04 octobre 2022

Dahmer : après la série, un documentaire sur le serial killer arrive bientôt sur Netflix

La série Dahmer : Monstre - L’histoire de Jeffrey Dahmer est LE succès inattendu de la rentrée. Arrivée par surprise sur Netflix, cette nouvelle production signée Ryan Murphy nous raconte le parcours du tueur, de son enfance difficile à sa condamnation en 1992. C’est un Evan Peters transfiguré qui se glisse dans la peau du cannibale.

Si Ryan Murphy et ses scénaristes se sont autorisés quelques libertés, la série documentaire sur Dahmer que Netflix proposera dès le 7 octobre sera au plus près de la vérité. Dans Autoportrait d’un tueur, on pourra entendre des interviews inédites du prisonnier qui se confesse à son avocate. Une porte ouverte vers son esprit détraqué qui continue de fasciner des décennies après. Entre les images d’archives et les témoignages, ce nouveau volet s’annonce particulièrement intéressant. 

Ce n’est pas la première fois que Netflix s’intéresse aux tueurs en série puisque dans la collection Autoportrait d’un tueur, on peut déjà visionner un reportage sur John Wayne Gacy et Ted Bundy, deux autres grands criminels américains. Le tout est réalisée par Joe Berlinger, un expert en true crime.

Jeffrey Dahmer : autoportrait d’un tueur sera composée de 3 épisodes seulement. Elle devrait particulièrement intéresser ceux qui veulent en savoir un peu plus sur le cannibale du Milwaukee mais qui n’ont pas accroché avec la série d’Evan Peters, particulièrement violente et malsaine.

03 octobre 2022

Blonde sur Netflix : Ana de Armas a peur de voir ses scènes de nu atterrir sur les réseaux

Disponible depuis le 28 septembre sur Netflix, Blonde est une adaptation du best-seller du même nom de Joyce Carol Oates, qui retrace l'enfance tumultueuse, l'ascension fulgurante et les histoires d’amour complexes de Marilyn Monroe. 

Dans cette relecture audacieuse de la vie de Norma Jeane/Marilyn Monroe, le réalisateur Andrew Dominik brouille la frontière entre réalité et fiction et explore l’écart majeur entre sa personnalité publique et la personne qu’elle était dans l’intimité.

C'est l'actrice Ana de Armas qui incarne la star hollywoodienne disparue et qui se donne à corps perdu dans les moments les plus sombres de la vie personnelle et de la carrière de Marilyn Monroe. Si l'actrice cubaine est fière de sa performance, il y a bien un sujet qui l'inquiète quant à la sortie du film.

C'est lors d'une interview pour Variety, dans laquelle elle revenait sur la question de la vie privée et le fait d'être scrutée par les paparazzi sur sa vie amoureuse, qu'Ana de Armas a soulevé une question qui l'inquiète. Celle de ce que les gens peuvent faire de certains passages de Blonde où elle est dénudée.

L'actrice a peur qu'avec la mise en ligne sur Netflix ces passages n'atterrissent sur Internet, hors contexte, à cause de personnes malintentionnées : 

"J'ai fait des choses dans ce film que je n'aurais jamais faites pour quelqu'un d'autre, jamais. Je l'ai fait pour elle [Marilyn Monroe] et je l'ai fait pour Andrew [Dominik]. [...] Je sais ce qui va devenir viral, et c'est dégoûtant.

C'est bouleversant rien que d'y penser. Je ne peux pas le contrôler, vous ne pouvez pas vraiment contrôler ce qu'ils font et comment ils sortent les choses de leur contexte. Je ne pense pas que cela m'a donné des doutes, cela m'a juste donné un goût amer de penser à l'avenir de ces séquences."

Mort de l'actrice Sacheen Littlefeather, qui avait refusé un Oscar au nom de Marlon Brando

Sacheen Littlefeather, l'actrice amérindienne qui avait refusé un Oscar au nom de Marlon Brando pour protester contre le traitement des Amérindiens par l'industrie hollywoodienne, est morte ce dimanche à l'âge de 75 ans. La nouvelle a été annoncée par l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences.

