29 juillet 2020

Alexa Chung : cette maladie dont souffre l'actrice qui lui donne des douleurs "atroces"

Alexa Chung a décidé de prendre la parole sur l'une de ces maladies encore peu connues : l'endométriose. A 36 ans, l'animatrice de télévision et mannequin anglaise s'est exprimée sur Instagram afin de sensibiliser sur ce trouble douloureux. Elle qui a eu, dit-elle "le privilège d'être comprise et écoutée".

"L'endométriose est une affection à long terme dans laquelle des tissus similaires à la muqueuse de l'utérus se développent à d'autres endroits, tels que les ovaires et les trompes de Fallope", a-t-elle commencé, en légende d'une photo de ses pieds, prise avant une une chirurgie laparoscopique.

Puis elle a expliqué : "Cela peut être atroce. La douleur peut affecter votre santé mentale, votre capacité à travailler, vos relations, votre fertilité, la liste est longue. La seule façon de diagnostiquer officiellement que vous l'avez est d'effectuer une laparoscopie". Alexa Chung espère, grâce à ce message, faire connaître davantage l'endométriose qui touche une femme sur dix et, peut-être, "aider quelqu'un à reconnaître ce qu'il a plus tôt".

Alexa Chung n'est pas la première à parler ouvertement de l'endométriose. L'actrice française Laëtitia Milot en souffre depuis des années et n'hésite pas à prendre la parole sur le sujet dès qu'elle en a l'occasion. Devenue maman d'une petite Lyana, son "bébé miracle" en mai 2018, elle confiait en février 2020 qu'elle ne pourrait plus donner la vie à cause de sa maladie. Enora Malagré fait aussi partie de ces femmes à être souffrante et a confié s'être "noyée dans l'alcool pour surmonter son endométriose"."Tout ce qui touche à l'organe féminin, l'utérus, le vagin, c'est compliqué d'en parler. Les gens n'osent pas, les femmes ont honte et les hommes sont gênés", avait-elle lâché. L'actrice Lena Dunham a pris une décision radicale pour en finir avec la maladie. A 31 ans, elle s'est fait retirer l'utérus et le col de l'utérus pour ne plus ressentir de douleurs. Celle qui ne pourra jamais donner la vie de manière naturelle espère tout de même fonder une famille.

Roman Polanski : pourquoi le réalisateur est poursuivi en justice pour diffamation

Les ennuis judiciaires continuent pour Roman Polanski. Selon les informations de 20 Minutes, le réalisateur est visé par une nouvelle plainte. C'est l'actrice britannique Charlotte Lewis qui l'attaque pour diffamation, après les propos qu'il a tenus à son égard dans une interview accordée à Paris Match en décembre dernier. La comédienne l'a accusé de l'avoir violée en 1982, alors qu'elle avait 16 ans à Paris. A nos confrères, le réalisateur dénonçait "un mensonge odieux". "Elle a porté cette accusation en 2010, quand j'étais emprisonné en Suisse, dans l'attente de la décision sur l'extradition. Elle a dû oublier que, onze ans auparavant, en 1999, (...) elle a fait une interview, où elle déclare : 'J'étais fascinée par lui, je voulais devenir sa maîtresse' puis 'Je le désirais sans doute plus qu'il ne me voulait'", continuait Roman Polanski, alors en pleine tourmente après la sortie de son film J'accuse.

"C'est une interview longue et détaillée, où elle confesse par ailleurs : 'Je ne sais plus combien d'hommes ont couché avec moi pour de l'argent. J'avais 14 ans'", répondait-il auprès de Paris Match, expliquant qu'il "faudrait interroger des psys, des scientifiques, des historiens" pour comprendre Charlotte Lewis, qu'il voulait "hors de (s)a vie". Quelques mois après la publication de cette interview, la comédienne de 52 ans a porté plainte pour diffamation. Elle "considère que cette interview porte atteinte à son honneur et à sa considération", explique l'entourage de l'actrice à 20 Minutes. Toujours selon nos confrères, elle souhaite se constituer partie civile auprès de Sabine Khéris, la doyenne des juges d'instruction du tribunal de Paris, et ainsi, ouvrir une information judiciaire. L'avocat de Roman Polanski a expliqué ne pas être "informé" de cette plainte et ne vouloir faire "aucun commentaire".

