03 mai 2021

Ellie Goulding est maman pour la première fois

Heureuse nouvelle pour Ellie Goulding ! La chanteuse de 34 ans est devenue mère pour la première fois. Un enfant, né de sa relation avec le marchand d'art Caspar Jopling. Ce dernier, très fier, a partagé l'heureux événement sur les réseaux sociaux, comme le rapporte The Mirror. Sur ses stories Instagram, il a confié que le bout de chou et sa mère étaient "heureux et en bonne santé" et qu'ils étaient "extrêmement reconnaissants". Le couple, qui a demandé le respect de sa vie privée, n'a pas encore partagé le nom qu'ils ont choisi pour leur petit bout de chou.

Le 23 février dernier, dans les colonnes du magazine Vogue, la star avait dévoilé son joli baby bump. "Ce n'était pas prévu", avait confié la chanteuse qui aurait eu une relation avec le prince Harry en 2015, "l'idée de tomber enceinte ne semblait pas pouvoir être une réalité." Pendant toute sa grossesse, Ellie Goulding avait posté de nombreuses photos intimes à ses fans et partagé son quotidien. Celle qui observait un mode de vie très sain avant de tomber enceinte, avait révélé n'avoir pu s'empêcher de dévorer sardines et Weetabix, dont elle était devenue accro.

Une nouvelle qui devrait ravir plusieurs membres de la famille royale. Outre le prince Harry, qui ne manquera pas de féliciter la jeune femme, Ellie Goulding est également proche de Kate Middleton et du prince William. En effet, la chanteuse avait été conviée pour chanter à leur mariage en 2011. Autre membre du clan Windsor a s'enthousiasmer de cette heureuse nouvelle : Eugenie d'York. En effet, celle qui est également récemment devenue maman, aurait joué les entremetteuses entre la chanteuse et son mari, qui n'est autre que le neveu de Jay Jopling, avec qui la fille de Sarah Ferguson a travaillé quand elle était galeriste à New York...

Meghan Markle : une fin de grossesse plus difficile que prévu ?

Le prince Harry et Meghan Markle sont les présidents de campagne de l'événement Vax Live, organisé par le groupe anti-pauvreté Global Citizen. Ce dimanche 2 mai, un concert mondial pour encourager un meilleur accès aux vaccins a été enregistré à Los Angeles. Mais si le prince Harry a été photographié sur scène, aucune trace de sa femme Meghan Markle, rapporte le site Honey. Enceinte de son deuxième enfant, après un petit Archie né en mai 2019, la duchesse de Sussex se fait très discrète, semblant vivre une seconde grossesse plus difficile que prévu.

Le 17 avril dernier, l'ex-actrice avait fait le choix de ne pas accompagner le prince Harry aux funérailles de son grand-père, le prince Philip. Elle avait suivi l'avis de ses médecins lui intimant l'ordre de ne pas voyager. Meghan Markle avait préféré se reposer dans sa propriété de Montecito et éviter ainsi la pression médiatique. Aux dernières nouvelles, selon les informations de New Idea, tabloïd australien, la duchesse de Sussex aurait été aperçue à bord d'un SUV fonçant au Santa Barbara Cottage Hospital la semaine dernière. "Le bruit court en ville qu'elle veut accoucher à domicile, mais cela ne veut pas dire qu'elle n'a pas besoin d'une solution de rechange, juste au cas où" a expliqué une source basée à Montecito.

Pour cette deuxième grossesse, hors de question pour celle qui fêtera ses 40 ans le 4 août prochain de prendre le moindre risque. En novembre 2020, la duchesse de Sussex avait révélé avoir fait une fausse couche quelques mois plus tôt, après la naissance de son fils Archie. Une expérience qui l'avait douloureusement éprouvée. Quelques mois plus tard, sur les réseaux sociaux, le couple s'était donc montré plus que ravi et soulagé d'annoncer l'arrivée d'un deuxième enfant dans la famille, une petite fille comme il l'avait précisé à Oprah Winfrey le 7 mars dernier.

