06 juin 2025

Stéphane Plaza accuse le parquet de Paris d’avoir « détruit sa vie »

Une flopée de photographes se précipite dans la salle. « Stop, stop stop », leur intime Michèle Marchand, dite Mimi, aussi connue comme étant le reine des paparazzis. Stéphane Plaza passe devant eux et se dirige vers la table installée au fond de cette pièce, située au premier étage de la maison de la Chimie, dans le 5e arrondissement de Paris. L’ex-animateur de M6 prend place entre ses avocats, Mes Julien Roelens et Antonin Gravelin-Rodriguez. Les cheveux grisonnants, les traits tirés, le visage émacié, l’ancienne vedette du petit écran a perdu de sa superbe depuis sa condamnation le 18 février dernier à un an de prison avec sursis pour violences récurrentes sur une ancienne compagne.

« L’objet de cette rencontre n’est pas people, il ne s’agira pas de discuter de la perte de poids de Stéphane Plaza ou de ses cheveux devenus poivre et sel. On va parler de justice et uniquement de justice », lance Me Julien Roelens à la vingtaine de journalistes ayant pris place face à eux. Son client se sert un verre d’eau avant de prendre la parole. « Il est temps pour moi d’affirmer publiquement une bonne fois pour toutes mon innocence, déclare Stéphane Plaza. Je n’ai jamais commis de violences volontaires sur quiconque et encore moins sur des compagnes, jamais. Un procès en appel se tiendra et j’aurais l’occasion de le démontrer à nouveau dans d’autres circonstances que celles qui ont mené au jugement de février dernier. Je suis innocent et je me battrai jusqu’au bout pour que la vérité soit reconnue. »

L’ancien animateur préféré des Français, à la tête d’un réseau d’agences immobilières, assure que le parquet de Paris « a intentionnellement manœuvré pour tromper le tribunal ». « C’est un scandale judiciaire qui se fait au détriment de la lutte contre les violences faites aux femmes, ajoute-t-il. Le parquet de Paris a voulu s’offrir un coup de communication en détruisant au passage ma vie et ma carrière. » Car, dit-il, « depuis plus de deux ans », Stéphane Plaza vit « des moments très difficiles ». « J’ai l’impression d’avoir été enterré vivant pour des faits que je n’ai pas commis », insiste-t-il. Avant de souligner : « Aujourd’hui, la télé, le cinéma et le théâtre, ces rêves que j’ai portés si fort, semblent s’éloigner à jamais. Ma vie et ma carrière ont été réduites en miettes. » « Je continue d’être ce que je suis vraiment, un passionné d’immobilier, un homme qui a des défauts mais qui n’a jamais été violent », conclut-il.

Retour en arrière. En juin 2023, Stéphane Plaza, qui se dit victime de cyberharcèlement, dépose plainte auprès du pôle national de lutte contre la haine en ligne. A l’époque, lui et son entourage recevaient « des centaines de messages malveillants qui faisaient uniquement référence à ses infidélités. Mais il n’a jamais été question de la moindre violence dans ces messages », explique Me Julien Roelens. Cette plainte, qui vise des anciennes compagnes, est classée sans suite, juste avant son procès, par le parquet de Paris au motif que « l’enquête n’a pas permis d’identifier la (les) personne(s) ayant commis l’infraction ». « C’est faux, puisque la principale auteure du cyberharcèlement est identifiée en procédure par des réquisitions Instagram, qu’elle le reconnaît sur le procès-verbal et que le procès-verbal de synthèse rédigé par l’officier de police judiciaire reprend in extenso qu’elle a été identifiée », indique Me Gravelin-Rodriguez, ajoutant que le parquet de Paris a voulu « tromper le tribunal ».

Il s’agit, poursuit l’avocat, « de l’une des plaignantes » qui accusait Stéphane Plaza de violences. La deuxième plaignante a également été « identifiée comme étant derrière un pseudonyme sur Instagram ». « On ne sait pas si elle a effectivement envoyé des messages mais on peut le penser », estime Me Gravelin-Rodriguez. Dans leur procès-verbal, les policiers relèvent pourtant que cette femme avait indiqué « ne jamais avoir contacté personne avec ce faux profil, ni avec sa vraie identité, ce qui était confirmé par l’enquête ».