C'est l'un des moments forts de l'Histoire des Oscars. En 1973, Marlon Brando est sacré Meilleur acteur pour sa performance dans Le Parrain. Mais la star n'est pas présente lors de la cérémonie, et c'est une jeune femme de 26 ans, l'Amérindienne Sacheen Littlefeather, qui se présente sur scène.

Au micro, Sacheen Littlefeather fait sensation en refusant la prestigieuse statuette au nom de Brando, manière de protester contre le traitement des Amérindiens par l'industrie hollywoodienne. Huée et insultée, la jeune actrice, victime de gestes racistes, aurait ensuite été menacée physiquement en coulisses par John Wayne. 

Au mois d'août dernier, l'Académie des Oscars avait présenté ses excuses à Sacheen Littlefeather. Cette dernière avait ensuite été invitée au Musée de l'institution hollywoodienne pour une soirée organisée en son honneur.

L'annonce de la disparition de Sacheen Littlefeather sur le compte Twitter de l'Académie des Oscars inclut un message de l'actrice amérindienne. "Quand je serai partie, souvenez-vous toujours que chaque fois que vous défendrez votre vérité, vous garderez vivantes ma voix ainsi que celles de nos nations et de nos peuples", peut-on ainsi lire.

Blonde avec Ana de Armas : le film Netflix accusé d'être anti-avortement

Attention, spoilers. Il est conseillé d'avoir vu le film Blonde avant de poursuivre la lecture de cet article.

Déjà même avant sa sortie, Blonde était sujet à de nombreuses polémiques. Et depuis sa mise en ligne sur Netflix, le faux biopic sur Marilyn Monroe signé Andrew Dominik continue de déchaîner les passions. Entre les scènes de sexe et les séquences violentes, le long-métrage divise autant le public et la critique.

Mais l'un des sujets du film qui ressort depuis qu'il est disponible sur la plateforme américaine est la manière dont Blonde traite l'avortement. On peut voir Marilyn, incarnée par Ana de Armas, subir deux avortements illégaux, et ce contre son gré. Et ces deux actes médicaux l'ont profondément bouleversée et traumatisée.

Ce qui provoque de vives réactions, outre la violence de l'acte, c'est des séquences en CGI de "fœtus" qui s'adressent directement à Marilyn. Alors qu'elle est enceinte, l'un d'eux lui demande : "Tu me feras pas de mal, cette fois ?", laissant entendre qu'il ne veut pas qu'elle le tue par le biais d'un avortement.

Le film sort dans un contexte particulier puisqu'il est mis en ligne trois mois après la décision de la Cour suprême américaine de révoquer Roe v. Wade, l'arrêt historique de 1973 qui protégeait le "droit des femmes à avorter". Désormais, les États sont libres de définir la politique relative à l'avortement dans leur juridiction.

Alors, les différentes séquences d'avortement dans Blonde et cette représentation d'un "fœtus" qui culpabilise sa génitrice et remet en cause l'avortement ont été vivement critiquées par les militants du droit à l'avortement.

Parmi les voix qui se sont exprimées, il y a celle de Caren Spruch, la directrice nationale de l'engagement des arts et du divertissement du Planned Parenthood (PPFA), l'un des principaux regroupements de planification familiale aux États-Unis, relayée sur Hollywood Reporter :

"Alors que le cinéma et la télévision façonnent la compréhension de nombreuses personnes sur la santé sexuelle et reproductive, il est essentiel que ces représentations décrivent avec précision les véritables décisions et expériences des femmes.

Alors que l'avortement est un soin de santé sûr et essentiel, les fanatiques anti-avortement contribuent depuis longtemps à la stigmatisation de l'avortement en utilisant des descriptions médicalement inexactes des fœtus et de la grossesse. Le nouveau film d'Andrew Dominik, Blonde, renforce leur message avec un fœtus parlant en CGI, représenté comme un bébé complètement formé."

