09 décembre 2020

Khloé Kardashian : l'incroyable cadeau de sa mère Kris devenu une tradition familiale

Les fêtes de fin d'année approchent à grands pas. Si les Américains sont réputés pour adorer tout particulièrement ce moment de l'année avec de grandes festivités et de grandes décorations, la famille Kardashian ne fait pas exception. Comme à son habitude, le clan Kardashian-Jenner met les petits plats dans les grands, comme l'année dernière en 2019 avec leur décor à couper le souffle et leur concert privé. Tous les ans, il y a une tradition particulière instaurée par Kris Jenner que tous adorent.

Chaque année, Kris Jenner offre à ses enfants des maisons en pain d'épices haut de gamme qui semblent plus vraies que nature ! Et visiblement, ils sont plusieurs à avoir reçu leur cadeau déjà ! Sur ses réseaux sociaux, Khloé Kardashian a montré sa jolie et succulente maison en pain d'épice qui provient de la boulangerie Solvang Bakery, qui se situe en Californie. Dans sa story Instagram, Khloé Kardashian a pris soin de remercier sa mère : "Je t'aime maman", et a rajouter : "It's beginning to look a lot like Christmas", paroles de la célèbre chanson de Michael Bublé. Kim et Kourtney Kardashian aussi ont filmé leurs jolis cadeaux, rapporte le Mirror.

Selon les informations du Daily Mail, les prix des mini maisons en pain d'épices commencent à environ 1.000 euros. Le tabloïd précise aussi que les maisons de la famille Kardashian sont plus grandes que celles que l'on voit sur le site en ligne de la boulangerie Solvang, donc leurs maisons doivent certainement coûter plus cher. Tous les ans, Kourtney Kardashian, Kim Kardashian, Khloé Kardashian, Rob Kardashian ainsi que Kendall Jenner et Kylie Jenner reçoivent tous des maisons en pain d'épices personnalisées de la part de cheffe de famille, qui visiblement tient beaucoup à cette tradition. Devant les maisons, on remarque des petits détails avec les prénoms de chacun, et l'intérieur des maisons est aussi décoré avec des meubles, dont une cheminée et un tapis. C'est ce que l'on appelle le souci des détails !

True Blood : un reboot en préparation

Terminée il y a six ans après 7 saisons, True Blood pourrait revenir sur HBO sous la forme d’un reboot. Selon les informations exclusives de TVLine, la chaîne câblée américaine est en train de développer une nouvelle itération de la série trash de vampires avec Roberto Aguirre-Sacasa, le créateur de Riverdale, qui en serait également le producteur délégué. Il devrait par ailleurs co-écrire le pilote avec Jami O’Brien, créateur de la série fantastique NOS4A2. Toujours selon TVLine, Alan Ball, créateur de True Blood et showrunner des cinq premières saisons, est attendu sur ce projet de reboot en tant que producteur délégué.

True Blood, librement adaptée de la série de romances La Communauté du Sud de Charlaine Harris, était un des grands succès de la chaîne HBO porté entre autres par Anna Paquin, Stephen Moyer, Ryan Kwanten et Alexander Skarsgård. La série suivait le quotidien de Sookie, une serveuse capable de lire dans les esprits, dans un monde où les humains côtoient vampires et autres créatures. Sa vie bascule lorsqu'elle tombe sous le charme de Bill, un mystérieux vampire. Pour l’instant, HBO n’a pas commenté cette information et aucun détail sur un synopsis potentiel n’a été dévoilé.

Spider-Man : le Daredevil de Chalie Cox au casting ?

Décidément, on parle de beaucoup de Spider-Man 3 en ce moment ! On vous annonçait ce matin le retour d'Alfred Molina dans le rôle du Dr Octopus et le possible come-back des anciens hommes-araignées Andrew Garfield et Tobey Maguire. Ce 3ème volet des aventures du célèbre tisseur serait donc centré sur le multivers, avec différents protagonistes venus de tous horizons se rencontrant dans un seul et même film.

Un autre bruit de couloir vient de sortir du bois, relayé par nos confrères de Comicbook.com. La star de la série Netflix Daredevil, Charlie Cox, se joindrait au casting de Spider-Man 3 ! Arrêté au bout de 3 petites saisons, le show avait marqué les spectateurs par son ambiance sombre et son esthétique léchée. Pourtant, l'acteur avait démenti son implication en avril dernier, déjà au micro de Comicbook.com : "Je n'ai pas entendu ces rumeurs, mais ce n'est certainement pas avec mon Daredevil. Je ne suis pas impliqué là-dedans. Si c'est vrai, c'est sans moi. C'est avec un autre acteur."