Charlotte Lewis avait accusé Roman Polanski de l'avoir violée en plein Festival de Cannes en 2010. Elle expliquait alors avoir été "abusée sexuellement de la pire façon possible" par le cinéaste à l'âge de 16 ans : "M. Polanski savait que je n'avais que 16 ans quand nous nous sommes rencontrés, et il m'a forcée dans son appartement à Paris. Tout ce que je veux, c'est que justice soit faite". Après ses propos, un article du journal News of the world avait été exhumé. Dans celui-ci, elle expliquait le "désirer probablement plus que lui ne (la) voulait". "Je savais que Roman avait fait quelque chose de mal aux Etats-Unis, mais je voulais être sa maîtresse", continuait Charlotte Lewis. Des propos dont Roman Polanski se sert pour se défendre. En décembre dernier dans les colonnes de L'Obs, l'actrice confiait : "Je n'aurais jamais dû parler. J'aurais juste dû la fermer. Parce que je n'avais pas pensé à tout ce qui allait arriver (...) J'ai beaucoup pleuré. Je me suis sentie seule."

Kanye West : ce conseil de Justin Bieber à propos de sa femme Kim Kardashian

Quelques jours après son premier meeting de campagne pour la présidentielle américaine, Kanye West est parti se réfugier dans son ranch à Cody, situé dans le Wyoming. Le rappeur y a passé plusieurs jours sans sa famille, avant de finalement être rejoint par son épouse Kim Kardashian, dans la journée du lundi 27 juillet. C'est la première fois que le couple se retrouvait depuis Kanye West avait donné son meeting en Caroline du Sud, pendant lequel il était en proie à une crise de bipolarité. Une fois réuni, le couple a été photographié dans une voiture, avec Kim Kardashian en larmes.

Plusieurs jours après avoir laissé son mari seul, Kim Kardashian qui cherche avant tout à protéger leurs enfants, a donc décidé de prendre l'avion. L'influenceuse et star de télé-réalité ne supportait plus le silence de son époux, qui l'ignorait volontairement. "Elle est très émotive sur tout en ce moment, et aussi très fatiguée. Elle se sent vraiment blessée par Kanye. Elle a essayé de le joindre plusieurs fois, et il n'a fait que l'ignorer. Tout cela est une très mauvaise situation. Elle a décidé de prendre l'avion jusque Cody pour lui parler en personne. Elle ne veut plus être ignorée", a confié une source proche à People.

Finalement, Kanye West a accepté de discuter avec son épouse, notamment suite à des conseils de Justin Bieber. Le chanteur canadien qui connaît très bien le rappeur, s'est rendu au ranch de Kanye West, vendredi 24 juillet, pour l'aider dans la période difficile qu'il traverse. Selon les informations de People, "Justin veut être un soutien pour Kanye", a confié une source proche. Justin Bieber est donc venu au ranch de la star, accompagné de son épouse Hailey, pendant que Kim Kardashian et leurs quatre enfants eux, étaient à Los Angeles. "Justin sait que Kanye a fait de nouvelles musiques [à Cody] et il est conscient de la pression que c'est de produire de la musique", ajoute People.

En plus du domaine artistique, Justin Bieber soutient aussi son ami pour une autre raison. Le jeune homme de 26 ans est plus que compréhensif quand on en vient aux problèmes mentaux, notamment car "Justin a lui même lutté pendant longtemps avant de trouver de l'aide", apprend-on. Sans filtre, Justin Bieber a déjà confié avoir lutté contre une dépression, en 2019.

Coco Rocha attend son troisième enfant

Jamais deux sans trois ! Le mannequin de renom Coco Rocha est enceinte de son troisième enfant. Le top-model de 31 ans a annoncé l'heureuse nouvelle mercredi 29 juillet à la fois sur son compte Instagram, mais aussi à travers le magazine People auquel elle a accordé une interview mercredi 29 juillet. Coco Rocha et son époux James Conran, qui sont déjà les parents de deux enfants, une fille Ioni âgée de 5 ans et un garçon Iver âgé de 2 ans, s'apprêtent donc à agrandir leur famille.

D'ici quelques mois, Coco Rocha et son époux deviendront les parents d'une petite fille. "Nous attendons une fille, donc sa grande sœur [Ioni] était très excitée", a expliqué le mannequin qui est actuellement enceinte de 5 mois et demi. "Elle adore avoir un petit frère, et elle nous a dit un truc du genre : 'J'en ai déjà un. Donc autant en avoir un autre, une autre version'", a confié Coco Rocha, avant d'ajouter que sa fille Iver veut elle aussi avoir son rôle de petite maman. "Pour elle ça va être comme avoir une petite poupée", a-t-elle ajouté.

