Quand une faiblesse devient ce qui nous fait briller. Christophe Hondelatte est un journaliste très apprécié par les téléspectateurs français. En effet, son émission de radio Hondelatte raconte, diffusée sur Europe 1 quotidiennement, mais aussi sur Canal+ Doc le week-end, où le programme est adapté en série de dix épisodes de 26 minutes, revient sur des faits divers qui ont bouleversé les villes et petites communes du monde entier. Pour la première saison, Hondelatte raconte a enregistré huit millions d'écoutes par mois. C'est le troisième podcast le plus écouté au sein du territoire national.
Cette popularité est notamment due à la voix grave et inquiétante de son présentateur, grâce à laquelle il a réussi à se créer une identité parmi la multitude de journalistes qui travaillent au sein des différents médias francophones. À l'occasion du lancement de la deuxième saison, samedi 5 octobre 2024, le conteur d'histoires sordides a évoqué ses secrets sur le plateau du Buzz TV ce mardi 1er octobre 2024.
À l'âge de 62 ans, Christophe Hondelatte a toujours des révélations à faire sur son expérience au sein du paysage médiatique français. Il a notamment révélé auprès de nos confrères du Figaro que sa voix, qui est sa marque de fabrique, était malgré lui un pur façonnage médical.
"Ma voix a changé quatorze fois. Cela fait vingt ans que j'ai des problèmes de voix. J'ai été opéré trois fois d'un polype et je devrais me faire réopérer un de ces quatre. Car ce polype revient. Plus il est gros, plus la voix et grave et belle. Et au bout d'un moment, il est inopérant. Quand je sors de l'opération, ma voix est un peu cassée, il faut faire avec", a-t-il confié sur ses problèmes de santé.
Les polypes des cordes vocales sont des excroissances ou des bosses non cancéreuses, semblables à des callosités sur la main, qui sont assez courantes chez les personnes qui passent beaucoup de temps à parler ou encore à chanter, comme les enseignants, les chanteurs, ou encore les journalistes tels que Christophe Hondelatte. Ce dernier a fait d'une contrainte médicale une véritable force.
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