31 octobre 2025

L'acteur français Tchéky Karyo est mort à l'âge de 72 ans

L'acteur français Tchéky Karyo est mort ce vendredi 31 octobre à l'âge de 72 ans. Il est notamment connu pour ses rôles dans les films L'Ours de Jean-Jacques Annaud et Nikita de Luc Besson.

Né à Istanbul en 1953, Tchéky Karyo s'était fait connaître du grand public à la fin des années 1980 en tenant le premier rôle dans "L'Ours", grand succès en salles avec près de neuf millions d'entrées, où il campait un chasseur de plantigrades pris de remords.

Nommé au César en 1982 dans la catégorie du meilleur espoir masculin pour le film La Balance de Bob Swaim, Tchéky Karyo part aux États-Unis pour jouer dans Bad Boys de Michael Bay aux côtés Will Smith.

En 1990, le comédien au regard perçant et à la mâchoire carrée avait enchaîné avec un autre succès en jouant le rôle ambigu de l'agent recruteur de "Nikita", redoutable tueuse à gage incarnée par Anne Parillaud devant la caméra de Luc Besson.

La carrière de ce polyglotte maîtrisant le français, l'anglais, l'espagnol et l'arabe avait débuté dans le cinéma d'auteur français, notamment en 1982 devant la caméra de Chantal Akerman pour "Toute une nuit" et devant celle d'Eric Rohmer en 1984 dans "Les Nuits de la pleine lune".

Sa filmographie éclectique l'a fait côtoyer Jean-Pierre Jeunet dans "Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain" (2001) et l'a porté vers des cinéastes étrangers, notamment le Brésilien Walter Salles ("Terra Estrangeira", 1995) ou l'Américain Ridley Scott dans "1492: Christophe Colomb" aux côtés de Gérard Depardieu.

Tchéky Karyo a également eu une longue carrière sur les planches et s'était notamment produit au Festival d'Avignon au début des années 1980.

"Ce métier m'a aidé à devenir un homme meilleur. L'art dramatique est un moyen d'aller sur un espace réservé et magique dans lequel on entre en compagnie d'autres personnes qui ont besoin aussi de cette pulsion et peut-être de prendre du recul par rapport à eux-mêmes", déclarait-il en 2017 dans les colonnes du journal Midi Libre.

Lee Marvin a mal vécu le tournage de L'Homme qui tua Liberty Valance

John Ford n'était pas un réalisateur facile avec ses acteurs. On savait qu'il humiliait John Wayne, mais il s'en prenait aussi au comédien Lee Marvin. La scène s'est déroulée sur le plateau du western L'Homme qui tua Liberty Valance, film-somme de l'œuvre fordienne, mais dont le tournage semble avoir comporté quelques tensions.

Cités dans l'ouvrage de Christophe Leclerc Lee Marvin, personne ne connaît mon nom à paraître chez Capricci le 21 novembre et qu'AlloCiné a pu consulter en avant-première, les propos du réalisateur et de l'acteur sont hauts en couleurs :

"Eh bien, mesdames et messieurs, après ça, on peut enterrer M. Lee Marvin !", commence Ford après le tournage de la scène de mort du personnage de Liberty Valance, ce à quoi son interprète, Lee Marvin aurait répondu du tac au tac : "Je dirai plutôt que c’est le film qu’on enterrera".

Sauf que John Ford n'était pas homme à perdre aussi facilement, il aurait relancé :

"Je me contrefous de l’opinion d’un type qui ne sait pas lire !"

"[Je lis] assez en tout cas pour voir qu’il faudrait couper vingt pages du scénario", rétorque Marvin, "ça ferait économiser 25 000 dollars."

L'incident en reste là. Marvin fulmine. Mais loin d'être un film "enterré", L'Homme qui tua Liberty Valance est non seulement terminé en avance, le studio regagnant un peu de son argent investi, mais aussi un grand succès en rapportant 3,2 millions de dollars de l'époque rien que sur le marché américain.

Lee Marvin se fait donc tirer l'oreille par Ford pour retravailler avec lui sur son film suivant.

Et en effet, l'acteur passera outre cet accrochage pour tourner dès l'année suivante à nouveau avec le tandem John Ford / John Wayne dans La Taverne de l'Irlandais (1963), dans lequel Marvin incarnera un buveur invétéré, un rôle qu'il n'a pas eu besoin de composer car il avait lui-même des problèmes avec la boisson.

L'Echelle de Jacob revient bientôt au cinéma

Flashdance, 9 Semaines ½, Liaison Fatale, Proposition Indécente... Derrière ces importants succès se cache un réalisateur, Adrian Lyne. Dès les années quatre-vingt, ce Britannique se fait un nom grâce à ses thrillers érotiques. Portés par des acteurs au sommet de leur popularité, les films récoltent énormément d'argent, permettant au cinéaste d'acquérir une certaine liberté.

Quand il pose ses yeux sur un script de Bruce Joel Rubin - le scénariste de Ghost -, intitulé L'Echelle de Jacob, le réalisateur y voit l'occasion idéale pour proposer un film plus personnel. L'histoire suit Jacob Singer, un Américain de retour de la guerre du Vietnam et tourmenté par des visions cauchemardesques qui altèrent sa réalité.

Le studio Paramount achète le script puis, insatisfait de la fin et des scènes au Vietnam, décide de s'en débarrasser. C'est finalement la société Carolco Pictures qui reprend le projet, offrant une carte blanche totale à Adrian Lyne. Ce dernier imagine Tom Hanks en Jacob Singer avant de choisir Tim Robbins.

Le résultat à l'écran est bluffant. L'Echelle de Jacob est l'un des films américains les plus sombres des années quatre-vingt-dix, probablement l'un des meilleurs aussi. Longtemps indisponible, ce classique oublié est aujourd'hui réédité en 4K depuis le 15 octobre et ressortira le 17 décembre prochain sur grand écran, près de 35 ans après sa sortie.

Refusant d'inscrire son film dans un genre bien défini, Adrian Lyne réalise une œuvre susceptible de vous traumatiser autant qu'elle peut vous émouvoir. Entre film d'horreur et drame existentiel, L'Echelle de Jacob s'imprime dans les esprits grâce à ses apparitions monstrueuses - bon nombre d'entre elles ont même inspiré le jeu vidéo Silent Hill.

Le long métrage se veut aussi politique, livrant un message clair sur le stress post-traumatique des vétérans du Vietnam et les expériences dont ils auraient été victimes au front. C'est certainement ce qui explique l'échec cuisant du film à sa sortie. Après une succession de cartons, Adrian Lyne fait face au rejet du public.

Dans un entretien réalisé par le journaliste Didier Allouch - présent sur l'édition 4K du film -, l'acteur Tim Robbins explique que les circonstances politiques de l'époque, et notamment la Guerre du Golfe - qui démarrait quelques mois avant - ont eu d'importantes conséquences sur sa réception.

"C'était le pire film qu'on pouvait sortir à ce moment-là, estime-t-il. Les gens ne voulaient pas qu'on leur parle d'un vétéran du Vietnam. Ils pensaient à la reconquête. L'Echelle de Jacob n'était pas adapté à l'époque."

Pourtant, l'échec n'a pas eu raison du film. Trente-cinq ans plus tard, L'Echelle de Jacob fascine encore les spectateurs et spectatrices qui croisent son chemin et gagne à être redécouvert par un nouveau public.

Road House : le remake va avoir droit à deux suites différentes et concurrentes

Sorti en 2024 et réalisé par Doug Liman (Mr and Mrs Smith, Edge of Tomorrow), Road House a été un énorme succès pour Amazon Prime, cumulant près de 50 millions de visionnages à travers le monde en seulement deux semaines. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’une suite, actuellement en tournage, ait été mise en chantier.

Sauf qu’Amazon Prime n’est pas seul sur le coup puisque, cas unique dans l’histoire des franchises à Hollywood, une autre suite (du même film !) est actuellement développée par des studios concurrents. Comment est-ce possible ?

Lorsque Doug Liman est engagé pour réaliser ce remake du film culte Road House avec Patrick Swayze, il accepte car le projet devait (lui aurait on dit) sortir en salles. Problème, Road House version Jake Gyllenhaal sortira finalement en streaming sur Prime Video. De quoi déclencher la colère du réalisateur, qui avait carrément appelé au boycott de l’avant-première de son propre film !

Road House version 1989 ayant eu une suite officielle, Doug Liman aurait alors secrètement acquis les droits du remake de celle-ci, afin de court-circuiter Amazon dans son projet de décliner Road House 2024 en franchise. [Source : Deadline]

Baptisée Road House : Dylan, ce scénario signé Doug Liman n’est pas celui mis en chantier par Amazon, qui a alors décidé de développer une suite originale à l’histoire Road House. Actuellement en tournage donc, cette suite est désormais réalisée par Ilya Naishuller, avec Dave Bautista, Aldis Hodge et Leila George au casting.

Nous nous retrouvons ainsi avec deux suites concurrentes du même film. Une situation totalement ubuesque, rendue possible du fait des multiples procès encore en cours concernant les droits d’auteur de la franchise Road House. On vous épargne les détails, mais le scénariste du film original conteste à Amazon le droit d’avoir remaké son film, en raison du statut légal de… bref. Tout ça est un imbroglio juridique qui n’est pas prêt de se dénouer.

Woody Allen prépare un nouveau film pour 2026 en Europe

A bientôt 90 ans, l'heure de la retraite n'a pas encore sonné pour Woody Allen. Le cinéaste américain s'offre même une double actualité. La plus proche est la parution d'un livre qui vient de débarquer dans les rayons des librairies françaises : Quelle mouche a piqué Baum ?, édité chez Stock.

Si Woody Allen avait déjà pris la plume pour partager ses mémoires (le livre Soit dit en passant, déjà chez Stock en 2020), puis un recueil de nouvelles sous le titre Zéro gravité (Stock, 2023), il s'essaye cette fois-ci pour la première fois au genre du roman.

L'intrigue se présente ainsi : Depuis quelque temps, Asher Baum n’est plus lui-même. Il vient d’être lâché par son prestigieux éditeur new-yorkais, son troisième mariage est sur le point de sombrer et son insupportable beau-fils est devenu la nouvelle coqueluche de l’édition. Pire encore, dans un moment de folie, Baum a tenté d’embrasser une jeune journaliste, ce qu’elle s’apprête à rendre public. Alors, quand il découvre un secret fracassant, il ne sait plus où donner de la tête : doit-il le taire ou le révéler, quitte à faire exploser son couple ?

