29 novembre 2025

Batman, le défi : Michelle Pfeiffer garde un mauvais souvenir du costume de Catwoman

En 1992, Michelle Pfeiffer fait sensation en Catwoman dans le long métrage super-héroïque culte Batman, le défi de Tim Burton. Une étape majeure dans la filmographie de l'actrice américaine (qui aurait pu manquer le rôle qui a fait d'elle une star dans les années 80) mais une expérience très compliquée à vivre. La raison ? Le costume du personnage, particulièrement difficile à endosser.

"C’était le costume le plus inconfortable que j’aie jamais porté", racontait ainsi Michelle Pfeiffer au micro de The Hollywood Reporter en 2017, à l'occasion du 25e anniversaire de Batman, le défi. "Ils ont dû me poudrer, m’aider à l’enfiler, puis l'air était aspiré... (...) Ils appliquaient ensuite une finition à base de silicone pour lui donner son éclat caractéristique. J’avais ces griffes, que je devais accrocher sans arrêt. Le masque me comprimait le visage et m’étouffait… On a eu pas mal de problèmes à régler."

L'un des ces fameux "problèmes" ? "Au départ, ils n’avaient pas prévu d’accès aux toilettes dans la combinaison, il a donc fallu remédier à cela...", révèle Michelle Pfeiffer. Une Michelle Pfeiffer qui ne pouvait jouer une scène que quelques minutes avant de devoir desserrer son habit de cuir pour mieux respirer.

Le costume de Catwoman était un véritable sujet sur le tournage de Batman, le défi. La combinaison était à ce point moulante que Michelle Pfeiffer avait du mal du mal à entendre sa propre voix, ce qui l'amenait à parler plus fort et... à subir les remontrances de Tim Burton, qui lui indiquait de ne pas crier ses répliques ! Au final, plus de 40 costumes de Catwoman ont été utilisés pour les besoins du tournage.

28 novembre 2025

Zootopie 2 : "L’humour va redevenir quelque chose d’important chez Disney"

Dix ans après le succès milliardaire du premier Zootopie, Disney ramène Judy et Nick sur le devant de la scène. Comment éviter la redite avec Zootopie 2 ? On a posé la question au coréalisateur, scénariste et nouveau directeur créatif de Disney Animation (à lire dans le numéro 568 de Première, actuellement en kiosque, avec Avatar 3 en couverture). Jared Bush nous explique comment il a trouvé la formule magique, qui passe d’abord – et surtout – par une bonne dose d’humour.

Trop souvent limité (ou inégal) dans les derniers films du studio, le sens de la vanne doit redevenir une priorité pour Disney, selon Bush : "Je pense que l’humour va redevenir quelque chose d’important chez Disney dans les années à venir", dit-il à Première avant de tempérer : "Sauf que la comédie – je ne vais rien vous apprendre – c’est difficile. Ça demande beaucoup de boulot, beaucoup d’itérations et des choix absolument décisifs au montage : une image de trop et un gag peut s’écrouler."

Allant plus loin dans le détail, le réalisateur de Zootopie 2 insiste sur le timing de la vanne. Du gag.

"Cette question de timing est peut-être encore plus compliquée en animation, où il est quasi impossible d’improviser puisque tout prend du temps. Je suis très ouvert à l’humour et j’accepte toujours que la meilleure idée l’emporte lors des séances d’écriture. Mais je sais qu’on ne fait de grande comédie, et encore plus chez Disney, que si le rire va de pair avec l’émotion."

Avatar 4 se déroulera 8 ans après Avatar 3

Avatar : De Feu et de Cendres n’est pas encore sorti, mais déjà James Cameron pense à l’avenir de sa saga.

Il révèle qu'un gros saut dans le temps aura lieu entre les deux prochains volets : il se passera 8 ans entre la fin d'Avatar 3 et le début d'Avatar 4 !

Tout part d’une contrainte… très Cameronienne : la maîtrise totale de la continuité. Dans une longue interview à Vanity Fair, le réalisateur explique que l’essentiel d’Avatar 2 et Avatar 3 a été tourné sur une période de 18 mois. Un marathon : "Tous les acteurs ont travaillé pendant 18 mois. […] Tout ce que vous voyez faire ces personnages, ce sont les acteurs qui l’ont fait. Il a fallu 18 mois pour boucler les deux films."

