06 novembre 2024

Clara Morgane : l'actrice revient sur son passé dans le X qu’elle n’a « jamais regretté »

Un passé qu'elle ne cache pas. Alors qu'elle est aujourd'hui connue pour ses spectacles de cabaret et son calendrier sexy, Clara Morgane n'a pas honte de son passé sans le X. Invitée du BuzzTV, la femme d'affaires a abordé, sans esquiver les questions, sa brève carrière dans cette industrie, un passé souvent évoqué par les médias. Si elle en est très loin aujourd'hui, elle considère ce passage comme une étape nécessaire dans son parcours. "J’ai eu plein d’étapes, mais je n’ai jamais regretté de la vie", a-t-elle assuré. "C’est mon parcours", a continué Clara Morgane.

Et d'ajouter : "Je devais passer par la compréhension de l’essence du mot ‘jugement’. Loin de l'image de star du X qui lui colle encore à la peau, Clara Morgane s’est affirmée, au fil des années, en tant que productrice de spectacles et autrice.

Désormais reconnue pour son cabaret à Paris, Clara Morgane s'exprime sur scène et dans ses écrits, se sentant plus proche du monde artistique que du cinéma pour adultes où elle a pourtant débuté. "Je ne me suis jamais sentie actrice, même aujourd’hui, je suis productrice de spectacle, j’écris des livres, je me sens même plus écrivaine qu’actrice", ajoute-t-elle, rappelant que cette brève période s’est déroulée aux côtés de son compagnon de l’époque, Greg Centauro. Si elle assume pleinement ce chapitre de sa vie, Clara Morgane regrette que certains se focalisent fréquemment sur cet épisode pour attirer l’attention, au détriment de ses autres réalisations.

"J’étais un peu énervée là-dessus, parce que je ne voulais pas être ‘juste’ ça. C’est très facile pour la presse de faire beaucoup de clic, avec des mots-clés comme ‘X’ ou ‘Ex’, et moi ça me soule, je n’ai pas envie d’être une ‘Ex’, toute ma vie !" confie-t-elle. "Ça a existé et c’est pour ça que je suis connue, il n’y a pas de problème, par contre, on ne peut pas évincer les vingt années qui ont suivies et les multitudes d’expériences artistiques", conclut Clara Morgane.

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