Pour éviter toute complication, Meghan Markle devrait donc continuer à se reposer chez elle, à l'abri des regards indiscrets et de la presse people. Exilée au Royaume-Uni, celle qui a maintes fois défié le protocole a désormais tout le loisir de gérer sa grossesse et son accouchement comme bon lui semble.

Linda Hardy brise le tabou de la ménopause

Il y a de ces sujets dont on ne parle pas. Alors que certaines ont de plus en plus de facilité à évoquer la chirurgie esthétique, comme Linda Hardy l'a fait il y a quelques jours, d'autres restent encore tabou. La ménopause en fait partie. Mais pas pour l'ancienne Miss France 1992 qui, à quelques jours de la sortie de son ouvrage Heureuse et en forme a décidé de parler librement de ce sujet. Évincée de la série Demain nous appartient, Linda Hardy se livre dans un long message sur Instagram, posté ce 1er mai, sur la préménopause, du moment où elle l'a découverte à ses symptômes, comme les bouffées ce chaleur.

"Récemment, un médecin m’a dit : 'Linda vous êtes en pré-ménopause'. J’ai un peu eu envie de lui jeter un seau d’eau froide pour le faire revenir à la raison ! Je ne pouvais pas déjà en être là ?!, écrit celle qui a co-animé Tout le monde en parle aux côtés de Thierry Ardisson pendant quatre mois. Soudain j’ai donc eu l’explication de ces bouffées de chaleur qui m’envahissaient parfois. En vrai c’est sur ma tête qu’il fallait vider un seau d’eau froide !" Linda Hardy évoque aussi la fatigue, les sautes d'humeur, les réveils en sueur en pleine nuit et les "petites joies" qui accompagnent désormais son quotidien.

Dans les colonnes de Télé Jours, l'ancienne reine de beauté, aujourd'hui âgée de 47 ans, explique qu'il était important pour elle de ne pas "tricher". Il était donc impératif de pouvoir parler de cette période, que les femmes doivent traverser, dans son livre. Depuis deux ans, elle apprend à vivre avec et explique à quel point cela n'a pas toujours été facile, notamment sur les plateaux de tournage. "La plupart du temps, je demande une pause, parce que, psychologiquement, ça fait quelque chose et que, physiquement, je brille beaucoup", confie-t-elle.

Maman d'un petit Andréa, âgé de 10 ans, qu'elle a en garde alternée, la comédienne et ancienne mannequin évoque aussi le fait que cette période "sonne le glas de la maternité". "Et même si je n’avais pas le projet d’un 2ème enfant, quand on vous annonce la fin du bal ça donne toujours furieusement envie de danser !", écrit-elle sur Instagram. Un post qui a dû être libérateur pour de nombreuses femmes, qui traversent elle aussi cette période si "tabou".

Publicités de stars : Robert De Niro promeut... la Niro

Robert De Niro fait la promotion de la voiture électrique Kia Niro, capable de rouler 455 kilomètres sans devoir être rechargée. Il y met toute sa décontraction, et le publicitaire s'est aussi payé son comédien de doublage français officiel, Jacques Frant

The Flash : le manoir de Bruce Wayne aperçu sur les photos de tournage

Séquence nostalgie sur le tournage de The Flash ! Comme le héros, capable de voyager dans le temps grâce à sa vitesse, les photos prises sur le plateau du film d'Andy Muschietti nous renvoient près de 30 ans dans le passé. On y aperçoit en effet le Manoir Wayne. Et plus précisément celui des Batman de Tim Burton, sortis en 1989 et 1992.

Non content de faire revenir Michael Keaton dans le costume de l'Homme Chauve-Souris, la production a donc posé ses caméras du côté de Burghley House, résidence située dans le Cambridgeshire, en Angleterre. Cela signifie que l'on peut également s'attendre à voir quelques scènes se déroulant à l'intérieur du manoir et même dans la BatCave de la saga de Tim Burton.