Dans son entretien, Coco Rocha a expliqué qu'elle et son époux désiraient un troisième enfant depuis un petit moment, et que les deux tourtereaux ont appris l'heureuse nouvelle juste avant le confinement, lié à l'épidémie de Coronavirus. "Nous étions tous excités pour cette grossesse et puis le Covid est arrivé. Nous nous sommes dit : 'Eh bien, au moins, nous savons que nous allons avoir un troisième enfant, et nous allons surmonter cette période", a-t-elle expliqué.

Pendant la période de confinement, Coco Rocha a vécu une grossesse sans complications, et en bonne santé. "Je ressens ma grossesse comme celle de Ioni et Iver. Je n'ai jamais vraiment été malade, et je me suis toujours sentie bien tout au long. Mais la différence avec cette grossesse, c'est de rester à la maison et de ne pas pouvoir sortir comme d'habitude. C'est assez étrange de ce côté là, mais je me sens très chanceuse d'être enceinte et d'avoir une famille autour de moi", a-t-elle conclu. Coca Rocha et son époux sont toujours en train de chercher le prénom que portera leur seconde fille. Ils aimeraient un prénom à quatre lettres qui commence par un "i", comme pour leurs deux aînés.

Léa Seydoux : ses rares confidences sur son fils George

Elle est une femme et une maman comblée. Le 18 janvier 2017, Léa Seydoux est devenue mère pour la première fois. Elle et son compagnon le mannequin André Meyer ont donné naissance à un fils, qu'ils ont prénommé George. Trois ans et demi après la naissance de son petit bout, la jeune femme âgée de 35 ans s'est confiée sur son accouchement, dans les colonnes du magazine Psychologies, à l'occasion d'une interview croisée avec le psychiatre Christophe André, qui est un ami à elle. En toute transparence, l'actrice a expliqué qu'elle était angoissée avant l'arrivée de son fils.

Si Léa Seydoux était stressée et inquiète pour son accouchement, ce n'était pas car elle craignait la douleur, mais car elle appréhendait la vague d'amour qui l'attendait. "Je n'ai pas peur de l'accouchement, mais de l'amour que je vais ressentir", avait-elle confié à la sage-femme qui s'occupait d'elle. "J'étais terrorisée à l'idée de rencontrer la personne dont je savais que je l'aimerais plus que tout au monde. L'amour que j'ai pour mon fils dépasse tout ce que j'ai pu connaître", a-t-elle expliqué. Dans son entretien, Léa Seydoux n'a pas caché les difficultés qu'elle rencontre avec son nouveau rôle de mère. "Je trouve qu'être une mère est éreintant, difficile et très éprouvant ! Franchement, certains jours je n'en peux plus !", a ajouté la James Bond Girl française.

Si auparavant la jeune Léa Seydoux se rêvait en mère parfaite, la brutalité du quotidien l'a rattrapée, mais elle s'en amuse. "Des années en arrière, je me disais : 'Quand je serai mère, je ne ferai pas ceci, je ne serai pas cela'. Eh bien, si : je fais et je suis tout ça", a-t-elle expliqué en plaisantant. Enfin, l'actrice qui sera prochainement à l'affiche de The French Dispatch de Wes Anderson, a confié qu'elle cherche à donner une éducation multiculturelle à son fils de 3 ans et demi, et qu'elle veut qu'il grandisse avec une ouverture d'esprit comme ses parents. "Je l'ai emmené partout très tôt, pour qu'il rencontre d'autres cultures, entende d'autres langues... Je suis contente de voir qu'il n'a pas peur des gens", a-t-elle conclu.

Brigitte Bardot dénonce une "escroquerie de taille " et réclame des dommages et intérêts à cause d'une publicité

Brigitte Bardot ne plaisante pas avec son image. Abonnée aux polémiques depuis plusieurs années pour les propos souvent douteux qu'elle tient, l'actrice entretien la réputation de dire tout haut ce qu'elle pense. Et lorsqu'il s'agit de dénoncer une publicité mensongère, elle ne passe pas par quatre chemins. Sur son compte Twitter, elle a ainsi dénoncé ce qu'elle qualifie d'"escroquerie de taille", elle qui lutte contre l'exploitation abusive de son image.