Et parmi ces mois de capture, l’équipe a également tourné des scènes d’Avatar 4. Pourquoi ? Parce que les enfants de la famille Sully vieillissent, y compris dans l’histoire. Ainsi, pour rester cohérent : "Les personnages vont sauter d’environ huit ans entre la fin du 3 et le début du 4."

Une réalité biologique, donc, mais aussi narrative. Cameron voulait éviter de reprendre le tournage des scènes "enfants" plusieurs années plus tard, alors que les acteurs ne correspondraient plus.

"On a tourné ces scènes parce qu’on savait que les enfants ne seraient plus des enfants", résume-t-il. Parce qu'il avoue aussi ne pas savoir quand il pourra filmer la suite : "Il faut déjà qu’on gagne un peu d’argent avec les trois premiers..."

Avatar: De Feu et de Cendres arrivera au cinéma le 17 décembre 2025, tandis que Avatar 4 est attendu pour le 19 décembre 2029.

27 novembre 2025

Cette tenue osée de l’ambassadrice des Etats-Unis en Grèce suscite la polémique

Kimberly Guilfoyle est une ancienne chroniqueuse de Fox News. Elle avait ensuite quitté la chaine en juillet 2018 pour travailler pour un Super PAC de Donald Trump. Le 11 décembre 2024, le président américain l’a nommé ambassadrice des USA en Grèce.

La quinquagénaire n’est autre que l’ancienne belle-fille du chef d’État américain.  Ce 27 novembre, elle a suscité la polémique avec une tenue jugée très osée.

Fin 2024, Donald Trump avait une fois de plus créé la polémique en choisissant son ex-belle-fille et ancienne présentatrice de Fox News, Kimberly Guilfoyle, comme ambassadrice en Grèce. "Depuis de nombreuses années, Kimberly est une amie et une alliée proche", avait écrit le président sur son réseau Truth Social. Selon CNN et plusieurs tabloïds, au moment de cette décision, le couple formé par Donald Trump Jr. et Kimberly Guilfoyle venait de se séparer. Kimberly Guilfoyle, ex-responsable du financement de la campagne du président en 2020, a également été procureure à San Francisco.

La décision de Donald Trump de nommer Kimberly Guilfoyle ambassadrice des États-Unis en Grèce avait fait couler beaucoup d’encre. L’ancienne animatrice de télévision est en effet célèbre pour ses frasques sexuelles, mais aussi de ses commentaires méprisants sur les Grecs. En 2015, sur Fox News, elle avait alors lâché : "Personne n’aime les voleurs. Peu importe si vous faites du bon yaourt. Je m’en fiche", au sujet du peuple grec. Elle avait ensuite ajouté que les Grecs prenaient "leur retraite trop tôt".

Jacques Brel : ce que révèle sa fille sur l’affaire méconnue autour de sa sépulture

Le nom de Jacques Brel évoque immédiatement des chansons intemporelles, des paroles intenses, une voix gravée dans l’histoire de la chanson francophone. Mais son héritage ne se limite pas à sa musique. Même après sa disparition, des tensions persistent autour de sa tombe aux Marquises.

Récemment, France Brel, sa fille, a levé le voile sur une affaire peu connue du grand public : celle de la sépulture de son père, et d’une plaque funéraire remise en cause. Dans un souci de vérité et de respect, elle a raconté ce qu’il s’était passé. Un épisode bouleversant et révélateur, bien loin des projecteurs et de la légende.

Aujourd’hui âgée, France Brel a décidé de briser le silence. À travers des interviews et des documents récents, elle raconte les coulisses d’un conflit intime autour de la mémoire de son père. Et au-delà de cette histoire singulière, il pose une question universelle. Comment honorer dignement la mémoire d’un être aimé.

Jacques Brel est mort en 1978 et sa famille l’a inhumé à Atuona, aux îles Marquises. La tombe portait d’abord une plaque avec l’effigie du chanteur. Mais en 1998, pour le 20ᵉ anniversaire de sa disparition, la tombe a été modifiée. La plaque a été remplacée par une inscription comportant un poème, ainsi que les noms de sa femme et de ses enfants. Une décision qui n’a pas fait l’unanimité.