Pour Caroline Spruch, Blonde est un mauvais exemple de représentation et dénote dans une industrie qui est en pleine réflexion quant à son rôle concernant les sujets sociétaux aussi importants et leur représentation montrée au public, surtout quelques mois après la révocation de l'arrêt Roe v. Wade.

"Planned Parenthood respecte la licence et la liberté artistiques. Cependant, les fausses images ne font que renforcer la désinformation et perpétuer la stigmatisation autour des soins de santé sexuelle et reproductive. Chaque issue de grossesse - en particulier l'avortement - doit être décrite avec sensibilité, authenticité et précision dans les médias.

Nous avons encore beaucoup de travail à faire pour que toutes les personnes qui se font avorter puissent se voir à l'écran. Il est dommage que les créateurs de Blonde aient choisi de contribuer à la propagande anti-avortement et de stigmatiser les décisions de santé des gens à la place."

De son côté, le réalisateur Andrew Dominik se défend d'avoir réalisé un film "pro-life" (nom qui désigne le mouvement regroupant associations et personnes, souvent proches des mouvements religieux, qui sont opposées au droit à l'avortement, à l'euthanasie ou encore à certaines formes de contraceptions).

Le cinéaste s'est exprimé à ce sujet dans une interview pour The Wrap :

"Ce que dit le film, c'est qu'elle ne voit pas la réalité. Elle voit ses propres peurs et désirs projetés sur le monde qui l'entoure. Vous voyez constamment qu'elle réagit à une histoire qu'elle porte en elle. Et je pense qu'en quelque sorte ce désir de regarder "Blonde" à travers le prisme de Roe v. Wade est collectif.

Ils ont l'intention de voir Blonde comme un démon parce qu'ils sentent que les libertés des femmes sont compromises, mais ce n'est pas vraiment à propos de ça. Je pense qu'il est très difficile pour les gens de faire abstraction des histoires qu'ils portent en eux et de voir les choses de leur propre gré. Et je pense que c'est vraiment le sujet du film. Les dangers de cela. Mais vous savez, il est difficile pour les gens de pouvoir jongler entre deux idées dans leur esprit. C'est soit noir soit blanc."

Le réalisateur conclut en expliquant que le contexte de sortie de Blonde joue pour beaucoup dans la perception du film :

"Je pense que le film est assez nuancé en fait, et je pense que c'est très complexe, mais cela ne rentre pas dans les cases. Les gens sont évidemment préoccupés par les pertes de libertés. Mais, je veux dire, personne ne s'en serait soucié si j'avais fait le film en 2008, et personne ne s'en souciera probablement dans quatre ans. Et le film n'aura pas changé."

Netflix : making-of d'Athena

Netflix dévoile rarement les vidéos making-of de ces productions, mais Athena fait figure d’exception. Il faut dire que le film français réalisé par Romain Gavras est une petite pépite visuelle. Le réalisateur a bénéficié de moyens sans précédent pour tourner sa tragédie grecque : budget confortable, caméra IMAX, des cadreurs de talents dont certains venus d’autres pays… 

De la pyrotechnie aux cascades "tout est vrai dans Athena" nous martèle pendant 37 minutes Gavras et son équipe. Le long-métrage a été filmé en plan séquence, sans aucun fonds verts, ce qui a nécessité de longues semaines de préparation notamment pour Sami Slimane et Dali Benssalah. Gavras nous raconte ici ses secrets - du lieu de tournage à la composition de l’équipe technique et des figurants tout en passant par la musique, qui a été enregistrée aux quatre coins de l’Europe…

30 septembre 2022

À voir sur Disney+ du 30 septembre au 6 octobre

Séries Originales

Vendredi 30 septembre :

Hocus Pocus 2

Mercredi 5 octobre :