Porté par Ezra Miller, vu récemment dans le nouveau montage de Justice League, The Flash devrait s'inspirer du célèbre comic book "Flashpoint". Après voir remonté le temps pour empêcher le meurtre de sa mère, le héros découvrira qu'il a bouleversé le présent et donné naissance à une version alternative de sa réalité, dans laquelle Batman n'a pas les traits de Ben Affleck (qui sera présent au début) mais Michael Keaton.

Alors que le long métrage devrait un peu plus établir l'univers DC comme un multivers réunissant toutes les adaptations ciné et télé, le Batman de Michael Keaton serait quant à lui envisagé comme l'équivalent de Nick Fury chez Marvel. Et sa participation à The Flash pourrait donc bien ne pas rester sans suite.

Mais il faudra patienter jusqu'à la première bande-annonce puis jusqu'au 2 novembre 2022, date de sortie du film dans nos salles, pour le retrouver dans le costume.

Miss Marvel sur Disney+ : une fuite révèle le costume de la super-héroïne

Du rouge, du bleu, du doré… Pour le costume de sa nouvelle super-héroïne Ms. Marvel, les équipes ont décidé de se la jouer old school et d’être le plus fidèle possible au design des comics. C’est ce que laissent penser les photos prises par Just Jared sur le tournage de la nouvelle série Disney+. 

Ms. Marvel introduira une nouvelle super-héroïne dans le MCU aka Kamala Khan (jouée par Iman Vellani, une pakistano-américaine de 16 ans vivant à Jersey City et peinant à s'intégrer. Bonne élève, gameuse addict et adepte de fan-fictions, la jeune adolescente a une affinité toute particulière pour les super-héros, en particulier le capitaine Marvel.

Son quotidien prend un virage inattendu lorsqu'elle se retrouve dotée de super-pouvoirs, comme ceux des héros qu’elle a toujours admirés. Elle peut désormais prendre l'apparence d'une tierce personne et modifier la taille de son corps (ses membres sont extensibles). Dans les comics, elle fait partie des Inhumains, une race mutante créée par les Kree.

Impossible en effet de ne pas penser à Captain Marvel en regardant ce costume d'inspiration pakistanaise (qu’elle a fabriqué toute seule) puisque les couleurs sont sensiblement les mêmes. D’ailleurs Kamala Khan devrait faire une apparition dans le prochain film centré sur Carole Danvers (Brie Larson) attendu en novembre 2022, où apparaîtra aussi Monica Rambeau (vue récemment dans WandaVision). 

Mais le prochain rendez-vous est donné en fin d’année 2021 avec la sortie sur Disney+ de Ms. Marvel. Cette série, chapeautée par Bisha K. Ali, devrait marquer un tournant dans la Maison des Idées puisqu’elle met en scène la première super-héroïne musulmane.

Deadpool 3 : l'étonnant subterfuge de Hugh Jackman pour apparaître dans le film

Depuis quelques années, Hugh Jackman et Ryan Reynolds ont rôdé un petit numéro promo. Vraie-fausse interview (comme ici au moment de la sortie de Eddie The Eagle), vidéos décalées, jeu du chat et de la souris sur les réseaux sociaux, les deux comédiens rivalisent d'imagination pour faire parler de leurs films !

Nouvel épisode ce week-end alors qu'un 3ème épisode de Deadpool se profile. Hugh Jackman a trouvé un moyen étonnant pour tenter de s'inviter le temps d'un caméo dans le film...

Le comédien est passé par l'intermédiaire d'un officier de police de New York pour dire qu'une apparition de "10 minutes" dans le film était nécessaire !

"Salut Ryan, il faut que vous preniez ce gars [Hugh Jackman] dans Deadpool 3, même si c'est pour un caméo de 10 minutes. Ce film serait si cool, si génial, il exploserait le box-office".

Est-ce une opération savamment orchestrée avant d'annoncer que Hugh Jackman rejoint la distribution du film ou simplement une vidéo pour plaisanter entre comédiens ? 