Une intrigue qui laisse à penser qu'elle pourrait ensuite donner lieu à un film, car on y retrouve les marottes du cinéaste.

Ce livre sera-t-il le sujet du prochain film de Woody Allen ? Si tel était le cas, il lui faudra transposer l'histoire dans un autre pays et une autre ville. L'intrigue et le titre du film sont pour l'instant soigneusement tenus secrets. Seul le nom de code WASP 2026 a filtré. Mais la confirmation est faite qu'un tournage est prévu en 2026 en Espagne.

Libération rapporte l'information (via le quotidien espagnol El Pais). Le film devra être tourné à Madrid et avoir le nom de Madrid au sein de son titre. La Comunidad de Madrid apportera des fonds publics (1,5 million d'euros), "justifié par «la promotion [de Madrid] comme destination de voyage»", précise Libération.

Ce n'est pas la première fois que Woody Allen tournerait en Espagne. Il y avait filmé Barcelone dans Vicky Cristina Barcelona en 2008, et San Sebastian dans Rifkin's Festival, sorti en 2022.

Le dernier film de Woody Allen remonte à Coup de chance, son 50e long métrage, sorti en 2023 en France. Au moment de la promotion du film, le cinéaste avait indiqué vouloir prendre sa retraite.

"Je veux arrêter pour deux raisons. La première est qu'il est de plus en plus difficile de trouver de l'argent pour réaliser des films. C'est la partie la plus ennuyeuse dans ce métier. La seconde, c'est que je n'aime pas ce qu'est devenu le cinéma aujourd'hui avec les plateformes de streaming".

Et d'ajouter : "Avant, c'était très excitant de retrouver son film sur grand écran, de voir les gens remplir une salle et de vivre une expérience commune. Si quelqu'un décidait de me financer, je succomberais sans doute à la tentation de faire un autre long métrage, mais je tenterai de faire en sorte que mon film reste le plus longtemps possible à l'affiche", avait-il indiqué au micro de France Info.

Rappelons que depuis 2018, Woody Allen est dans la tourmente après des accusations d'agressions sexuelles par sa fille adoptive. Par la suite, dans le sillage du mouvement MeToo, Hollywood lui a tourné le dos et le réalisateur a eu beaucoup plus de mal à monter ses projets, lui qui avait habitué le public à un long métrage par an. 

Pourquoi Tron : Ares n’est pas forcément un flop selon Jeff Bridges

Les résultats de Tron : Ares sont pour le moins en demi-teinte.

Mais Jeff Bridges veut nuancer. L'acteur de 75 ans apporte un point de vue intéressant sur ce que représente vraiment un “échec” au box-office.

Le film était annoncé comme le blockbuster d’automne de Disney, avec un budget estimé à 220 millions de dollars. Pour être rentable, il devait doubler cette somme. Sorti le 10 octobre, Tron : Ares a ouvert au box-office US avec seulement 33,5 millions de dollars, loin des projections initiales. À ce jour, le long-métrage cumule 124 millions de dollars de recettes totales, et le film devrait finir sa carrière autour de 160 millions. Si cela se confirme, Disney risque d'enregistrer une perte de plus de 130 millions... Aïe.

Pour autant, Jeff Bridges, qui reprend le rôle de Kevin Flynn, relativise : l’ouverture au box-office ne doit pas être le seul critère pour juger un film. Il prend l’exemple d’un autre flop devenu culte :

“C’est intéressant de voir comment un film est jugé dès son premier week-end dans les salles" confie Bridges à Entertainment Weekly. “Je me souviens de La porte du Paradis, considéré à l’époque comme un désastre, mais aujourd’hui, il est vu un peu comme un chef-d’œuvre.”

Sorti en 1980, La porte du Paradis, le western épique de Michael Cimino après Voyage au bout de l’enfer, avait été massacré par la critique et n’avait rapporté que 3,5 millions pour un budget de 44 millions. Depuis, le film a été réévalué et même remonté, obtenant désormais un accueil beaucoup plus favorable.

Ce qui fait dire à Jeff Bridges :

"Souvent, moi-même, je n’ai pas aimé un film au premier visionnage. Et puis quelques semaines ou mois plus tard, je le revois et je me dis : ‘Mais à quoi je pensais ?’ Comme dirait Le Dude : ‘C’est juste ton opinion, mec.’”

Pour lui, Tron : Ares pourrait donc très bien voir sa réputation évoluer avec le temps... Certes. Mais pas certain qu'ils voient les choses du même oeil chez Disney...

Jean Dujardin garde un souvenir marquant de

Pour la première fois de sa carrière, Jean Dujardin s'essaye à la science-fiction dans L'Homme qui rétrécit, nouveau film de Jan Kounen. L'acteur y incarne un homme ordinaire, Paul, victime d'un phénomène inexplicable : il est en train de disparaître en rétrécissant de façon accélérée.

Véritable film de genre, ce projet ambitieux permet au Français oscarisé d'explorer de nouveaux territoires devant la caméra. Mais quel est son rapport au cinéma de genre ? Alors que la période d'Halloween s'y prête, nous avons demandé à Jean Dujardin de parler de son film d'horreur préféré.

"Sans hésiter, L'Exorciste. Je l'ai revu et que ça n'a pas bougé. C'est tellement bien mené jusqu'à cette scène absolument effroyable où la mère monte l'escalier et entre dans cette chambre", explique l'acteur.

Il poursuit : "L'Exorciste fonctionne autour d'angoisses assez lentes. Ce sont des angoisses que j'aime, comme dans L'Homme qui rétrécit. Il se passe quelque chose mais on ne sait pas trop ce qu'on a. On va voir le médecin de famille qui vous envoie avoir un endocrinologue. On fait des batteries de test et on voit les angoisses de cet homme qui se relève la nuit, qui fait du sport... Puis on connait l'hypocondrie des hommes."

"J'ai ce souvenir-là dans L'Exorciste. On prend le temps de vous dire que c'est très normal ce qui est en train de se passer. En réalité, elle est "juste" habitée par le diable. Alors que si ça arrive cinq minutes après le générique de début, vous n'y croyez pas. Et j'ai encore la crainte de le revoir. Je l'ai vu à 14 ans, ce qui n'était pas la meilleure idée. J'ai vraiment eu du mal à m'endormir."

30 octobre 2025

Sydney Sweeney incendiaire dans une robe argentée sans soutien-gorge

En quelques années, Sydney Sweeney s’est imposée comme l’une des actrices les plus en vue de sa génération. Révélée par ses rôles dans Euphoria et The White Lotus, la jeune Américaine a très vite conquis Hollywood. Son jeu intense, sa beauté magnétique et son charisme naturel ont séduit le public comme les critiques. Derrière son image de sex-symbol assumé, Sydney Sweeney trace sa route avec détermination.

À 28 ans, elle alterne entre drames psychologiques, comédies romantiques et films indépendants audacieux. Connue pour son regard perçant, Sydney affiche une allure rétro façon pin-up des années 60. Elle cultive ainsi une image à la fois glamour et puissante. Productrice, entrepreneuse et féministe engagée, elle incarne cette nouvelle génération d’actrices qui veulent contrôler leur image autant que leur destin.

Sydney Sweeney a une nouvelle fois captivé tous les regards. L’actrice âgée de 28 ans, a foulé le tapis rouge de l’événement Power of Women 2025 organisé par Variety au Beverly Hills Hotel. Sublime dans une robe moulante transparente à manches mi-longues et à la coupe fluide, elle a opté pour un style audacieux. En faisant l’impasse sur le soutien-gorge, elle a dévoilé sa silhouette tonique.

Minimaliste et élégante, elle a ajouté à sa tenue des boucles d’oreilles pendantes en perles. Sa coiffure courte, ultra-brillante, affichait des pointes légèrement retournées. Connue pour avoir “volé la vedette” lors de la World Series dans une robe rouge incendiaire, Sydney a attiré tous les regards sur le tapis rouge. Elle a ensuite prononcé un discours particulièrement émouvant à l’intérieur du lieu.

Sur scène, la comédienne a tenu à célébrer “le pouvoir des femmes”. Elle a déclaré : "Le pouvoir de se relever, de se battre et de continuer à croire en soi, même quand personne d’autre ne le fait".  Très émue, l'actrice a dédié son prix à Christy Martin, ancienne championne de boxe américaine victime de violences conjugales. "Elle signifie énormément pour moi et je suis si heureuse qu’elle soit ici ce soir, c’est une héroïne, une véritable outsider", a-t-elle ajouté. Sydney a révélé qu’elle incarnait Christy dans son prochain film Christy, en salles le 7 novembre. Elle a décrit cette expérience comme “l’une des plus inspirantes” de sa carrière.

"La force de Christy ne réside pas dans ses coups, mais dans son cœur", a-t-elle souligné, avant d’ajouter avec émotion : "Chacune d’entre nous a son propre combat. La force ne doit pas toujours être bruyante, c’est aussi se relever encore et encore, peu importe qui regarde". Pour ce rôle, l’actrice a appris la boxe et a insisté sur la réalité des combats : "Chaque coup que vous voyez à l’écran est réel. Nous nous frappions vraiment. Je voulais que tout paraisse authentique".

Michel Drucker : ce soin de routine qui a failli avoir sa peau

À 81 ans, Michel Drucker continue d’enchaîner les dimanches sur France 3 comme si de rien n’était. Pourtant, le monument de la télévision française revient de très loin. Invité par Guillaume Pley sur sa chaîne YouTube, l’animateur de Vivement dimanche s’est livré sans filtre sur ses problèmes de santé passés… et une infection qui aurait pu lui coûter la vie.

Son ton est détendu, sa voix posée, mais l’histoire qu'il raconte est tout sauf anodine. "J’ai eu un soin dentaire", commence-t-il. En apparence banal, ce rendez-vous médical s’est transformé en cauchemar, parce qu'il a entrainé une cascade de complications graves. Pour Michel Drucker, c’est un véritable miracle d’être encore debout.