« En notifiant ce classement sans suite mensonger, le parquet a remis une attestation selon laquelle il n’y avait aucun lien entre les accusatrices de Stéphane Plaza et les harcèlements », complète son confrère, Me Julien Roelens. « Cette attestation a été utilisée dans le cadre du procès et le tribunal l’a retenue dans son jugement », regrette-t-il. L’avocat estime que « tout un pan » du dossier, « qui était de nature à discréditer les accusations » dont l’animateur faisait l’objet, a ainsi été écarté lors du procès. « Le parquet de Paris a produit un faux en écriture publique », martèle Me Roelens. Affirmant que le dossier de leur client a été « truqué », lui et Me Gravelin-Rodriguez annoncent assigner l’Etat « pour les dysfonctionnements graves de la justice que nous avons constatés ».

Contacté par 20 Minutes, le parquet de Paris n’a pas donné suite. « Plus c’est gros, plus on ose », réagit auprès de 20 Minutes Me Clotilde Lepetit, l’avocate d’une deux femmes qui accusent l’ancien animateur de violences. « Ce qui me fascine, c’est cette capacité à s’en prendre aux juges et au système judiciaire dès lors qu’on est condamné et qu’on a une forme de publicité, poursuit-elle. Cela ajoute de la douleur et de la difficulté aux victimes, cela ajoute à leur épreuve de faire ça. » Me Lepetit voit dans cette conférence de presse « l’expression d’une démonstration de force ». « Faire ça depuis la maison de la Chimie, c’est une manière d’institutionnaliser une parole qui n’est que celle de Stéphane Plaza. »

Morten Harket, du groupe A-ha, révèle être atteint de la maladie de Parkinson

Coup de massue pour les fans d’A-ha. Le chanteur du groupe norvégien a révélé qu’il avait été diagnostiqué de la maladie de Parkinson. Et c’est le biographe attitré des musiciens, Jan Omdahl, qui s’est chargé de partager la nouvelle sur leur site Internet après une discussion du groupe pop des années 1980 avec ses fans, notant qu’il ne s’agissait certainement pas du genre de « nouvelle que l’on veut annoncer au monde ».

Mais le chanteur de 65 ans n’a pas de mal à « accepter » sa maladie dégénérative, qui entraîne la disparition progressive de neurones dans le cerveau, des tremblements, des douleurs et une fragilité musculaire, comme l’indique l’Institut Pasteur. « Je n’ai aucun mal à accepter le diagnostic. Avec le temps, j’ai adopté la philosophie de mon père, âgé de 94 ans, face au déclin progressif du corps : "J’utilise tout ce qui marche" », a-t-il expliqué à ses fans, comme l’a rapporté Jan Omdahl.

Morten Harket n’a pas révélé son diagnostic dès qu’il en a pris connaissance, préférant se donner un peu de temps pour conserver une certaine « tranquillité ». « Une partie de moi avait envie de l’annoncer. Comme je l’ai dit, accepter le diagnostic n’a pas été un problème pour moi, c’est mon besoin de tranquillité pour travailler qui m’en a empêché jusqu’ici », explique-t-il. Le chanteur a tout de même essayé quelques traitements durant cette période, y compris des interventions cérébrales « très avancées » en juin et en décembre 2024 à la clinique Mayo, aux États-Unis, qui ont eu pour but d’implanter des électrodes dans les deux côtés de son cerveau pour « stimuler » ce dernier et réduire ses « symptômes physiques ».

Or, ces interventions n’empêcheront malheureusement pas la maladie de progresser, comme l’a rappelé le chanteur de You Are the One. « Je fais de mon mieux pour empêcher mon organisme tout entier de décliner. C’est un exercice d’équilibriste compliqué entre la prise des médicaments et la gestion de leurs effets secondaires », peut-on lire. « Il y a tellement de choses à prendre en compte lorsque vous imitez la façon magistrale dont le corps gère chaque mouvement complexe, ou bien les questions sociales et les invitations, ou même la vie quotidienne en général ».

