En mars dernier, dans une interview explosive accordée à la prêtresse de la télévision américaine Oprah Winfrey, Meghan Markle a évoqué son mal-être au sein de la famille royale. Au point que lorsqu'elle était enceinte de son premier enfant Archie, la duchesse de Sussex a pensé au suicide. "Je ne voulais juste plus être en vie. Et c’étaient des pensées constantes, terrifiantes, réelles et très claires", a-t-elle confié sur CBS. Torturée par ses idées noires, l'épouse du prince Harry aurait tenté de chercher de l'aide : "Et je suis allée voir l’institution, et j’ai dit que j’avais besoin d’aller quelque part pour obtenir de l’aide. J’ai dit que je ne m’étais jamais sentie comme ça avant (...) et on m’a dit que je ne pouvais pas, que ce ne serait pas bon pour l’institution", a-t-elle dénoncé à Oprah Winfrey.
Aujourd'hui, Meghan Markle "va beaucoup mieux". Invitée sur le plateau d'Andrew Ross Sorkin dans le DealBook Online Summit ce mardi 9 novembre, l'épouse du prince Harry a tenu à rassurer sur son état de santé. Une amélioration qui s'est enclenchée dès que le couple a renoncé à ses fonctions royales.
Dans cette interview choc, Meghan Markle a également dénoncé le racisme au sein de la famille royale. La duchesse de Sussex a dévoilé les inquiétudes sur la couleur de peau de son enfant, le petit Archie, qui lui ont été rapportées par le prince Harry."Mais il a voulu s’assurer que je sache (...) que ce n’était ni sa grand-mère, ni son grand-père", a déclaré la mère des petits Archie et Lilibeth.
Un mal-être qui a encouragé le couple a quitté le Royaume-Uni. "Pour Harry, c'était soit Meghan, soit la monarchie", a affirmé Andrew Morton dans son livre Meghan and the Unmasking of the Monarchy, et cité par The Mirror. Selon le biographe, les négociations entre le prince Harry et Oprah Winfrey étaient déjà en cours six mois après leur mariage en 2018.
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