Cela faisait déjà quelques années que la santé de Michel Drucker inquiétait ses proches. Hospitalisé en 2020 pour une opération à cœur ouvert, puis une seconde fois en 2021, l’animateur de France Télévisions a vu sa vie basculer à plusieurs reprises. Mais il ignorait que le vrai danger viendrait d’ailleurs. "Il m’est arrivé un truc tout bête", résume-t-il. "J’ai eu un soin dentaire. J’ai une bactérie qui est partie partout : dans les reins, dans les jambes, partout. Et ça risquait de monter au cerveau. Je risquais de faire deux AVC."

Après un mois à ressentir un profond malaise, il finit par être opéré d’urgence pour changer une valve au cœur. "On m’a dit : 'Il y a un truc qui ne va pas, il faut opérer'", explique-t-il encore. S’il pensait en avoir fini, un an et demi plus tard, le scénario se répète. "Rebelote… deuxième opération", confie Michel Drucker, visiblement encore marqué par cette période difficile. Il ajoute avec gravité : "J’aurais dû avoir des séquelles. J’aurais dû ne plus marcher. On a failli me couper la jambe aussi."

Ce parcours médical aussi impressionnant qu’angoissant ne l’a pourtant pas empêché de reprendre du service. Dès qu’il a pu remonter sur scène, Michel Drucker s’est réinstallé sur son fameux canapé rouge, fidèle au poste comme toujours. Il le répète : "Les médecins me disent que je suis un miraculé." Et cette phrase, il ne la prononce pas à la légère.

Devenu malgré lui un symbole de résilience, l’animateur star s’accroche à ses routines et à son métier. À 81 ans, il continue d’enregistrer Vivement dimanche, et de faire rêver des générations de téléspectateurs avec des anecdotes de légende. Une chose est sûre : rien ne semble pouvoir venir à bout de Michel Drucker, pas même une infection sournoise partie d’une banale dent !

Daniel Auteuil : ce trouble très handicapant dont il est atteint, tout comme son fils

Daniel Auteuil va bientôt revenir sur le grand écran, dans le prochain film de Rebecca Zlotowski : Vie Privée, au côté de Jodie Foster. Le long métrage sortira le 26 novembre 2025, et raconte l’histoire de Lilian Steiner, une psychiatre qui apprend la mort de l’une de ses patientes, et se persuade qu’il s’agit d’un meurtre. Derrière son talent d’acteur, l’artiste a connu certains obstacles. Il a découvert tardivement qu’il était atteint de dyspraxie, un trouble du développement moteur qui touche entre 4 et 6 % de la population.

Cette particularité rend les gestes précis et coordonnés difficiles. “Je pense que je suis un autodidacte de la dyspraxie. Je ne savais pas que je l’étais”, a confié Daniel Auteuil sur France Bleu en février dernier. C’est en voyant son fils Zachary rencontrer les mêmes difficultés qu’il a fait le lien. “Quand on a décelé chez mon fils ce même truc et qu’on a quitté l’enseignement normal pour aller dans une école dite alternative, j’ai compris.”

L’acteur s’est montré très sincère sur le vécu de ce trouble. “On souffre ! On souffre ! C’est-à-dire que l’on croit être un crétin… On doit l’être… On perd confiance en soi.” Il a raconté combien cela avait influencé son parcours d’artiste : “Si on m’avait pris au conservatoire d’art dramatique, je n’aurais pas attendu presque 40 ans avant de jouer une pièce classique.”

Aujourd’hui, il relativise cette expérience et voit dans sa dyspraxie une force. Le mari d’Aude Ambroggi garde une réelle empathie pour son fils, qu’il a voulu préserver en l’inscrivant dans une école adaptée.

Zachary suit donc une scolarité dans une école alternative où la musique et le dessin tiennent une place importante, source Santé Magazine dans un article. Un cadre plus souple, qui favorise son apprentissage. La prise en charge de la dyspraxie y est multidisciplinaire, mêlant ergothérapie, psychomotricité et orthophonie.

Cette collaboration entre enseignants, rééducateurs et parents permet de soutenir au mieux les enfants concernés. Pour Daniel Auteuil, ce choix a été une évidence. Très proche de son fils, il partage avec lui plusieurs passions, comme la musique et la pêche, qui renforcent leur complicité.

Daniel Auteuil est aussi père de deux filles, Aurore et Nelly, nées de précédentes relations. Avec sa fille aînée, également comédienne, il partage parfois l’écran. Mais c’est avec Zachary qu’il a découvert une autre facette de la paternité. 

La virée shopping de Rihanna après son troisième accouchement

À peine six semaines après la naissance de sa fille, Rihanna a fait une apparition remarquée dans Los Angeles. La chanteuse a été photographiée ce 29 octobre en pleine séance de shopping, plus rayonnante que jamais.

La star barbadienne était super lookée, comme à son habitude. Elle portait une longue robe-chemise dans des tons automnales, assortie à la saison, qu’elle avait associée à des cuissardes en python. Un rouge à lèvres éclatant et de larges lunettes de soleil complétaient ce look travaillé. Décontractée mais sûre d’elle, Rihanna semblait parfaitement remise de son troisième accouchement.

Depuis la naissance de sa fille Rocki Irish Mayers, le 13 septembre dernier, la chanteuse savoure pleinement sa nouvelle vie de maman. Sur Instagram, elle avait partagé quelques jours plus tard de tendres clichés où elle apparaît radieuse, son bébé dans les bras. Une publication rare pour celle qui protège sa vie privée.

Rocki vient agrandir une famille déjà bien unie. Avant elle, Rihanna et son compagnon A$AP Rocky avaient accueilli deux garçons : RZA, né en mai 2022, et Riot, né en août 2023. Trois enfants en un peu plus de trois ans, un rythme soutenu que la star parais gérer avec sérénité. Son apparition à Los Angeles en est la preuve : talons hauts, allure impeccable, elle affichait une énergie retrouvée.

Rihanna et A$AP Rocky forment aujourd’hui l’un des couples les plus suivis du show-business. Ensemble depuis la fin de 2020, ils affichent une complicité sans faille. Leurs rares apparitions publiques témoignent toujours d’une relation solide, et maintenant d’une grande famille. 

L’arrivée de Rocki Irish a renforcé encore un peu plus ce lien entre les deux amoureux. Rihanna profite encore de son congé maternité, et n’a pas encore annoncé de retour dans l’industrie de la musique. Avant son accouchement, la chanteuse avait célébré sa longue carrière à travers des vidéos postées sur les réseaux sociaux. En effet, celle qu’on appelle “Riri”, avait posté des souvenirs de ses meilleurs tubes et des moments marquants de sa vie d’artiste. L’occasion pour ses fans d’espérer un retour de la chanteuse. Peut-être un nouvel album en 2026 ? 

Pharrell Williams acquiert un hôtel particulier à Paris

L’artiste aux multiples talents vient de signer une acquisition qui affole les compteurs de l’immobilier de prestige à Paris. Comme le confirme Le Figaro, Pharell Williams vient en effet d'acquérir un hôtel particulier à Paris, situé dans le très prisé 7ᵉ arrondissement, pour un montant estimé autour de 63 millions d’euros.

Le bien se trouve au 23 rue de Constantine (et selon certaines sources, au 6 rue de Constantine), à deux pas de monuments emblématiques entre l’esplanade des Invalides et le Quai d’Orsay. Le quartier incarne le luxe discret : calme, élégant, résidentiel, avec une forte valeur patrimoniale. La demeure a de quoi faire tourner la tête : elle s’étend sur 1 900 m² et s’offre un jardin de 550 m², juste à côté de l’Hôtel de Monaco, là où résident les ambassadeurs de Pologne en France.

Pharrell Williams signe un achat spectaculaire et symbolique à Paris. Ce n’est pas juste un "pied‑à‑terre", mais une véritable maison secondaire qu'il s'offre. Une adresse qui marque un tournant dans son rapport à Paris, ville qu’il investit tant pour son inspiration artistique que pour son patrimoine immobilier.

Et pour le coup, il a fait une bonne affaire. Toujours selon nos confrères, les anciens propriétaires ont mis le paquet pour booster la valeur de ce bijou immobilier et justifier un prix stratosphérique. Avec son escalier monumental et même une piscine intérieure, l’hôtel particulier, cédé par la famille Meyer (une branche des célèbres Louis-Dreyfus, spécialistes des infrastructures) a été entièrement rénové et redécoré. Cerise sur le gâteau : tous les locataires ont été évacués, comme l’aurait exigé Pharrell Williams avant de signer la promesse de vente.

Le compagnon d'Helen possède plusieurs résidences de prestige à travers le monde, principalement aux États‑Unis. Parmi elles, on compte un vaste manoir à Coral Gables, en Floride, avec neuf chambres et un terrain de plus de 3 acres, une somptueuse demeure à Beverly Hills de près de 1 600 m² sur 4 acres, ainsi qu’une maison dans les Hollywood Hills achetée en 2015. Certaines de ces propriétés ont été vendues ou mises en vente, et il est possible qu’il possède d’autres biens via des sociétés ou holdings, ce qui rend difficile un décompte exact de l’ensemble de son patrimoine immobilier.

Michel Drucker rappelle pourquoi il n’a jamais eu d’enfants avec son épouse Dany Saval

Michel Drucker a une « grande fierté » : celle d’avoir « réussi (s) a famille ». L’animateur est marié depuis 1973 à l’ancienne actrice Dany Saval. Un mariage qui n’a jamais failli et qui relève, selon le producteur de télévision, d’un véritable « record dans nos métiers ». « En général, tous ceux qui sont dans ce métier ont déjà divorcé, famille recomposée, décomposée… », a-t-il expliqué dans l’émission Legend. Or, le mariage de Michel Drucker, lui, a « duré », notamment parce que le couple « a été plus concentré que les autres », comme lui aurait expliqué Charles Aznavour.

Michel Drucker est le beau-père de Stéphanie Jarre, la fille de son épouse issue du premier mariage de Dany Saval avec Maurice Jarre. S’il considère la scénographe de 59 ans comme sa fille, le présentateur de Vivement dimanche n’a jamais essayé d’avoir d’enfants avec sa femme. « D’abord, j’aurais été un mauvais père », a-t-il lancé d’emblée. Mais il s’est surtout beaucoup « inquiété » de sa carrière, fruit de son succès. « J’ai laissé tomber. L’âge où on doit être père, j’étais boulot, boulot, boulot », a-t-il admis.