Côté carrière, Morten Harket reste pour l’instant dans le flou du fait que sa voix est inévitablement affectée par la condition. L’artiste avoue par ailleurs ne pas avoir « envie de chanter », ce qu’il voit comme « un signe » que son avenir créatif est incertain. Mais il « garde l’esprit ouvert » sur ses traitements et se veut rassurant envers ses fans : « Ne vous inquiétez pas pour moi […] dépensez votre énergie et vos efforts sur de véritables problèmes et sachez que l’on prend soin de moi ».

Frédéric Lopez réagit à l’usurpation de son identité par un brouteur

C’est l’histoire d’un fils désemparé. La mère de Xavier, Marie-José, 82 ans, est tombée dans les filets de brouteurs après s’être fait berner par un faux profil de Frédéric Lopez.

« Maman a commencé à parler avec un homme sur Facebook qui se faisait passer pour lui », racontait ainsi Xavier à France 3 Normandie, qui précise que si l’octogénaire « l’a vite démasqué », « ce dernier lui a proposé de continuer à discuter ».

Jusqu’à septembre dernier où Marie-José a tout quitté pour rejoindre Christ, un homme âgé de 28 ans, en Côte d’Ivoire. Embarquée dans une « arnaque sentimentale, un peu comme celle du faux Brad Pitt », la grand-mère s’est retournée contre sa famille.

« Elle a renié tout le monde […] Les méchants, c’est nous, ses proches », déplore le fils, qui craint à la fois pour la santé de sa mère, qui recevait la visite d’une infirmière tous les jours, et ses finances. « Ses comptes en banque fondent comme neige au soleil, soit environ l’équivalent de 100.000 euros ! » raconte celui qui précise que les brouteurs « commencent à s’attaquer aux assurances vie ».

Cet appel déchirant est remonté jusqu’aux oreilles de Frédéric Lopez, qui a décidé de sortir du silence pour mettre en garde les internautes, comme ont pu le faire avant lui Florent Pagny ou Léna Situations dont l’identité a été utilisée à des fins cybercriminelles ou frauduleuses.

Comme relayé par France 3 régions, l’animateur d’Un dimanche à la campagne sur France 2 a dit sur Instagram avoir « beaucoup de compassion » pour la victime. « Et je me retrouve, du coup, par voie de conséquence, victime de cette usurpation d’identité », constate le présentateur de 58 ans. « Soyez assurés que je ne vous demanderai JAMAIS d’argent pour quoi que ce soit », insiste-t-il.

De son côté, en attendant les avancées de l’enquête qui a été ouverte par le procureur de Rouen, le fils de l’octogénaire se dit « anéanti ». « Le pire, c’est que ces brouteurs ont détruit notre famille, ils ont enlevé ma mère, la grand-mère de mes filles, l’arrière-grand-mère de mon petit-fils qui l’adorait… Elle va rater le mariage de sa petite-fille qu’elle aimait tant », déplore Xavier.

Maeva Ghennam dévoile avoir fait un burn-out

«Depuis plusieurs semaines, je m’éteins. Lentement. Silencieusement », a écrit Maeva Ghennam dans une story postée sur Instagram jeudi soir. Dans plusieurs messages, l’influenceuse de 28 ans, connue notamment pour avoir participé à l’émission de téléréalité « Les Marseillais », a révélé la raison de son absence des réseaux sociaux depuis plusieurs jours.

« J’ai fait un burn-out. Un vrai. Pas un mot à la mode. Pas une excuse. Un effondrement. Physique. Mental. Emotionnel », a-t-elle expliqué, ajoutant avoir eu des « idées noires », « des pensées que je ne pensais jamais connaître un jour ».

Dans un autre post, elle explique comment cela a débuté : « J’ai commencé à sentir que quelque chose n’allait pas. Puis tout est allé très vite. Mon corps m’a lâchée. Ma tête a crié stop. Je n’arrivais plus à sortir. Plus à me lever. Je restais dans mon lit, les volets fermés, le cœur en vrac. » Elle précise également être « entourée » mais se sentir « seule ».

