05 mai 2021

Meghan Markle harcelée : elle ne s'est jamais sentie autant en danger


Les Sussex sont-ils vraiment en sécurité à Los Angeles ? Depuis leur départ fracassant de la monarchie, Meghan Markle et le prince Harry ont en apparence retrouvé un semblant de tranquillité, eux qui ne supportaient plus le harcèlement quotidien subi au Royaume-Uni. Exilés à Los Angeles, les Sussex sont désormais barricadés dans leur villa de Santa Barbara, à l'abri des regards indiscrets. Pourtant, la duchesse de Sussex commence à craindre pour sa sécurité et celle de sa famille. Récemment, des clichés avec son fils Archie ont émergé dans les médias américains, sans son accord.

Des photos volées qui ont plongé le couple dans une colère noire, eux qui mettent tout en oeuvre pour protéger l'intimité de leur fils. Invitée dans le podcast Royally Obsessed, l'experte royale Elizabeth Holmes a expliqué être très inquiète pour la sécurité des Sussex, qui ne sont pas protégés par la loi aux Etats-Unis. "Je m'inquiète pour la sécurité d'Archie et de Meghan. Nous ne devons nous montrer solidaires et ne pas pas partager ces photos", a-t-elle déclaré. Si l'Europe et le Royaume-Uni ont des lois sur le droit à l'image qui protègent notamment les personnalités publiques, les Etats-Unis ont un système complètement différent.

Si les Sussex possèdent une importante équipe de sécurité pour les protéger au quotidien, il semble difficile d'empêcher les paparazzis de prendre des clichés de leur enfant, comme l'a expliqué l'experte royale Marlene Koenig à L'Express.co.uk. "Si Meghan et Harry marchaient dans la rue, je pourrais les suivre avec un appareil photo et les photographier, ils ne pourraient rien y faire", a-t-elle expliqué. Enceinte de son deuxième enfant, Meghan Markle tente désormais de faire profil bas, après une grande exposition après son interview avec Oprah Winfrey. Si les Etats-Unis ont instauré des lois protégeant les enfants des photographes, Marlene Koenig rappelle que certains médias américains ont invoqué le premier amendement sur la liberté de la presse pour défendre leur cas.

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