L’animateur a pourtant bien connu des collègues et proches devenus pères à un grand âge. « J’ai des copains qui ont été pères assez tard, vers 60/62 ans. Mon frère Jean l’a été à plus de 60 ans », a-t-il relevé, avant d’ajouter : « Ce n’est pas la même chose […] Je pense à l’enfant, qui sera orphelin très tôt ». Michel Drucker s’est aussi soucié du bien-être de sa femme, qui a connu un premier accouchement compliqué. « Elle a beaucoup souffert lorsqu’elle a eu Stéphanie, ça s’est très mal passé. Je savais qu’avoir un second enfant serait très compliqué », a-t-il expliqué.

« Je ne regrette pas de ne pas avoir eu d’enfants et je ne suis pas certain que j’aurais été un bon père », a-t-il insisté, se disant incrédule devant ses collègues jonglant travail et famille. « Faire des enfants, c’est une chose, mais s’en occuper ? T’es parti pour 20 ans, pour toute la vie, tu prends perpète ». L’animateur reste tout de même « passionné » des familles, à qui il a dédié une émission sur France 3, Famille je vous aime. Il connaît même « aussi bien », voire « mieux », les familles des artistes qu’il a pu interviewer par le passé. « J’en ai beaucoup plus appris par les parents », a-t-il affirmé, citant pour exemple les proches de Patrick Bruel, Kad Merad et Gérard Jugnot.

Hello Kitty va faire ses débuts au cinéma

Warner Bros. Pictures Animation et New Line Cinema ont officiellement annoncé la mise en chantier d'un film Hello Kitty : rendez-vous le 21 juillet 2028 dans les salles obscures.

Ce long-métrage marquera la première apparition de Hello Kitty sur grand écran, dans une aventure pensée pour séduire petits et grands.

Il s'agira d'un film d'animation produit en langue anglaise et réalisé par Leo Matsuda, connu pour le court métrage Inner Workings et pour son travail de story artist sur Zootopie et Les Mondes de Ralph. Le scénario, dans sa dernière version, est signé Dana Fox (Wicked).

Le producteur Beau Flynn (FlynnPictureCo.) a consacré près de dix ans à obtenir les droits auprès du fondateur de Sanrio, Shintaro Tsuji, tandis que Shelby Thomas supervisera la production.

Créé en 1974 au Japon, Hello Kitty est devenu un phénomène mondial : jouets, vêtements, cafés à thème, jeux vidéo, collaborations de luxe et même un parc d’attractions entièrement dédié à la chatte au nœud rouge. Cinquante ans après sa naissance, elle s’offre enfin un film à son nom.

Et cela suit la tendance actuelle hollywoodienne, qui enchaîne les adaptations de célèbres jouets et jeux à l'écran : depuis Barbie jusqu'à Super Mario en passant par Gabby et la maison magique, actuellement en salles et qui pointe à 70 millions de dollars de recettes mondiales.

Premières images de Scream 7, avec Neve Campbell

La saga Scream revient et Neve Campbell aussi. Après une absence remarquée dans le film précédent - pour des raisons salariales -, l'actrice retrouve son personnage légendaire de Sidney Prescott dans le septième volet réalisé par Kevin Williamson, le scénariste de l'original.

Le studio Paramount a choisi la veille d'Halloween pour révéler les premières images du film - attendu pour le 25 février 2026.

La bande-annonce s'ouvre sur ce qui semble être la scène d'introduction - grande tradition de la saga. Ici, un couple visite la célèbre maison de Stu Macher - un des tueurs du premier film - transformée en... attraction touristique. La bâtisse, théâtre des scènes finales du premier et cinquième film, finit en flammes comme le montre l'affiche officielle. De quoi annoncer un renouveau total ?

L'affiche du film :

Paramont dévoile également le premier synopsis : "Lorsqu’un nouveau Ghostface surgit dans la paisible ville où Sidney Prescott a reconstruit sa vie, ses pires cauchemars refont surface. Quand sa fille devient la prochaine cible, Sidney n’a d’autre choix que de reprendre le combat. Déterminée à protéger les siens, elle devra affronter les démons de son passé pour tenter de mettre fin une bonne fois pour toutes au bain de sang."

Le rôle de la fille de Sidney Prescott, prénommée Tatum - encore un clin d'œil à l'original - est incarné par Isabel May, actrice aperçue dans les séries 1883 et 1923, deux spins-off de Yellowstone.

Ce septième Scream fait déjà parler de lui pour le retour de plusieurs visages familiers et... morts dans les précédent films : Matthew Lillard- dont on entend la voix à la toute fin de la bande-annonce -, David Arquette ou encore Scott Foley, pour ne citer qu'eux. Comment la franchise les fera revenir ? Encore quelques mois de patience.

Scream 7, au cinéma le 25 février 2026

L'Homme de Rio aura droit à son remake américain avec Sydney Sweeney

Sydney Sweeney a-t-elle un peu de temps libre pour elle ? On ne dirait pas. À l'affiche de La Femme de ménage en fin d'année, en ce moment au côté de Jude Law dans Eden, peut-être même dans un James Bond... elle ne chôme pas !

Et voilà qu'on apprend via Deadline que Sydney Sweeney s'apprête à dans un remake de L'Homme de Rio, présenté comme une nouvelle comédie d'aventure qui mettra en vedette Sweeney, avec Justin Lin à la réalisation. Version américaine oblige, le film s'intitulera That Man From Rio. Le film est actuellement est en développement pour Apple Original Films.

Le film est une adaptation moderne du classique de Philippe de Broca sorti 1964, porté par Jean-Paul Belmondo et Françoise Dorléac. On imagine donc Sydney Sweeney reprendre le rôle de cette dernière et en plus d'y jouer, elle en sera le productrice exécutive.

Le film original avec Jean-Paul Belmondo et Françoise Dorléac raconte l'histoire d'un jeune soldat en permission qui vient à la rescousse de sa petite amie, kidnappée par des voleurs et emmenée à Rio de Janeiro. S'ensuit une aventure extravagante.

L'Homme de Rio a inspiré de nombreux réalisateurs qui ont grandi à cette époque, notamment Steven Spielberg et George Lucas, qui l'ont plus tard cité comme l'une des sources d'inspiration du personnage d'Indiana Jones.

Ce film marque la dernière collaboration entre Apple Original Films et Sydney Sweeney, qui joue dans le thriller dramatique Echo Valley aux côtés de Julianne Moore, disponible sur Apple TV depuis juin dernier.

Stranger Things : la bande-annonce de la saison 5 est là

Le 27 novembre prochain, les abonnés Netflix ont rendez-vous dans le monde à l’envers. Ils pourront en effet découvrir les quatre premiers épisodes de la saison 5 de la série de science-fiction Stranger Things, qui comme on le rappelle, sera diffusée en trois parties.

Et la bande-annonce, rythmée par le titre "Who Wants to Live Forever" de Queen, nous dévoile enfin ce qui nous attend dans cette ultime saison qui marquera la fin de l’aventure pour Onze/Eleven (Millie Bobby Brown), Mike (Finn Wolfhard) et les autres. Celle-ci nous enverra à l'automne 1987. Hawkins porte encore les cicatrices béantes laissées par l'ouverture des failles. Nos héros n'ont plus qu'un seul objectif : retrouver Vecna… et l'anéantir.

Mais nul ne sait où il se cache ni ce qu'il prépare. Le gouvernement a placé la ville sous quarantaine militaire et redouble d'efforts pour capturer Onze, contrainte, une fois encore, de se cacher. Alors que l'anniversaire de la disparition de Will approche, la panique s'installe. L'ultime bataille se profile, et avec elle, une obscurité plus redoutable et meurtrière que jamais. Pour venir à bout de ce cauchemar, ils auront besoin de tout le monde. Tous ensemble. Une dernière fois.

Cette saison 5 de Stranger Things verra le retour de tous les acteurs en plus de ceux mentionnés plus haut - Winona Ryder (Joyce), David Harbour (Jim Hopper), Gaten Matarazzo (Dustin), Caleb McLaughlin (Lucas), Noah Schnapp (Will), Sadie Sink (Max), Natalia Dyer (Nancy), Charlie Heaton (Jonathan), Joe Keery (Steve), ou encore Maya Hawke (Robin Buckley) - ainsi qu’un nouveau visage : Linda Hamilton (Terminator) jouera la principale antagoniste.

Si on ne connaît pas la durée exacte de tous les épisodes, les showrunners (les frères Duffer) ont en revanche avoué que la plupart d’entre eux tourneraient autour d’1h15, à l’exception du final qui devrait dépasser les 120 minutes.

Voilà pour rappel le calendrier de diffusion ainsi que les heures de mise en ligne, un dispositif quasi inédit pour les abonnés Netflix : le Volume 1 sera disponible dès le 27 novembre (quatre premiers épisodes), suivi du Volume 2 au lendemain de Noël (trois nouveaux épisodes), avant le grand final lors du jour de l'An. Chaque volume sera disponible à partir de 2 heures du matin (heure de Paris).

La plateforme a en tout cas mis les moyens dans la saison 5 de Stranger Things avec un budget inégalé. Attendons-nous à du grand spectacle - l'instar de cette bande-annoncé épique - et a toujours plus de créatures venues du monde à l’envers, ainsi qu'à une scène d'ouverture qui s’annonce grandiose.

20 millions de dollars, c'est le salaire exorbitant de Julia Roberts pour un film qui a été un échec absolu

Julia Roberts, Andrew Garfield, Chloé Sevigny (cocorico), il y a du beau monde au casting de After the Hunt, le nouveau film de Luca Guadagnino (Call Me By Your Name, Challengers). Un “film premium pour adultes” comme le catégorise les producteurs américains, qui avait toutes ses chances dans la course aux Oscars qui s’apprête à débuter.

Sorti timidement en salles le 10 Octobre dernier aux Etats-Unis, c’est sur Amazon Prime que le film atterrira finalement chez nous, sans qu’aucune date n'ait pour l’instant été annoncée. Mais que se passe-t-il avec film ?

La vie d'Alma Olsson (Julia Roberts), professeure respectée d’une université prestigieuse, bascule lorsqu’une élève, Maggie Price, accuse un collègue proche d’avoir « dépassé les limites » après une session d’étude nocturne.

