Une décision prise par la Commission européenne qui crée la controverse. En effet, l'institution vient d'autoriser à nouveau la vente des farines animales alors qu'elles étaient interdites depuis la propagation de la maladie de la Vache Folle. Par le passé, une étude avait démontré qu'elles étaient nocives pour les animaux qui les consomment. Ce changement pourrait donc avoir des conséquences dramatiques sur les élevages. Un sujet qui touche Karine Le Marchand.
Face à cette nouvelle, l'animatrice de l'Amour est dans le pré a fait part de son indignation. Pendant des années, cette dernière a côtoyé de nombreux agriculteurs ce qui lui a permis d'être sensibilisée à leur travail et de s'engager dans la cause au côté de ses protégés. Dans sa story Instagram publiée ce mercredi 25 août, Karine Le Marchand a donc écrit : "J'ai mal à ma France" et a également interpellé le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie pour qu'il change d'avis.
Quand l'ami de Stéphane Plaza a quelque chose à dire, elle n'y va pas par quatre chemins. À plusieurs reprises, Karine Le Marchand a utilisé son compte Instagram avec ces 588 000 abonnés pour pousser des coups de gueule en espérant être entendue et relayée. Comme lors des manifestations anti-pass sanitaire et vaccination obligatoire à Metz. Une jeune femme a brandi une pancarte avec le nom de 13 personnalités et la mention "traîtres". Il s'agit de noms qui n'ont pas de lien direct avec la crise sanitaire du Covid-19 mais qui ont en commun une appartenance réelle ou supposée à la communauté juive. L'inscription "Mais qui ?", que l'on peut lire également dans ce slogan, avec le "q" dominé de cornes, est une référence bien connue dans la sphère des complotistes antisémites. Un choc pour Karine Le
Marchand qui a relayé la photo en écrivant : "Mais quelle honte" !
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