"Je tiens à signaler que cette publicité de vente d'une luxueuse villa qui m'aurait appartenue à Peymeinade [a été] inventée par l'agence Barnes pour s'en servir de publicité", explique ainsi la comédienne de 85 ans, qui assure ne pas connaître cette propriété. "Je n'y ai jamais mis les pieds, je n'en suis pas propriétaire et mon avocat intente un procès en dommages et intérêts à l'agence Barnes", a ainsi annoncé Brigitte Bardot, avec au passage une pet

La Madrague semble donc être l'une des seules maisons où Brigitte Bardot a vécu, elle qui a installé dans sa propriété désormais légendaire de Saint-Tropez le siège de sa fondation pour la défense des animaux. Un lieu qui lui est cher et qu'elle ne quitte désormais plus, elle qui y a également passé le confinement, et ce, bien entourée de ses chats et de ses chiens. De quoi la rassurer, elle qui ne s'est pas un seul instant montrée inquiète pour sa santé.

"Je ne suis pas du tout inquiète. Ce qui doit arriver, arrivera. En même temps je ne vois personne et je ne sors pas de chez moi", avait-elle précisé auprès du JDD en avril dernier, précisant qu'une bonne alimentation était primordiale pour rester en bonne santé. "Je n'ai pas de médecin (...) ça fait quarante ans que je ne mange plus de viande. Je me contente de légumes, d'oeufs et de salade", avait-elle précisé, également pessimistes sur les changements de l'après confinement.

Prince Harry : cette mauvaise habitude qui le met souvent hors de lui

Les critiques l'ont probablement poussé à prendre la tangente. Le 31 mars dernier, Meghan Markle et le prince Harry ont officiellement renoncé à leurs obligations royales et à leur statut de membres seniors de la famille royale britannique. Une décision mûrement réfléchie pour le couple désormais installé à Los Angeles avec leur fils Archie, tandis que les liens avec les Windsor ne sont pas au beau fixe, entre bisbilles entre le prince Harry et son frère William et des rapports quasi-inexistants qui se sont arrêtés à la plus simple des politesses entre Meghan Markle et Kate Middleton.

Mais il y a une bête encore plus noire que le prince Harry lui ne pouvait pas supporter davantage : les médias, mais aussi, les "trolls". Des commentaires anonymes à propos du couple qui envahissent les réseaux sociaux et que le prince Harry avait pris la mauvaise habitude de lire, comme le rapportent Omid Scobie et Carolyn Durand dans leur livre Finding Freedom. "Où est le positif ? Pourquoi sont-ils si misérables et coléreux ?", s'est-il même parfois demandé en faisant défiler les message haineux sur son portable.

Mais si le prince Harry et Meghan Markle ont leurs détracteurs sur les réseaux sociaux, ils se trouve que certaines de ces critiques étaient tout simplement dues à des faits rapportés dans la presse par "la vieille garde", ces employés de Buckingham Palace qui sont là depuis toujours et qui n'apprécient pas toujours la nouveauté, notamment celle déployée par le couple Sussex. Des "vipères" dont Lady Diana se méfiait également beaucoup, mettant même en garde son plus jeune fils. "Méfie-toi des hommes en costumes gris", lui aurait-elle un jour déclaré. Des "courtisans" de la famille royale qui "critiquent, attaquent, influencent les articles de presse", qui à l'époque faisaient déjà rage contre la princesse de Galles...

Angelina Jolie : son geste très coquin pour séduire Brad Pitt sur le tournage de Mr. et Mrs. Smith

Angelina Jolie et Brad Pitt ont formé un des couples les plus mythiques d'Hollywood. Les anciens tourtereaux, séparés depuis 2016, se sont rencontrés sur le tournage du film Mr & Mrs Smith, dans lequel ils jouaient justement un couple. A l'époque, Brad Pitt était encore marié avec Jennifer Aniston, une relation a priori sans nuage, jusqu'à ce qu'il croise la route de celle qui est devenue la mère de ses six enfants.

Pour séduire l'acteur, Angelina Jolie a mis le paquet. Ou plutôt devrait-on dire, elle l'a enlevé... Effectivement, selon des sources auprès de la presse anglophone, durant ses scènes de sexe avec Brad Pitt, l'actrice ne portait pas de sous-vêtement ! "A la fin, elle a esquivé le costume et a grimpé dans le lit nue, avec lui ! C'est le plus gros truc dont on se souvient du film", a détaillé l'informateur auprès d'Us Weekly. Gênant...

La révélation de l'idylle entre Angelina Jolie et Brad Pitt n'a pas surpris grand monde présent sur le tournage du film. "Je les ai déjà vus plusieurs fois en train de s'embrasser dans leur loge", a témoigné une source. Pour Jennifer Aniston, en revanche, le moment a été bien moins joyeux.