On sait en tout cas encore peu de choses sur la suite de Deadpool. Pour le moment, on ignore encore si David Leitch - le réalisateur du second opus - sera de retour derrière la caméra. Le nom de ses scénaristes a été en revanche communiqué :  les producteurs se sont accordés pour engager Wendy Molyneux et Lizzie Molyneux-Loeglin.

Le pitch proposé par les soeurs scénaristes de Bob's Burger et The Great North aurait convaincu l'équipe. Il s'agira donc du premier film de la saga à ne pas être écrit par Rhett Reese et Paul Wernick.

Journée mondiale de la liberté de la Presse : 10 films où le journalisme est à l'honneur

Depuis 1993, la journée du 3 mai est consacrée à la célébration de la liberté de la presse. Cette initiative vise à défendre les journalistes, un corps de métier qui a inspiré de nombreuses histoires sur grand écran.

Cette journée est l'occasion de vous recommander dix films qui mettent en scène le journalisme et ceux qui se battent pour faire circuler l'information, parfois en payant le prix du sang. Qu'elles s'intéressent à de simples reporters ou à des correspondants de guerre, à travers le prisme du thriller ou du biopic, les oeuvres sont d'ailleurs plutôt nombreuses.

Reds (1981)

Grand film des années 80, porté à bout de bras par Warren Beatty qui coiffe les casquettes d'acteur, producteur, réalisateur et co-scénariste, Reds évoque l'histoire authentique de John Reed, un journaliste militat communiste américain, qui couvrit la Révolution russe d'octobre 1917 et en tira un livre qui devint un Best Seller, Dix jours qui ébranlèrent le monde. Le film fut récompensé par 3 Oscars, dont celui du Meilleur réalisateur.

L'ombre de Staline (2020)

L'ombre de Staline est autant le portrait authentique d'un brillant journaliste idéaliste qu'une évocation trop rare à l'écran de l'un des crimes de masse les plus terribles du XXe siècle, connu sous le nom d'Holodomor. Relate une partie de la vie authentique du journaliste britannique Gareth Jones, qui raconta, au péril de sa vie, en 1933, ce que fut le terrible génocide par la faim organisé par Staline en Ukraine, le film est porté par un très solide casting, à commencer par James Norton dans le rôle-titre, épaulé par Vanessa Kirby et le toujours impeccable Peter Sarsgaard.

Les Hommes du président (1976)

4 Oscars dont celui du Meilleur scénario adapté pour Les Hommes du président, classique absolu signé Alan J. Pakula, devenu un mètre-étalon du film d'investigation. Contrairement au livre dont il est adapté, le film ne couvre que les sept premiers mois de l'affaire du Watergate. Ainsi, il commence par l'effraction dans l'immeuble du Watergate (alors siège du Parti Démocrate) et se termine par la seconde inauguration de Richard Nixon à la Maison-Blanche, le 20 janvier 1973.

Sympathie pour le Diable (2019)

Pour son premier film, le réalisateur Guillaume de Fontenay s'intéresse au reporter de guerre Paul Marchand, en adaptant son livre, Sympathie pour le diable, publié en 1997. Le film, qui a mis plus de deux décennies à se faire, retrace le parcours du journaliste français durant le siège de Sarajevo en 1992. Niels Schneider, qui prête ses traits au correspondant, est extraordinaire.

Révélations (1999)

Film fleuve, dense, parfois tendu à craquer, porté par deux magnifiques comédiens, Al Pacino et Russell Crowe, Révélations évoque le scandale de la dépendance à la nicotine des cigarettes, dévoilé par le lanceur d'alerte Jeffrey Weygand dans la célèbre émission 60 Minutes. Du grand cinéma, mis en scène par un Michael Mann au sommet de sa forme.