Tandis que la rumeur se répand et que la communauté universitaire se polarise, Alma est confrontée à un dilemme moral : défendre sa propre autorité ou écouter la voix d’une étudiante courageuse, malgré les premiers doutes du corps enseignant.

After The Hunt disposait d’un budget confortable pour un “film d’auteur” de plus de 70 millions de dollars, comme le révèlent nos confrères de Deadline. Déjà mal reçu par la critique, sa sortie limitée (et quasi sans promo) dans les salles américaines n’a permis de récolter que 1,5 million de dollars. Une somme bien trop faible, d’autant que le bouche à oreille des spectateurs est très mitigé, ce qui ne présage rien de bon pour la suite.

Mais ce que révèlent les journalistes de Deadline, c’est que sur ces 70 millions, l’actrice Julia Roberts a englouti pour son seul salaire la somme de 20 millions de dollars, soit presque un tiers du budget total du film ! Une exigence qui pose question lorsqu’on sait que l’économie du “film premium” est en grand danger, totalement dévorée par celle des gros blockbusters.

Un acteur doit-il exiger le même salaire, parce qu’il est une “star”, peu importe le film dans lequel il joue ? S’il n’y a pas de réponse évidente à cette question, le statut précaire des “films prémiums pour adulte” dans le cinéma américain impose d’y réfléchir vite (très vite).

Netflix : La série Le Monstre de Florence vivement critiqué par un expert de l'affaire

Avec 38 millions d’heures vues en une semaine dans le monde, Le Monstre de Florence est LA série la plus vue du moment sur Netflix. Cette reconstitution fictive d’une des affaires criminelles italiennes les plus mystérieuses de tous les temps a donc particulièrement attiré l’attention.

Le réalisateur Stefano Sollima s’empare de cette affaire non élucidée pour faire une étude de mœurs sur la société italienne dans les années 70, entre misogynie et voyeurisme. Une approche pas au goût de tous, et notamment de Salvatore Maugeri - l’auteur de “Rébus Toscan L'odyssée sanglante du monstre de Florence”.

Ce natif de Montbéliard a grandi avec Jean-Michel Kraveichvili, la dernière victime masculine du tueur en série. Un ami d’enfance avec il “faisait les 400 coups”, entre deux sessions de musique. Lors de notre rencontre avec lui, il nous révèle avoir commencé à s’intéresser à l’affaire “non pas par curiosité personnelle” mais parce que le frère aîné de Jean-Michel le lui a demandé.

Durant les 30 minutes de notre entretien avec lui, Salvatore Maugeri s’est appliqué à pointer du doigt les défauts de la série Netflix et son traitement problématique de l’histoire.

“La série se présente avant tout comme un divertissement sanguinaire. Je veux dire qu’elle ne sert en rien la vérité. Elle prend de telles libertés avec les faits et cède à un propos commercial tellement évident, tellement grossier, tellement insolent et à la limite obscène, qu'on ne peut être que déçu. Ce n'est pas une série sur le monstre de Florence, en fait.”

Première victime féminine du Monstre de Florence, jouée par Francesca Olia, Barbara Locci tient une place prépondérante dans l’intrigue de la série Netflix. Une approche vivement critiquée par Maugeri :

“Sollima est prêt à tous les arrangements, à tous les travestissements, puisqu'il dépeint par exemple Barbara Locci comme une femme soumise à son mari, qui se fait violer par le locataire que lui impose son mari. C'est absolument contraire aux faits.

Barbara Locci était une femme complètement émancipée, qui avait 17 ans de moins que son mari - qui était reconnu pour être oligophrène. Oligophrène, littéralement, ça veut dire "petite cervelle", c'est-à-dire que c'est un crétin du village.

C'était un mariage arrangé par les familles pour des intérêts qui les regardent. Cette femme se retrouve à Florence avec un mari qui préfère jouer aux cartes et boire avec ses amis au bar plutôt que de s'occuper de sa famille et de travailler à améliorer le sort de tout le monde.

Barbara fréquentait elle-même les bars et c'est là qu'elle a rencontré ses amants. Et le personnage de Salvatore Vinci, qui est ramené chez elle, en fait, c'est elle-même qui le rencontre. Déjà, elle était sortie avec son frère aîné, un certain Giovanni Vinci (qui est le vrai père de Natalino, ndlr).

C'était une femme extrêmement libre de ses faits et gestes et en tout état de cause, se moquait éperdument de l'opinion de son mari sur ses allées et venues et ses activités extraconjugales. C’est déjà un mensonge que nous assène Sollima pour asseoir sa thèse d'une domination masculine contre les femmes.

Je ne vais pas aller jusqu'à nier qu'historiquement, le patriarcat a caractérisé les relations entre les hommes et les femmes.Mais enfin, il se trouve que la vie est beaucoup plus nuancée que ça. Nous ne sommes pas des pantins dénués de tout libre arbitre."

“Salvatore Vinci, présente tous les traits du macho dominateur, capable d'imposer sa volonté à tout le monde. Quand on voit à quoi il ressemblait … je sais qu'il mesurait à peine 1m65. Excusez-moi, mais il avait certainement beaucoup de mal à imposer sa puissance à toute personne qui lui faisait face, fût-elle une femme, comme c'était le cas de Barbara Locci.

On sait qu'il a commis des violences conjugales, que deux de ses compagnes ou de ses épouses ont quitté le foyer conjugal parce qu'il les entraînait à des rapports en trio avec lesquels elles n'étaient pas d'accord. Les enquêtes de police ont fait la lumière là-dessus.

Salvatore Vinci était un être extrêmement indécis dans ses choix sexuels, dans ses obsessions, il faisait feu de tout bois, il aimait les partouzes quoi. Il contraignait ses épouses, il était violent avec elles.

C'était ce genre de tyran domestique qu'on rencontre souvent autour de nous, qui ne ferait pas de mal à une mouche à l'extérieur, qui est incapable d'impressionner qui que ce soit. Il ne faisait régner la terreur que chez lui. Donc c'est regrettable que la série Netflix ait raté l'occasion d'essayer d'œuvrer à l'établissement de la vérité à propos de ces affaires.”

“Donc mon livre, je cherche à parcourir toutes les pistes, à montrer à quel point la confusion est grande chez les enquêteurs, les désaccords nombreux d'abord entre la gendarmerie et la police, dans une espèce de guerre sourde et sournoise qui s'oppose à l'établissement de la vérité. Et ensuite, les magistrats qui s'accrochent aux branches, qui inculpent tour à tour.

Il y a au moins 15 coupables présumés qui sont tombés aux mains de la justice, dont le nom a été traîné dans la boue et qui n'ont jamais reçu la moindre excuse de la part des forces de l'ordre.

Mon livre cherche à mettre en lumière le fait qu'on ne sait rien de tangible. On ne peut avoir que des présomptions : pour le clan Sarde, pour Pietro Pacciani ou contre le médecin de Pérouse qui était soupçonné. Ou encore plus récemment contre un militaire américain en poste en Italie durant toutes les années où le monstre a sévi et qu'un journaliste italien a présenté comme à la fois le monstre de Florence et le tueur du Zodiaque.

Un des avocats des coupables a toujours affirmé que pour lui, le monstre ne pouvait être qu'un policier ou un membre des forces de l'ordre, qui opérait vêtu régulièrement avec son uniforme de flic ou de gendarme et qui profitait de la surprise des amants pour les assassiner froidement et ensuite se livrer aux mutilations. C’'est une hypothèse qui est bonne mais qui n'est pas supportée par des preuves irréfutables, malheureusement.

On a compris que les pistes explicatives ne manquent pas. Celle du clan sarde n'en est qu'une et il y a fort à parier qu'avec le succès de la première saison, Netflix va en commander plusieurs et que le chapitre sur Pietro Pacciani et ses "copains du goûter" ne va pas manquer de s'égarer du côté de l'hypothèse sataniste et des commanditaires occultes que le dernier enquêteur en date à voulu "vendre" au parquet de Florence.

Cette idée a été suivie un temps, traînant dans la boue le nom de plusieurs notables de la campagne, avant de mettre un terme à ce délire ésotérique, forgé de toute pièce pour masquer l'incapacité des forces de l'ordre de trouver le vrai coupable. C'est ça le vrai sujet qu'aurait dû traiter la série. Hélas, le propos est sans doute trop polémique et pas assez vendeur...".

La série Doctor Who ne sera plus diffusée sur Disney+

Le TARDIS ne redécollera pas sur Disney+ ! Le géant américain jette en effet l’éponge après deux saisons de partenariat avec la BBC, diffuseur historique de Doctor Who. La plateforme de streaming avait ainsi accueilli la troisième mouture de la série, qui marquait le retour de Russell T. Davies en tant que showrunner et qui avait vu David Tennant reprendre son rôle culte du Docteur dans trois épisodes spéciaux pour fêter les 60 ans du show. C’était ensuite Ncuti Gatwa qui avait hérité du rôle-titre, avant d'annoncer son départ au bout de deux saisons.

L’acteur n’est donc pas le seul à quitter le vaisseau, puisque, comme le rapporte Deadline, Disney+ se retire également du projet, probablement en raison des audiences moyennes des saisons en question. Mais que les fans se rassurent, cela ne veut pas dire que Doctor Who se termine. La responsable de la programmation de la BBC, Kate Phillips, l’avait prévenu en août : la diffusion de la série continuera "avec ou sans la participation de Disney". Et c’est exactement ce qu’il va se passer.

Suite à l’annonce du retrait de la plateforme américaine, la directrice des fictions de la BBC, Lindsay Salt, a fait savoir que la chaîne "reste pleinement engagée envers Doctor Who, qui continue d'être l'une de (ses) séries dramatiques les plus appréciées". Et d’ajouter une bonne nouvelle pour les fans : "Nous sommes ravis que Russell T. Davies ait accepté de nous écrire un autre épisode spécial de Noël spectaculaire pour 2026."

"Nous pouvons assurer aux fans que le Docteur ne va nulle part, et nous annoncerons en temps voulu nos projets pour la prochaine série, qui garantiront que le TARDIS restera au cœur de la BBC", a-t-elle conclu, histoire de rassurer les nombreux spectateurs très attachés à Doctor Who.

