10 janvier 2021

Nicolas Bedos : sa prise de position pour la vaccination lui vaut les foudres de ses followers

Le message est clair. Dans un post Instagram, publié sur son compte personnel ce samedi 9 janvier, Nicolas Bedos invite les internautes à se faire vacciner contre le coronavirus. Le cinéaste de 41 ans, qui a vécu une année 2020 compliquée à la suite des décès de son père, Guy, et de sa marraine, l’ancienne avocate Gisèle Halimi, écrit dans un premier temps : "J'incite à la vaccination parce qu'on a bien compris que c'était le seul moyen pour désengorger les services de réanimation et autoriser ce gouvernement de pleutres à nous permettre à nouveau de vivre ensemble. Aucun retournement de veste, juste l'envie d'en finir avec le piétinement de nos libertés."

Très engagé, Nicolas Bedos, qui a signé dernièrement l'appel de 200 personnalités de la culture qui veulent se faire vacciner, n'hésite pas à s'attaquer au gouvernement dans la suite de son message : "Autour de moi, des gens se noient un peu plus chaque semaine. La trouille léthargique de ce gouvernement de technocrates est une baffe dans la gueule de celles et ceux qui vivent par et pour la culture et la restauration (entre autres). Dans la fin de sa publication, le fils de Guy Bedos affirme à nouveau ses convictions : "Alors oui, quoiqu'on pense du vaccin : vaccinons-nous, qu'on puisse enfin se retrouver (et leur crier, sans masque, ce qu'on pense de leur conception de l'«essentiel»."

Cette prise de position pro-vaccin a suscité des réactions contrastées de la part des internautes. Si l'un d'entre eux a indiqué vouloir se désabonner du compte, traitant le cinéaste "d'opportuniste", d'autres se sont demandé si ce n'était pas "un compte hacké" ou une plaisanterie : "On est d'accord qu'on attend tous un 2ème post : celui qui va dire « je plaisante »." Les principales réactions lui reprochent notamment de croire que les masques ne seront plus utiles après la vaccination, telle cette internaute qui affirme : "Mais même vaccinés, nous devrons encore porter le masque". Finalement, d'autres se montrent plus radicaux et surtout anti-vaccin : "Dommage, je vous aimais bien. Espérons que vous aurez quelqu'un pour s'occuper de vous quand vous souffrirez des effets secondaires."

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