La Déchirure (1985)

Un an avant d'être couronné par une Palme d'or à Cannes pour son éblouissant Mission, Roland Joffé frappait déjà très fort avec La Déchirure. Absolument bouleversant, porté par la musique élégiaque et hypnotique de Mike Oldfield, le film relate l'histoire de Sidney Schanberg, journaliste au New York Times, couvrant les événements liés à la prise de pouvoir par les Khmer rouges au Cambodge en 1975. Mais le film est surtout le récit du calvaire de son ami et assistant, Dith Pran, arrêté et envoyé dans un camp de travail et de rééducation, non loin des fameux champs de la mort...

Salvador (1986)

James Woods et Jim Belushi donnant le meilleur d'eux-même devant la caméra d'un Oliver Stone toujours aussi énervé mais terriblement efficace, ca donne Salvador. Un Puissant film relatant l'histoire d'un reporter photographe (James Woods) parti refaire sa vie au Salvador, avant d'être rattrapé la guerre civile ravageant le pays dans les années 80, et parcouru par les terribles escadrons de la mort. Du cinéma choc et coup de poing, engagé, au final très émouvant.

Spotlight (2016)

Oscar du Meilleur film en 2016, Spotlight est adapté de faits réels et retrace la fascinante enquête des journalistes du Boston Globe qui a mis au jour un scandale impliquant des prêtres pédophiles couverts par l’Eglise Catholique. Le titre du film fait référence au nom donné à l'équipe d’investigation du journal qui a travaillé pendant un an sur cette affaire, interrogeant les victimes d'abus sexuels et révélant que l'institution catholique avait protégé leurs bourreaux pendant des décennies. Leur article, publié en janvier 2002 et couronné par le prix Pulitzer en 2003, a permis de libérer la parole et déclenché une vague de révélations dans le monde entier.

Le Syndrome chinois (1979)

Le syndrome chinois est l’hypothèse de la conséquence la plus grave d'une fusion du cœur d'un réacteur nucléaire, dans laquelle les éléments combustibles en fusion du cœur percent les barrières qui le confinent, et s'enfoncent sous terre. Très solide film emmené par un extraordinaire trio, Michael Douglas, Jane Fonda et Jack Lemmon, le film était aussi d'une très inquiétante actualité. Douze jours après sa sortie survint le fameux accident à la centrale nucléaire de Three Mile Island en Pennsylvanie. Accident durant lequel le coeur du réacteur n°2 a en parti fondu, entraînant le relâchement de radioactivité dans l'environnement.

Pentagon Papers (2017)

Le scénariste du film, Josh Singer, s'y connaît en matière de journalisme et de scandale politique puisqu'il avait travaillé à l'écriture de Le Cinquième pouvoir (2013) et Spotlight (2015). Thriller journalistique et politique de haute volée signé par Steven Spielberg, Pentagon Papers revient sur la course de vitesse que mena le Washington Post en 1971 pour publier, malgré les risques, des extraits du document classé secret défense "United States-Vietnam Relations, 1945-1967: A Study Prepared by the Department of Defense", qui détaillait l'implication politique et militaire américaine dans la guerre du Viêtnam. Et notamment l'autorisation secrète de Nixon pour bombarder le Cambodge, violant sa neutralité.

02 mai 2021

Victoria Beckham : ses confidences sur les problèmes d'argent qu'elle rencontre avec sa marque

Sa petite entreprise connaît la crise. La pandémie mondiale a touché la marque de vêtements de Victoria Beckham. À tel point qu'il y a quelques semaine, la créatrice de mode a souhaité bénéficier du plan de financement lancé par le gouvernement britannique permettant de mettre au chômage partiel des employés avec une aide financière pour payer les salaires à hauteur de 80%. Une demande largement critiquée, sachant que la fortune de Victoria et David Beckham est estimée à plusieurs centaines de millions d'euros. Elle a finalement renoncé à demander l'aide de l'État. Mais elle fait donc face à des problèmes financiers… au point de ne plus avoir les moyens d'organiser un défilé pour la prochaine Fashion week londonienne.

