À 50 ans, Guillaume Canet enchaîne les projets, et ne semble pas près de s’arrêter. Réalisateur prolifique, il a offert aux fans du gaulois réfractaire le plus populaire de France un tout nouveau film Astérix, intitulé Astérix et Obélix: L’empire du milieu. Long métrage qui a attiré 4,6 millions de spectateurs en salle. Un film dans lequel il dirige son épouse, Marion Cotillard, dont il a vanté le talent sur le plateau de 20h30 le dimanche, ce dimanche 17 septembre : “Elle me bluffe dans la vie car elle fait un chemin extraordinaire, et dans sa carrière, je suis extrêmement admiratif (...) À chaque fois je suis subjugué par l’intensité qu’elle met dans ses personnages et le travail qu’elle fournit pour être à la hauteur de ce qu’on lui demande”.
Ce mois de septembre, Guillaume Canet est à nouveau sur le devant de la scène grâce à deux événements particulièrement importants. Le premier est son rôle de président du jury de la 49ème édition du Festival du film américain de Deauville. Le second : sa présence à l’affiche du film de genre Acide réalisé par Just Philippot. Un long métrage pour lequel le comédien est actuellement en promotion, n’hésitant pas à se livrer sur l’un de ses plus gros défaut dans la vie.
Après avoir passé de nombreuses années à officier en tant que réalisateur, Guillaume Canet s’est laissé dirigé dans le film Acide, réalisé par Just Philippot, film dont le tournage a fait beaucoup de bien à l’acteur : “Là en plus je sortais d’un projet qui avait duré cinq ans ! Me retrouver sur un plateau avec Just Philippot, quelqu’un avec qui j’avais énormément envie de travailler ayant adoré La Nuée [le précédent film du réalisateur, ndlr], oui j’étais très très heureux” a-t-il confié à nos confrères de TF1.
En pleine promotion pour le film qu’il a présenté au festival de Cannes en mai dernier, et qui sort en salle ce mercredi 19 septembre, Guillaume Canet s’est confié sur un de ses défauts, déclarant au Monde, qu’il est un “brin obsessionnel”, avouant que son “intransigeance a été à deux doigts de foutre en l’air sa vie privée”. Une intransigeance sur laquelle il admet tenter de travailler : “Vouloir tout contrôler, c’est un peu chiant pour les autres [...] J’essaie maintenant de l’appliquer dans ma vie de tous les jours. Je m’efforce d’arrêter de tout vouloir diriger, car ce n’est qu’une source de déception : les choses ne se passent jamais exactement comme on veut. Je découvre qu’il est appréciable de se laisser surprendre par la vie”.
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