Les choses ont sûrement évolué depuis ; le super-héros aveugle rejoindrait donc le casting de ce 3ème épisode du Spidey campé par Tom Holland. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la liste commence à bien s'étoffer ! On sait déjà que Benedict Cumberbatch (Dr Strange), Jamie Foxx (Electro) et Alfred Molina (Dr Octopus) seront bien de retour. Quant à Tobey Maguire et Andrew Garfield, l'officialisation ne saurait tarder. Charlie Cox alias Daredevil s'apprêterait donc à revêtir à nouveau son costume de super-héros pour combattre à leurs côtés.

Marvel/Disney, qui a repris à Netflix les droits de ses super-héros TV, fera-t-elle apparaître ces derniers dans les prochains films de la nouvelle phase du MCU ? Avec ces histoires de multivers, on peut légitimement s'interroger à ce sujet. En tout cas, on reverra prochainement Charlie Cox dans une série irlandaise, Kin. Elle mettra en scène le récit d’une famille en pleine guerre de gangs à Dublin. Le comédien britannique avait déjà campé un criminel dans la série de Martin Scorsese, Boardwalk Empire, avant de devenir Matt Murdock alias Daredevil.

Tristan Lopin harcelé : l'humoriste revient sur ses douloureux souvenirs d'enfance

Connu pour ses vidéos humoristiques sur Instagram et ses spectacles qui affichent souvent complet, Tristan Lopin n'a pas toujours eu de succès. C'est notamment le cas à l'école, où il a été victime de harcèlement scolaire. Invité sur le plateau de Ça commence aujourd'hui afin d'évoquer ses blessures, l'humoriste a commencé en expliquant qu'il était en décalage avec les autres : "J 'étais un garçon très timide, un peu maladif quoi. Je n'ai jamais eu confiance en moi, et même aujourd'hui, c'est quelque chose qui est très compliqué, je trouve, surtout dans une société qui est assez violente au quotidien !" Concernant le harcèlement, il a révélé : "J'ai été un garçon très timide et je pense, du coup, un peu réservé, un peu sensible et j'imagine que ça se voyait aussi. C'est un terme que je déteste, mais un peu efféminé... Et les enfants sont très durs les uns avec les autres !"

L'humoriste s'est notamment rappelé d'un épisode en particulier... "Je me souviens d'une fois à la piscine, en cours de sport quoi, où tout le monde s'amuse, se taquine, et moi, je me souviens d'un mec qui avait essayé de me baisser le slip de bain pour voir si j'avais un pénis quoi...", a confié Tristan Lopin. Finalement, c'est à l'adolescence que le jeune homme a gagné en assurance... Grâce à une tablette de chocolat ! En effet, l'humoriste a expliqué : "Le déclic... À 13 ans, j'ai fait une colonie de vacances et ça a été un moment horrible (...) Le soir on dormait dans des tentes... J'ai jamais été très camping ! Et en fait, il y a eu une nuit où je dormais seul dans ma tente, et pendant la nuit, j'entends autour de ma tente un espèce de bruit et des espèces de coups dans la tente... Je ne savais pas ce que c'était, je suis sorti avec la lampe de poche et vraiment, il y avait rien. Le lendemain, je n'en ai pas parlé et je n'ai jamais su ce que c'était ce truc-là."

Le lendemain matin, tout a changé pour l'humoriste. "J'étais arrivé à un moment de ma vie où j'avais tellement pris et tellement encaissé tellement d'informations entre les trucs personnels, l'école, le harcèlement... Il y a eu une espèce de trop-plein, le vase qui déborde (...) Je me souviens que j'ai mangé une tablette entière de chocolat aux noisettes et je sais pas si c'est le sucre mais j'ai eu un coup de sang et d'un coup je me suis mis à charrier les gens autour de moi et à devenir dans un quart de seconde très drôle. Je faisais rire les gens autour de moi et j'avais une réplique assez cinglante !", s'est-il rappelé avec le sourire. Tristan Lopin a ajouté : "Après, à partir de là, au collège et même au lycée, je suis devenu quelqu'un de plutôt assez populaire et plutôt apprécié (...) Comme si j'avais imprégné et observé beaucoup les gens, que j'avais analysé tout le monde, de voir la faille chez les uns et chez les autres..." S'il va mieux aujourd'hui, l'humoriste a cependant ajouté qu'il n'était sûr de lui "à aucun moment."