The Bear – saison 1

The Old Man – saison 1, épisode 3

Andor – saison 1, épisode 5

Les Petits Champions : Game Changers – saison 2, épisode 2

American Horror Stories – saison 2, épisode 6

Jeudi 6 octobre :

She-Hulk : Avocate – saison 1, épisode 8

Les Kardashian – saison 2, épisode 3

Ajouts au catalogue

Vendredi 30 septembre :

Les Stagiaires

Wedding Nightmare

Un bonheur n'arrive jamais seul

Mercredi 5 octobre :

Les Simpson – saison 33

En thérapie – saison 2

Un drôle de shérif – saisons 1 à 3

Vampirina – saison 3

Sur Prime Video du 30 septembre au 6 octobre

Vendredi 30 septembre :

Miskina, la pauvre

Les Anneaux de Pouvoir – saison 1, épisode 6

Samedi 1er octobre :

Django

Top Gear

Top Gear : Indie & Patagonie

February

Trop belle !

The Little Stranger

L’Affaire Farewell

The Descent

The Descent 2

Chicago PD - Saisons 1 à 7

Lundi 3 octobre :

Gemini Man

Mercredi 5 octobre :

The Sound of 007

Nouveautés Netflix du 30 septembre au 6 octobre

L’incontournable de la semaine

Le téléphone de M. Harrigan : Dans une petite ville, l'amour des livres et de la lecture rapproche Craig, un adolescent, et M. Harrigan, un vieux milliardaire reclus. Mais quand M. Harrigan décède, Craig découvre que tout n'est pas mort et terminé. Il se retrouve étrangement capable de communiquer avec son ami par-delà la mort grâce à son iPhone.

Cette histoire d'apprentissage surnaturel prouve que certains liens sont indestructibles. Ce film d’horreur au concept flippant est l’adaptation d’une nouvelle de Stephen King. 

Le vendredi 30 septembre

Rainbow : Un conte moderne sur le passage à l'âge adulte d'une adolescente, librement inspiré du roman classique Le Magicien d'Oz.

Aníkúlápó : Alors qu'une liaison avec la femme du roi le mène à sa perte, un voyageur enthousiaste rencontre un oiseau mystique qui détient le pouvoir de lui donner une autre chance.

Phantom Pups : En chair et en os ?  : Après avoir emménagé avec sa famille dans une maison que tout le monde en ville croit hantée, Freddie découvre la cause des mystérieux événements qui s'y produisent.

Le samedi 1er octobre

Baby Boss (catalogue) : Ce film Dreamworks sorti en 2017 a été un succès en salles avec près de 4 millions d’entrées. Deux films et une série dérivée ont vu le jour par la suite.

Downsizing (catalogue) : Matt Damon en version mini ? C’est dans ce film SF étonnant réalisé par Alexander Payne. 

Scary Movie (catalogue) : Envie de se faire peur (tout en riant) avant Halloween ? Alors il est temps de se (re)faire le premier volet de la saga parodique.

Minority Report (catalogue) : Ce film incontournable signé Steven Spielberg fait partie des meilleurs longs-métrages de Tom Cruise selon les fans AlloCiné. 

Paranormal Activity (catalogue) : Netflix met en ligne les volets 2 et 5 de la saga horrifique. 

Tous en scène (catalogue) : À la recherche d’un film à voir avec vos enfants ? On vous conseille chaudement ce long-métrage d’animation musical qui vous donnera la pêche. 

Le mercredi 5 octobre

Pupille (catalogue) : Ce film porté par Sandrine Kiberlain qui ne vous laissera pas indifférent a été nommé par 6 fois aux César.

Togo : Lorsque des trafiquants de drogue tentent de l'enrôler lui et ses amis, un gardien de voitures fait tout pour protéger son territoire… et son gagne-pain.

Une étoile à la fois : Inspiré du roman italien Per lanciarsi dalle stelle, ce film raconte l'histoire passionnante de Sole, une jeune femme qui tente de surmonter ses plus grandes peurs après la mort de sa meilleure amie.