Des proches ont alors contesté ce changement. Pour eux, cette modification rompait avec l’hommage originel et la mémoire intime du chanteur. Quelques années plus tard, l’ancienne compagne de Brel, Maddly Bamy, a obtenu en justice le droit de rétablir la plaque d’origine. France Brel, aujourd’hui, raconte avoir renvoyé cette plaque “par la poste”, symbole d’un deuil jamais tout à fait apaisé.

Derrière cette histoire de plaque funéraire, c’est tout un pan de l’héritage de Jacques Brel qui semble tiraillé. Pour certains, maintenir la plaque avec le portrait, c’est préserver l’intimité, la part humaine derrière la légende. Pour d’autres, mettre un poème et les noms de la famille, c’est offrir un hommage plus sobre, plus durable, moins tourné vers l’icône.

France Brel, en dévoilant les conflits, montre à quel point la mémoire d’un artiste peut être source de débats et de blessures. Cette histoire rappelle aussi que la mort d’une célébrité ne clôt pas tout. Les choix de commémoration, d’hommage, de transmission sont souvent invisibles au public, mais cruciaux pour ceux qui restent. Et quand la justice entre en jeu, tout semble se mêler : l’affect, le patrimoine, la mémoire collective.

L’affaire de la plaque funéraire de Jacques Brel montre qu’au-delà des chansons, de la célébrité et du public, se joue un drame intime, un combat sur la mémoire d’une famille. Grâce à France Brel, on découvre une facette méconnue de cette légende : non pas la lumière des projecteurs, mais l’ombre des choix derrière la célébrité.

Dans son récit, France Brel rappelle que la mémoire mérite d’être respectée… Pas vendue, pas idéalisée, mais honorée avec vérité.

Aya Nakamura répond aux insultes racistes de l’extrême droite

C’est peu de dire qu’Aya Nakamura a suscité le débat depuis plus d’un an. Et non pas pour ce qu’elle aurait fait, mais pour ce qu’elle est. Dès que la rumeur de sa participation à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, en 2024, s’est propagée, les conservateurs et l’extrême droite se sont levés contre sa présence, alors hypothétique. Certains de ses détracteurs en parlent encore aujourd’hui.

L’interprète de Djadja n’a que peu répondu aux insultes qui fusaient à son encontre sur les plateaux télévisés, ou aux mouvements identitaires qui lui intimaient que « ici c’est Paris, pas le marché de Bamako ». Aya Nakamura s’est concentrée sur sa prestation et a fini de les laisser en PLS en apparaissant, majestueuse et toute d’or vêtue, accompagnée de la garde républicaine devant l’Académie française pour un medley applaudi par 31 millions de téléspectateurs à travers le monde.

A ce sujet, une partie de la réponse d’Aya Nakamura à l’extrême droite se trouvait dans son interprétation lors de la cérémonie d’ouverture. « Je devais juste chanter Pookie et Djadja. Comme il y a eu les polémiques, tout ce brouhaha de méchancetés autour de moi, on a choisi (For Me Formidable de Charles Aznavour) pour répondre », a révélé Aya Nakamura au micro de France Inter.

Quant à la raison pour laquelle certains éprouvent une telle haine à son endroit, la chanteuse, si elle a « supporté » les insultes, s’est surtout interrogée. « Pourquoi j’intéresse ces gens ? Je me suis demandé pourquoi j’ai énervé ces personnes-là, qui dénigraient autant ma musique et pourquoi j’arrivais à marquer autant les esprits », a-t-elle expliqué.

De sa réflexion, Aya Nakamura en a retenu deux raisons. D’une part, elle estime que c’est parce qu’elle est « issue de banlieue » et n’a « pas du tout les codes », ce qui fait d’elle « un ovni » dans le paysage musical. Celle qui a été plusieurs fois récompensée aux Victoires de la musique ne pense en revanche pas que sa couleur de peau soit le problème principal pour ses détracteurs. « D’autres disent que c’est parce que je suis noire, mais ce n’est pas forcément qu’une couleur de peau. C’est mon langage, c’est l’énergie que je renvoie, la nonchalance », a-t-elle ajouté.