Le Docteur n’est donc pas près de faire ses adieux, et la prochaine personne à incarner ce héros mythique, qui a déjà eu 15 interprètes au gré de ses régénérations, pourrait déjà être connue : en effet, dans le dernier épisode de la deuxième saison diffusée sur Disney+, le Seigneur du Temps avait l’air de prendre l’apparence de… Billie Piper !

Ce qui serait un événement de taille puisque l’actrice pourrait ainsi devenir la deuxième femme à incarner le Docteur, après Jodie Whittaker, mais surtout ce serait la première fois que le personnage prend les traits d’une de ses anciennes compagnes. Rappelons que Billie Piper était l’interprète de Rose Tyler, la compagne du héros dans les deux premières saisons de la série version 2005. A moins qu’une autre explication soit donnée dans l’épisode de Noël prévu l’an prochain…

Outre cet épisode spécial confirmé par la BBC, le spin-off The War Between the Land and the Sea, co-produit avec Disney+ et suivant des officiers de UNIT alors qu'ils essayent d'empêcher une guerre mondiale causée par le retour des Démons des Mers, est toujours d’actualité et sera diffusé en 2026 sur la plateforme, marquant la véritable fin de la collaboration entre les deux entreprises.

Enfin, la série d’animation Doctor Who à destination des enfants est elle aussi toujours dans les tuyaux de la BBC. De quoi ravir les fans de longue date de l’univers créé il y a plus de 60 ans qui pourront le faire découvrir à leurs jeunes enfants !

Martin Scorsese tient en très haute estime la suite du film L'Exorciste

Véritable mémoire vivante du cinéma, tant sa culture cinématographique est proprement encyclopédique ("Je ne connais que Steven Spielberg qui soit capable de rivaliser avec lui" dira Leonardo DiCaprio), Martin Scorsese brasse extra large sur ses goûts. Dans cette logique, le registre de l'horreur ne lui pose aucun problème, bien au contraire.

Le maître a ses totems, évidemment. Les films d'épouvante de la Hammer, par exemple, qu'il a découvert lorsqu'il avait 11-12 ans. "Quand on voyait le logo de Hammer Films, on savait qu'il s'agissait d'un film très spécial, d'un genre particulier. C'était généralement une expérience surprenante, voire choquante. Quand on a vu Frankenstein s'est échappé, on a trouvé qu'il y avait une qualité graphique totalement injustifiée, ce qui l'a rendu extrêmement attachant à nos yeux. On l'a beaucoup apprécié" racontera-t-il dans une interview en 1987.

Au sommet de sa pile, dans un classement qui avait été fait par Daily Beast en 2015, il placait un pur chef-d'oeuvre, La Maison du Diable de Robert Wise, suivi par L'île des morts de Mark Robson, sorti en 1945. En septième position de son top 10, il mettait un autre sommet du genre, classique indéboulonnable : Shining de Stanley Kubrick. "Kubrick a réalisé un film majestueusement terrifiant, où ce que vous ne voyez pas ou ne comprenez pas assombrit chacun des gestes des personnages" disait-il.

Juste en-dessous figurait L'Exorciste de William Friedkin, qu'il décrit comme "tout aussi terrifiant qu'au jour de sa sortie". 52 ans après sa sortie dans nos contrées, le film de Friedkin reste, effectivement et plus que jamais, un monument de terreur brut.

Dans cette histoire de possession dont l'enjeu millénaire repose in fine sur la lutte éternelle entre les forces du Bien et celles du Mal, le cinéaste délivrait une expérience viscérale proprement traumatisante pour le public qui l'a découvert dans les salles obscures à l'époque.

Le film a tellement choqué et effrayé les spectateurs que bon nombre d'entre eux ont confondu la fiction et la réalité : Linda Blair, qui incarne la pauvre Regan, aurait été vraiment possédée, folle, était un suppôt du Diable... Dans des interviews, Blair avait même déclaré que des journalistes de l'époque lui demandaient avec effroi ce qu'il en était de la possession...

On se pince pour le croire, et pourtant. Martin Scorsese trouvait que L'Exorciste II : l'hérétique, sorti en 1978 et réalisé par John Boorman, "surpassait" le film original, et que cette suite l'avait terrifié. C'est ce qu'il avait écrit dans la revue Film Comment, dans le numéro de septembre-octobre 1978. "J'aime le premier Exorciste, à cause de ma culpabilité catholique et parce qu'il m'a terrifié, mais The Heretic le surpasse. Boorman n'a peut-être pas réussi à exploiter le sujet, mais le film méritait mieux que ce qu'il a obtenu".

Le film de Friedkin fut effectivement un triomphe en salle, récoltant 430 millions de dollars de recettes (soit, ajusté à l'inflation, plus de 1,01 milliards de dollars aujourd'hui !!!). L'Exorciste II, lui, fut une catastrophe absolue, avec à peine 30,7 millions $ au compteur...

Friedkin n'ayant aucune envie de rempiler, le projet de cette suite était donc passé entre les mains de John Boorman, qui avait acquis une reconnaissance internationale avec l'énorme succès de son film Délivrance, en 1972, mais avait connu, en 1974, un cuisant échec avec Zardoz. Trois ans plus tard, cet Exorciste II était censé le remettre en selle...

Ironiquement, Friedkin lui-même figurait parmi les féroces détracteurs de cette suite, racontant même (via Collider) que les spectateurs s'étaient carrément révoltés durant sa projection. Au-delà de sa triste réputation, il mérite quand même d'être découvert.

29 octobre 2025

Michael Douglas, 81 ans, fait un rare tapis rouge en duo avec sa fille Carys

Michael Douglas a drastiquement réduit ses apparitions. En effet, en juillet dernier, l’acteur de Wall Street a annoncé tirer sa révérence après avoir “travaillé dur pendant près de 60 ans”. S’il ne souhaite plus tourner dans aucun film, l’homme de 81 ans ne s’empêche pas de participer à certains événements.

Mardi 28 octobre, Michael Douglas s’est ainsi rendu au gala PAC NYC Icons of Culture 2025 à New York. Et si sa femme Catherine Zeta-Jones était absente pour des raisons professionnelles, il a pu compter sur le soutien de sa fille, Carys Douglas.

À son arrivée sur le tapis rouge, Michael Douglas semblait rayonner de bonheur aux côtés de sa fille Carys. L’acteur qui a été touché par un cancer était très élégant. Il avait opté pour un costume noir très chic, associé à une chemise blanche et une cravate violette.

De son côté, Carys Douglas était époustouflante. La jeune femme de 22 ans portait une robe midi noire à bretelles ornée de bijoux perlés. Un goût pour la mode qu’elle a vraisemblablement hérité de sa mère. Elle a d’ailleurs révélé au magazine People qu’elle n’hésitait pas à fouiller dans ses placards pour s’habiller. “Je me sens très chanceuse d’avoir une garde-robe magnifique dans laquelle je peux choisir”, a-t-elle confié.

Pour Carys Douglas, assister à un gala au Perelman Performing Arts Center était une véritable chance. “J'ai grandi en faisant du théâtre, et je n'ai pas étudié l'art dramatique à l'école, mais c'est pourquoi je suis heureuse d'être dans un espace artistique aussi enrichissant, alors j'espère qu'il y en aura davantage”, a-t-elle déclaré.

Pour rappel, la sœur de Cameron et Dylan Douglas est diplômée de l’université de Brown. Elle a suivi des études de cinéma et de relations internationales. Après l’obtention de son diplôme en mai dernier, Catherine Zeta-Jones avait indiqué : “Nous sommes des parents si fiers en ce moment ! Ce n’est que le début !”. Désormais, la jeune femme espère pouvoir suivre les traces de son père en se lançant dans le cinéma.

Drake visé par une plainte pour escroquerie avec des paris en ligne

Les paris en ligne peuvent rapporter gros… autant en matière d'argent que de soucis, comme l’a récemment constaté Drake. Le rappeur de Take Care se met souvent en scène sur ses réseaux sociaux misant, grâce à Stake, sur des paris en ligne. Mais à l’arrivée la mise risque d’être compromise. Une plainte a été portée devant un tribunal de l’État du Missouri, aux États-Unis, contre le chanteur canadien de 39 ans, l’influenceur Adin Ross, 25 ans, et le casino et site de paris en ligne Stake, propriété du groupe Sweepsteaks Limited.

La star et le jeune influenceur sont accusés d’abus de confiance et auraient induit les internautes en erreur en présentant leurs sessions de jeu en direct comme des paris personnels alors qu’en réalité, les fonds provenaient, selon la plainte consultée par Rolling Stone, de Stake. « Lorsque Ross et Drake prétendent jouer en ligne avec Stake.com, ils ne le font souvent pas avec leur propre argent, bien qu’ils disent le contraire au public du Missouri et d’ailleurs », est-il indiqué.

Le rappeur et Adin Ross, en partenariat avec Stake, sont aussi accusés de cibler des jeunes et adolescents dans une stratégie marketing visant à attirer un public « influençable ». Drake compte notamment plus de 142 millions d’abonnés et Adin Ross plus de 6,4 millions sur Instagram, où les deux hommes effectuent régulièrement la promotion du site. « Le rôle de Drake en tant que mascotte officieuse de Stake est discrètement corrosif - il glorifie la plateforme auprès de millions de fans impressionnables, dont beaucoup considèrent ses habitudes de paris sauvages comme parole d’évangile », précise la plainte.

En outre, Forbes rapporte qu’il est reproché à Stake d’utiliser les échanges en ligne comme stratagème pour contourner les lois américaines qui interdisent les jeux d’argent en ligne. Le site proposerait aux joueurs de miser puis de convertir en cryptomonnaie leurs bonus « Stake Cash » à partir de leurs achats de « golden coins », qui n’ont à la base aucune valeur réelle. Une manœuvre qui constitue, selon la plainte, un « moyen évident de jouer de l’argent réel ».

Lequel de ses films Sylvester Stallone sauverait-il aujourd’hui ? Demolition Man !

Rambo ? Rocky ? Expendables ? Copland ?

Interrogé par GQ sur les rôles les plus marquants de sa carrière, Sylvester Stallone a surpris tout le monde : s’il ne devait en garder qu’un, ce serait Demolition Man !

L'acteur de 79 ans avoue tout l'amour qu'il porte à ce film de science-fiction de 1993 qu’il juge aujourd’hui "presque en train de se réaliser dans notre vie réelle !".

