Britney Spears a vu le documentaire que le New York Times lui a consacré. Dans Framing Britney Spears, sa tutelle est passée au crible et notamment le mouvement #FreeBritney qui demande qu’elle soit levée. La chanteuse confirme que ce qu’il se passe en coulisses est très loin des paillettes qu’elle offre sur scène. « Chaque personne à sa propre histoire et son point de vue sur la vie des autres !!! Nous avons tous des vies différentes, lumineuses et merveilleuses !!! Souvenez-vous que, peu importe ce que vous pensez connaître de la vie de quelqu’un, ce n’est rien comparé à ce que vit la personne derrière l’objectif !!! », a-t-elle écrit sur son compte Instagram.
Pour illustrer son propos, Britney Spears a choisi une vidéo d’elle sur scène, interprétant Toxic dans l’émission Dick Clark’s New Year’s Rockin’Eve 2018. « J’adorerai toujours être sur scène, mais je prends du temps pour apprendre à être une personne normale… J’aime profiter des choses simples du quotidien », a-t-elle ajouté. Une référence non voilée au message qu’elle a fait passer au juge qui supervise sa tutelle : elle ne remontera pas sur scène tant que son père sera en charge de ses affaires.
Le rôle de Jamie Spears est abordé dans le documentaire et le compagnon de la star, Sam Asghari, a un message très cash pour lui. « Il est important que les gens sachent que je n’ai aucun respect pour quelqu’un qui essaye de contrôler notre relation et qui met des obstacles constamment sur notre route. De mon point de vue, Jamie est un connard fini. Je ne rentrerai pas dans les détails parce que j’ai toujours respecté notre intimité, mais en même temps, je ne suis pas venu dans ce pays [il est né en Iran] pour ne pas avoir la liberté de dire ce que je pense », a écrit, en Story Instagram, celui qui est en couple avec Britney Spears depuis 2016.
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