Malgré tout cela, Aya Nakamura est l’artiste francophone la plus écoutée au monde et également devenue la première artiste féminine à remplir, pour trois soirs de suite, le Stade de France. Elle s’y produira, à guichets fermés, les 29, 30 et 31 mai 2026.

Premières images Qui brille au combat : Joséphine Japy s'inspire de son histoire personnelle pour réaliser son premier film avec Mélanie Laurent

Joséphine Japy est une actrice accomplie. Parmi ses films notables, on peut citer Mon Inconnue, Respire, Sur les chemins noirs, ou encore la série Tapie sur Netflix. Autant de projets qui lui ont permis d'exprimer son talent. Avec Qui brille au combat, la comédienne se lance un nouveau défi : passer derrière la caméra.

Présenté au Festival de Cannes en mai dernier, ce premier long métrage s'inspire d'une histoire très personnelle pour l'actrice : sa relation avec sa sœur atteinte d’une maladie génétique rare. Alors que le film est attendu en salle le 31 décembre prochain, le distributeur Apollo Films vient d'en dévoiler les premières images.

Au casting, on retrouve Pierre-Yves Cardinal (Simple comme Sylvain), Angelina Woreth (Leurs enfants après eux), Sarah Pachoud (Paternel) et Mélanie Laurent, qui avait dirigé Joséphine Japy dans son film Respire en 2014.

C'est notamment grâce à Mélanie Laurent que la nouvelle réalisatrice a décidé de sauter le pas : "Je me suis dit : "Oh ! Il y a donc des actrices qui font les deux." C'était hyper inspirant et donc ça a ouvert cette petite porte dans mon cerveau, explique Joséphine Japy pour Vanity Fair. Je n'étais pas sûre que mon histoire familiale serait mon premier sujet parce que c'était trop intimidant pour moi."

Elle poursuit : "À l'époque, c'était trop difficile, il y avait encore trop de choses à gérer. Notre errance diagnostique a duré 22 ans. Quand j'ai appris, il y a trois ans, la maladie exacte de ma sœur, le syndrome de Phelan-McDermid, j'ai pu écrire le premier jet de ce film."

Alors qu'elle prépare la sortie de ce premier film, Joséphine Japy révèle avoir déjà une idée pour un second.

Qui brille au combat, au cinéma le 31 décembre prochain

Premières images de Gouroun avec Pierre Niney

Plus d'un an et demi après Le Comte de Monte-Cristo, Pierre Niney est de retour sur grand écran avec Gourou, le nouveau film de Yann Gozlan avec lequel l'acteur a déjà collaboré sur Un homme idéal en 2014 et Boîte noire, qui lui a d'ailleurs valu une nomination au César du Meilleur acteur en 2022.

Dans Gourou, le comédien incarne Matt, le coach en développement personnel le plus suivi de France. Dans une société en quête de sens où la réussite individuelle est devenue sacrée, il propose à ses adeptes une catharsis qui électrise les foules autant qu'elle inquiète les autorités. Sous le feu des critiques, Matt va s'engager dans une fuite en avant qui le mènera aux frontières de la folie et peut-être de la gloire...

Les premières images dévoilées aujourd’hui annoncent un thriller tendu et riche en suspense. Dans ce court teaser, Pierre Niney se glisse dans la peau d’un coach aux allures d’influenceur. La suite bascule progressivement vers quelque chose de plus sombre. Aux côtés de l’acteur, on aperçoit également Marion Barbeau, remarquée dans En Corps de Cédric Klapisch, ainsi qu’ Anthony Bajon et Holt McCallany (Mindhunter).

En plus d'incarner le gourou du titre, Pierre Niney est également l’un des coproducteurs du long métrage. WY Productions et Ninety Films portent le projet ensemble. L’idée originale vient d’ailleurs de l’acteur, qui l’a ensuite développée avec Yann Gozlan et le coscénariste Jean-Baptiste Delafon (D’argent et de sang, Baron Noir).

En mai dernier, Pierre Niney se confiait à Variety et expliquait : "C'est un projet qui germe dans ma tête depuis longtemps. L'idée initiale était d'explorer cette capacité à électriser les foules par la parole, à les plonger dans un état de transe et à prendre le contrôle."