"Je pense que c’était un grand film. C’est l’un des rares qui tient encore vraiment le coup malgré le temps qui passe. D'ailleurs, il est presque en train de se réaliser dans notre monde," confie Stallone, en référence au futur aseptisé et hyper policé décrit dans le film. Il parle même de "gentillisation de la société, où tout est si doux, si docile".

Dans Demolition Man, Stallone incarne John Spartan, un flic brutal cryogénisé et réveillé des décennies plus tard pour traquer son ennemi juré, Simon Phoenix, joué par Wesley Snipes, dans un futur où la violence est bannie. "Je trouve ça très contemporain," insiste Stallone, qui raconte avoir récemment recroisé le réalisateur Marco Brambilla à New York. "C’était vraiment bien fait."

L’acteur en profite pour saluer la performance de Wesley Snipes :

"Wesley était sauvage, plein d’énergie, un excellent combattant. Quand on se battait, il y avait parfois des plaques pour se protéger, et il y allait fort — je le sentais passer ! Il a vraiment creusé son personnage, avec ses cheveux, sa voix, son attitude. Il était au sommet de son art."

Sylvester Stallone rend aussi hommage aux équipes techniques, rappelant que Demolition Man comptait "les deux cascades les plus dangereuses" de toute sa carrière. La première impliquait "une griffe métallique géante", capable de "déchirer un homme si l’hydraulique se détraquait".

Mais la plus risquée, c’était la scène où son personnage est cryogénisé :

"Ils m’ont mis dans une cuve en plexiglas incassable, et ils ont commencé à verser de l’huile chaude jusqu’à ma bouche… Si ça montait plus haut, je ne pouvais plus respirer. Le couvercle était boulonné, impossible de sortir."

Il se souvient même avoir fait tester la résistance après coup : "Les gars ont frappé vingt fois au marteau, ça ne bougeait pas. C’était fou."

Demolition Man avait rapporté près de 160 millions de dollars au box-office mondial et généré plus de 1,7 million d'entrées en France au cinéma. Un film visionnaire et efficace, qui reste un grand classique des 90's... même si l'on ne sait toujours pas comment marchent les trois coquillages !

Spartacus : c'est l'une des batailles les plus impressionnantes du cinéma : filmée il y a 65 ans, elle a mobilisé des milliers d'acteurs

Au sommet d'une colline surplombant de verdoyantes collines italiennes, le visage grave et les yeux résolument tournés vers l'horizon, Spartacus regarde se mouvoir devant lui un gigantesque damier de soldats romains. Ainsi que chacun des esclaves qui constituent son armée, il sait que la bataille sera terrible, mais il est prêt à mourir en homme libre plutôt que de retrouver la servitude.

Avant d'être submergé par ses redoutables adversaires et par les renforts romains qui doivent bientôt arriver, Spartacus compte toutefois défendre chèrement sa peau et sa liberté, réservant une surprise de taille aux premières lignes de ses assaillants. Lorsque les premières estafettes romaines gravissent la colline, d'immenses rondins de bois sont soudain enflammés, et lâchés sur l'ennemi. La plaine est en feu. L'une des plus impressionnantes batailles de l'Histoire du cinéma peut commencer.

Mise en scène par Stanley Kubrick et notamment portée par Kirk Douglas il y a 65 ans, cette spectaculaire séquence située à la fin du long métrage éblouit d'abord et avant tout par les moyens faramineux qu'elle déploie. A une période où les images de synthèse n'existaient évidemment pas, chacun des innombrables soldats que l'on peut voir sur le champ de bataille est donc interprété par un figurant.

Ainsi, 8 000 soldats entraînés de l'infanterie espagnole ont été réquisitionnés pour prendre part à la scène, tournée aux abords de Madrid et orchestrée par Kubrick, qui avait pris place au sommet d'une tourelle afin de mieux diriger ses "troupes".

Le résultat : une bataille impitoyable, particulièrement graphique pour l'époque, et surtout légendaire, qui a sans doute influencé de nombreuses séquences similaires par la suite. On pense par exemple à des films comme Gladiator ou Braveheart.

Comptant parmi les scènes les plus marquantes de Spartacus, elle a très probablement contribué à permettre au film de Kubrick de décrocher ses 4 Oscars.

La Carrie de Mike Flanagan est dans la boîte !

Le maître de l’horreur Mike Flanagan (créateur et réalisateur de The Haunting of Hill House, Les Sermons de Minuit, La Chute de la Maison Usher) vient d’annoncer la fin du tournage de sa nouvelle série Carrie. Cette fois, ce ne sera pas pour Netflix,mais pour Prime Video. Et selon lui, c’est l’un de ses projets les plus personnels.

Sur Instagram, le réalisateur a partagé un message enthousiaste : "Dernier jour de tournage de CARRIE. C’est l’une des meilleures expériences de ma carrière, avec l’un des meilleurs ensembles d’acteurs avec lesquels j’ai jamais travaillé. C’est déjà l’un de mes projets préférés. J’ai hâte que vous voyiez ce qu’on a fait."

Adaptée du roman culte de Stephen King publié en 1974, Carrie revisite l’histoire de cette adolescente harcelée au lycée, dotée de pouvoirs télékinésiques, qui finit par se venger de ses bourreaux.

Au casting, c'est la jeune inconnue Summer H. Howell (croisée dans des films d'horreur comme Hunter Hunter et Night of the Reaper) qui reprend le rôle-titre. Elle sera entourée de Siena Agudong, Matthew Lillard, Samantha Sloyan, Alison Thornton, Amber Midthunder, Josie Totah et Arthur Conti.

Le livre de King a déjà connu plusieurs adaptations, notamment le grand classique signé Brian De Palma en 1976 (avec Sissy Spacek), une suite en 1999 (The Rage: Carrie 2), puis deux remakes (2002 et 2013).

Cette nouvelle version, tournée depuis juin dernier, marque la première collaboration de Flanagan avec Prime Video après des années de partenariat avec Netflix. Aucune date de diffusion n’a encore été annoncée.

Banni d'Hollywood depuis 4 ans, Armie Hammer ente son retour au cinéma avec un western

Armie Hammer, connu entre autres pour les films The Social Network et Call Me by Your Name, était bien parti pour devenir l'un des acteurs favoris d'Hollywood. C'était sans compter sur des accusations d'abus sexuels et des échanges de messages à caractère cannibale rendus publics en 2021. Depuis, l'acteur avait disparu de la circulation.

Il est de retour avec un western intitulé Frontier Crucible avec Thomas Jane (The Predator, Punisher), et dont la bande-annonce vient d'être dévoilée.

Le tournage s'est tenu l'automne dernier, comme nous le relayions il y a un an.

Aux Etats-Unis, le film sortira le 5 décembre prochain. Mais en France, il est peu probable que le film ne soit au cinéma. Il s'agit d'une petite production indépendante. De plus, les précédents longs métrages du réalisateur Travis Mills sont tous sortis directement en vidéo.

Décrite comme un mélange entre Reservoir Dogs et Bone Tomahawk, l'histoire se déroule en Arizona dans les années 1870. Un ancien soldat se retrouve à faire alliance avec trois hors-la-loi, une belle femme et son mari blessé, pour tenter de survivre aux éléments et aux ennemis de la frontière de l'Ouest américain.

En 2021, plusieurs femmes ont accusé Armie Hammer d'abus sexuels. L'acteur, qui a toujours nié les faits, a été abandonné par son agence et écarté des projets dans lesquels il était annoncé. Après une enquête menée par la police de Los Angeles, les charges ont été abandonnées pour manque de preuves.

Parmi les films notables d'Armie Hammer, on peut citer The Social Network, The Man from U.N.C.L.E., Call Me by Your Name, The Lone Ranger, Mort sur le Nil et Rebecca.

La série Robin des Bois disponible le 2 novembre sur MGM+

Y a-t-il encore des choses à dire sur Robin des bois, ce personnage de littérature britannique né au 14ème siècle ? Il faut croire que oui. Le 2 novembre prochain, le service de streaming MGM+ (disponible sur Prime Video via un abonnement supplémentaire) mettra en ligne les deux premiers épisodes d’une série centrée sur ce célèbre hors-la-loi qui volait aux pauvres pour donner aux riches et dont voici le synopsis :

Après l'invasion normande de l'Angleterre, Rob, le fils d'un forestier saxon, et Marianne, la fille d'un seigneur normand, tombent amoureux et s'engagent ensemble pour faire triompher la justice et la liberté. Alors que Rob se retrouve à la tête d'une bande de rebelles hors-la-loi, Marianne infiltre le pouvoir à la cour. Tous deux s'efforcent de contrecarrer la corruption royale et d'apporter la paix dans le pays.

Cette légende vieille de 600 ans a été maintes fois adaptée au cinéma et à la télévision, avec plus ou moins de succès. On pense logiquement au film de Ridley Scott avec Russell Crowe ou la version plus critiquée de 2018 avec Taron Egerton.

Pour cette nouvelle mouture, MGM+ propose un casting hétéroclite. Jack Patten (dont c’est le premier rôle) se glisse dans la peau du voleur face à Lauren McQueen (Marianne). Mais le comédien qui nous intéresse ici n’est autre que Sean Bean.

Le comédien britannique, popularisé grâce à ses rôles fantastiques dans Le Seigneur des Anneaux et Game of Thrones, se glisse ici dans la peau du Shérif de Nottingham. Un personnage mal-aimé qui pourrait regagner ses lettres de noblesse dans ce Robin des Bois puisqu’il joue un méchant plus nuancé moralement.

Si on ne devait juger que la bande-annonce de ce Robin des bois version 2025, on dirait qu’il s’agit d’un divertissement honnête avec de bons moyens. On s’attend bien évidemment à une bonne dose d’aventures mais les showrunners John Glenn et Jonathan English ont fait savoir dès le début que leur série était centrée sur la relation entre le héros et celle qu’il aime :

“Robin Hood apporte une énergie moderne au conte classique de ce héros hors-la-loi espiègle qui volait les riches pour donner aux pauvres, et à l'histoire d'amour épique entre lui et la courageuse et audacieuse Marianne. Il s'agit d'une aventure romantique intelligente et grandiose qui apporte une authenticité historique, une profondeur psychologique et une attention particulière à la relation entre Robin et Marianne dans cette histoire tant appréciée.”