Le jeudi 6 octobre

C’est déjà dispo et à ne pas rater : Dans Lou, Allison Janney joue une mère de famille badass, un rôle qu’elle s’est amusée à interpréter à l’écran. De quoi ça parle ? Une jeune fille est enlevée à la faveur d'un orage gigantesque. Sa mère s'allie à sa mystérieuse voisine pour se lancer à la poursuite du kidnappeur. Leur périple va mettre leurs limites à l'épreuve et exposer les sombres secrets inavouables de leur passé.

Netflix a annulé la série Grendel

Le tournage vient de s’achever mais ce n’est pas sur Netflix que vous pourrez découvrir le résultat final. D'après Deadline, la plateforme de streaming vient en effet d’annuler la série Grendel, basée sur les BD de Matt Wagner.

Elles suivent Hunter Rose, l’un des premiers personnages à porter le masque noir et blanc. Jeune génie, écrivain le jour et justicier masqué la nuit, il ne suit pas réellement les carcans du super-héros puisqu’il est aussi à la tête d’une mafia locale.

Au fil des années, le masque de Grendel passe de mains en mains comme l'allégorie d'une violence contenue qui finira par se révéler dans le caractère de ses différents porteurs. Cette force finira par prendre d'assaut le monde entier, en accouchant d'une post-civilisation basée sur les principes du premier assassin.

Rentrant plus dans la catégorie du super-vilain, Grendel repense la nature même du super-héros, ce qui en fait une œuvre particulièrement intéressante. C’est l’acteur Abubakr Ali qui a été choisi pour camper ce justicier, faisant de lui le premier musulman à tenir un rôle principal dans une production super-héroïque.

On ne sait pas pourquoi Netflix a annulé la diffusion de Grendel, mais cela rentrait dans son deal avec la maison d’édition Dark Horse, qui proposait déjà Umbrella Academy. Le géant de la SVOD laisse l’opportunité aux producteurs de trouver un autre diffuseur. Tout n’est pas donc fini pour la série…

Marvel : La série Armor Wars va finalement devenir un film

Semaine mouvementée chez Marvel ! Alors que Hugh Jackman sortira de sa retraite de mutant pour reprendre son rôle de Wolverine dans Deadpool 3 et que Blade a perdu son réalisateur Bassam Tariq, un autre projet connaît un rebondissement inattendu : la série Armor Wars, qui va devenir un film selon Variety.

Annoncée fin 2020, en même temps que beaucoup d'autres titres, lors de la journée consacrée aux investisseurs de Disney, Armor Wars sera porté par Don Cheadle, qui reprend le rôle de James Rhodes, alias War Machine, qu'il tient depuis Iron Man 2, lorsqu'il a remplacé Terrence Howard.

Adapté des comic books du même nom, parus entre 1987 et 1988, le récit se focalisera sur l'héritage de Tony Stark, en montrant ce qu'il se passe lorsque sa technologie tombe entre de mauvaises mains. Engagé en tant que chef des scénaristes de la série, Yassir Lester (Girls, Black Monday) reste attaché au projet qu'il se chargera d'écrire. Mais il n'y a pas encore de réalisateur, ni de date de sortie.

Même si son intrigue sera liée à celle de Secret Invasion, attendue au printemps prochain, la série n'était pas encore datée dans le calendrier de Marvel Studios. Et il serait fort étonnant de voir le film intégrer la Phase V du MCU, dont tous les créneaux sont déjà réservés. Ou qu'il prenne la place de Blade en novembre 2023, si jamais le changement de réalisateur conduisait à un report, car le tournage devrait alors commencer dans les semaines à venir.

La solution la plus logique serait de voir Armor Wars dans la Phase VI, qui s'étendra de la rentrée 2024 à novembre 2025, et où plusieurs dates restent encore à attribuer.