L'actrice et Brad Pitt étaient mariés depuis plusieurs années lorsque l'acteur a annoncé en 2005 sa rupture. Elle était loin de s'imaginer que son mari avait eu alors une liaison avec Angelina Jolie. Avant même que leur couple ne devienne officiel, la mère de famille expliquait combien elle avait "hâte" d'aller travailler chaque matin. Une déclaration que Jennifer Aniston a qualifié de "pas cool", étant donné sa situation. "Ce genre de détails était totalement inapproprié", s'était-elle scandalisée.

How To Sell Drugs Online (Netflix) : l'histoire vraie qui a inspiré la série allemande

Succès surprise depuis sa mise en ligne en 2019 sur Netflix, How To Sell Drugs Online (Fast) est une série allemande pop et décalée qui raconte l’histoire de Moritz (Maximilian Mundt), un jeune adolescent devenu l’un des patrons d’un des plus grands sites de revente en ligne de drogues. Le show, qui a déjà deux saisons au compteur, est inspiré d’une histoire vraie assez spectaculaire qui a fait grand bruit en 2015.

Relatée par Vice, l’histoire de Maximilian est hallucinante. En 2013, le jeune homme alors âgé de 18 ans crée le site Shiny Flakes sur le dark web pour vendre de la drogue depuis sa chambre d’ado. Contrairement au personnage de la série pop et teenage Netflix, Maximilian a agi seul grâce à son excellente maîtrise de la technologie et à son flair commercial. En quelques mois, il a réussi à développer une entreprise extrêmement lucrative en gagnant des millions via Bitcoin, des bénéfices qu’il a déguisés en les faisant passer pour des revenus d’une entreprise de conception de sites web.

Mais ses talents informatiques n’ont pas empêché Maximilian de se faire avoir par les autorités. En 2015, lors d’un rendez-vous régulier avec l’un de ses fournisseurs de trente ans son aîné, la police du nord de Leipzig n’est pas loin. Les forces de l’ordre passent alors à l’action et Maximilian, comprenant ce qu’il se passe, remonte dans l’appartement de sa mère pour débrancher les câbles de ses disques durs. Mais celui qui est devenu en l’espace de deux ans l’un des plus gros revendeurs en lignes d’Allemagne se fait arrêter avant d’avoir pu atteindre l’un des lecteurs contenant des éléments incriminants.

La police a pu remonter jusqu’à Maximilian grâce aux erreurs commises par ce dernier, dont une fatale. Le jeune homme a mal affranchi l’un de ses colis qui n’a pas été renvoyé à l’expéditeur mais placé dans un centre de courrier. Le colis, contenant un gros paquet de drogues, a finalement été ouvert. Après analyses et plans de surveillance, la police a finalement pu faire le lien avec Maximilian, qui utilisait les mêmes bureaux de poste pour envoyer les commandes à ses clients.

Pour le confondre, les forces de l’ordre ont commandé sur le site de Maximilian et ont surveillé sa résidence pour le prendre en flagrant délit. Le jeune homme a alors été arrêté dans sa chambre en possession de 320 kilos de drogues diverses pour une valeur de 4,1 millions d’euros. Maximilian a été jugé en tant que mineur et a écopé d’une peine de prison de sept ans. Il purge sa peine depuis 2015 mais il est autorisé à sortir durant la journée.

Lorsque le jeune homme a appris que Netflix allait adapter son histoire en série, Maximilian s’est littéralement présenté sur le plateau de tournage pour conseiller les équipes. C’est en tout cas ce qu’a confié Matthias Murmann, le créateur de How To Sell Drugs Online (Fast) dans un communiqué de l'AFP : "On pensait qu’il racontait des mensonges mais c’était bien lui. C’était très intéressant de connaître son état d’esprit". Selon Matthias Murmann, Maximilian a même montré à l’équipe de la série comment il rangeait ses colis de MDMA !

Mort de Jacqueline Sauvage : quand Muriel Robin incarnait la mère de famille victime de violences conjugales pour TF1

Le fait divers qui avait ému les Français en 2012 et avait soulevé de grands débats jusqu'aux hautes sphéres de l'état était devenu un film pour TF1 en 2018. Adapté du livre de Jacqueline Sauvage Je voulais juste que ça s'arrête, il mettait en scène Muriel Robin, sous la direction d'Yves Rénier, dans le rôle de cette mère de famille victime de violences conjugales, qui avait abattu son mari après une violence dispute. Condamnée à une peine de 10 ans de prison, un mouvement avait vu le jour pour défendre l'idée qu'il s'agissait de légitime défense. Après une longue mobilisation et médiatisation, le Président de la République François Hollande lui avait accordé la grâce présidentielle en janvier 2016. Plus de 8 millions de français avaient alors repondus présents.