Julie Gayet : la compagne de François Hollande fait une allusion discrète à sa vie de couple

Vous l'ignorez peut-être, mais Julie Gayet adore le rugby ! L'actrice fait d'ailleurs partie des ambassadeurs de la coupe du monde 2023 en France. Une passion dont elle a longuement parlé dans une interview accordée au site Le Quotidien du Sport. Plutôt intéressée par le foot à la base, c'est en produisant le film La Fille du patron d'Olivier Loustau, sorti en 2016, que l'artiste a découvert l'univers du ballon ovale. Ce qu'elle apprécie dans le rugby ? "J'aime cette idée qu'il y a toutes les tailles, tous les poids, tout le monde peut y jouer plus qu'au foot. Il y a aussi cette idée d'aller de l'avant tout en allant en arrière, mais en avançant ! (rires) J'aime les valeurs du rugby", détaille l'actrice.

Elle avoue aussi que son compagnon, l'ancien président de la République, François Hollande, n'y est pas non plus pour rien : "En plus, je vis avec quelqu'un qui est très proche de l'équipe de Brive donc maintenant, je vibre pour le CAB et je vais voir tous leurs matches !", souligne Julie Gayet. Cette dernière suit de près les résultats de son équipe : "Je ne rate plus un match. J'y étais lors du premier match amical contre Valence-Romans. Je suis devenue fan et j'ai envie, maintenant qu'on a une maison là-bas, de m'engager encore plus cette année, de mieux les connaître et de m'investir dans le club si c'est possible.(...) Si le club de Brive cherche une marraine, je suis disponible", a même proposé la compagne de François Hollande.

Julie Gayet travaille actuellement sur un projet de série autour du rugby, mais "n'a pas encore trouvé l'axe par rapport à tout ce qui existe aujourd'hui sur Netflix." A suivre...

Cobra Kai saison 3 : bande-annonce pour la suite de la série Netflix Karaté Kid

Cobra Kai signe son grand retour avec une bande-annonce pleine d’intensité et de nostalgie. La série, qui fait suite à la trilogie culte Karaté Kid, nous revient en janvier prochain en exclusivité sur Netflix ; rappelons qu’à l’origine, le show était diffusé sur Youtube Red. Menacée d’annulation après l’annonce des arrêts de service de la plateforme, la série avait finalement été sauvée par Netflix, qui a grandement contribué à la notoriété du programme en l'ajoutant à son catalogue cet été.

Plus rivaux que jamais, Johnny Lawrence (William Zabka) et Daniel LaRusso (Ralph Macchio) sont désormais à la tête d’une toute nouvelle génération de karatékas, tandis que plane encore sur eux l’ombre du vénéré senseï, Miyagi (incarné dans les films par le regretté Pat Morita). Dans cette nouvelle saison, plusieurs visages bien connus de la saga Karaté Kid font leur grand retour, comme Chozen (Yuji Okumoto) – méchant de Karaté Kid 2 : Le Moment de vérité - et Kumiko (Tamlyn Tomita), la petite-amie japonaise de Daniel dans ce second volet cinématographique.

La troisième saison de Cobra Kai est à retrouver en exclusivité sur Netflix en janvier prochain.

Adèle Exarchopoulos, jeune maman "en décalage" : "Parfois, ça m'énerve"

Pour Adèle Exarchopoulos, la maternité est un véritable bonheur. Comme tous les parents, la comédienne est sur un petit nuage avec son fils. Et pourtant, tout n'a pas toujours été simple. Notamment car elle est devenue mère pour la première fois lorsqu'elle était encore jeune. "A 23 ans, j'étais enceinte. J'ai dû renoncer à deux projets. Mon contrat avec Vuitton s'est arrêté", s'est-elle souvenue dans les colonnes des Inrocks, dont elle fait la couverture. A cette période-là, celle que l'on a vue dans La vie d'Adèle a dû changer de vie. "Je ne faisais plus de sous et j'allais bientôt avoir un enfant à nourrir. J'ai recommencé à vendre des sandwichs, raconte-t-elle. J'avais une casquette, un faux nom... Mais des clients me reconnaissaient." Maman depuis ses 23 ans, Adèle Exarchopoulos se demande si elle n'a pas manqué une partie de sa jeunesse. "C'est vrai que je peux me sentir en décalage avec ce que vivent les filles de mon âge", assure la jeune femme dans les colonnes de nos confrères.