Parmi ses inspirations, l'acteur évoque Tom Cruise dans Magnolia de Paul Thomas Anderson, Paul Dano dans There Will Be Blood mais aussi le film Night Call avec Jake Gyllenhaal. "Même s'il s'agit davantage de voyeurisme moderne, j'aime beaucoup l'étrange fascination que l'on peut éprouver pour ce genre de personnage", précise-t-il.

A noter que dans le film, Pierre Niney porte le nom de Matthieu Vasseur, nom que ses personnages portaient déjà dans Un homme idéal et Boîte noire : une manière, pour le réalisateur, de relier subtilement ses films entre eux.

Gourou sort dans nos salles le 28 janvier prochain.

Bande-annonce de Kraken

Bien connu pour avoir terrorisé Johnny Depp et ses Pirates des Caraïbes, le Kraken va revenir sur nos écrans, dans un film à son nom. Et la bête va revenir à ses origines, puisqu'il s'agit, à la base, d'une créature fantastique issue des légendes scandinaves médiévales. Un monstre marin de très grande taille et doté de nombreux tentacules, qui va terroriser un Fjord dans ce film de monstre norvégien, dont la bande-annonce vient d'être dévoilée.

Un nouveau conte d’horreur venu du Nord, qui sortira dans les salles l’année prochaine (pas encore de date exacte).

Le pitch ? Johanne, une biologiste marine, mène des recherches dans une ferme piscicole de Vangsnes, petit village perdu au bord d’un fjord. Très vite, des événements étranges s’enchaînent. Deux ados du coin sont retrouvés morts dans des conditions brutales… et tous les indices mènent vers les profondeurs. "Au fond du fjord le plus profond de Norvège repose une créature mythique, aussi grande qu’une montagne, avec une multitude de bras prêts à broyer et dévorer tout ce qu’ils peuvent saisir." Tout un programme.

Au casting : Sara Khorami, Mikkel Bratt Silset, Ingvild Holthe Bygdnes, Jenny Evensen et Steinar Klouman Hallert.

Kraken est réalisé par Pål Øie, sur un scénario de Vilde Eide. 

Stranger Things fait son grand retour sur Netflix mais l'engouement des fans a fait planter la plateforme

Netflix vient officiellement de mettre en ligne la première partie de la saison 5 de Stranger Things. Un événement pour la plateforme, qui a déboursé pas moins de 400 à 480 millions de dollars pour cette conclusion très attendue, qui s’annonce époustouflante. Mais le lancement ne s’est pas passé comme prévu, et un incident de dernière minute a quelque peu modéré les ardeurs des fans les plus impatients.

Au moment de la mise en ligne des épisodes, le mercredi 26 novembre à 17 h aux États-Unis et le jeudi 27 novembre à 2 h du matin en France, le nombre de connexions simultanées sur Netflix fut tellement élevé que cela fit crasher la plateforme durant plusieurs minutes. Des dizaines de milliers de spectateurs circonspects se sont alors retrouvés avec ce message d’erreur.

L’interruption totale du service n’aurait duré que 3 minutes, mais de nombreux utilisateurs ont signalé des bugs persistants dans les minutes suivantes, tandis qu’ils découvraient les premiers épisodes de la saison 5.

Contactés par nos confrères de Variety, les porte-parole de Netflix ont tempéré la gravité de l'incident et mis en avant la rapidité avec laquelle les techniciens ont finalement résolu le problème : “Certains abonnés ont brièvement rencontré un problème de lecture sur leurs téléviseurs, mais le service a été rétabli pour tous les comptes en moins de cinq minutes.”

Ce n’est pas la première fois que la plateforme rencontre des problèmes de saturation causés par un trop grand nombre de connexions simultanées. Déjà en 2022, la diffusion du final de la saison 4 de Stranger Things (et oui, encore) avait conduit à un crash temporaire du service qui avait duré 30 minutes. 13 000 plaintes d’utilisateurs avaient alors été enregistrées sur le site Downdetector.com. 

Stranger Things Saison 5 (Volume 1) est disponible sur Netflix.