A la fin de ses messages, Maeva Ghennam souligne ne pas écrire cela « pour faire [son] retour. Je ne sais même pas si je suis prête. Mais j’écris ça pour que vous sachiez. Pour que vous compreniez que personne n’est à l’abri. Pas même ceux qui brillent à l’écran ». « Prenez soin de votre santé mentale », ajoute-t-elle.

Heads of State : bande-annonce avec Idris Elba et John Cena

Le président qui sauve le monde, c'es une vieille rengaine d'Hollywood. Air Force One (avec Harrison Ford) ou plus récemment G20 (avec Viola Davis) en sont des exemples parfaits.

Mais Heads of State a visiblement envie de monter le curseur de dix crans, en associant le POTUS au premier ministre anglais, dans un "buddy movie" d'action à l’ancienne.

Forcément, ça ne peut être qu'une comédie, comme le confirme la bande-annonce survitaminée, qui promet un bon gros délire à ne surtout pas prendre au sérieux.

Côté Maison Blanche, John Cena sera un ancien acteur de films de baston devenu président. Au 10 Downing Street. Idris Elba jouera un Premier ministre britannique charismatique et musclé. Malgré leurs désaccords, ils vont devoir s'allier pour désamorcer une menace mondiale.

Le président qui sauve le monde, c'es une vieille rengaine d'Hollywood. Air Force One (avec Harrison Ford) ou plus récemment G20 (avec Viola Davis) en sont des exemples parfaits.

Mais Heads of State a visiblement envie de monter le curseur de dix crans, en associant le POTUS au premier ministre anglais, dans un "buddy movie" d'action à l’ancienne.

Forcément, ça ne peut être qu'une comédie, comme le confirme la bande-annonce survitaminée, qui promet un bon gros délire à ne surtout pas prendre au sérieux.

Côté Maison Blanche, John Cena sera un ancien acteur de films de baston devenu président. Au 10 Downing Street. Idris Elba jouera un Premier ministre britannique charismatique et musclé. Malgré leurs désaccords, ils vont devoir s'allier pour désamorcer une menace mondiale.

Dracula : bande-annonce du film de Luc Besson

35 ans après Coppola, c'est au tour de Luc Besson de se pencher sur le cou de Dracula.

Le réalisateur français va livrer sa vision du roman culte de Bram Stoker, et c'est Caleb Landry Jones qui se mettra dans la peau du prince Vladimir, devenu vampire par amour et désespoir. Zoë Bleu a été choisie pour être Mina. Elle est la fille de Rosanna Arquette, star du Grand Bleu de Besson il y a presque 40 ans...

Dans le reste du casting, Christoph Waltz jouera le prêtre et Matilda De Angelis sera Maria.

La bande-annonce, qui vient de sortir, promet une grosse production épique et historique, aux quatre coins de l'Europe, avec des plans hommage à Coppola, des batailles impressionnantes et une ambiance gothique à souhait.

Le synopsis détaille : "Au XVe siècle, le Prince Vladimir renie Dieu après la perte brutale et cruelle de son épouse. Il hérite alors d’une malédiction : la vie éternelle. Il devient Dracula. Condamné à errer à travers les siècles, il n’aura plus qu’un seul espoir : celui de retrouver son amour perdu."

Dracula, de Luc Besson, sortira le 30 juillet prochain au cinéma, avec l'ambition de se faire une place parmi les blockbusters américains (Jurassic World : Renaissance, Superman et Les Quatre Fantastiques seront alors en salles). Il faut rappeler que le dernier succès du cinéaste dans les salles françaises remonte à Valérian et ses 4 millions d'entrées en 2017. Depuis, Anna (2019) a vendu 700 000 billets, June and John (2025) est directement sorti en streaming (via Ciné+ et OCS), et DogMan (2023) — porté par le même Caleb Landry Jones — s'était contenté de 300 000 entrées.

Dakota Johnson se dédouane du flop de Madame Web

Qui est responsable du désastre ?

Madame Web a été l'un des plus gros flop de l'histoire de Marvel. Et Sony assurait récemment que c'était la faute des critiques. 

Dakota Johnson jure à son tour qu'elle n'y est pour rien. Tandis qu'elle sera à l'affiche Materialists de Celine Song (Past Lives), entre Pedro Pascal et Chris Evans, la star américaine se dédouane du film de super-héros dont elle était pourtant la vedette titre.