"Parfois, ça m'énerve, je les envie, assume Adèle Exarchopoulos. J'imagine qu'elles s'amusent, passent leurs nuits en boîte à faire la fête alors que moi je dois me lever aux aurores parce que j'accompagne mon fils à l'école et que j'ai rendez-vous avec la directrice." Mais si la comédienne peut parfois se sentir frustrée, il lui suffit de regarder son petit garçon pour se rendre compte de la chance qu'elle a eue, finalement, de devenir maman très jeune. "À partir du moment où je suis devenue mère, je me suis mise à m'inquiéter pour mon fils, et je me suis dit que j'avais perdu l'insouciance", confie Adèle Exarchopoulos avant de raconter une anecdote adorable : "Mais il y a aussi de grands moments d'amusement et de légèreté dans le fait d'être parent. Je peux passer des heures à parler avec lui pour savoir si les requins peuvent tomber amoureux ou pourquoi les pandas sont herbivores".

Aujourd'hui âgée de 27 ans, Adèle Exarchopoulos est une maman comblée et une femme à qui tout réussi. Il y a quelques mois dans l'émission Passage des arts, la compagne du rappeur Doum's livrait déjà de rares confidences au sujet de son petit Ismaël. "Je pense qu'on prend conscience de ce qu'est l'héritage et des erreurs, des imperfections de nos parents, assurait-elle à Claire Chazal. Et en même temps, on a envie de s'excuser. Enfin moi quand j'ai accouché, j'avais envie de dire 'Pardon'. Et puis on réalise tout ce qu'on a eu, tout ce dont on a manqué." L'actrice évoquait alors ce que la maternité avait changé pour elle : "Il y a quand même une grosse prise de conscience quand on donne la vie, quand on est face à cette responsabilité-là." Mais ne comptez pas sur elle pour dévoiler le minois de son enfant. "Ça ne me viendrait pas à l'idée de le mettre sur Instagram, confiait-elle dans Vanity Fair. Les gens me le réclament, mais ils doivent comprendre que ce qu'ils voient sur ce réseau, ce n'est pas ma vraie vie."

Malika Ménard fait de rares confidences sur sa vie privée après sa blessure de jeunesse

Malika Ménard n'a pas eu une enfance facile. Une période de sa vie sur laquelle la jolie Miss France est revenue dans l'émission Ca commence aujourd'hui, sur France 2, animée par Faustine Bollaert. Toute petite, Malika Ménard cache un profond mal-être : "J'étais une enfant tracassée, je n'arrivais pas à profiter pleinement des moments que j'étais en train de vivre. Les premiers souvenirs que j'ai sont des souvenirs durs, douloureux."

Après le divorce de ses parents, c'est sa mère qui élève Malika Ménard et son petit frère. Dentiste, elle était très prise par son travail, c'est chez sa nourrice que la jeune fille passe la majorité de la semaine. "J'en garde des souvenirs tristes", confie la jeune femme. Un endroit où, dès l'âge de cinq ans, elle est victime d'attouchements sexuels pendant plusieurs années. Des abus qui lui ont développé un rapport complexe avec son corps et sa féminité. Lorsqu'elle en parle à sa mère, cette dernière décide de les retirer de chez la nourrice. "Mais il n'y a pas eu ni dialogue ni d'explication", regrette Malika Ménard. Une terrible épreuve qu'elle a traîné derrière elle pendant de nombreuses années, "je ne me sentais pas aimé, j'avais besoin d'aide". Aujourd'hui, l'ex-Miss France n'a toujours pas "totalement" confiance en elle : "Je ne me sens pas digne d'être un sujet aimé, confie-t-elle, l'amour, c'est ma faille." Son enfance, les abus sexuels qu'elle a subis ou encore sa relation complexe avec sa mère sont des sujets qu'elle aborde notamment dans son livre Fuck les complexes, sorti en octobre dernier.


Hugues Aufray : comment il a surmonté le tragique suicide de son frère

L'heure était à l'émotion pour Hugues Aufray. Invité dans l'émission Ça commence aujourd'hui le mercredi 9 décembre 2020, le chanteur est en effet revenu sur la tragique disparition de son frère, Francesco. Alors qu'il était encore jeune, ce dernier s'est donné la mort. "On ne vivait pas ensemble. Je me suis marié très jeune après mon service militaire et j'avais déjà un enfant (...) J'y pense encore tous les jours" a confié le chanteur à Faustine Bollaert sur le plateau de France 2. "Tous les matins je regarde le ciel et je pense à mon frère mais aussi à ma soeur" a-t-il ajouté.