Dans une interview accordée à Evening Standard, Victoria Beckham a en effet confié qu'elle ne pourrait certainement pas financer de défilé pour présenter la collection printemps-été 2022 de sa marque éponyme. "Je pense qu'un défilé de mode est la meilleure manière de voir la mode, de voir les vêtements, de les entendre, de voir des mannequins les porter. Nous avons fait de notre mieux pour les montrer de manière digitale, mais c'est difficile", a confié l'ancienne Spice Girl, avant d'ajouter : "Y aura-t-il un défilé en septembre ? Je ne sais pas. Pour être honnête, la pandémie a affecté mon entreprise. Pourrais-je me permettre de dépenser tout cet argent dans un défilé ? Je ne sais pas, probablement pas." Victoria Beckham a ajouté qu'elle restait "optimiste, mais réaliste en même temps". "Ça a affecté mon entreprise. J'ai de la chance de toujours l'avoir, mais organiser un défilé coûte beaucoup d'argent."

"Quand la pandémie a commencé, j'espérais que ça rendrait l'industrie de la mode plus équitable. Je pensais qu'on serait tous forcé à être plus créatif, qu'il n'allait plus être question seulement de dépenser de l'argent dans de grands défilés et dans l'extravagance, de faire voyager des journalistes d'un bout à l'autre de la planète, mais malheureusement ça n'est pas arrivé", a déploré la mère de Brooklyn, Roméo, Cruz et Harper. "Les grandes maisons organisent toujours de gros défilés, elles les filment et les diffusent sur les réseaux sociaux. C'est top pour ceux qui peuvent se le permettre… mais pour les plus petites marques, la mode devient un terrain difficile pour rivaliser."

Jessica Thivenin confie regretter ses prothèses mammaires

“J'ai plus de tétés et de fesses que de ventre mais je suis trop fière de mon mini bidou quand même”. Voilà ce qu’écrivait Jessica Thivenin le 22 avril dernier, en légende d’une photo où son ventre de femme enceinte commençait à sortir. Consciente de sa généreuse poitrine qu’elle a pu obtenir grâce à la chirurgie esthétique, la femme de Thibault Garcia reconnait qu’elle est un poil encombrante aujourd’hui. Une poitrine que la maman de Maylone a carrément qualifié de “difforme” et de “disproportionnée” sur Snapchat ce vendredi 30 avril.

Alors qu’elle était complexée par sa poitrine qu’elle trouvait trop petite lorsqu’elle était plus jeune, Jessica Thivenin a reconnu qu’ils ont “pris énormément d'ampleur”. “J'en suis pas fière pour ceux qui me demandent. Est ce que je regrette ? Oui. Parce que quand je les ai faits j'avais 20 ans enfin 24 ans, je me suis dit que c'était beau”, explique-t-elle. Même si Jessica Thivenin aime les “poitrines un peu volumineuses”, elle explique que la sienne a été un vrai problème lors de la grossesse de Maylone car elle avait gagné en taille.

“Maintenant que je suis encore enceinte à chaque fois que j'ai une grossesse ça explose ! Ça devient plus gros que ma tête. Je pensais pas que ça allait être comme ça. Je savais qu'il fallait être un peu abimée par la grossesse mais pas à ce point là, je pensais pas”, a indiqué la star des Marseillais. Admettant avoir opté pour des prothèses un poil trop grosses, la future maman a donné un conseil à ses abonnés.

“J'aurais su, j'aurais fait plus petit. Mais bon c'est fait ce sont des erreurs de jeunesse. Mais si je peux vous conseiller si vous refaites votre poitrine, n'exagérez pas. Pour ceux qui me demandent je fais un E. Donc c'est un trop gros bonnet. J'aurais su j'aurais fait un C. (...) D et E c'est très gros c'est trop lourd. Si je peux vous donner un conseil c'est celui-là. Faut jamais faire trop en fait”, a indiqué la Marseillaise, qui va devoir attendre la naissance de son second enfant avant de retrouver une poitrine moins généreuse !