Lors d’une récente interview accordée au Los Angeles Times, Dakota Johnson revient sur ce projet de Sony qui n’a pas dépassé les 100 millions de dollars de recettes mondiales. “Ce n'était pas ma faute” déclare l’actrice avant d’expliquer ce qui, selon elle, explique la très mauvaise réception de la part du public et de la critique : 

“Il y a ce phénomène qui se produit maintenant : beaucoup de décisions créatives sont prises en comité. Ou par des gens qui n'ont pas la fibre créative. Et c'est vraiment difficile de créer de l'art de cette façon, ou quelque chose de divertissant. Et je pense que malheureusement, avec Madame Web, c’est parti comme ça et ça a pris une autre tournure. Et j'étais juste là à ce moment-là. Mais ça arrive. Les films à gros budget échouent tout le temps.”

Emma Roberts, une de ses co-star dans Madame Web avec Sydney Sweeney et Isabela Merced, s’était aussi exprimée sur le sujet pour Variety. Selon elle, l'ère actuelle des réseaux-sociaux était d'avantage fautive dans l'histoire :

“S'il n'y avait pas eu la culture d'Internet, que tout aujourd'hui peut être tourné en dérision, devenir une blague ou un meme, je pense que l'accueil du film aurait été différent". 

En tout cas, on espère pour Dakota Johnson que Materialists aura droit à un meilleur accueil. Le film sort en salles le 2 juillet. 

Le Baiser de la femme araignée : bande-annonce avec Jennifer Lopez

Après Atlas sur Netflix et Unstoppable sur Prime Video, Jennifer Lopez va faire son retour dans Kiss of the Spider Woman, une comédie musicale attendue à l'automne.

Roadside Attractions et Lionsgate ont dévoilé la toute première bande-annonce du long métrage inspiré du musical éponyme de Terrence McNally, John Kander et Fred Ebb.

Le film raconte l’histoire de deux hommes enfermés dans une prison sud-américaine. Valentín (interprété par Diego Luna), prisonnier politique, partage sa cellule avec Molina (Tonatiuh, vu dans Carry-On), un décorateur de vitrines homosexuel incarcéré pour attentat à la pudeur.

Selon le synopsis officiel : "Les deux hommes nouent un lien aussi improbable que profond, alors que Molina s’évade mentalement en racontant à Valentín le scénario d’une vieille comédie musicale hollywoodienne mettant en vedette sa diva favorite, Ingrid Luna." Ce rôle de star glamour du grand écran est incarné par Jennifer Lopez, dans un registre à la fois flamboyant et mélancolique. Regardez la vidéo ci-dessous : 

Kiss of the Spider Woman est tiré du roman original de Manuel Puig, publié en 1976, qui avait déjà été adapté en 1985 dans un film culte avec William Hurt.

Cette nouvelle version est signée Bill Condon, cinéaste rompu à l’exercice de la comédie musicale : on lui doit notamment le scénario de Chicago (2002), ainsi que la réalisation de Dreamgirls (2006), La Belle et la Bête (2017) et les deux volets de Twilight: Breaking Dawn.

Le Baiser de la femme araignée sortira en octobre aux USA. Pas encore de date française.


05 juin 2025

Marion Bartoli craque complètement à l’antenne face à Richard Gasquet après lui avoir fait une énorme déclaration

C'est le moment pour Richard Gasquet de rendre la raquette. Et ce 4 juin 2025, pour lui rendre hommage, sa consœur Marion Bartoli était là sur Prime.

Elle a eu quelques larmes pour l'homme de 38 ans, qu'elle connait depuis plus de 25 ans. Il a tiré sa révérence à Roland-Garros, ce 29 mai 2025.

Celle qui a joué avec lui souvent lui a avoué : "En fait quand je te regardais, j'avais l'impression que le tennis, c'était facile".

Marion Bartoli n'a pas eu la même expérience en jouant. Elle raconte que pour sa part : "tous les jours sur le terrain, c'était une bagarre immense pour arriver à sentir ce que je faisais, à mettre la balle à peu près dans le court".