Pour rappel, c'est en 1955 que Francesco, le frère d'Hugues Aufray, s'est suicidé à l'âge de 27 ans. C'est après une histoire d'amour qui s'est mal terminée que ce dernier a décidé de mettre fin à ses jours. Une disparition atroce que Hugues Aufray a eu du mal à surmonter puisqu'on son frère était comme son papa. "Il m'a tout appris (...) ça a été terrible" a-t-il confié dans l'émission. C'est finalement dans le travail que le chanteur aujourd'hui âgé de 91 ans s'est refugié. "Je travaillais. Tous les soirs je chantais (...) Je chantais principalement en espagnol et je gagnais ma vie comme ça. J'ai fais la carrière à ma façon, une petite carrière qu'il aurait du avoir beaucoup plus grande" a-t-il révélé.

A noter qu'au cours de l'émission Hugues Aufray a également fait part du fait que la mort de son frère lui avait fait perdre la voix. "Je ne pouvais plus parler (...) Je suis resté un certain temps sans pouvoir chanter (...) J'ai été sauvé par une femme extraordinaire qui était professeure de chant et qui faisait du yoga. Elle m'a repris en main." a-t-il poursuivi. Lui qui ne savait pas où était enterré Francesco a tout fait pour le trouver. "Je vais au Québec et je cherche (...) J'avais un mot (...) Les années passent et il y a deux ans je vais au Québec. Le petit jeune qui conduisait le bus m'a dit 'Je vais vous retrouver la tombe' (...) On trouve un cimetière et la tombe de mon frère" a-t-il conclu.

Elie Semoun : ce moment dur où il a arrêté de filmer son père pour son documentaire

Il y a des documentaires très réalistes qui restent gravés dans nos mémoires et c'est le cas de "Mon vieux" réalisé par Elie Semoun et Marjory Déjardin. L'acteur de 57 ans a, pendant un an, filmé son père Paul, atteint de la maladie d'Alzheimer et décédé le 12 septembre dernier. Ce documentaire, Elie Semoun a longtemps hésité avant de le faire. En effet, il trouvait que c'était trop "intime" mais il a finalement choisi de le réaliser car il a été "influencé par Gad Elmaleh et Franck Dubosc" qui lui ont expliqué qu'il fallait raconter l'histoire de son père. Ainsi, les téléspectateurs pourront donc découvrir le quotidien de Paul Semoun touché par la maladie mais aussi sa relation complexe avec son fils. De nombreux extraits ont été dévoilés et ont pu montrer que l'insouciance du malade peut être très difficile à vivre pour ses proches. Cependant, l'humoriste a souhaité arrêter de filmer son père lorsqu'il est entré en Ehpad à Lyon. "Je n'avais plus envie" a expliqué Elie Semoun à LCP. Un moment très difficile pour Paul Semoun et ses enfants mais qui était nécessaire. Invité de Quotidien ce mardi 8 décembre, l'humoriste a confié : "On a été obligés parce qu'on ne pouvait plus s'occuper de lui, c'était impossible. Il valait mieux parce qu'il commençait à chuter".

Pour Elie Semoun, ça ne fait aucun doute que le confinement a été fatal pour son père. "La vieillesse l'a tué, mais le confinement a accéléré sa chute", a-t-il dit dans l'émission Quotidien. "On ne l'a pas vu pendant un mois et demi. Je pense que ça a compté double, voire triple pour lui car il a eu la sensation qu'on l'avait abandonné", a-t-il rajouté. Des propos qu'il avait déjà tenus dans un post Instagram publié le 24 septembre dernier. "Il est très douloureux pour moi de l'écrire, mais le confinement a tué mon père", avait-il écrit. Selon ses propos, "rendre publique l'arrêt obligatoire de visites" dans l'Ehpad où vivait son père "a accéléré son déclin, déjà fragilisé par Alzheimer" était primordial pour lui. Il a également précisé qu'il ne voulait "se lancer dans aucun débat" mais écrivait "seulement ce que je pense". Deux mois plus tard, Elie Semoun maintient sa position à ce sujet et n'hésite pas à le faire savoir dans différentes interviews.