Ce n'est un secret pour personne, Vaimalama Chaves est loin d'avoir sa langue dans la poche. Au mois d'août dernier, la jeune femme a poussé un violent coup de gueule sur les réseaux sociaux en raison du comportement de certains touristes qui font le choix de se rendre en Polynésie et sont choqués de découvrir que le vouvoiement n'est pas employé sur le territoire.
"Loin d'être insultante, la Polynésie s'offre à ceux qui viennent la découvrir. Avec en reflet tout le respect qui lui sera donné. Aujourd'hui, je suis frustrée, agacée, dégoûtée, (oui dégoûtée) de voir les Polynésiens devoir s'accommoder au vouvoiement parce que certains Français n'ont pas compris où ils allaient", a-t-elle déclaré, avant de poursuivre : "Si vous n'êtes pas prêts à vivre une immersion culturelle dans un pays tels que le nôtre, que vous n'êtes pas prêts à vous accoutumer à qui nous sommes pour imposer qui vous êtes chez vous, changez de destination". Une déclaration qui a fait beaucoup de bruit sur les réseaux sociaux. Néanmoins la jeune femme n'a pas fini de régler ses comptes sur la Toile.
Ce mercredi 6 septembre, c'est sur un tout autre sujet que Miss France 2019 a souhaité s'exprimer. Cette fois-ci, la compagne de Nicolas Fleury est choquée par le comportement de ses voisins qui lui ont fait part d'une demande assez particulière par le biais d'un mot laissé sur sa porte d'entrée. "Serait-il possible que l'on puisse se voir pour faire une photo de nous tous ? Cela serait un honneur pour nous. Sachez que les photos ne seront pas diffusées sur les réseaux sociaux", est-il écrit sur la photo d'un mot partagée en Story sur Instagram.
Cette demande, Vaimalama Chaves ne l'a visiblement pas appréciée. "Je ne peux qu'imaginer qu'en vrai ça peut faire plaisir de rencontrer quelqu'un de connu, bien sûr ! Mais je crois qu'il est important de se rappeler d'une chose essentielle : les limites ! (...) C'est toujours un plaisir de rencontrer des gens respectueux et polis, qui viennent vers moi pour discuter et échanger ensemble, partager un instant. Pourtant, je dois ici vous faire part de comment je me sens ! Venir jusqu'à l'endroit où je dors, pour moi c'est dépasser les limites (...) Comment apprécier un moment de partage qui aura été forcé ?", a-t-elle écrit.
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