 5 est actuellement en cours de production mais on ne sait pas de quel côté – obscur ou non – le personnage de Waltz va pencher.

La quatrième saison d’Only Murders in the Building a été diffusée en 2024. Outre les acteurs principaux, le casting de cette saison 4 comprenait Meryl Streep, Eugene Levy, Zach Galifianakis, Eva Longoria, Jane Lynch, Richard Kind, Melissa McCarthy, Kumail Nanjiani et Molly Shannon. Que du beau monde !

La série a obtenu 21 nominations aux Emmy Awards pour sa troisième saison, soit le plus grand nombre de nominations pour une seule saison à ce jour. Steve Martin et John Hoffman ont co-créé la série, et Hoffman en est également le showrunner. Tous deux sont producteurs exécutifs aux côtés de Martin Short, Selena Gomez, Dan Fogelman et Jess Rosenthal.

22 mars 2025

Le boxeur américain George Foreman, légende des poids lourds, est mort à l'âge de 76 ans

Le monde du sport en deuil. Le boxeur américain George Foreman, légende des poids lourds, est mort à 76 ans, a annoncé sa famille vendredi. Foreman, ancien champion du monde, était entré dans l'histoire de la boxe suite à sa défaite face à Mohamed Ali lors du mythique combat "Rumble in the Jungle" en 1974 à Kinshasa.

"C'est avec une grande tristesse que nous annonçons le décès de notre bien-aimé George Edward Foreman Sr, qui s'en est allé paisiblement le 21 mars 2025, entouré par ses proches", écrit sa famille dans un communiqué. "Un humaniste, un olympien, un double champion du monde, il était grandement respecté. Il était une force du bien, un homme de discipline, de conviction, un protecteur de son héritage, qui s'est battu sans relâche pour préserver son nom, pour sa famille."

George Foreman, à la puissance surhumaine, était devenu une première fois champion du monde en 1973 en battant Joe Frazier, après avoir été champion olympique en 1968 à Mexico. Le boxeur, originaire d'un quartier défavorisé noir de Houston, avait été battu par Mohamed Ali en 1974 à Kinshasa devant près de 100.000 spectateurs, lors du "combat du siècle", terrassé par l'endurance, la tactique, et la roublardise d'avant-combat de son adversaire, qui s'était mis tout le public dans la poche.

L'affrontement est resté comme l'un des plus grands combats de l'histoire de la boxe, par son niveau et sa férocité. Foreman avait raccroché les gants à 28 ans, entrant en religion, avant de remonter sur les rings dix ans plus tard pour un retour spectaculaire. Après deux échecs pour un nouveau titre, il était redevenu champion du monde en 1994 à 45 ans face à Michael Moorer, avant d'arrêter définitivement en 1997 à 48 ans.

21 mars 2025

L'Ultime braquage : bande-annonce avec Reda Kateb

Après avoir été médecin dans le film Hippocrate, Django Reinhardt dans le biopic de Étienne Comar, ou encore éducateur dans Hors Normes, Reda Kateb devient un braqueur violent dans le prochain film de Frederik Louis Hviid. L’Ultime braquage prend place à Copenhague, capitale du Danemark, comme pour Shorta, le précédent et premier long métrage du réalisateur danois. Dans ce thriller policier, il exploitait déjà le thème de la violence urbaine à travers les personnages de Jens et Mike.

Dans la bande-annonce, Reda Kateb fait équipe avec Gustav Dyekjaer Giese (When the Dust Settles) pour mener à bien un gros coup : un braquage rapide, brutal, sans bavure et sans traces. Cependant, tout ne va pas se passer comme prévu et le destin glisse peu à peu entre les doigts de Kasper et Slimani… Amanda Collin (Raised by Wolves) complète ce casting international. L’Ultime braquage - De Lydløse en version originale - sort en salle le 28 mai prochain. 

Ces derniers temps, Reda Kateb multiplie les casquettes et les projets : l’année dernière, il réalisait Sur le fil, son tout premier film avec Aloïse Sauvage dans le rôle-titre. En fin d’année, il était également présent sur les planches avec la nouvelle mise en scène de la pièce Par les villages de Sébastien Kheroufi. Il y a quelques semaines, l’acteur français annonçait sur son compte Instagram une fin de tournage pour L’affaire Bojarski de Jean Paul Salomé.

Pixar a prévu de sortir Coco 2 en 2029

Disney et Pixar retournent au Pays des Morts. Coco 2 est sur les rails, comme l'a annoncé le PDG de Disney, Bob Iger, lors de l’assemblée annuelle des actionnaires de l’entreprise. Actuellement en début de développement, le film est prévu pour une sortie en salle en 2029. Les détails de l’intrigue n’ont pas encore été révélés.

"Bien que le film n’en soit qu’à ses premières étapes, nous savons déjà qu’il sera rempli d’humour, d’émotion et d’aventure. Et nous avons hâte d’en dévoiler davantage très bientôt."

Le réalisateur de Coco, Lee Unkrich, sera de retour à la mise en scène aux côtés d’Adrian Molina. La production sera assurée par Mark Nielsen, un vétéran de Pixar connu pour Toy Story 4 et Vice-Versa 2.

Sorti en 2017, le premier Coco a été un immense succès critique et commercial, rapportant plus de 800 millions de dollars au box-office mondial et remportant deux Oscars : Meilleur film d’animation et Meilleure chanson originale pour l’émouvante ballade Ne m'oublie pas (Remember Me).

Un nouveau Comte de Monte-Cristo, incarné par Regé-Jean Page

Presque 10 millions d'entrées en France et 80 millions de dollars de recettes dans le monde ! Le Comte de Monte-Cristo a été un énorme succès de l'année 2024. Alors déjà, Hollywood veut faire sa version.

Regé-Jean Page, ancien séducteur de La Chronique des Bridgerton (saison 1), a officiellement signé pour incarner le rôle d'Edmond Dantès dans cette nouvelle adaptation cinématographique du célèbre roman d’Alexandre Dumas, publié en 1846 - dont il sera également producteur.

"La narration audacieuse et aventureuse, portée par l’émotion, est la raison pour laquelle je suis entré dans ce métier, et c’est le socle de tous nos projets" confie Regé-Jean Page dans un communiqué. "Aux côtés de collaborateurs incroyables, A Mighty Stranger construit un catalogue de projets menés par la créativité, visant à élargir le regard culturel à travers un pur divertissement. C’est pourquoi nous sommes ravis de porter Le Comte de Monte-Cristo devant un public mondial, en explorant les profondeurs de l’œuvre de Dumas d’une manière inédite."

Le scénario de cette nouvelle adaptation sera écrit par Patrick Ness. On ne sait pas encore s'il s'agira d'une version fidèle au roman d'origine ou modernisée. Pas encore de réalisateur annoncé ou de date évoquée.

Il faut rappeller que Le Comte de Monte-Cristo aura droit, avant ça, à une autre adaptation, cette fois en mini-série (8 x 52 min) réalisée par Bille August, double Palme d'Or à Cannes. Produite par France 2 et Rai 1, cette version mettra Sam Claflin (de Hunger Games) dans la peau de Dantès face à Ana Girardot. Jeremy Irons jouera l'Abbé Faria. La série est déjà bouclée. Elle a été filmée fin 2023. Elle vient juste d'être diffusée en Italie (sur Rai 1) mais n'a pas encore de date de sortie française.