Les deux premiers épisodes de Robin Hood seront disponibles dès dimanche sur MGM+ et les suivants seront diffusés à un rythme hebdomadaire.

Taylor Sheridan quitte la plateforme Paramount+

Quelques heures seulement après l’annonce choc de son futur départ de Paramount+, de nouvelles révélations reviennent sur la future arrivée de Taylor Sheridan dans le groupe NBCUniversal. Figure de proue de la plateforme de streaming grâce à ses séries Yellowstone, mais également d’autres succès tels que Landman, Tulsa King et Lioness : Opérations spéciales, le scénariste changera d’écurie à l’échéance de son contrat qui expire en 2028.

Deadline consacre aujourd’hui un long papier revenant sur les raisons ayant poussé Sheridan à quitter la plateforme qui a fait de lui le scénariste le plus en vogue à Hollywood. La récente fusion du studio avec la compagnie Skydance a entraîné une série de malentendus qui sont à l’origine de cette décision choc.

Taylor Sheridan qui entretenait d’excellentes relations avec l’ancienne direction de Paramount aurait rencontré des difficultés à échanger avec les nouvelles personnes en charge. Une première brouille a eu lieu lorsque sa série Lioness : Opération Spéciales a failli être annulée après 2 saisons, pour de simples raisons de budget.

Le scénariste n’aurait également pas apprécié que la plateforme développe une nouvelle série avec Nicole Kidman (qui apparaît dans Lioness) sans le prévenir. Des retours faits sur un scénario de film intitulé Capture the flag (qui lui a été renvoyé avec de nombreuses annotations) et le report d’une nouvelle série prévue pour l’an prochain (The Correspondent) n’ont rien arrangé dans leurs rapports.

Ne se sentant plus en odeur de sainteté auprès de la nouvelle direction de Paramount+, Taylor Sheridan s’est laissé séduire par Donna Langley, la présidente de NBCUniversal. Plusieurs discussions dans son ranch texan ont suffi à le convaincre de ne pas renouveler son contrat chez Paramount, et de rejoindre Universal et sa plateforme Peacock dès 2028.

Un autre argument qui a motivé son départ est l’argent qui lui a été proposé. Son nouveau contrat de cinq ans chez NBCUniversal pourrait lui rapporter pas moins d’un milliard de dollars, une somme sans précédent dans l’Histoire de la télévision. Pour cela, il lui faudra tenir l’engagement de créer et produire pas moins de 20 séries, à destination de Peacock et de la chaîne NBC.

Signalons également que Sheridan n’emportera pas avec lui ses séries du passé. Les droits de Yellowstone et de ses séries actuelles ou diffusées d’ici 2028 demeurent la propriété de Paramount+. La plateforme se réserve donc le droit de les exploiter comme bon lui semblera, mais également de prolonger la diffusion de ces programmes après le départ du scénariste.

Pas moins de quatre nouvelles séries Yellowstone verront bientôt le jour sur Paramount+ : The Madison, The Dutton Ranch, Y : Marshals et 1944. Auxquelles s’ajoutent la quatrième saison de Tulsa King et le lancement de son spin-off NOLA King et la saison 3 de Lioness : Opération Spéciales (qui a finalement été commandée), ou encore des potentiels renouvellements de Landman pour une saison 3 et Mayor of Kingstown pour une saison 5.

28 octobre 2025

Orelsan : cette demande bien précise qu’il a faite à son producteur concernant sa femme et son fils

Orelsan est papa depuis deux ans déjà, c’est enfin officiel ! Ses fans s’en doutaient depuis un moment, et le rappeur de 43 ans a confirmé la nouvelle lors d’une avant-première de son nouveau film Yoroï organisée le 4 octobre dernier à Bordeaux. Lors d’un échange avec le public, l’un des spectateurs lui a demandé s’il allait annoncer une future paternité, et l’artiste originaire de Normandie a alors répondu : "Ça aurait pu… sauf que j’ai déjà un enfant ! Il a deux ans, et on le voit à la fin du film, très brièvement." Eh oui, l’interprète de Paradis a gardé le secret depuis deux longues années ! "Peu de gens le savent, parce que je n’ai pas fait de post avec le bébé dans les bras à la naissance", a-t-il ensuite précisé dans cet échange capté et partagé sur TikTok.

Lors d’un entretien accordé au Figaro publié ce mardi 28 octobre 2025, Orelsan a révélé qu’il avait fait une requête bien précise à son producteur concernant sa femme et son fils. Alors qu’il s’apprête à partir le 15 janvier prochain sur les routes d’une gigantesque tournée en France qui passera par quinze festival d’été et qui se terminera avec dix dates d’affilée à l’Accor Arena en décembre, le copain de Skread demande désormais à rester plus longtemps dans chaque ville pour consacrer du temps à sa compagne Ahélya et leur petit garçon. Un souhait qui a été bien entendu respecté.

"C’est quelque chose que j’ai fait naturellement. Je ne l’ai pas vraiment caché. Je ne m’empêche pas de me promener avec la poussette", a-t-il expliqué dans l’émission 20h30 Le Dimanche le 19 octobre dernier quand Laurent Delahousse a souligné la discrétion de l’artiste concernant son rôle de père. Il a poursuivi : "Je pense que c’est juste le fait de ne pas avoir fait de la publicité, ça fait que les gens ne sont pas au courant." Fidèle à sa pudeur, Orelsan semble avoir trouvé un bel équilibre dans sa vie privée.

Philippe Etchebest fait une apparition dans Call of Duty: Black Ops 7

Doublement étoilé au guide Michelin en 2025, Philippe Etchebest est considéré comme l’un des meilleurs chefs cuisiniers en France. Propriétaire de plusieurs tables implantées dans la ville de Bordeaux qui font le bonheur des habitants de l’Hexagone et des touristes de passage, le juré de Top Chef s’est récemment lancé dans une nouvelle aventure. Le compagnon de Dominique a posé ses valises en plein cœur du 11e arrondissement de Paris pour sa nouvelle expérience culinaire Signature par Philippe Etchebest. Le restaurant éphémère restera ouvert jusqu’au 30 octobre 2025 inclus.

Et ce samedi 25 octobre 2025, le papa d'Oscar-Louis a fait ses premiers pas dans un domaine où personne ne l’aurait attendu. Alors que le trailer de Call of Duty Black Ops 7 a été dévoilé, les fans ont pu y reconnaître le chef bordelais ! On peut le voir contemplant Paris depuis un toit lorsqu’il entend le téléphone de sa voiture sonner. "Écoute moi, l’entrainement est terminé. Il est enfin temps pour toi de remplacer le Replacer", lui annonce un militaire quand il décroche. La star de Cauchemar en cuisine lui répond alors "Vous pouvez compter sur moi". Tel un agent des plus redoutables, Philippe Etchebest attache sa ceinture et met le contact de sa Mustang noire. Il quitte ensuite le parking parisien dont la barrière a quelques difficultés pour se relever avant que l’employé de l’établissement ne lui souhaite une bonne mission.

Suite à la publication de la vidéo, les réactions des internautes ne se sont pas faites attendre. D’un côté, les sceptiques ont commenté : "Il manque Pascal le grand frère et Super Nanny pour sauver la licence", "C’est quoi la prochaine étape ? Zazie sur Warzone ?", "On touche le fond" ou encore "C’est déjà la 1er avril ? Ah non… Bah c’est de pire en pire… Par pitié arrêtez tout". Et de l’autre, des internaute ont réagi plus positivement : "Ça va tabasser à coups de poêle", "Quel boss ce Philippe Etchebest" ou encore "En vrai c’est drôle". En colère ou amusé, internet ne manque jamais d’humour.

Le batteur de jazz américain Jack DeJohnette nous a quittés à l'âge de 83 ans.

Ce lundi 27 octobre 2025, le batteur de jazz américain Jack DeJohnette nous a quittés à l'âge de 83 ans. Sa mort est due à une insuffisance cardiaque congestive, a rapporté son assistante, Joan Clancy, à Associated Press (AP). "Il s’est éteint paisiblement à l’hôpital de Kingston, dans l’État de New York, entouré de sa femme, de sa famille et de ses amis proches", a-t-il été précisé sur ses réseaux sociaux. L’annonce a profondément ému le monde du jazz, tant Jack DeJohnette laisse derrière lui une empreinte considérable sur plus de six décennies de création musicale. Il était considéré comme un véritable "virtuose de la batterie", rapportent nos confrères du Monde. 

Né le 9 août 1942 à Chicago, il fut d’abord formé au piano classique dès l’âge de quatre ans avant de découvrir la batterie à l’adolescence. Attiré par le rock et le blues, il développe très tôt un jeu singulier, à la fois énergique et nuancé. Sa carrière décolle lorsqu’il remplace le batteur Elvin Jones le temps de quelques morceaux auprès du saxophoniste John Coltrane, avant d’intégrer le quartet du saxophoniste Charles Lloyd, avec lequel il parcourt le monde pendant quatre ans.

Installé à New York à la fin des années 1960, Jack DeJohnette attire l’attention de Miles Davis, qui lui propose de rejoindre son groupe. Ensemble, ils enregistrent notamment le légendaire Bitches Brew (1970), album fondateur du jazz fusion. Lauréat de deux Grammy Awards, le musicien collabore ensuite avec les plus grands noms du jazz moderne : Thelonious Monk, Bill Evans, Stan Getz, Herbie Hancock ou encore Betty Carter. Son style mêle virtuosité technique et liberté d’improvisation, faisant de lui une figure incontournable du genre.

Dans les années 1980, il fonde le Standards Trio aux côtés de Keith Jarrett et Gary Peacock, un trio mythique avec lequel il se produira pendant plus de vingt-cinq ans. Fidèle au label ECM, il enregistre de nombreux albums salués pour leur élégance et leur profondeur musicale ( dont six en solo). Le magazine Rolling Stone l’avait d’ailleurs classé parmi les cent meilleurs batteurs de tous les temps, soulignant son "talent inné pour composer des mélodies mémorables". Jusqu’à la fin de sa vie, Jack DeJohnette n’avait jamais cessé de jouer, d’expérimenter et d’inspirer les générations de musiciens qui lui ont succédé.