Et d'ajouter : "Alors que toi, c'était d'un naturel, qui m'a toujours fasciné". Prenant un ton enjoué, Marion Bartoli lui a alors souhaité : "Donc tout d'abord félicitations, pour toute ta carrière".

Sa voix s'est ensuite brisée quand elle a dit : "Merci pour tous ces moments qu'on a passés ensemble. Je suis émue, pardon".

Sur le plateau, Thibault Le Rol a consolé : "Oh Marion, l'émotion de Marion aux côtés de Richard, avec ce joli souvenir". De son côté, Jo-Wilfried Tsonga est venue prendre dans les bras Marion Bartoli.

Trop émue pour continuer à parler, Marion Bartoli a cédé son micro à Richard Gasquet, qui lui a également rendu hommage.

Il a raconté : "C'est vrai qu'on a commencé à 12 ans tous les deux, Marion, je la voyais avec son père, voilà moi j'étais avec mon père aussi. Et j'ai toujours suivi, on s'est toujours suivis, forcément".

Concernant celle qui a tissé des liens d'amitié avec Tom Cruise, il a salué : "Elle a fait une carrière extraordinaire. C'est sûr que si on m'avait dit qu'elle allait gagner Wimbledon !"

Et il faut dire que Marion Bartoli n'a pas eu un parcours facile. Son ami a fait valoir : "Elle a fait beaucoup d'efforts, et ça a toujours été un plaisir d'être avec elle sur le circuit. De jouer un double mixte à Perth en Australie. Elle a gagné Wimbledon donc, c'est sûr que dans une carrière, c'est fantastique et il faut vraiment la féliciter".

M6 : la journaliste Céline Collonge insultée en direct sur son handicap, Julien Courbet la défend

Elle n’a pas laissé passer. Mercredi 4 juin, la journaliste Céline Collonge a été victime d’une attaque sur son handicap, en direct pendant l’émission Ça peut vous arriver dans laquelle elle intervient tous les jours sur M6. Défendue par Julien Courbet en plateau, elle a ensuite pris la parole sur les réseaux sociaux pour revenir sur l’incident.

Pendant l’émission diffusée mercredi en duplex sur M6 et RTL, les chroniqueurs étaient en train de débattre d’un litige opposant un garagiste à un homme, amputé d’une jambe, qui lui avait acheté un véhicule endommagé. C’est alors que ce garagiste, prénommé Joseph, s’est énervé.

Entendant l’une des intervenantes évoquer une action en justice, il a estimé qu’il s’agissait de Céline Collonge et l’a insultée. « C’est toujours la borgne qui parle, elle me plaît. Elle a toujours du sucre à casser sur tout le monde. » Cette attaque a vivement fait réagir en plateau, à commencer par la journaliste visée qui lui a enjoint de « vite se calmer ». Mais c’est Julien Courbet qui a été le plus incisif.

L’animateur de 60 ans, très remonté, a pris la parole pour souligner toute la violence du propos. « Vous plaisantez monsieur ? Vous vous rendez compte de ce que vous êtes en train de dire ? Monsieur, vous allez vous excuser s’il vous plaît car la France entière vous entend traiter une femme qui a un problème à un œil, qui a perdu un œil d’ailleurs et qui a un handicap de la traiter de borgne... », a demandé Julien Courbet. « Si j’ai un conseil à vous donner, c’est de présenter vos excuses et de dire que ça a dépassé votre pensée... C’est une honte ! », s’est-il encore indigné.

Céline Collonge a ensuite réagi à son tour, notamment sur le terme employé pour la décrire : « moi je peux le dire, je n’ai aucun problème avec ça. J’ai eu un handicap suite à un accident quand j’étais plus jeune, où est le problème ? Ça ne m’empêche pas de faire mon métier et de bien le faire je pense ». Sur les réseaux sociaux, elle a ensuite rebondi pour souligner les soutiens reçus après cette séquence.

« Ce matin, j’ai été insultée en direct sur RTL et M6. On a pointé du doigt mon handicap. Je retiens le positif : les centaines de marques de soutien reçues de mon entourage, des auditeurs et téléspectateurs. Vous avez inondé les messageries et enivré mon cœur. Merci à tous », a écrit la journaliste.