S'il est un débat qui passionne l'Hexagone en ce moment, c'est bien celui autour de la vaccination ! Entre les pro et antivax, les débats peuvent être animés. Les people n'échappent pas à la règle et certains n'hésitent pas à se tacler sur fond de liberté d'expression. Michel Cymes, bien connu pour son franc-parler, n'a jamais caché sa position en faveur de la vaccination. Le médecin et chirurgien spécialisé en otorhinolaryngologie, mais qui a récemment pris sa retraite anticipée pour se consacrer à son activité média, est contre les personnes refusant catégoriquement le vaccin. Il n'hésite pas à le faire savoir auprès des personnalités qui vont à contre-courant, comme Sophie Marceau qui a émis certaines réserves concernant la vaccination massive. "Je pense que quand on est connu et qu'on va contre l'avis des plus grands scientifiques mondiaux, on ferait mieux de se taire et de garder son avis pour soi", avait-il déclaré dans Télé Star en juillet dernier.
Invité sur les ondes d'Europe 1 en ce mercredi 18 août, Michel Cymes a cette fois-ci donné son avis plus global sur l'ensemble des antivax de l'Hexagone. Et le moins que l'on puisse dire est qu'il n'a pas mâché ses mots.
"Je vais vous dire, nous sommes 66 millions de Français, il y a 200 000 personnes qui manifestent dans les rues dans toute la France. Je pense qu'il faudrait arrêter d'en parler, parce qu'ils ne représentent rien", a déclaré le médecin le plus célèbre de France. "L'énorme majorité des Français est pour la vaccination, pour le pass sanitaire. Il n'y a pas d'autre solution aujourd'hui", a poursuivi l'ancien acolyte de Marina Carrère d'Encausse. "Il y a 200 000 personnes égoïstes qui se baladent dans les rues en criant des slogans dont certains dépassent complètement le cadre sanitaire, puisqu'il y a des pancartes antisémites", s'est insurgé le scientifique de 64 ans. "Je crois qu'il faut arrêter d'en parler, ces gens-là ne représentent rien", a-t-il de nouveau répété, avant de conclure, "Ce sont des égoïstes qui ne pensent qu'à eux et pas à la collectivité". Voilà qui est dit ! Mais pas sûr que cela fasse avancer beaucoup le débat...
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